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vendredi 26 octobre 2012

Constantes de dynamie, d'ordre et d'équilibre (la 3ème symétrie)

COMMUNICATION VI


LES CONSTANTES DE DYNAMIE, 

D'ORDRE ET D'ÉQUILIBRE

(La 3ème Symétrie)


SOMMAIRE de la Communication VI

1er Volet - Dynamie cinétique de la structure spirale
1 - Dynamie cinétique de la structure spirale
A - Propriétés cinématiques, lévogyre et dextrogyre     B - La structure tourbillonnaire
C - La structure magnétique     D - La dynamie spirale galactique

2ème Volet : Dipolarisation et Géomagnétisme
2 - Le mode dipolaire
A - La polarité fréquentielle     B - La dipolarité générale des nœuds     C - Les polarités extensives
3 - La dynamie de polarisation
A - Les régions jointives     B - Schématisations et notations     C - La dynamie circulatoire
4 - La géo-magnétosphère
A - La structure GM axi-symétrique     B - L'orientation GM     C - Le comportement GM
D - Composition du champ GM     E - Répartition du champ GM     F - La dynamie GM
G - Les vitesses de propagation et d'absorption     H - Sens de propagation des courants...
5 - Le quantum G
6 - Les interactions GM
7 - Idées pour la maîtrise de la gravitation

3ème Volet : Règles et paramètres
d'ordonnancement des systèmes et sous- systèmes micro- et macro-cosmiques
8 - L'architecture atomaire
A - Le noyau     B - Les planètes
C - Structure atomaire de chaque élément massique     D - La Masse
9 - L'état gyromagnétique
A - Orientation dynamique dipolaire     B - Hélicité géo-chronologique     C - Mouvements rotatifs
10 - Les gyro-résonances
A - Caractéristiques     B - Etat gyrorésonant
11 - Les orbitales extra-nucléaires
A - Caractéristiques     B - Configuration et nombre d'orbitales     C - Peuplement
12 - Les résonances
A - Paramètres de résonance     B - Couplages d'interactions résonantes
C - Forces de résonance     D - Routes des champs et des collisions
13 - Mécanismes de rencontre
A - Principales obligations     B - L'effet Tunnel

LIENS
                                                                                                                                                                             

TRAVAUX DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER

Tous nos modèles théoriques serviront de plate-forme de départ aux travaux des chercheurs. Rien ne doit être accepté sur parole. Seule l'expérience des faits et les faits d'expérience scientifiques doivent prouver et soutenir la validité de nos thèses. Les travaux se dirigeront, en cette étape, particulièrement vers l'étude expérimentale (vérificatrice) de la polarisation, des résonances et de l'effet tunnel.
                                                                                                                                            

1er Volet

DYNAMIE CINÉTIQUE
DE LA STRUCTURE SPIRALE

VI - 1 - DYNAMIE CINÉTIQUE DE LA STRUCTURE SPIRALE

VI - 1 - A - Propriétés cinématiques : lévogyre et dextrogyre

Les propriétés cinématiques sont liées à l'évolution de l'objet considéré. En d'autres termes, la morphologie et les propriétés d'un objet dépendent de son trajet évolutif, de son âge. Rappelons ce qui a été dit dans un cahier précédent sur les séquences du trajet évolutif :

Un corps en contraction aspirante est lévogyre. La vitesse, quasi nulle au départ, accélère jusqu'à la réaction explosive... qui modifie le sens giratoire. Entré en expansion expirante, le corps devient dextrogyre. Et la vitesse forte décélère jusqu'à s'annuler. Ce qui modifie encore une fois le sens giratoire. Et le corps entre en une nouvelle période contractive.
La structure dynamique ainsi formée est une structure spirale, c'est-à dire dont la trajectoire sera la combinaison d'une révolution et d'une translation. Cette structure est orientée vers la gauche durant le trajet contractif et orientée vers la droite durant le trajet expansif. Enroulement et déroulement spiraliformes, perpétuels, en spirales contraires qui ne se rencontrent jamais. Ce qui définit la structure d'une spirale à deux pôles (clothoïde). (Nous rappellerons ici la figure 39).
Nous vérifions ce comportement collectif universel en étudiant statistiquement les mouvements rotationnels des tourbillons, des champs magnétiques ou des galaxies...

VI - 1 - B - La structure tourbillonnaire

Un objet pris dans un tourbillon tourne dans le sens giratoire général du mouvement. Ainsi, un objet pris dans un tourbillon marin tourne-t-il dans le sens lévogyre tout en s'engouffrant vers le bas. Un objet pris dans un tourbillon aérien tourne, au contraire, dans le sens dextrogyre tout en s'élevant sur les rails spiraux.
Le rayon de giration se serre progressivement dans le sens du mouvement général.
L'écoulement du flux tourbillonnaire se déplace dans le sens perpendiculaire au mouvement général. Il s'oriente vers la droite dans le cas du tourbillon marin et vers la gauche dans le cas du tourbillon aérien.
Ci-après les figures générales de la structure tourbillonnaire, I) dans un milieu aquatique, II) dans un milieu gazeux, les mouvements étant observés de face puis en plan. 
Les cônes tourbillonnaires
Dans un milieu aquatique                              Dans un milieu gazeux
(Figures 47 à 52 - Se reporter à la version en PDF pour voir les illustrations et les graphiques dans leur totalité)

VI - 1 - C - La structure magnétique

Faisons passer un courant dans un solénoïde. Nous constaterons l'action directrice du champ électromagnétique suivant les schémas ci-dessous, une spire créant un champ magnétique orienté perpendiculaire à son plan et suivant le sens du courant. (Figures 53 et 53bis)

VI - 1 - D - La dynamie spirale galactique

Nous remarquons, en observant le cosmos, de nombreuses galaxies de morphologie spiralée. Le nombre, l'épaisseur des bras, l'importance de leur enroulement et l'orientation générale du mouvement déterminent les séquences du trajet évolutif de la galaxie considérée. Il est apparu que les régions centrales tournent plus vite que les régions extérieures qui suivent. Et au bout d'un certain temps, les bras spiralés sont dilués... Nous aborderons plus en détail les phénomènes galactiques dans la Communication XVIII. Ci-contre, la configuration d'une étoile ou d'une galaxie à double spirale. (Figure 54)
D'autre part, les sondes spatiales ont démontré - définitivement pour les incrédules - l'existence de champs interplanétaires, d'origine solaire, et possédant une structure spiralée divisée en secteurs de largeur variant en fonction de l'activité solaire et possédant chacun alternativement une charge différente, centrifuge ou centripète. Ce que nous schématiserons comme suit. (Figure 55 ci-contre)
Nous retrouvons, là, une expression planaire de la courbe sinusoïdale (Figure 37 in Communication V-4). Nous relèverons plus loin les rapports entre les charges et les mouvements centrifuges et centripètes.
Cette figure sera complétée par la figure 56 qui exprimera l'alternance des champs magnétiques du fait du mouvement pulsatoire de la source, comme nous l'avons vu dans la précédente communication (1er Volet). La figure 56 de la page suivante sera explicitée entièrement dans les chapitres suivants.


2ème Volet

DIPOLARISATION ET GÉOMAGNÉTISME

VI - 2 - LA POLARISATION

La polarisation est une loi constante fondamentale de la nature. C'est une donnée fondamentale immuable de l'architecture universelle. Elle se définit universellement comme étant la charge spatiale qui se caractérise par l'attraction des « opposés », des complémentaires, affinitaires et la répulsion des semblables, non-affinitaires.
Deux éléments de même giration se repoussent, se contrarient, comme deux roues dentées tournant dans le même sens. Si leur giration est de sens inverse, les roues alimentent réciproquement leur mouvement. Leur assemblage forme un tout, un ensemble cohérent. (Cf figure 57)
Les particules ayant chacune une giration différentielle ne peuvent, par conséquent, attirer toutes les autres, mais seulement celles dont le sens giratoire est différent du leur. Le comportement rotationnel est d'une importance majeure.

VI - 2 - A - La polarité fréquentielle

La polarité est liée au nombre de vibrations émises par seconde. Les charges de dominance répulsive sont le propre des énergies infraluminales, des quanta électromagnétiques. Les charges de dominance attractives sont le propre des quanta sub-nucléoniques, des énergies supra-luminales. Les ultra-fréquences VELaires, aux périodes extrêmement rapides, sont donc de polarité à dominance attractive. Et les basses fréquences VEMaires (électromagnétiques) aux périodes relativement lentes, de polarité à dominance répulsive.
Il ne s'agit pas de spéculation mais d'un fait vérifiable scientifiquement. Nous vérifions ce fait en remarquant la complémentarité des charges au sein de la structure atomaire : A un moment donné, la charge de l'ensemble nucléaire est puissamment attractive tandis que la charge de l'ensemble orbital est de charge répulsive. Autrement dit, la polarisation nucléaire (solaire) est complémentaire de la polarisation électronique (planétaire) générale. Le noyau est doué d'une polarité complémentaire au reste de la masse d'un système donné. Ou l'inverse : L'ensemble orbital est d'une charge rigoureusement complémentaire à celle de l'ensemble nucléaire. C'est ce qui détermine la force de cohésion de l'architecture atomaire.
Les Velons portant les UF, composant principalement les composants des noyaux, ce sera donc du centre solaire, du tronc nucléaire, que s'irradient les charges cohésives. Et les éléments de charge complémentaire à celle du noyau tendent à encercler celui-ci.

VI - 2 - B - Polarité générale des nœuds

La polarité générale est la qualité prédominante de la fréquence vibrationnelle particulière (VFP) de tout élément nodulaire : Electron, atome, molécule, cellule, tissu, organisme, planète, système stellaire, galaxie... Ou plutôt, elle est de la nature de l'énergie prédominante en tel ou tel nœud à un moment donné de son trajet évolutif.
Nous avons vu que tout élément est formé des quanta différentiels de UF (VEL) et de BF (VEM), l'un portant l'autre. Ce qui donne, par leurs différentes combinatoires, toute une gamme de nœuds. Et, quelles que soient les dimensions et les fonctions des nœuds, nous retrouverons cette composition binaire des charges, la différence entre les matières n'étant, en définitive, que la différence entre les conditions combinatoires et les qualités fréquentielles des composants.
Quand la UF d'une VFP décroît, s'opère une transformation lente et graduelle en matière relativement inerte, accompagnée d'une décroissance proportionnelle de la température (plasmas igné ➠ gazeux ➠ liquide ➠ solide) et vice-versa quand la UF croît. Ainsi le rayonnement fréquentiel particulier d'un nœud (VFP) est-il de la qualité de la fréquence prédominante. Par suite, la polarité de la VFP d'une matière in-organique est de la dominance des BF et celle d'une matière organique automorphe de la dominance des UF.

La gyrofréquence
La polarité générale dépend également de la carrière de l'émettant, de sa séquence évolutive :
- La polarité générale d'un nœud en état contractif et lévogyre est principalement attractive;
- et la polarité générale d'un nœud en état expansif et dextrogyre est principalement répulsive.
Tout nœud étant en mouvement giratoire, la polarisation sera rotatoire ainsi que tous les effets de champs, les mouvements de charge, etc.

VI - 2 - C - Les polarités extensives

Tout est concordances. De ce qui précède, nous concluons que les polarités propres à chaque étant dans l'univers ne représentent qu'une variation de degrés, qu'une différence d'intensité dans la fréquence vibrationnelle de l'Energétique universelle VELaire, courant continu et formationnel (constructionnel). Comme les différences de pression entraînent les transitions de phase d'un unique plasma ...
Deux énergies de fréquence vibrationnelle différente, l'une très haute, extrêmement pénétrante, et l'autre beaucoup plus faible, se lient, s'unissent donc pour réaliser un étant. Par conséquent, la polarité qui en découle est toute relative. La réalité n'est pas duelle. Elle est une, unique. Seule la formulation, l'écriture, à chaque niveau de scription, est double dans sa polarité. Et c'est par extension analogique que les polarités partielles ont été soulignées entre deux termes actifs complémentaires, apparemment opposés : mâle et femelle ; spermatozoïde/ovule ; centre/périphérie ; jour/nuit ; proton/électron ; pénétration/absorption ; constriction/dilatation ; pression/dé-pression ; extraversion/introversion ; alcalinité/acidité ; etc.
Soulignons encore une fois qu'il ne s'agit pas d'antagonismes, mais d'une différence d'aspects, de degrés. Une particule n'est chargée « positivement » ou « négativement » que dans la mesure où prédomine en elle l'élément « positif » ou « négatif », c'est-à dire l'énergie de fréquence vibratoire élevée ou l'énergie de fréquence vibratoire densifiée, relativement basse, selon le niveau atteint.

