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jeudi 18 octobre 2012

Phénomènes pulsatoires cycliques et Clavier énergétique universel

COMMUNICATION V
 
Premier Volet

LES PHÉNOMÈNES PULSATOIRES CYCLIQUES

(La 2ème Symétrie)

Deuxième Volet

LE CLAVIER ÉNERGÉTIQUE UNIVERSEL


SOMMAIRE de la Communication V
1er Volet : Les phénomènes pulsatoires cycliques
1 - Tout pulse
2 - Les cycles pulsatoires
A - Les cycles longs et courts     B - La période pulsatoire     C - Le rythme pulsatoire
3 - Le champ rotatif centré
A - Le champ sphéroïdal     B - L'écoulement     C - L'orientation
4 - La structure pulsatoire
A - L'effet toboggan     B - L'effet boomerang
5 - L'écriture vibratoire sinusoïdale
A - Paramètres     B - Le mouvement sinusoïdal
6 - Caractéristiques fréquentiels d'un champ
A - La vitesse de propagation     B - Le mouvement hélicoïdal     C - La direction du champ
D - Harmoniques de la fréquence fondamentale     E - Champs électriques et magnétiques
7 - La dynamie pulsatoire
A - Les courbes cycliques     B - Les cohérences interférentielles     C - Les rythmes des horloges biologiques
D - La régulation des cycles     E - Les interrelations régulatrices
2ème Volet : Le Clavier Energétique Universel
8 - La matrice universelle
A - Le clavier énergétique     B - Le spectre diagrammatique     C - Les porteurs de charge
D - Les champs fréquentiels
9 - Le domaine tactile
10 - L'espace sonique
11 - Les ondes radio-électriques
12 - Le domaine thermique et les ondes olfactives
13 - Les ondes optiques
14 - Le rayonnement X
15 - Les THF radioactives α, β, γ
16 - Les UF et de l'Energie Vélaire

NOTE
Il serait avantageux pour la compréhension du 2ème volet en particulier, d'avoir devant soi l'organigramme du Plenum énergétique de la Communication III-2. Il servira de référent capital à la disposition des octaves sur le clavier énergétique.
                                                                                                                                                                    
TRAVAUX DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER
Le lecteur constatera sans doute sur nos tableaux, certains trous et dans nos exposés certaines inductions non explicitées. C'est que nos exposés (nécessairement brefs) et les tableaux qui les accompagnent ne se prétendent aucunement complets. Ils se veulent point de départ à toute recherche, individuelle ou collective, que nos thèses ou nos inductions vont initier.
Le champ est vaste et chacun pourra en prospecter la séquence qui l'intéresse le plus et servir ainsi l'avancée des connaissances...
                                                                                                                                                                

Premier Volet

LES PHÉNOMÈNES PULSATOIRES CYCLIQUES

V - 1 - TOUT PULSE

Tout pulse dans L'Univers. La pulsation est la dynamie régulatrice provoquée par la rencontre réactive permanente des champs VELaires d'Ultra-fréquences et des champs VEMaires d'Ultra Basses Fréquences.
Elle est caractérisée par la propagation d'un ébranlement entretenu périodiquement et par un rythme alternativement contractif et expansif. Le fonctionnement impulsionnel discontinu opère en quasi-continu. Chaque source se comporte comme source relativement cohérente. Les pulsations des corps universels vibrent en une cohérence homogène constante. L'hétérogénéité est circonstancielle (aléatoire) et locale.
Le pulse s'exprime par un rayonnement, synonyme de radiation en Physique quantique impliquant des particules porteuses. Il désigne un processus d'émission ou de transmission d'énergie que nous allons essayer de décrire.
 