VI - 3 - LA DYNAMIE DE POLARISATION

VI - 3 - A - Les régions jointives

Tout réagit comme un immense aimant : Tout s'unit ou se sépare selon la loi : Les charges complémentaires s'attirent, les charges semblables se repoussent. La force d'attraction entre deux éléments est proportionnelle à la différence de leurs composants. Leur répulsion est inversement proportionnelle à la différence des forces en présence.
C'est au point de jonction, au champ de rencontre des charges complémentaires que la tension énergétique est maximale. Ce champ de rencontre est dynamique. Sa puissance est proportionnelle à la force de couplage. L'harmonie étant dans la concordance dynamique des charges fréquentielles. Mais toute accommodation n'est que temporaire. Et l'engendrement est sélectif selon l'avantage du système : C'est en effet uniquement sur ce champ de rencontre dynamique que peut se produire, s'établir, s'épanouir une manifestation quantique définie. (Nous y reviendrons plus loin.)
Tous les mouvements dynamiques des composants génèrent les champs énergétiques nécessaires à la formation et à l'entretien de l'organisme universel. Il n'y a pas de confinement dans la nature.

VI - 3 - B - Schématisations et notations

Posons que la charge attractive se représente par le signe conventionnel (-) et la charge répulsive par le signe (+), la charge répulsive résultant d'un manque de charge attractive. La charge dynamique à leur point de rencontre se représente par N.

1)- La polarisation générale d'un nœud varie avec sa carrière. Si le nœud-source est attractif, le champ émis est répulsif. L'ensemble est lévogyre. Dans le cas contraire, la source est répulsive et le champ est attractif. L'ensemble est alors dextrogyre. Le schéma ci-après indique l'axi-symétrie des séquences évolutives. (Figure 58)

2)- Le champ émis, aux propriétés ondulatoires, représenté par la courbe sinusoïdale, est, par suite du mouvement pulsatif du nœud, alternativement chargé : Le nœud étant attractif, la courbe sinusoïdale issue de son centre, formera une crête de tension. A la sortie du nœud, la courbe chute en un puits répulsif, suivant donc immédiatement le champs attractif du nœud. La courbe sinusoïdale s'étendant sous l'effet toboggan, son mouvement sera alternativement répulsif (+) et attractif (-). (Figure 59 L'effet Toboggan)

3)- Le champ étant composé de surfaces d'onde pulsées dans les sens de flux et de reflux, et étant mu dans un mouvement spiralant hélicoïdal, tel un ruban qui s'enroule en hélice, l'espacement de champs entre chaque période de pulsion, les ventres des fuseaux que dessine la courbe sinusoïdale seront alternativement chargés : Les points de rencontre N seront par conséquent de charge nulle. (Figure 60 Effets de cisaillement magnétique)

C'est uniquement sur ces nœuds de cisaillement magnétique, sur ces nœuds de charge nulle mais dynamique, que vont se situer les orbitales peuplées stables.

4)- Par suite du mouvement pulsatif alternativement contractif et expansif et de la polarisation rotatoire du nœud, les champs seront alternativement attractifs et répulsifs et les orbitales dessineront une courbe sinusoïdale autour du noyau. Et tout objet porté par ces orbitales se déplacera en vue d'atteindre son environnement écologique dynamique le plus stable. (Figure 61). (Se rappeler également la Figure 56)

VI - 3 - C - La dynamie circulatoire

1)- Les mouvements alternatifs des charges génèrent des champs magnétiques rotatoires dont l'intensité est mesurée en volts par mètre, selon 1. la puissance émissive caractérisée par les crêtes fréquentielles, 2. la répartition des charges, et 3. le milieu écologique d'influence, le potentiel croissant ou décroissant selon la résistance ou la perméabilité qu'on lui oppose.

2)- Les mouvements alternatifs des charges réalisent le mouvement de champs rotatoire hélicoïdal orienté, l'ensemble systématique formant une spirale plus ou moins serrée, enroulée en hélice autour d'un axe de tension maximale. Nous vérifions l'action des champs opérateurs en étudiant les tourbillons d'axe vertical (marins ou aériens).
a)- Aspirant vers le bas, le sens général de l'écoulement tourbillonnaire lévogyre s'oriente vers la droite. (Vecteur). La translation hélicoïdale se fait dans le sens du vecteur tourbillon vers le puits de potentiel. (Figure 62)
b) Aspirant vers le haut, le sens général de l'écoulement tourbillonnaire dextrogyre s'oriente vers la gauche. C'est le sens de l'écoulement du flux perpendiculaire au plan rotationnel. (Figure 63)
La translation hélicoïdale se fait dans le sens précis du vecteur rotationnel. En d'autres termes, toute orbitale est spiralée. Une surface orbitale fait un angle α constant avec le plan horizontal. Les surfaces orbitales sont relativement parallèles entre elles.
c)- La vitesse rotationnelle expansive est progressivement forte à faible à nulle (= 0). Contractive, elle est progressivement nulle à faible à forte.
 d) La circulation provoque un courant de champ au potentiel relatif suivant la direction générale du flux de vecteur induction induit par les vecteurs composants 1 et 2. Ce qui est explicité par le schéma classique ci-contre. (Figure 64)
e)- Lorsque deux corps (soit des anneaux comme sur la Figure 65 ci-contre) parcourus par des courants de sens contraire, se trouvent placés face à face, leurs lignes de forces s'opposent. Un troisième corps peut rester confiné entre ces forces exerçant sur lui un encerclement : Corps C entre les Corps A et B.
Lorsque deux corps parcourus par des courants de même sens, et se trouvant placés côte à côte, le courant passe de l'un à l'autre sans être dévié. (Figure 66)
3)- La température et la densité maximales se trouvent sur l'axe tourbillonnaire conducteur central. La température et la densité minimales se trouvent sur la périphérie rotationnelle : les bras spiraux.
Un corps pris dans le tourbillon devra en explorer toutes les étapes spirales (les orbitales) dont la température et la densité sont variables. Il glisse d'une ligne de force à l'autre en un mouvement continu. Ainsi donc, d'une orbitale à l'autre, les quanta de champs électromagnétiques se trouvent-ils dans la nécessité de varier avec le temps.

4) a)- Dans la configuration tourbillonnaire fluante, la spirale, serrée à la source, s'étend progressivement autour de l'axe vers la périphérie. Les champs spiraux sont de moins en moins intenses. Et le corps en déplacement hélicoïdal sur les rails spiraux perd de l'énergie cinétique et thermique, se décale vers l'extérieur de la configuration avec des variations d'énergie correspondantes, et tend à se disperser dans l'espace au seuil de la bouche tourbillonnaire.
b)- Dans la configuration tourbillonnaire refluante, la spirale se serre progressivement autour de l'axe, en direction du sommet. Les champs spiraux sont de plus en plus intenses. Et le corps en déplacement hélicoïdal gagne de l'énergie cinétique et thermique, ses modes oscillatoires s'amplifient, à partir de la bouche tourbillonnaire, et il tend, en remontant les rails spiraux, à se joindre à la source. (Cf Figures 49 et 50)

5 )- Les mouvements spiraliformes, orientés différentiellement, se suivant dans l'espace-temps, il en résulte une représentation planétaire par une clothoïde ou spirale à deux pôles qui organise la balance entre les deux mouvements pulsatoires de flux et de reflux d'un même étant. (Cf XV-4-B). Ci-après trois figures du double mouvement. (Figures 67, 68 et 69, Mouvements spiraliformes A, B et C).

VI - 4 - LA GÉO-MAGNÉTOSPHÈRE

Appelée aussi exosphère ou magnétosphère. C'est un immense champ plasmique qui s'étend en ailes de papillon des deux côtés de l'axe polaire de tout quantum nodulaire massique, rotationnel (sphéroïdal) ou non. C'est son domaine local individuel, le champ spatial exprimant son spectre d'énergie électrique, magnétique et gravitationnel.

VI - 4 - A - La structure GM axi-symétrique

Elle a été confirmée, dès 1958, par les observations des satellites (dont Explorer1) spécialement équipés pour l'exploration géo-magnétosphérique.
Le plasma GM est lié au nœud massique qui s'en nourrit autant qu'il nourrit. Dans le cas d'une masse orbitale (et toute masse est en orbite autour du centre d'un ensemble dont elle est un élément), le plasma GM s'étend
- jusqu'à près de dix 10 rayons nodulaires du côté diurne - soit le côté exposé au rayonnement de la source-mère, tel celui de la Terre exposée au vent solaire;
- et jusqu'à près de 600 rayons nodulaires dans la direction antinucléaire - soit le côté opposé au rayonnement du centre, dit aussi anti-solaire.
Cette morphologie dessine donc des ailes de papillon non symétriques, l'une sensiblement inférieure à l'autre, celle-ci ressemblant plutôt à une queue de comète
Le nœud massique tourne sur lui-même à l'intérieur de cette magnéto-gaine relativement stable, immergé dans une coquille qui, pratiquement, l'isole thermiquement. Confinement relatif favorisant l'équilibre thermodynamique biosphérique - mais aussi le relie magnétiquement à son environnement - comme la frontière d'une peau... (Figure 70 : La géo-magnétosphère de la Terre)
Le nucléus (solaire) émet un flot plasmique - ou vent nucléaire (solaire) - animé d'une vitesse déterminée et possédant une densité spécifique. Ainsi, par exemple, le Soleil émet un flux plasmique (vent solaire) formé d'électrons et de protons, animé (au voisinage de l'orbite terrestre) d'une vitesse de quelques 400 Km/s et possédant une densité comprise entre 5 et 20 particules par cm3. L'onde de choc du vent nucléaire comprime la magnétosphère exposée. C'est le jour et la région exposée et tous les biotypes organiques y vivant et réglés sur le Soleil, s'animent, s'activent. Les biotypes non-accordés aux champs solaires se reposent.
Tandis que du côté opposé, la géomagnétosphère s'étire assez loin. La région est plongée dans la nuit et les biotypes in-animés par le souffle nucléaire se reposent. C'est pour eux l'heure du sommeil nocturne et l'heure de réveil pour les biotypes accordés aux champs non-solaires.
Ainsi donc, les deux régions de la magnétosphère apparaissent-elles déjà, au début de notre étude, comme bien spécifiques, chaque flanc présentant une différence marquée de potentiel.
La zonation GM se déforme au rythme des heures, des journées, des saisons : La vitesse et l'intensité des modifications zonales varient suivant l'indice nodulaire (ses propriétés locales), le rayonnement nucléaire périodique, et d'autres déterminants plus ou moins aléatoires.
En définitive, la GM d'un nœud est la résultante de l'équilibre harmonieux instauré entre la pression cinétique du vent nucléaire et la pression GM locale, produite par la source des champs internes et des champs générés par les courants de surface. En d'autres termes, la relation entre les deux champs discontinus de la jonction est continue.

VI - 4 - B - L'orientation GM

L'orientation structurale géomagnétosphérique dépend principalement de la séquence évolutive de l'ensemble dont le nœud planétaire est un élément composant.
En état contractif attractif lévogyre, le sens de l'écoulement du flux GM s'oriente vers la droite. Et l'absorption/éjection se fait dans le sens Nord/Sud.
En état expansif dextrogyre, le sens de l'écoulement du flux s'oriente vers la gauche. Et l'absorption/éjection se fait dans le sens Sud/Nord.
D'après les observations effectuées au moyen des satellites, il a été vérifié que pour la planète Terre, le sens de l'écoulement du flux GM est orienté vers la droite et que l'absorption/éjection des particules énergétiques se fait dans le sens Nord/Sud. La Terre étant lévogyre, nous remontons des effets aux causes et prouvons ainsi son état contractif, vérifiant expérimentalement notre modèle de la structure de genèse. (Cf II-3)
Donc la configuration GM que nous venons de voir est la structure spécifique d'un corps lévogyre en contraction. La structure GM d'un corps dextrogyre serait diamétralement opposée. Car à ce moment-là, le nucléus solaire, au lieu d'émettre un flux plasmique (vent solaire), aspirerait le flux plasmique, orientant la queue GM vers lui - dans le sens diurne de la face exposée.
L'espace environnant d'un nœud est structuré en fonction de son champ GM, lui-même structuré en fonction de la séquence évolutive du nœud.

VI - 4 - C - Le comportement GM

Le comportement GM général est pareillement organisé dans tout l'univers, identiquement pour tous les corps dipolaires quelle que soit leur dimension. Généralement l'axe du dipôle magnétique est légèrement incliné sur l'axe rotationnel de la masse planétaire (d'environ 11°).
La zone interne du plasma GM (couvrant les distances géocentriques inférieures à six rayons planétaires) possède une structure générale dipolaire. Les courants GM évoluent suivant les lignes d'absorption/émission Nord/Sud dans le cas lévogyre et Sud/Nord dans le cas dextrogyre. Les trajectoires des courants particulaires sont courbes.
Les pôles sont, par suite, des cônes de réception et d'éjection énergétique. Dans le cas lévogyre, c'est la « cavité » polaire Nord qui reçoit, comme un tunnel ou un précipice, des quanta énergétiques qu'elle rediffuse à travers la cavité polaire Sud. Le mouvement général des courants magnétiques va donc s'orienter Nord ➠ Sud ➠ Nord. Dans le cas dextrogyre, c'est l'inverse.
La zone dipolaire interne forme un anneau GM parfait dans le plan équatorial. D'autre part, tout point d'un hémisphère (dont la latitude est située à ≤ 60-65°) a un conjugué magnétique dans l'hémisphère opposé, suivant des fréquences de résonance précises. Les deux points formant un couple géomagnétiquement conjugué à la surface, sont reliés par une même ligne de force GM tangente au champ vectoriel correspondant et qui traverse le plan équatorial à des distances d'autant plus grande que la latitude des points conjugués est plus élevée. On relève, par exemple, le couple Europe du Sud et Afrique du Sud parmi les rares couples de points conjugués situés tous deux sur des terres émergées.
La position de deux points géomagnétiquement conjugués à la surface planétaire n'obéit pas à des lois géométriques de symétrie. Plusieurs déterminants sont en cause. Et c'est ce qui nous amène à étudier de plus près la composition du champ GM.

VI - 4 - D - Composition du champ GM

Le champ GM est composite. Il est la résultante de tous les champs locaux (individuels, organiques) électromagnétiques variables dont, principalement :
- Les champs longitudinaux, champs presque uniformes correspondant à la puissance GM du noyau, du centre guide. Les courants suivent l'axe magnétique dipolaire Nord/Sud. La longitude zéro étant définie par le demi-plan méridien contenant les pôles Nord géographique et géomagnétique.
- Les champs transversaux, plus ou moins obliques par rapport aux pôles et irréguliers. Au point de croisement des champs longitudinaux et transversaux, émerge un troisième champ géomagnétique amplifié vertical très important par ses effets vitalisant sur l'évolution des biotypes se trouvant dans la zone de surface correspondante.
- Les champs aléatoires de l'écorce planétaire (ou de la membrane cellulaire, ou du revêtement cutané), produits par les nappes aquifères souterraines ou en surface, les gîtes métallifères souvent irréguliers - mais dont la répartition correspond à des tensions zonales précises.
- Les champs atmosphériques aléatoires.
- Nous y ajouterons les champs biotypiques également aléatoires correspondant aux dynamismes des biotypes vivant sur l'écorce et modifiant progressivement l'éco-système biosphérique.
Tous ces champs subissent de multiples variations dues aux relations écologiques stables comme les cycles longs, le cycle des saisons, les heures, la latitude et l'altitude du lieu et aux relations écologiques aléatoires dont les variations diurnes du champ nucléaire (solaire), les conditions météorologiques et atmosphériques, la vitesse irrégulière de la rotation planétaire, le déplacement continu des pôles, et bien d'autres déterminants interférentiels réguliers, inconstants ou parasitaires, comme, pour notre Planète, l'accroissement des villes, l'aménagement des territoires (lacs artificiels), la multiplication des transports, les incendies de forêt, les explosions nucléaires, etc.
 
VI - 4 - E - Répartition des champ GM

La distribution GM autour d'un nœud est homogénéisée malgré son apparente hétérogénéité. Rien n'est, en fait, distribué au hasard. Une organisation inter-relationnelle d'ensemble harmonisé gouverne tous les composants dynamiques des champs.
La population énergétique est un référent fondateur. Les particules se rassemblent en certaines zones et se dirigent préférentiellement dans certaines directions suivant leurs caractéristiques, leur degré d'ionisation, etc. Leur nombre, les collisions ionisantes ou des-ionisantes, les processus multiplicatifs et les vitesses sont également préférentiellement orientés.
A titre indicatif, mentionnons le nombre de particules contenues dans divers champs. Le champs atmosphérique est un plasma gazeux contenant 3.1019 molécules d'Azote et d'Oxygène par cm3. Le champs ionosphérique est un plasma de 1000° K qui contient 106 particules/cm3. L'espace intersidéral est un plasma de 100° K qui contient quelques particules par cm3. A l'opposé, la matière très dense, cristalliforme, contient 1027 particules par cm3 et il faut des millions de degrés K pour l'ioniser.
Ainsi les zones spatiales annulaires GM sont-elles déterminées par la répartition de peuplement ionique, de l'état fréquentiel, de la disposition et du déplacement spatiotemporel de chacun des déterminants (tous facteurs de polarisation), des périodicités des mouvements d'ensemble ou particuliers (périodes de dérive, d'oscillation, de giration, etc.) ainsi que de leur voisinage énergétique de Basses ou d'Ultra-fréquences.
Chaque zone est caractérisée par la fréquence vibratoire résultante du plasma GM qui s'y trouve confinée. Cette fréquence est proportionnelle à la racine carrée du nombre des particules chargées par unité de volume. Les zones GM intérieures sont peuplées principalement de protons de haute énergie, portant des énergies variant entre 1 et 200 KeV. La zone GM extérieure est peuplée principalement d'électrons portant des énergies supérieures à 0,5 MeV. Protons et électrons tournent dans des sens axisymétriquement opposés.
Les zones GM ont des frontières plus ou moins définies, déterminant des seuils d'énergie ainsi que des charges différentielles conséquemment alternatives. Leurs champs s'étendent suivant les fluctuations spatio-temporelles (régimes des vents, perturbations occasionnelles) qui peuvent modifier leurs caractéristiques essentielles.
Les zones de basses fréquences ont des propriétés dispersives dues aux propriétés particulièrement anisotropiques des basses fréquences, contrairement aux zones de Ultra-Fréquences aux propriétés cohésives. Et nous remarquons que les régions de dispersion la plus élevée sont celles où la gyrofréquence est la plus faible.
Les instruments d'observation actuels n'ont pu enregistrer, et pour cause, que les déploiements et les effets GM des forces électromagnétiques, des énergies infra-luminales et, à la limite, des énergies photoniques. Il reste à observer les déploiements et les effets GM des hautes énergies luminales et supra-luminales qui sont partie composante fondamentale des champs GM et qui portent infiniment plus loin que les énergies électromagnétiques.

VI - 4 - F – La dynamie GM

Le rayonnement GM se propage à la vitesse de la lumière photonique, pour les énergies infraluminales, en trains d'impulsions à des périodes variables. L'onde électromagnétique rayonnée se meut sur une géodésique (ligne « droite » la plus courte entre deux corps) avec un mouvement uniforme spiroïdal par vagues successives rotationnelles, subissant des accélérations ou des décélérations suivant les champs rencontrés.
La distance entre deux crêtes successives d'une vague gravitationnelle mesure près de 180 Km à 1660 Hz. Le quantum du rayonnement GM est le Graviton. La croissance de flux ou de reflux GM, sa décroissance, son orientation, les routes des champs, les charges, tout le potentiel gravitationnel, ne sont pas constants dans le temps. Ils varient suivant l'évolution séquentielle générale (le cycle long) et les rythmes pulsatoires des cycles courts (quotidiens, saisonniers). C'est ce qui détermine principalement la structure gyromagnétique alternativement chargée du champs GM. Telle zone est puissamment attractive, telle autre puissamment répulsive, suivant le mouvement de diffusion et d'absorption radiales. A leur limite, tout corps orbital décrit un mouvement sinusoïdal.

VI - 4 - G - Vitesses de propagation et d'absorption

La vitesse de propagation des champs GM décroît et la vitesse d'absorption croît proportionnellement à la distance géocentrique, suivant le courant zonal et suivant les propriétés de structure de l'éco-système, notamment les lignes de moindre résistance.

VI - 4 - H - Sens de propagation des courants

Le mouvement de dérive général des champs GM et leur orientation varient en fonction principalement de la séquence évolutive, du déplacement du système dans l'espace-temps, et de la distance radiale. Tout agit de façon résonante, sélective, préférentielle et non pas chaotique, dans la direction générale des lignes de champs les plus favorables.
Dans les zones internes, les trajectoires particulaires se dirigent approximativement suivant les lignes principales de champ GM orientées : Les courants sont alignés le long des lignes de force qui se referment dans les cônes polaires. La direction de l'intensité GM coïncide avec l'axe rotationnel. On remarque, en effet, une très importante concentration de flux orientés aux pôles.
Dans le cas lévogyre, la dérive s'oriente vers l'Est pour les électrons et vers l'Ouest pour les protons cantonnés dans ces zones. Dans le cas dextrogyre, c'est l'inverse.
Dans les zones externes, et du côté opposé à l'influence nucléaire directe dans le cas lévogyre, et, dans le cas dextrogyre, du côté soumis à l'influence nucléaire directe, les trajectoires de propagation dessinent deux zones principales de flux et de reflux, d'aller-et-retour, d'émission et d'absorption - et donc de charges différentes -, qui s'étendent assez loin formant comme une queue cométaire. Ces deux zones sont séparées par une zone neutre.
La zone polaire Nord est, dans le cas lévogyre, attractive, et la zone Sud, émissive. Dans le cas dextrogyre, c'est l'inverse. Cette répartition zonale GM directionnelle est très importante pour l'astronautique. On n'en a pas encore fait cas, mais un jour, pas très lointain, verra l'utilisation des courants GM pour la propulsion d'engins dans l'espace planétaire et extra-planétaire, et pour la réception en douceur de ces engins. (Se reporter constamment à la Figure 70.)

VI - 5 - LE QUANTUM G

VI - 5 - A - L'énergie Gravitationnelle

Elle est la composante organisée des champs GM, définissant certaines propriétés spatiales de tout corps dipolaire gyromagnétique. La gravitation, nous la définissons comme étant la relation entre la répulsion G exercée par le centre nucléaire lointain (le centre-mère) et la répulsion G exercée par le centre nucléaire secondaire le plus immédiat. Autrement dit, la Gravitationnelle d'un corps donné est la différentielle énergétique entre deux répulsions G qui s’exercent sur le corps.