V - 2 - LES CYCLES PULSATOIRES

V - 2 - A - Les cycles longs et courts
On distingue deux principaux cycles pulsatoires :
- Le cycle long - de vie - de formation, avec, comme caractéristique, un changement radical d'orientation du mouvement à des étapes précises déterminées de la séquence évolutive globale, de la croissance;
- et les cycles courts - battements quotidiens -, sans changements d'orientation.
Chaque noeud énergétique possède son propre cycle pulsatoire, auto-programmé pour un nombre fini de pulses. Ainsi, un noeud biotypique de VFP très basse a-t-il un cycle pulsatoire très lent. Le biotype humain, d'une VFP relativement haute, a un cycle pulsatoire relativement vif.
A un instant donné, les pulses s'arrêtent, épuisés. Et l'ensemble automorphe se décompose en ses éléments constitutifs. Ainsi en est-il de tout système dans l'univers.
Le monde est un complexe de cycles dont la période varie entre la fraction d'une femtoseconde (10-15 sec) et les milliards d'années - soit à l'échelle moléculaire ou à l'échelle galactique.
La fréquence basique est d'un cycle par seconde. Les charges alternées correspondent à des énergies fréquentielles qui dépassent par des nombres pairs ou impairs, les multiples exacts de neuf à la seconde. Pour connaître la parité d'une fréquence, additionner les chiffres qui l'expriment...

V - 2 - B - La période pulsatoire
Chaque cycle est caractérisé par une période (durée d'un cycle en secondes T) et un rythme (une fréquence, soit un nombre donné de cycles effectués par seconde exprimés en Hertz et ses multiples). La période est le plus court intervalle de temps nécessaire à un phénomène pour achever un cycle de sa propre évolution. Toute respiration est une évolution.
Et chaque point de départ d'une nouvelle période est, sur l'échelle évolutive, plus « haut » que le point de départ de la période précédente. Et l'avancement continue en spirale... Un cycle d'achèvement parfait couvre une série de neuf périodes.
Citons quelques exemples de pulses que nous développerons par la suite : Un atome pulse en moyenne une fois chaque 10.000ème de milliardième de seconde; une molécule, le tiers d'un milliardième de seconde; une cellule, 0,0001 sec.; l'homme et les pluricellulaires, 3 secondes; la Terre, 24 heures; le Soleil, 80 ans; une Galaxie près de 72 milliards d'années... La durée d'un cycle s'exprime en seconde et ses sous-multiples:
- milliseconde, 1ms = 0,001 sec
- microseconde, 1µs = 0,000 001 sec
- nanoseconde, 1ns = 0,000 000 001 sec
La pulsation s'exprime en radian/seconde et se calcule à l'aide de la formule : ω=2.π.f

V - 2 - C - Le rythme pulsatoire
À périodes différentes, mouvements distincts. Le rythme est la cadence du mouvement pulsionnel d'un oscillateur dans le temps. Le battement est généralement régulier lorsque le noeud est accordé à son environnement.
Il y a deux rythmes fondamentaux :
- le rythme pair, monotone, à deux pulsations par seconde, et qui caractérise le vivant inorganique;
- et le rythme impair, dynamique, à trois pulsations par seconde, qui caractérise le vivant organique.
Ce battement rythmique s'organise avec régularité sur la base de deux battements expansifs pour un battement contractif. (Cf II-3)

V - 3 - LES CHAMPS ROTATIFS CENTRÉS

V - 3 - A - Le champ sphéroïdal
Le rythme impulsionnel régulier génère une suite d'ébranlements successifs produits à des intervalles de temps égaux. Ces ondes sont rotatives. Elles s'écoulent en ondes sphériques non-directives continues, et en ondes a-sphériques, ou faisceau directif, dues à des éruptions directionnelles, aléatoires et discontinues. Le tout forme un champ sphéroïdal unifié - que nous désignerons par VFP ou Vibration de Fréquence Particulière, c'est-à-dire propre à la source émettrice.