Répulsion G du centre nucléaire le plus immédiat (source-mère seconde)
G =                                                                                                                                          
Répulsion G du centre nucléaire lointain (source-mère première)

Ainsi donc, la force G qui nous retient au sol n'est-elle pas due à l'attraction exercée par la planète Terre (ce qui fut un concept erroné) mais bien à la différentielle des forces de répulsion incidentes, celle du centre solaire et celle du centre nucléaire de la planète elle-même.
Il s'ensuit logiquement que le manteau terrestre qui - comme dans toute architecture atomaire (cf 3ème Volet) - est un élément éjecté et satellisé par sa source-mère le noyau terrestre, est donc retenu à une distance proportionnelle à la différentielle des forces G de répulsion conjuguées exercées sur lui des deux côtés internes et externes, la force externe (de la source-mère première) prévalant.
Par conséquent, c'est le manteau satellisé, masse orbitale, qui possède son propre champs GM. Et c'est donc en son centre que se génèrent ses propres forces G et non pas au centre géométrique nucléaire du système. (Tout en sachant pertinemment que le nucléus possède son propre champ GM ainsi que le système dans son ensemble, le tout formant un champ GM général.)

VI - 5 - B - Résultante des couplages GM

Tout corps exprime donc un champ GM qui lui est propre, en résonance avec les champs GM internes et externes. Tout champ influe sur l'autre. La résultante des couplages GM définit les propriétés du champs GM nodulaire, déterminant ses principales caractéristiques, les couloirs d'énergie cinétique différentiellement chargés, les orbitales, les propriétés dynamiques rotationnelles de la masse, etc., les champs GM des masses mobiles étant plus intenses que ceux des masses au repos relatif.
En surface de la masse orbitale, les forces GM ne sont pas réparties uniformément, comme nous l'avons déjà vu. Cette inégale répartition, si elle peut être considérée négligeable comparativement aux variations électro-magnétiques, n'en est pas moins très importante, car elle est ressentie physiologiquement par les biotypes, pouvant provoquer dans leur métabolisme des ruptures d'équilibre souvent mortelles.
Tout corps est une unité de tension, un accumulateur et un générateur de champs GM selon une courbe de concentration ou de décharge évoluant suivant ses propres séquences évolutives et de son ambiance écologique. Chaque élément est soumis aux champs voisins, proches ou éloignés.
Par l'échange continuel d'ondes, s'établit un équilibre favorisant une ambiance écologique plus ou moins constante. Les champs incidents (par exemple solaires) se marient, par attraction mutuelle, avec les champs nodulaires (par ex. telluriques). Les forces étant compensées, l'équilibre favorise l'épanouissement (par exemple d'un biotype organique fréquentiellement accordé à cette ambiance.) Le déséquilibre provient lorsque les champs incidents sont réfléchis et rediffusés, par répulsion, provoquant à la surface nodulaire des champs de rupture d'équilibre détruisant toute harmonie. Souvent des champs in-accordés sont piégés. On les dit stationnaires.
Toute disjonction a-normale perturbatrice entre rythmes fréquentiels provoque des bouleversements cataclysmiques proportionnels. Lorsque par exemple un certain nombre seuil d'éléments en présence est dépassé, les forces GM de longue portée vainquent les forces de cohésion. Cela est aussi vrai pour les groupements sociaux biotypiques que pour les groupements nucléoniques : Dans le cas atomique, le noyau, devenu instable par suite du nombre anarchique de sa population, se désintègre par fission en des ensembles plus adaptés et dans lesquels les forces de cohésion reprennent le dessus...
Les rayons incidents pénètrent d'autant mieux dans le corps nodulaire que celui-ci offre des terrains plus conducteurs. La profondeur de pénétration dépend de la fréquence vibrationnelle du champ incident et de la conductibilité de la cible.

VI - 5 - C - Les sources du champ G

La source du champ G se trouve
1)- Dans la masse des éléments en interaction, les masses les plus importantes portant les énergies G les plus intenses;
2)- dans leurs pulses et dans leur mouvement rotationnel diffusionnel ou infusionnel à structure spiralée, en résonance cosmique;
et 3)- dans leur séquence évolutive imprimant le sens de l'orientation au mouvement des masses et des trajets de courants GM.
Ainsi, les Pulsars sont-ils des étoiles très denses à très fort champ G, et les Quasars, systèmes stellaires très massifs, des étoiles à « effondrement » gravitationnel important. Mais toute énergie perdue par un élément est cédée à un autre. (Cf Cahier VIII)
Les maxima de champs G détectés jusqu'à présent correspondent au passage du centre Galactique dans la direction de l'antenne réceptrice. Centre qui est le siège de violents bouleversements périodiques comme le cœur de tout système. Ces maxima de champs G impulsionnels, associés aux quanta électromagnétiques ont des périodicités de 12 heures en temps sidéral.

VI - 5 - D – Les Gravitons, porteurs du champs G 
   
La gravitation est l'expression du continuel échange de Gravitons, porteurs du champs G. Ils sont difficilement détectables, étant donné leur extrême faiblesse et l'inexistence d'instruments de détection suffisamment fiables.
Les forces de répulsion G s'affaiblissent lentement avec la distance. Les ondes G sont liées aux champs GM qui suscitent et portent les trajectoires elliptiques.

VI - 6 - LES INTERACTIONS GM

L'ensemble des masses détermine la valeur de la constante de la Gravitation universelle. Il n'y a pas de systèmes isolés, de masses absolument inertes ou de champs statiques. Rien n'est isolé. Tout est en mouvement. Tout est lié. Tout se ressent de tout, atomes, planètes, étoiles, galaxies... L'identité de tout objet est affectée par son interaction directe ou indirecte avec tous les autres. Les manifestations locales de la gravitation dépendent de tous les champs gravitationnels impliqués. Les effets gravitationnels, cohésion et contraintes mutuelles, propriétés rotationnelles dynamiques, sont intimement liés aux variations de la distribution énergétique universelle. Et rien ne se perd. Tout se transforme, indéfiniment.
La distribution gravitationnelle fait varier les propriétés locales du milieu. Selon la puissance du rayonnement, les effets varient. Et les modifications sont irréversibles. Les variations GM sont par exemple en relation directe avec les fluctuations cycliques planétaires et avec les fluctuations cycliques de l'activité solaire déterminée par le nombre des taches et des perturbations magnétiques. Associées à des champs magnétiques intenses émergents sur la photosphère, ces taches agissent sur les connectivités et les énergies de liaison, à tous niveaux, la conductibilité ionique, les paramètres de transferts énergétiques, etc. Mais cette cause agit en résonance avec d'autres sources. On a pu établir une corrélation entre la fluctuation temporelle (calculée durant quatre siècles) des hauteurs de marées dues aux champs de Jupiter, de Venus et de la Terre, et celle du nombre de taches solaires observées chaque mois, ainsi qu'une corrélation plus étroite entre les périodes égales du cycle solaire et de Jupiter, planète dont l'importance est prépondérante, avec celle de la Lune, dans le phénomène des marées.
D'autre part, une analyse statistique a mis en évidence deux corrélations. D'abord que les marées océaniques influencent les champs GM terrestres. Ensuite que les déplacements des courants qui parcourent les océans dans le champs géomagnétique du globe induisent des courants électriques à la fois parallèles et perpendiculaires à la direction de ce champ, ce qui explique l'influence des marées, sensible jusqu'à plus de 20 Km du rivage en Bretagne par exemple.

Parmi les effets gyromagnétiques, citons les changements de polarisation, le renversement de polarité, les orages magnétiques, les variations de potentiel thermo-électro-géomagnétique exprimées par la dérive des pôles, la dérive tectonique des plaques, l'hydrodynamie, l'agitation thermique, les réponses sismiques de différentes fréquences, les surrections et les éruptions volcaniques, la contraction ou la dilatation volumique, suivant certains coefficients déterminés, et autres effets fondamentaux ou parasitaires sur les vivants organiques et non-organiques...
Ainsi a-t-on remarqué que deux masses orbitales non-appariées (non couplées) dans un système donné, ont la possibilité de passer d'un niveau d'énergie donné à un niveau supérieur, lorsque sont remplies certaines conditions de résonance déterminées par la présence d'un champ dont la fréquence vibrationnelle correspond à la fréquence propre naturelle (fondamentale) du système.
Le voyage météoritique est dû d'abord au fait de l'expulsion d'une particule d'un système saturé puis à son incapacité à répondre à son environnement énergétique. Son inaptitude à s'intégrer la fait fuir dans le courant de moindre résistivité jusqu'à rencontrer un champ qui la captive et la place sur l'orbite vacante d'un autre système...
Les effets des ébranlements gravitationnels se font ressentir également sur les dépôts et gisements métallifères, leur sédimentation, leur degré de solidification, leur enfouissement, leur remontée à la surface, leur profil de concentration et la dynamique des fluctuations de leur concentration, de leurs défauts linéaires ou planaires, de leur empilement, de leur quadrillage de surface, etc.
Les effets sont aussi particulièrement ressentis dans la cinétique et la répartition des masses nucléaires et moléculaires, dans les modes de peuplement biotypiques, les couches génétiques séquentielles, les courants de population évolutifs, les migrations. Les effets sont exprimés par les variations dans la taille, le dimorphisme sexuel, les structures dermiques, les démarches et les comportements... Les zones de pulsations culturelles (de conductivité évolutive) s'accroissent en fonction de la nature qualitative du champ énergétique incident. Ainsi la culture est-elle pour l'Homme un signe d’hyper-réactivité et d'hyper-activité où interviennent les fonctions automorphes de photolyse ou de radiolyse pulsée au niveau de l'intellect. La culture préfigure la mutation du biotype qui saute d'un niveau donné à un autre, notamment au niveau technologique.
Et certains continuent encore à croire que nous sommes liés à un référentiel fixe soumis à un champ local fixe. Tandis qu'en réalité, nous sommes liés à un référentiel tournant soumis à une gerbe de champs pulsants constants résonnants, flux convectif résultant des interactions entre tous les champs cosmiques qui nous atteignent directement ou indirectement. Nous retrouvons partout l'unitarité de la matrice gravitationnelle universelle.

 
VI - 7 - IDÉES POUR LA MAÎTRISE DE LA GRAVITATION

La fusion nucléaire donne la plus grande énergie par unité de masse. Mais les processus d'attraction gravitationnelle peuvent libérer 100 fois plus d'énergie que la fusion atomique par gramme de matière. On peut obtenir une grande puissance avec de petites dimensions. On peut déjà obtenir un aimant artificiel cent mille fois plus puissant que le magnétisme terrestre et cela sur une surface de 3 cm2. Mais le problème est mal posé. Reprenons dès le début.
Ce qui empêche les corpuscules d'un organisme vivant de se coaguler et le corps de s'aplatir, collé à la terre, c'est parce que chaque élément est constitué d'un champ GM différentiel qui équilibre les dynamismes. Si l'on connaît et si l'on arrive à augmenter le champ particulier d'un objet, on exercera un déséquilibre local entre les dynamismes, effet avantageux selon la finalité envisagée.
La gravitation étant le résultat de la répulsion différentielle entre deux éléments, l'a-gravitation (ou le pouvoir de lévitation) s'obtient en renforçant une des deux répulsions coercitives par un apport énergétique contraire. Ainsi par exemple, et grâce à une technologie qui reste à inventer, des travaux importants (de construction, principalement) ne nécessiteront plus qu'une minime dépense d'énergie, les éléments pouvant alors être soulevés à volonté. C'est cette différentielle de champs qui a été appelée « force antigravitationnelle » par méconnaissance du principe de la technique antigravitationnelle.
Par cette future technique antigravitationnelle, le champs ainsi créé permettrait à un objet in-organique ou organique de se mouvoir et d'accélérer en toute direction. Sa ceinture zonale anti-G le rendant libre par rapport à son environnement et non soumis à la force d'inertie. A supposer que cet objet inorganique soit un élément habité, un avion par exemple, l'habitant ne ressentirait ni le mouvement ni la poussée gravitationnelle. Il n'éprouverait pas la sensation de pesanteur si l'objet accélérait, lui si sensible aux variations de son poids et à la distribution de son poids dans l'espace GM normal. Il irait à des vitesses vertigineuses comme s'il n'habitait qu'un ascenseur se mouvant uniformément et à vitesse constante. Enfin, à supposer qu'un obus venait à percuter l'objet, il s'enfoncerait dans sa zone anti-G de quelques centimètres de profondeur uniquement et en serait rejeté comme une plume, il aurait perdu toute son énergie au contact de la zone anti-G. Passer ainsi de la science-fiction à la science appliquée aux technologies du futur.

C'est par la maîtrise des champs GM que l'on pourra approcher de la vitesse de la lumière photonique et avoir la force nécessaire pour quitter le système solaire et se propulser vers les espaces galactiques. Déjà l'on utilise les champs GM des planètes comme tremplin pour le voyage des satellites d'observation.
L'a-gravitation est obtenue par différentes techniques : Soit par un apport mécanique et thermique (le cas des aéroplanes), soit, à l'avenir, plus économiquement et plus efficacement, par une action appropriée des quanta VELaires (matière supraluminale) sur les quanta de matières infraluminales électromagnétiques. Les techniques susceptibles d'affranchir de la gravitation sont relativement simples :
Les techniques de lévitation électrostatique, électrodynamique et surtout magnétique ont été mises au point et se prêtent déjà à des exploitations industrielles. Un objet peut facilement être soulevé dans l'air et être déplacé sans frottement mécanique, par un procédé de guidage utilisant l'interaction magnétique. Des trains à lévitation magnétique (successeurs des aérotrains à coussin d'air) sont dores et déjà possibles. Munis d'aimants et repoussés par des rails également aimantés, ces trains se déplacent sans frottement au-dessus des rails guidés par l'interaction magnétique.
Faisons quelques spéculations quant aux techniques non mécaniques. Imaginons qu'il suffirait de focaliser dans un objet une haute énergie (VELaire) déterminée. Cet objet monterait suivant l'axe des relations répulsionnelles. Il cesserait de monter lorsque les poussées s'équilibrent et que les forces se compensent exactement. La suspension durerait aussi longtemps que l'énergie porteuse reste concentrée dans l'objet par pression radiative. Est-ce le secret des lévitations individuelles (par exemple les lévitations des extatiques) ?
Sur la figure ci-après, nous remarquerons les équilibres dynamiques entre diverses répulsions. (Figure 71)


3ème Volet

RÈGLES ET PARAMÈTRES D'ORDONNANCEMENT
DES SYSTÈMES ET SOUS-SYSTÈMES
MICRO- ET MACROCOSMIQUES

VI - 8 - L'ARCHITECTURE ATOMAIRE

Tout est système cohérent composé d'un noyau central et de planètes-électrons de charges différentes complémentaires.

VI - 8 - A - Le Noyau ou l'Association nucléaire

Tout, galaxies ou atomes, se forme à partir d'un noyau - embryon solaire - moteur de vie, qui contient tous les éléments du corps adulte qu'il est appelé à être par la loi inexorable du devenir.
La source nucléique, malgré sa taille souvent réduite, représente 97% de la masse totale du système développé, quel qu'il soit, et assure, à elle seule, les 99% de l'énergie rayonnée par l'ensemble du système. Le noyau est un complexe chargé non neutre défini selon
1)- son état fondamental,
2)- ses états excités, caractérisés par des moments (électriques et magnétiques) différents, en réponse (en résonance avec) aux impulsions énergétiques environnantes (écologiques) ; et 3)- les transitions entre ses états.
Le noyau est formé par une agrégation de quanta suivant la même architecture de base et les mêmes mécanismes universels. Tout noyau possède toutes les caractéristiques des noyaux. Et tout élément est noyau d'un ensemble correspondant.

VI - 8 - B - Les planètes

Les planètes-électrons sont organisés, par rapport au cœur, suivant des relations conjuguées, précises, de résonance géomagnétique, induisant leur composition, leur nombre, leur éloignement, leur rotation, leur déplacement en orbe bien défini et leur propre champs GM. Tout est correspondances et complémentarités dynamiques, y compris dans l'auto-organisation des ensembles. Rien n'est le fait du pur hasard ou d'une volonté délibérée.
Ainsi seuls certains états quantiques et types de mouvements sont possibles, auxquels correspondent des énergies bien déterminées pour un élément donné. Les planètes les plus denses sont les plus rapprochées du noyau. Les plus légères, bien que parfois géantes, en sont les plus éloignées. Elles ont une rotation plus rapide sur elles-mêmes malgré leur masse. Les planètes les plus éloignées du centre sont susceptibles de quitter le système. De même, leurs orbes sont susceptibles de piéger certains corps cométaires de passage et à les satelliser suivant des rapports précis de résonance géomagnétique entre les éléments composants de l'accepteur et de l'hôte.
Chaque planète et principalement les géantes sont de « petits soleils », architecturés en système atomaire. Chacune possède un système nucléaire ainsi qu'un système correspondant de satellites qu'elle fait graviter.

VI - 8 - C - Structure atomaire de chaque élément massique

Aucune masse ne saurait être une sphère solide et uniforme. Comme tout système structural, de l'atome à la galaxie...
L'atome, par exemple, est formé de quanta énergétiques complémentaires. Un noyau central dipolaire et une masse d'électrons également dipolaires gravitant en orbites autour de ce noyau et tournant sur leur axe dans un mouvement gyroscopique.
D'après la structure GM que nous avons vu, l'axe rotationnel de tout corps, sphéroïdal ou pas, passe par deux endroits polaires distincts : Les pôles géographiques au centre du périmètre dessiné par les pôles magnétiques. Ces deux endroits privilégiés de toute structure forment comme des cônes d'ouverture, d'absorption ou d'éjection de flux énergétiques de hautes fréquences. Ils sont dégagés de toute masse susceptible de gêner ce passage. Les particules portant des énergies ultra-fréquentielles ne peuvent tenir dans ces cônes tourbillonnaires en équilibre stable. Elles y tomberaient fatalement englouties lors de leur passage au-dessus du cône polaire attractif, ou bien elles seraient expulsées dans le cas de passage au-dessus du cône polaire irradiant. Pour éviter tout cas d'instabilité, par réaction aux champs GM différentiels, toutes les masses planétaires satellisées gravitent sur des orbitales localisées rigoureusement dans le plan équatorial neutralisé du noyau. Toutes les planètes gravitant autour du Soleil ont toutes un noyau et des cônes polaires de réception et d'éjection des particules de hautes énergies... (Figure 72)

La masse en mouvement orbital autour du noyau central possède la même structure de base de toute planète gravitant autour d'un noyau. Elle se définit par des caractéristiques singulières impliquant une forme, un relief, une densité, des propriétés gyromagnétiques, des champs géomagnétosphériques... qui lui sont propres et qui définissent son identité.
Elle est formée à partir d'un magma nucléaire, détaché lui-même de sa source première, qui, après s'être contracté progressivement provoquant une réaction explosive, a projeté, par force centrifuge rotationnelle, les substances les plus lourdes vers l'extérieur et les a satellisé en une masse compacte sur une orbite déterminée. Cette masse est immergée dans ses propres champs GM. Et sa force gravitationnelle se trouve répartie presque uniformément en son propre centre sphéroïdal (et non au centre géométrique ponctuel de l'ensemble du système.)
D'autre part, la force G résultant, comme nous l'avons vu, de la différentielle des répulsions GM entre les sources nucléaires lointaine et immédiate, et la masse orbitale gravitant autour de son noyau, il s'ensuit que la force G sera relativement presque identique à la surface externe convexe exposée à la source-mère première (solaire) et à la surface interne concave exposée à la source-mère secondaire, nucléaire intérieure (son propre noyau). Et suivant les conditions GM de surface et la valeur de la force G qui varie suivant les séquences évolutives nodulaires, la taille des biotypes y vivant sera corrélativement réduite ou étirée.
   
VI - 8 - D - La Masse nodulaire

Tout système est caractérisé par un ensemble fini d'états d'énergie. La masse M est la quantité de quanta énergétiques formant un ensemble nodulaire. Ses effets s'expriment par le poids, les champs GM et gravitationnels.
Conséquence des forces d’interaction réciproque, la masse d'un corps est proportionnelle à tous les champs énergétiques impliqués. Elle augmente lorsqu'on lui fournit de l'énergie infraluminale électromagnétique et diminue lorsqu'on lui fournit de l'énergie supraluminale.
La quantité massique peut paraître stable et stationnaire. En fait, il n'y a pas de masse inertielle. Aucun corps n'est effectivement au repos absolu. Partout dans la nature, se remarque la variabilité régulière ou irrégulière des masses nodulaires avec le temps et en tout point de l'espace, quels que soient leur taille, leur poids, leur densité d'état, leurs propriétés magnétiques, etc. La masse varie en fonction de l'âge nodulaire, de sa séquence évolutive dans un milieu donné. Les changements d'états sont apparemment discontinus.
La masse se définit par son spectre d'énergie et particulièrement par son spectre gravitationnel. L'équivalence Masse-Energie est mesurée par la différence de masse entre un noyau et la somme des masses de ses constituants. Et l'on remarque que la masse du noyau est inférieure à la somme des masses des constituants.
Les particules constitutives de tout nœud ont une « tendance » naturelle à se grouper affinitairement d'une manière aussi serrée que possible, par attraction magnétique commune. Elles occupent ainsi aussi peu de place que possible et la masse prend les formes déterminées par sa carrière. La masse prend une forme sphérique (hydrodynamique) pour diminuer la surface de contact. Car une tension de surface est provoquée par le frottage continuel des champs. Comme l'huile dans l'eau.
Toute masse nodulaire a une vie relativement autarcique. Elle s'entoure d'un champ GM de confinement relatif qui la protège et qui alimente le plasma qui la compose. L'efficacité du confinement dans une telle enceinte dépend de la configuration GM ainsi que de son degré d'ouverture. En circuit très peu ouvert, la plus grande partie de l'énergie est récupérée et le système d'échange est relativement stable. En circuit franchement ouvert, s'organise un échange constant d'énergies avec l'extérieur. Cet échange nourricier va aller jusqu'à sa propre dissolution identitaire lorsque sont épuisées les possibilités des énergies d'échanges ou bien lorsque interviennent des éléments « perturbateurs » extérieurs non-prévisibles. Les circuits franchement ouverts sont à la base de l'organisation des êtres vivants. Les circuits très peu ouverts sont rares, accidentels ou artificiels. Rien dans la nature n'est découplé, désaimanté, ou isolé thermiquement. Il n'y a rien d'isolé dans la nature.

VI - 9 - L'ÉTAT GYROMAGNÉTIQUE

Il n'y a pas de repos absolu. Tout est en mouvement perpétuel. Et tout est synchronisé. Toute masse orbitale, tout système, quelles que soient ses dimensions et sa séquence évolutive, effectue un mouvement rotationnel autour du noyau-source, conjugué à un mouvement rotationnel autour de son propre axe. Ces états rotationnels sont réglés par les interactions de gyro-résonance magnétique à l'échelle du cosmos, qui font que tous les axes des composants d'un système donné sont relativement parallèles entre eux et parallèles à l'axe de l'ensemble.

VI - 9 - A - L'orientation dynamique dipolaire

Placés dans un champ magnétique (une entrefer d'un électro-aimant par exemple), des échantillons de matière voient leurs moments, qui avaient une orientation quelconque, tendre à s'orienter parallèlement au champ. Chaque moment cherche sa position d'équilibre stable, nécessitant une énergie minimale à opposer.
L'orientation de l'aimantation se fait selon un axe préférentiel dans la direction du champ principal. Elle n'est pas dirigée au hasard. L'axe magnétique dipolaire a une direction privilégiée, celle de l'axe de rotation de l'ensemble dont il fait partie - soit dans la direction Nord/Sud. Ainsi en est-il de tout système solaire composant une Galaxie - qui oriente donc son axe suivant l'axe rotationnel du centre Galactique.
Chaque système (et chacun de ses composants) s'oriente en accord de résonance avec l'ensemble dont il fait partie. Et puisque tout élément s'emboîte dans un système, dans un ensemble qui l'intègre, ad infinitum, on s'autorise à conclure que l'univers possède un couple de pôles orientés parallèlement à tout axe de rotation d'un système donné, et, réciproquement, que l'axe de rotation de tout système dipolaire s'oriente parallèlement à l'axe polaire universel. C'est l'étoile polaire qui représente le repère polaire visible approximatif de la sphère cosmique. Sa position coïncide avec l'axe Nord/Sud du Système Solaire.
Le degré d'orientation (la dipolarisation dynamique) est d'autant plus grand que le couplage des moments magnétiques avec le champs GM extérieur est plus fort et que l'agitation thermique due aux zones in-homogènes est plus faible.