V - 3 - B - L'écoulement
Le champ est l'étendue du pouvoir d'une source. C'est la zone spatio-temporelle sur laquelle s'exerce une force. Le champ irradié est une vibration communiquée, propagée à une certaine vitesse et caractérisée par des variations de pression. Le champ est déterminé par la puissance émissive de la source ainsi que par sa période de vie. Le spectre du champ (l'ensemble des lignes de champ) varie avec le temps. Le champ est représenté par des hyperboles centrées. Une hyperbole est une courbe dont la distance de tous ses points au foyer est constante. Il n'y a pas de lignes droites dans l'espace. Tout est courbe.
En d'autres termes, tout rayonnement s'irradie par vagues. Nous verrons plus loin que ces vagues sont hélicoïdales. Le champ atteint une cible en des temps plus ou moins longs suivant la puissance de l'émission et l'éloignement de la cible.
Les radiations se propagent sous forme de vibrations quantifiées par leur nombre par seconde : leur fréquence fondamentale. On peut la représenter comme un vecteur tournant à vitesse angulaire constante autour de son point d'origine O. Les signaux décrivent ainsi leur amplitude maximale A, leur fréquence f, le temps t, et leur angle de phase en radian j. Par exemple, à l'instant t, la phase de radiation d'un objet est l'angle j que fait le vecteur avec l'angle 0°.

V - 3 - C - L'orientation
Tout organisme nodulaire pulsant est en mouvement giratoire orienté. Par son mouvement pulsatoire et gyromagnétique, il transfert son énergie cinétique en une énergie rayonnée isotrope, sous forme d'un champ radial -(dont tous les vecteurs sont dirigés suivant les rayons d'un cylindre)-. Comme résultat de sa giration, l'écoulement émissif du champ s'organise en ondes rotatives centrées orientées dans le sens de la pulsation nucléaire.
L'hélicité (l'orientation) et le pouvoir rotatoire (la vitesse) varient en fonction du temps de la séquence évolutive nodulaire -, de l'homogénéité de la décharge principale et de la résistance de l'environnement. (Cf figure 24)

V - 4 - LA STRUCTURE PULSATOIRE

Elle est caractérisée par deux effets : L'effet que nous dirons « toboggan » et l'effet que nous dirons « boomerang ».

V - 4 - A - L'effet « toboggan »
Le champ pulsé se mue par salves ou trains de vagues formant des surfaces d'ondes sphériques de centre déterminé. Autrement dit, toute crête de tension est suivie d'une détente qui relance la crête suivante. C'est l'effet toboggan de toute émission générative distributionnelle et de toute forme de réception. (Figure 35 : Le rail sinusoïdal. Pour voir les schémas, merci de se reporter au PDF.)
Nous constatons cet effet dans la rythmicité, dans la succession cyclique des périodes de veille et de sommeil, d'action et d'épuisement, d'accroissement et de diminution, de prospérité et de récession, etc. Les franges sont alternativement brillantes et sombres. Les arches successives alternées de la courbe sinusoïdale sont dues aux amplitudes alternées : Un puits de détente précède et suit une crête de tension. L'onde de champ est dite alternativement progressive. Remarquons que la vague accélère le mouvement d'un nageur ou d'un surfeur quand elle le saisit dans son creux. La force du champ propagé s'amortit rapidement.
 
V - 4 - B - L'effet « boomerang »
En rythme expansif - diffusionnel, les champs rotatifs centrifugent. En rythme contractif, les champs sont centripètes. C'est le retour, le reflux, le rappel vers la source. Ce mouvement est inexorable.
L'espacement des champs entre chaque période pulsatoire, la cadence d'impulsion (le taux de répétition) des vagues (salves) et leur intensité, sont proportionnels à la: fréquence vibratoire du rayonnement émis et des besoins énergétiques de l'environnement.
Nous schématiserons les deux effets toboggan et boomerang, de salves, de flux et de reflux, par une oscillation sinusoïdale constante, en faisceau, comme suit (Figure 37).
La sinusoïde est la courbe représentative de la constante périodique de crue et de décrue, d'expansion et de rétraction. Les champs fluant et refluant successivement forment des fuseaux. Autrement dit, un fuseau est composé de deux trains d'ondes égaux mais de mouvements opposés. La paire de rails dessinant la libération et l'absorption énergétique est symétrique.
Nous vérifions ce fait en étudiant les vibrations périodiques d'un diapason, communiquées à une corde tendue entre le diapason et une poulie. Elles sont traduites immédiatement par l'apparition de fuseaux, avec la présence d'un ventre à l'extrémité libre. Les mouvements sont en opposition de phase aux nœuds et en phase aux ventres. (Figure 38).
Les points de cisaillement des champs fluant et refluant successivement sont dynamiques. Ils forment autant de noeuds énergétiques, qui, par la dynamie de la rencontre des champs de mouvements opposés, équilibrent le cycle fréquentiel de la source pulsante.
L'effet boomerang est exprimé par une clothoïde ou spirale à deux pôles qui s'enroule et se déroule alternativement d'un côté puis de l'autre, en un mouvement alternativement convergent et divergent. Comme le montre la figure suivante : (Figure 39)
(Cf également Figures 11 et 12 in II-3)

V - 5 - L'ÉCRITURE VIBRATOIRE SINUSOÏDALE

Les propriétés qualitatives s'expliquent par des propriétés quantiques.
V - 5 - A - Paramètres
Un vecteur champ est un entier qui s'exprime par un mouvement sinusoïdal périodique caractérisé par différents paramètres et propriétés formelles et quantiques, dont
1)-La dynamie pulsatoire de la source;
2)- La position spatio-temporelle ou le caractère localisé de l'émission;
3)- La période cyclique qui est l'intervalle de temps qui sépare deux positions identiques de la courbe sinusoïdale. C'est l'écart qui sépare deux arches (ou ventres) identiques successives. C'est la durée d'une oscillation complète.
4)- La vitesse d'écoulement ou la fréquence cyclique du signal détermine sa vitesse de propagation soit son énergie cinétique. La fréquence détermine le nombre de fois qu'un phénomène périodique se reproduit par seconde, indépendamment de toute référence. La vitesse est donc une fonction sinusoïdale du temps. Et l'accélération est proportionnelle à l'énergie. La fréquence varie en raison inverse de la longueur d'onde. Le rayon d'un champ précise sa fréquence vibratoire (exprimée en Hertz et ses multiples).
5)- L'amplitude est l'intensité qui varie périodiquement, indépendamment de toute référence.
6)- L' énergie cinétique ou la puissance exprime l'énergie transportée par le champ et son efficacité. La courbe représentant l'énergie en fonction de la fréquence vibratoire exprime le spectre du champ. L'énergie vibratoire est proportionnelle au carré de l'amplitude de l'oscillation. La luminance d'une source lumineuse, par exemple, est la puissance émise par unité de surface émissive... L'action est le produit de l'énergie par le temps (ou de l'impulsion par la longueur). Le rendement quantique externe est le rapport de l'énergie fournie à l'énergie reçue.
7)- La longueur d'onde est le produit de la période par la vitesse de propagation de l'onde. Pour une fréquence double, la longueur d'onde est de moitié. Le champ oscillatoire est exprimé en ångström, symbole Å, unité de longueur valant 0,1 nanomètre, soit 10−10 mètre.
8)- La phase est le chemin parcouru, exprimé par la différence d'état et de sens du courant vibratoire, en fonction d'une référence, d'un mouvement ondulatoire possédant la même fréquence. Deux sources sont dites en phase lorsque leurs émissions sont conjuguées formant une fréquence commune amplifiée .
9)- La directivité ou la direction de propagation - généralement isotrope.
10)- La composition du spectre émis et son potentiel électro-magnétique, chimique, infra et supra-luminal...

V - 5 - B - Le mouvement sinusoïdal
La largeur et le nombre des fuseaux dépendent de l'intensité vibratoire pulsée. (Figure 40)
Les crêtes des ventres (ou arches sinusoïdales ou franges des champs) des fuseaux dessinent les maxima et minima des champs énergétiques pulsés. L'amplitude passe par un minimum entre deux maxima consécutifs. L'arche supérieure est une crête de tension ou de compression, l'arche inférieure est un puits de détente ou de dilatation.
Sur les noeuds, points de rencontre, de cisaillement des champs, l'amplitude vibratoire est nulle. Les interfranges nodulaires sont distants d'un nombre entier de la moitié de la longueur d'onde (λ/2 ). Les noeuds forment la colonne vertébrale d'équilibre de potentiel.
Un noeud et un ventre successifs sont distants d'un nombre impair de quart de longueur d'onde (λ/4) et deux ventres consécutifs de λ/2.