VI - 9 - B - L'hélicité géochronologique

1)- L'évolution cinétique géochronologique
Reprenons notre description de l'adaptation évolutive d'un corps planétaire. Un noyau-source, à sa limite contractive, explose, éjectant des masses qu'il va faire graviter autour de lui sur des orbites stables déterminées. Le noyau et tout le système ainsi formé entre en séquence expansive dextrogyre sous l'effet des forces centrifuges jusqu'à la limite séquentielle du pulse où son hélicité devient nulle. A ce moment-là, il commence une nouvelle carrière contractive et tourne en sens inverse, lévogyre. Sa vitesse s'accélère de nulle à faible à rapide, sous l'effet des forces centripètes. Tout le cortège planétaire va suivre le noyau dans ses séquences évolutives.
Chaque masse orbitale, informe au moment de son éjection, tend à stabiliser son diamètre et son orbite, à la limite frontière entre deux champs attractif et répulsif, positif et négatif. Par leur action, ces champs conjugués entraîneront la formation sphéroïdale de la masse pour une cohésion maximale. Par ses mouvements cinétiques rotationnels axial et orbiculaire enclenchés par la différentielle de champs qui y exercent leur action, la masse va obtenir graduellement et conserver le plus longtemps possible une forme sphéroïdale. Et la masse se définira désormais par ses champs GM conjugués, en accord de résonance avec l'ensemble.
Son mouvement décélère progressivement. Survient un moment où la giration faiblit au point de s'annuler. C'est l'heure des cataclysmes et des mutations à toute échelle. Les forces G tendent à s'annuler. L'hélicité suspendue est due à l'équilibration statistique entre les forces centrifuges et les forces centripètes de cohésion qui se neutralisent à une certaine distance déterminée du noyau. La forme de la masse est alors celle d'une quenouille. A la limite de cet état, se détache de la masse-mère une masse plus petite, émise perpendiculairement à l'axe rotationnel de l'ensemble, c'est-à dire dans le sens équatorial. Cette masse détachée va, à son tour, graviter autour de la planète-mère qui va amorcer un retour contractif. Sous l'action des forces centripètes qui reprennent le dessus, la masse orbitale change de sens giratoire avec un bouleversement des pôles, en accord avec tous les éléments du système. La rotation s'oriente vers la droite. Et la vitesse de rotation, initialement nulle, va augmenter progressivement. Son potentiel énergétique GM devient de plus en plus attractif.
La vitesse rotationnelle augmentant, le diamètre sphérique diminue. La masse se contracte puis s'allonge en fuseau dans le sens polaire, en vertu du principe de conservation de l'énergie. La vitesse de rotation d'un patineur sur glace tournant sur lui-même augmente de plusieurs tours quand il baisse les bras. A la limite de cet état, c'est l'explosion qui va freiner la rotation par une expulsion énergétique massique. Le sens giratoire change avec un nouveau bouleversement des pôles. Et ce sera, de nouveau, une période d'évolution expansive conjuguée...
Et le cycle pulsatoire contractif-expansif continue. La périodicité cinétique étant déterminée par tous les paramètres écologiques environnementaux et, particulièrement, par le sens du temps, quantum indispensable que rien n'ignore.
   
2)- L'orientation géochronologique

L'état général d'une masse nodulaire est alternativement répulsif, neutre et attractif ou, autrement dit, émissif, satisfait et absorbant, suivant ses cycles pulsatoires. Chaque système (et chacun de ses composants) concentre et irradie des champs GM orientés et chargés en accord de résonance avec l'ensemble dont il fait partie et suivant sa propre séquence évolutive pulsatoire.
L'état contractif oriente la giration nodulaire vers la gauche. La vitesse faible accélère progressivement. Le corps lévogyre absorbe plus qu'il n'émet. L'état expansif oriente la giration vers la droite. La vitesse maximale décélère progressivement. Le corps dextrogyre irradie plus qu'il ne concentre. L'état qui voit suspendue sa giration est momentanément neutre, statique. C'est d'après l'orientation différentielle d'un corps et d'un système que nous pouvons déterminer sa séquence évolutive.
L'orientation lévogyre du Soleil et de son cortège planétaire induit que ce système est présentement en état contractif, et qu'il est arrivé un moment dans le passé où il a atteint l'apogée de son état expansif dextrogyre. Son hélicité devenue nulle a alors repris dans le sens opposé - lévogyre - à vitesse minimale qui s'est progressivement accélérée.
Cette orientation géochronologique détermine, d'autre part, toutes les caractéristiques subsidiaires du nœud et du système auquel il appartient : - La direction hélicoïdale dans l'espace; - l'orientation des champs GM; etc.

VI - 9 - C - Les mouvements rotatoires

1)- La rotation axiale
a)- Tout élément orbital, tout système dans son ensemble, noyau et masses orbitales, sont, chacun, en rotation sur eux-mêmes dans un mouvement gyroscopique. La rotation d'un dipôle dans un espace à trois dimensions se définit par un axe autour duquel tournent les points de l'espace ainsi que par un angle précisant l'amplitude de la rotation. L'axe passe par les deux pôles géographiques au centre exact des cônes polaires. L'axe magnétique a une direction privilégiée, celle de l'axe magnétique de l'ensemble dont il fait partie. Cet axe tend à se conserver. Le mouvement rotationnel des masses orbitales sur elles-mêmes s'oriente dans le même sens que celui de leur mouvement orbital.
b)- Le spin (de « to spin », tourner) est la quantité vectorielle qui exprime la rotation d'une masse sur elle-même. En d'autres termes, c'est une propriété spatiale de la rotation axiale. Le spin s'oriente vers le Nord ou vers le Sud suivant la séquence évolutive C'est quand le spin pointe vers le Sud par hélicité lévogyre, que le noeud, contracté, peut éjecter une masse particulaire. Après éjection, le spin du nœud dextrogyre, pointe vers le nord, entraînant par le fait même, nécessairement (et non préférentiellement), la masse particulaire nouvellement née dans la même orientation spin-orbite dextrogyre. L'agitation thermique accidentelle détruit la structure de spin.
Les rotations des Moments magnétiques élémentaires se font en direction de l'orientation de la séquence évolutive du système qui les englobe, soit du champs GM le plus intense, celui du cœur. Mais en raison des effets de résonance avec les multiples champs sollicitant, les moments magnétiques s'orientent soit en parallèles (dans le même sens que l'induction), soit en anti-parallèles (dans le sens inverse), soit même aléatoirement.
Chaque système possède une période limite de rotation axiale, déterminée par l'intensité des forces GM conjuguées de ses composants. Par exemple, la période limite de rotation axiale de la Terre serait approximativement de 80 minutes, celle du Soleil de quelques heures (4 à 5 h.) et celle de certaines étoiles denses de quelques dizaines de secondes d'après nos instruments d'observation.
Le spin isotopique est un quantum abstrait qui rend compte du fait que des particules ayant des masses voisines et des charges différentes, ont des propriétés nucléaires analogues. Le spin est à valeur entière (dans le cas des Bosons) ou demi-entière (1/2, 3/2, 5/2... dans le cas des Fermions). Les symétries de rotation dans un cristal sont d'ordre 2, 3, 4 et 6. Dans un système non cristallographique, 5 et 7.

2)- La rotation orbitale
a)- Toute masse, quelle qu'elle soit, est placée sur une orbe elliptique et tourne lentement autour du noyau central. Toutes les masses orbitales d'un même système tournent dans le sens du mouvement généré par les pulses, bien qu'à des vitesses différentes. Les révolutions s'accomplissent exclusivement à proximité du plan équatorial du noyau. Le passage au-dessus des pôles est pratiquement interdit.
b) Le mouvement orbital mesure l'élan d'une masse orbitale dans sa révolution autour du centre nucléaire.

3)- Les Moments cinétiques
Tout, dans un système, dépend de l'orientation mutuelle du spin et du mouvement orbital - générateurs de champs gyromagnétiques dipolaires.
a)- Le moment cinétique est défini comme étant la mesure du mouvement orbital et du spin. La vitesse des rotations orbitale et axiale est déterminée par les énergies écologiques incidentes et induites conjuguées. L'hélicité exprime la proportionnalité entre le moment cinétique et la quantité de mouvement.
b)- Le moment total d'un système exprime la somme vectorielle de tous les moments cinétiques des composants, déterminés par la somme des champs impliqués.
c)- Le moment quadripolaire exprime la tendance évolutive du noyau, définissant ainsi sa spécificité, son identité, sa différentialité évolutive.
d)- C'est l'énergie cinétique du système et de chaque composant qui génère les champs gyromagnétiques dipolaires (au comportement réversible) caractérisés par
1)- Le moment magnétique individuel qui exprime le champ local d'une masse à un moment donné;
2)- la fréquence fondamentale d'un système qui est la fréquence de précession du moment magnétique élémentaire autour du champ magnétique statique ;
3)- le spin de résonance magnétique qui exprime le mouvement cinétique et le moment magnétique combinés aux moments cinétiques et orbitaux. Ainsi donc, chaque nœud quantique est-il caractérisé par des propriétés gyromagnétiques distinctes.

VI - 10 - LES GYRO-RÉSONANCES

VI - 10 - A – Caractéristiques des gyro-résonances

Tout nœud énergétique est une dynamo impulsionnelle régulée par un circuit intégré de résonance. Ainsi par exemple, les moments orbitaux et de spin se combinent en accords de résonance.
Les axes de révolution orbitale et de rotation axiale des masses sont inclinés plus ou moins perpendiculairement sur le plan de l'écliptique. Autrement dit, les mouvements rotationnels des masses orbitales s'arrangent suivant un axe plus ou moins perpendiculaire au plan de rotation de l'ensemble du système. D'autre part, les périodes de rotation spécifique de chaque masse orbitale ainsi que leur sens giratoire sont en résonance avec tous les champs énergétiques du noyau ainsi qu'avec leurs champs respectifs. La rotation d'une masse orbitale, par exemple, est freinée par la transmission de la majeure partie de son moment cinétique au mouvement orbital de ses propres satellites. La rotation de la Terre est freinée par la Lune et ses effets de marées. Celle du Soleil est ralentie par les neuf planètes de son cortège.
Le ralentissement de la rotation du noyau central du système induit l'accélération des masses orbitales. Le Soleil ne contient que 0,6% de son mouvement cinétique. D'autre part, une décélération aérodynamique provient lorsque survient une collision entre champs énergétiques de fréquences différentes ou semblables et non-complémentaires. Cet effet génère des ondes de choc qui exercent un effet de claquage acoustique ou optique (le mur du son ou de lumière par exemple).
Autre exemple : Mercure est en résonance 2:3 par rapport au Soleil : Il fait 3 tours sur lui-même en 2 révolutions autour du Soleil. L'influence des autres planètes entraîne un déplacement total de son périhélie de 43 secondes d'arc par siècle. Vénus a une rotation rétrograde de 243 jours sur elle-même en 225 jours de mouvement orbital autour du Soleil. A chaque conjonction (proximité périodique) avec la Terre, Vénus présente toujours la même face, comme si elle était bloquée par sa résonance avec la Terre. De même la Terre et la Lune, Mars et Phobos sont couplés en résonance intime presque organique. L'écart par rapport à la sphéricité de la masse solaire provoque un déplacement du périhélie de 5 à 10 secondes d'arc. Tel est le cas d'Icare, astéroïde de 1Km de diamètre possédant une orbite très excentrique (ellipse allongée) comprise entre les orbites de Mercure et de la Terre. Le déplacement de son périhélie est d'une dizaine de secondes d'arc par siècle.

VI - 10 - B - L'état gyrorésonant

L'état gyrorésonant d'une masse orbitale gravitant au sein d'un système donné se définit suivant trois constantes :
1)- D'abord par le fait que toute masse orbitale - (et tout quantum, comme il gravite sur une orbitale d'un système quantique l'enveloppant, fait lui-même graviter autour de lui de quanta inférieurs) - est soumise au potentiel de toutes les autres. Toute excitation élémentaire a des résonances collectives sous forme de champs cinétiques. Tous les états individuels ou globaux d'un système donné sont liés par une intégrale d'échange qui détermine l'équilibre de l'ensemble et ses seuils d'ordre. Cet équilibre est homogène ou hétérogène et dépend autant de la séquence évolutive que des relations circonstancielles. Une masse donnée produit des effets différents selon sa séquence évolutive et son état circonstanciel transitoire.
2)- D'autre part, tous les moments élémentaires sont parallèles entre eux lorsque les orbites sont saturées. Cette saturation équilibre l'ensemble en stabilisant la polarisation. Elle fixe les seuils de l'ordre GM, du comportement gyromagnétique et de l'énergie thermique à tous les niveaux. Mais les orbites sont rarement saturées ce qui permet d'ailleurs un échange continuel d'énergies. Et nous remarquons que dans chaque domaine élémentaire considéré, se trouve une multitude de masses dont l'orientation résonante varie suivant les sites écologiques et leurs propres conditions d'existence. Ainsi chaque système peut-il exister dans un certain nombre d'états énergétiques différents. La probabilité d'occupation de ces états dépend de différentes conditions. Mais les degrés de liberté sont cependant fixés par les seuils constitutifs du système. Tout seuil inférieur ou supérieur dépassé est une transmutation.
3)- Enfin, il est une règle qui détermine la distribution et la localisation du peuplement orbital - la structure électronique - ainsi que la valeur de l'aimantation et de la susceptibilité magnétique résultante de l'ensemble. C'est la règle d'exclusion suivant laquelle deux masses orbitales d'un même système ne peuvent posséder la même série de nombres quantiques. Par exemple, deux masses orbitales possédant des moments de spin parallèles (de même direction) ou une même fonction d'onde, ne peuvent cohabiter ni même s'approcher. Et la distance entre masses orbitales de même spin est même supérieure à la distance entre masses orbitales de spins opposés. Les contraires s'attirent. Les semblables se repoussent.

VI - 11 - LES ORBITALES EXTRA-NUCLÉAIRES

Les matériaux éjectés par le noyau en rotation s'ordonnent autour de lui en une enveloppe presque sphéroïdale, formée de couches énergétiques orbitales de diamètres différents, inscrivant entre eux des espacements énergétiques précis dépendant des paramètres énergétiques impliqués.

VI - 11 - A - Caractéristiques

1)- Définition : Une orbitale est une ceinture de champs chargée, une couche quantifiée qui occupe une portion différentielle de l'espace autour du noyau.
2)- Les charges énergétiques : A chaque orbitale correspond une énergie caractéristique unique. Les orbitales sont alternativement chargées. Les zones orbitales sont alternativement polarisées, suivant un schéma ondulatoire. A leurs limites, entre les champs différentiels se situent les orbitales de champ dynamique N, les anneaux de stabilité, les zones d'équilibre qui meuvent les masses qui s'y trouvent en dessinant leur trajectoire périodique stricte autour du soleil nucléaire. Les champs chargés différentiellement écartent ou rapprochent les masses jusqu'à ces zones d'association dynamique, les orbitales de peuplement.
3)- Le parcours en ellipse : Une masse orbitale décrit une ellipse plus ou moins excentrique et subit des oscillations de périodes et d'amplitudes relatives. Par exemple, le Soleil, par rapport au centre Galactique éloigné de quelques 30.000 années-lumière, décrit une ellipse faiblement excentrique en quelques 250 millions d'années-lumière et subit des oscillations de 70 millions d'années-lumière de période, et de 650 années-lumière d'amplitude, suivant son passage aux abords des champs alternativement attractifs et répulsifs du Centre Galactique. (Figure 73 Les parcours en ellipse).

En généralisant, toute orbitale décrit une ellipse plus ou moins excentrique et subit des oscillations de périodes et d'amplitudes relatives, suivant les champs nucléaires (et autres) traversés et qui sont alternativement attractifs et répulsifs.
La masse étant en rotation, le voyage est spiraliforme autour de l'axe orbital circulaire dans le plan nucléaire. Le mouvement est celui d'une courbe sinusoïdale. (Figure 74 ci-dessous)
4)-L'orientation : L'orientation du mouvement orbital suit le sens du mouvement rotationnel pulsatoire.

VI - 11 - B - Configuration et nombre d'orbitales

1)- Configuration alternée
Les zones annulaires se succèdent dans une configuration alternée et stable, la plus serrée possible, compte tenu de tous les déterminants énergétiques et particulièrement les déterminants gravitationnels et électromagnétiques. Ces zones se situent dans le plan équatorial du noyau. Aucune orbite peuplée ne passe et ne peut passer au-dessus des cônes polaires par lesquels passe l'axe rotationnel de l'ensemble. Là, le champ reste libre. Nous verrons encore plus loin l'importance de ce passage tourbillonnaire absorbant et émettant.
Les bandes d'énergie orbitales sont séparées par des bandes interdites qui fixent le seuil des mouvements orbitaux. Autrement dit, les orbitales chargées différentiellement ne peuvent empiéter l'une sur l'autre qu'en de rares occasions déterminées qui reposent en général sur les lignes de moindre résistance.
Les orbitales dynamiques occupées sont les plus proches du noyau. Les orbitales dynamiques vacantes - non peuplées - sont les plus éloignées. Cette disposition d'équilibre dynamique correspond à l'état d'énergie minimale.

2)- Nombre d'orbitales
L'augmentation régulière de l'espacement orbital détermine un réseau d'anneaux enveloppant. Le nombre et la répartition des intervalles énergétiques varient d'un système à l'autre. Leur quantum est proportionnel au quantum énergétique fréquentiel présent dans le noyau. Leur valeur est fonction de la distance au centre nucléaire. Ci-dessous le schéma général de la structure de peuplement sur orbites. (Figure 75)

VI - 11 - C – Peuplement dynamique

1)- Peuplement suivant les lois de résonance

Les masses orbitales se partagent donc les niveaux différentiels dynamiques de charge Neutre. Elles se situent aux places strictes et aux positions privilégiées les plus confortables, structurant un système stable et définissant son identité énergétique. Elles ne prennent de forme et n'engagent d'autre mouvement orbital que ceux acceptés par tous les paramètres impliqués.
Une orbitale dynamique de peuplement ne peut recevoir qu'un nombre donné de masses et leur répartition se fait suivant les lois précises de résonance. L'orbitale de peuplement est individualiste. Elle ne peut supporter la cohabitation sur une même orbite de masses pouvant posséder une même série de nombres quantiques.
L'étagement des orbitales de peuplement et leur probabilité de remplissage sont corrélatifs du bilan énergétique général du système - dont les interactions spin-orbite, ainsi que les influences incidentes circonstancielles. Ils décroissent avec l'accroissement de l'énergie.
Les orbitales liantes sont les bandes énergétiques de peuplement qui peuvent accepter de nouveaux éléments massiques. Les orbitales anti-liantes sont les bandes interdites, les zones chargées ou les orbitales sursaturées qui refusent toute inclusion. Lorsque toutes les orbitales de peuplement d'un système sont pleinement peuplées et saturées, la structuration stabilise la polarisation et le système est stable et relativement isolé et isolant.
En résumé, la densité et la répartition du peuplement aux niveaux nucléaire et orbital expriment les conditions d'existence (le champ GM global, les modes vibrationnels), et le degré de liberté cinétique d'un ensemble donné.

2)- L'anneau périphérique
L'orbitale la plus éloignée du centre est un agent de transmutation. Cette couche transitoire située à la limite énergétique du noyau - et donc la moins liée - est responsable des relations extérieures inter-systèmes. Cette bande de conduction frontalière ou zone d'accrochage aux possibilités multiples, est liante ou anti-liante selon ses conditions circonstancielles de peuplement : sursaturée, partiellement occupée ou vacante. Elle répond alors aux exigences circonstancielles (température, impacts... ), d'exclusion (d'élargissement) ou d'inclusion énergétiques. La masse qui se trouve sur cet anneau frontière « de collision », préside aux échanges inter-systèmes. C'est la masse dite de valence.

3)- Les échanges
Tout mode d'excitation énergétique influe non seulement sur la planète de valence mais sur le système dans son ensemble. Une inclusion quantique orientée ou aléatoire sur une bande de valence saturée cause, par exemple, des contraintes locales, une distorsion, qui exigent, pour rétablir l'équilibre, une réorganisation complète de la structure énergétique, impliquant le réarrangement des trajectoires orbitales et des moments totaux orientés. Si l'équilibre énergétique est impossible, s'opère alors une exclusion quantique équivalente, une réaction sous différentes formes massique, calorifique ou cinétique... Le temps de relaxation est le temps requis pour le rétablissement de l'équilibre. Les transitions, lorsque un certain seuil est atteint, sont généralement brusques et non pas graduelles. Elles affectent surtout les zones les plus fragiles ou les lignes de moindre résistance.

VI - 12 - LES RÉSONANCES

VI - 12 - A - Paramètres de résonance

L'univers est un système dynamique dont tous les éléments composants s'agencent en résonance... Les résonances sont les relations causales, les exigences particulières harmonisées, instaurant un ordre coopératif cohérent à petite ou grande distance et indépendamment de la taille. Elles règlent les états d'ordre ainsi que les fluctuations aléatoires intra-, extra- ou inter-particulaires, déterminant rigoureusement les structures d'équilibre dynamique.
Ces rapports de résonance, de coordinence entre tous les constituants d'un système donné fondent, par exemple, les régularités de satellisation - régularités remarquables dans la construction et la configuration générale et particulière des constituants. Ces rapports de résonance sont des forces d'appariement qui règlent en fait :
- Les quantités et qualités d'énergies servant à maintenir la cohérence entre les constituants;
- la direction des champs magnétiques interplanétaires présidant aux arrangements structurels à petite ou longue distance;
- les orientations respectives des mouvements des planètes, leurs orbites elliptiques, leur disposition mutuelle, les périodicités orbitales;
- leur rotation différentielle sur elles-mêmes, les périodicités rotatives, le couplage spin-orbite, leur rythme;
- l'espacement circumsolaire, par rapport à la masse centrale, mère nucléaire, et l'espacement interplanétaire, par rapport aux autres planètes;
- la répartition des masses, la distribution des densités sur des positions d'équilibre relatif;
- leur composition, leur mode et l'arrangement mutuel des constituants;
- leurs propriétés focalisantes et gravitationnelles;
- leur système de satellisation circumplanétaire;
- leur sphère d'influence et les interactions d'échange suivant la proximité d'autres sources, la distance nécessitant des tensions d'alimentation de valeur proportionnelle;
- les exigences d'exclusion ou d'inclusion selon les nécessités circonstancielles; etc.
Soulignons encore une fois que ces rapports de résonance - forces d'interaction qui assurent la cohésion dynamique - sont valables entre atomes, entre planètes, entre systèmes solaires, entre galaxies d'une part et entre leurs constituants relatifs d'autre part. Bref entre tous les nœuds, organiques et in-organiques, quelles que soient leurs dimensions au sein de l'ensemble universel. Tout dans l'univers relève des mécanismes d'interaction et des impératifs dynamiques de résonance.
   
VI - 12 - B - Les couplages d'interactions résonantes

Tout élément est sensible à toutes les forces ou à quelques unes d'entre elles suivant ses propres accords adaptatifs évolutifs sélectifs et son coefficient d'absorption et de réponse réactive.
Les résonances entre différents quanta - ou l'accrochage harmonieux des fréquences particulières à ces quanta - proviennent particulièrement du fait que leurs fréquences vibrationnelles sont dans un rapport simple, en nombres entiers : 1:1, 1:3, 2:3, etc. Autrement dit, quand des fréquences vibrationnelles particulières VFP excitées l'une par l'autre s'accordent, elles sont en résonance. Deux éléments qui ne se heurtent pas, par exemple, subissent une action réciproque de résonance à distance. Quand une vitre vibre au passage d'une voiture, c'est que la période de vibration de la vitre s'est trouvée en résonance avec la période de rotation du moteur de la voiture. La planète Mercure est dans un rapport de résonance 2:3 par rapport au Soleil : Elle fait 3 tours sur elle-même en 2 révolutions autour du Soleil.
Un autre exemple (Figure 76): Il est une position d'équilibre stable qui définit des conditions de résonance lorsque trois corps se trouvent situés aux sommets d'un triangle équilatéral. C'est-à-dire que ces corps sont capturés, freinés et placés, bloqués sur une même orbite, à des distances rigoureusement égales entre elles, le corps C se trouvant en face du corps B, et le corps D rigoureusement entre les deux, à égale distance du centre. Ainsi un cimetière de matières cométaires tourne-t-il autour de la terre, sur une orbite lunaire, à une distance stable définie par une réaction de résonance.
D'autre part, lorsque deux éléments se frôlent à une distance égale ou inférieure à leur propre dimension, s'organise un processus d'interaction par résonance - qui consiste en un échange énergétique, caractérisé souvent par une augmentation de volume compensatrice dans les zones de résonance où les corps s 'accrochent l'un à l'autre. S'il y a inhomogénéité de base, il y a répulsion, pour éviter - par économie - toute action perturbatrice de l'un sur l'autre. Mais quand un certain équilibre s'instaure, les mouvements des corps se coordonnent. Et l'approche se renouvelle à chaque cycle du fait de l'attraction gravitationnelle mutuelle qui affecte les deux corps. Il y a, par exemple, cinq points d'équilibre du système en rotation autour du Soleil. Trois autres sont instables. Comme le point dit de Moulton sur l'axe Terre-Soleil à 1,5 millions de Km de la Terre.
En définitive, deux éléments ne s'unissent de façon stable qu'à la condition que leurs VFP aient des charges complémentaires. Et lorsque deux éléments d'une charge donnée sont attirés par un tiers élément de charge différente, ils accordent leurs moments magnétiques, déterminant l'axe unifié de l'ensemble ainsi formé.

VI - 12 - C - Les forces de résonance

Ce sont les forces d'interaction d'origine commune qui assurent la cohésion et la stabilité générale entre tous les constituants de l'ensemble universel. Ils sont définis par leur nature, leur intensité, leur portée. On en reconnaît actuellement quatre grands types:

1)- Les interactions nucléaires fortes de très courte portée. Elles assurent la cohésion du noyau atomique Elles lient les protons et les neutrons. Elles s'exercent à des distances de quelques 1013 cm. Elles sont 100 à 1000 fois plus fortes que les interactions électromagnétiques. Leur quantum de champ est le Méson de masse 138 MeV et de vie 2,5.10-8 sec. Ellles produisent les particules alpha.

2) Les interactions électromagnétiques de portée infinie. Elles assurent la cohésion des atomes. Elles lient les atomes dans les molécules. Elles assurent aussi la cohésion nucléonique. Leur quantum est le Photon.

3)- Les interactions nucléaires faibles qui provoquent la radioactivité bêta. Elles sont 1012 fois plus faibles que les interactions nucléaires fortes. Leur quantum est le Boson W de vie 10-22sec. Ce sont des réactions ponctuelles, de contact. 
 
4)- Enfin les interactions gravitationnelles de portée infinie qui assurent la cohésion GM planétaire. Elles lient les planètes au centre Solaire-nucléaire. Elles sont 1040 fois plus faibles que les interactions électromagnétiques. Leur quantum est le Graviton.

VI - 12 - D - Les routes des champs et des collisions

Les relations entre masses, comme entre les villes, sont organisées par l'échange continuel de champs informationnels. Les chemins suivis par les quanta sont à l'image de nos autoroutes. Les champs guident, canalisent les échanges. Les accidents y sont relativement rares. Mais quand ils surviennent, ils génèrent des perturbations locales, selon la puissance de l'impact. Les perturbations légères sont vite résorbées. Les perturbations fortes peuvent désagréger leur cible.
Les phénomènes de collision entre solides se déplaçant à des vitesses élevées sont donc rares. Mais quand ils surviennent, ils suivent un processus particulier. C'est généralement un champ gravitationnel à propriétés focalisantes puissantes (possédant une orbite vacante) qui capture des corps météoritiques de champs magnétiques inférieurs et différents qui le heurtent à des vitesses relatives, et qui le dirige vers l'orbite vacante.

La collision provoque des phénomènes dissipatifs ou de condensation, variant avec la nature aléatoire des chocs et des constituants, l'ionisation du milieu étant déterminante. On remarque, entre autres effets dans la recherche du meilleur équilibre, un transfert du moment cinétique et des énergies de rotation, une auto-accélération du système, une augmentation de la masse, des modifications de l'arrangement des constituants induisant des perturbations gravitationnelles, etc. Les perturbations légères, après le premier effet « boule de neige », sont vite résorbées. Les perturbations accidentelles fortes déstabilisent les systèmes et peuvent entraîner leur désagrégation.
Par exemple, le déplacement d'un corps à vitesse constante, inférieure à la vitesse du son, provoque dans l'espace-temps environnant, une variation de pression, un ébranlement qui se propage dans toutes les directions, selon sa vitesse propre, sous forme d'une onde sphéroïdale centrée sur le corps. Le corps se déplaçant reste toujours un point à l'intérieur des ondes successives qu'il émet. La zone ainsi formée prend la forme d'un cône fléché dans le sens du déplacement de l'objet. L'espace-temps est averti de l'arrivée de l'objet par ce mouvement convectif qu'il ressent comme une augmentation brusque de pression. (Figure 77)
La variation de pression est variable selon la vitesse de l'objet et la résistance de l'environnement. Si la vitesse est grande et l'environnement perméable, une onde de choc groupant l'ensemble des perturbations créées par chaque point de la structure de l'objet, fait monter la pression ambiante en 1/100ème de seconde. C'est l'effet de claquage qu'on nomme Bang ou Double-Bang sonique.
L'effet de la pression - la perturbation véhiculée, signature du passage de l'objet - est perçu en tout point de l’espace-temps balayé par la trajectoire. Puis la nappe de choc se déforme progressivement, étant résorbée sous forme d'une variation de température et autres effets divers plus ou moins sensibles, l'environnement ayant opéré les transferts nécessaires en vue de rétablir autant que possible un équilibre.

VI - 13 - MÉCANISMES DE RENCONTRE
(Description qualitative des couplages résonants)

La portée de la Gravitation est limitée mais elle ne s'annule pratiquement qu'à l'infini. Les interactions résonantes sont conditionnées par différentes obligations, brièvement décrites ci-après.

VI - 13 - A - Principales obligations des interactions

1)- La conductivité
Les interactions dipolaires sont exercées entre masses de champs GM complémentaires. Le couplage entre deux fronts d'onde ne peut se réaliser harmonieusement qu'à la condition que les champs s'accordent. Les champs de même signe se repoussent, quelle que soit la direction de leur provenance. Les champs sont dits coercitifs lorsque le champ de direction incidente est opposé au champ initial.

2)- L'énergie de couplage
L'attraction exercée entre deux corps de champs complémentaires est proportionnelle au carré de la distance qui les sépare. L'attraction augmente à mesure que diminue l'écart. Par exemple, si la distance entre deux corps diminue de moitié, l'attraction quadruple. La force attractive quantifiée évolue suivant le produit des deux masses que divise le carré de leur distance.
L’énergie est liée à la vitesse. Elle s'accroît avec la vitesse comme la surface augmente avec la longueur du côté d'un carré. Toute accélération représente donc un gain d’énergie. Par exemple, plus un mobile accélère, plus il emmagasine de l'énergie. Rouler à 100 Km/h pour une voiture, c'est rouler 4 fois plus vite qu'à 50 Km/h. Si l'on multiplie la vitesse par 2, 3, ou 10, on multiplie l'énergie correspondante par le carré de la vitesse soit par 4, 9, et 100.

3)- Le champ de couplage
Les événements gravitationnels propres à une masse donnée, en une zone déterminée, sont provoqués par le transfert de l'amplitude de réaction et sa commutation dans le champ de couplage résultant qui est déterminé par la densité d'état, l'arrangement des moments magnétiques qui définit l'ordre ou le désordre structural, soit la susceptibilité magnétique, le spin total, la puissance gravitationnelle et sa résonance. Les lignes de moindre résistance sont les plus favorables aux échanges.

4)- Les arrangements des moments magnétiques
Si l'ordre magnétique est parfait, c'est-à-dire que tous les moments magnétiques des constituants sont parallèles entre eux, et que toutes les directions d'aimantation rémanente concordent, l'aimantation est puissante. La densité d'état est forte. C'est le propre des éléments dits ferromagnétiques (dont les Métaux de transition).
Quand les porteurs des moments magnétiques sont divisés en deux sous-réseaux égaux, soumis à des champs moléculaires égaux, mais étant de directions opposées, les moments sont antiparallèles entre eux et l'aimantation résultante est nulle. C'est le fait des isolants (dits anti-ferromagnétiques).
Lorsque les aimantations sont partielles et inégales (il s'agit d'anti-ferromagnétiques imparfaits ou ferrimagnétiques), les aimantations partielles et inégales sont supérieures à l'aimantation résultante non nulle.
Dans la détermination des structures magnétiques, on remarque que des groupes de moments magnétiques nucléaires donnent lieu, à très basse température, à des structures différentielles. En d'autres termes, l'énergie d'agitation thermique, génératrice de « dés-ordre », provoque des compromis dans le degré d'orientation. C'est la résonance thermo-magnétique. D'autre part, l'inclusion d'éléments étrangers provoque, par les contraintes locales qu'elle génère, une perturbation dans le parallélisme des moments magnétiques qui rend cette zone in-homogène et instable.

VI - 13 - B - L'effet TUNNEL

Le tunnel GM est un espace de glissement des énergies ultra-fréquentielles, orienté suivant l'axe Nord/Sud. Il favorise les injections ou les déjections. En effet, rien ne peut pénétrer un corps ou en être émis que suivant cet axe privilégié d'ouverture GM.
Nous avons vu précédemment qu'au-dessus des cônes polaires, il n'existe et ne peut exister aucune barrière massique stable de haute énergie. Dans la structure GM, ces cônes polaires sont puissamment attractifs ou répulsifs. Toute jonction qui s 'y opérerait, verrait le champ GM polaire agir comme un guide d'onde qui orienterait infailliblement le couplage. Ainsi donc, la pénétration d'un élément par un autre de plus forte fréquence ne peut-elle se réaliser qu'aux conditions suivantes :
1)- que la jonction se fasse dans la direction axiale Nord/Sud des deux éléments
2)- que les pôles qui se présentent à la jonction soient complémentaires,
3)- que les rotations axiales soient de même orientation.
Quant aux applications de l'effet tunnel, nous les mentionnerons plus tard. (Que le lecteur attentif rêve d'abord lui-même aux multiples applications de cet effet dans les domaines apparemment aussi différents que l'astronautique, la physiologie, la cytologie et la physique nucléaire.) Autrement dit, les corps en présence, pour se compénétrer, doivent s'orienter suivant l'axe commun Nord/Sud, et accoupler leurs pôles respectivement complémentaires. La jonction est alors dite polarisée dans le sens direct. Ce qui est explicité par le schéma ci-contre. (Figure 78)
                                                                                                                                          

LIENS et VOIES de RECHERCHE pour aller plus loin