L'onde se propage comme dans une fibre optique. Comme sur la figure 41, l'onde incidente est réfractée en A puis elle va se réfléchir totalement un certain nombre de fois sur la paroi de la fibre sous un angle β, supérieur à l'angle de réfraction h'mite(α<33°), puis va ressortir à l'extrémité B opposée de la fibre dans les mêmes conditions qu'à l'entrée. Remarquons qu'aucune des propriétés de l'onde n'est modifiée lorsqu'on courbe la fibre.

V - 6 - CARACTÉRISTIQUES FRÉQUENTIELLES D'UN CHAMP VIBRATOIRE

V - 6 - A - La vitesse de propagation
Les radiations se propagent sous forme de vibrations quantifiées par leur nombre par seconde sur des rails proportionnels. Chaque champ rayonnant possède sa propre vitesse de propagation. À vitesse nulle, l'énergie cinétique est nulle.
La vitesse de propagation semble constante, mais en fait, le train d'onde s'amortit, atténue son efficacité, en s'éloignant du centre émissif. Un éclairement modulé, par exemple, décroît à partir du centre de la source.
D'autre part, la vitesse dépend aussi de la nature du milieu dans lequel l'ébranlement se propage. L'éclairement varie en fonction de sa répartition spatio-temporelle
Une émission à cadence faible génère des signaux longs à longue distance. À cadence plus élevée, elle génère des signaux de durée plus brève à des distances plus courtes avec un pouvoir de résolution angulaire plus élevé. Ainsi, les radiations luminales électro-magnétiques se propagent-elles dans l'espace interstellaire à une vitesse maximale de près de 300.000 Km/s... Le son - l'onde sonore - sous pression atmosphérique de 76cm de Mercure, se propage dans l'air sec à 331 mètres à la seconde. Dans les mêmes conditions, il se propage dans le chlore à 205 m/s, dans l'anhydride carbonique à 260 m/s, dans l'azote à 329 m/s, dans l'oxyde de carbone à 335 m/s, dans l'éther sulfurique à 1159 m/s, dans l'hydrogène à 1261 m/s, dans l'alcool à 1278 m/s, dans l'eau à 1435 m/s, dans l'argent à 2591 m/s, dans la fonte à 3700 m/s, dans l'acier fondu à 4966 m/s...
La transmission d'un son dans un corps solide dépend de l'arrangement moléculaire et de l'orientation du son par rapport au corps. Ainsi, dans le bois par exemple, le son se transmet plus rapidement dans le sens des fibres que perpendiculairement. Les étoffes étouffent le son.
La vitesse de propagation se caractérise, sur la courbe sinusoïdale, par les degrés d'espacement entre les arches successives. La lenteur (Basse Fréquence) est caractérisée par une structure large, soit un vaste espacement; l'accélération des Hautes Fréquences par une structure étroite, soit un espacement minimal entre les arches. (Figure 42)
Ainsi c'est principalement de la précision de l'évaluation qualitative et quantitative de la vitesse d'une onde que dépend la détermination de tous ses paramètres.

V - 6 - B - Le mouvement hélicoïdal
Les ondulations sont diffusées circulairement (en fait sphéroïdalement) à partir d'une source ponctuelle. Les vagues - fronts d'onde ou rails s'étendent à grande distance jusqu'à devenir des vaguelettes insignifiantes. Le champ, étroit au départ, s'élargit progressivement, perdant son efficace.
Le champ pulse en anneaux spiralés centrés orientés. La diffusion spiraliforme forme des cercles concentriques spiralés, serrés au départ puis élargis, enroulés en hélice. La circulation d'un vecteur tourbillon (ou rotationnel) exprime la puissance du flux. L'intensité de l'émission détermine des pouvoirs rotatoires différents.
Les spirales se retrouvent partout dans la nature. Ou plutôt tout est spirale, le cercle et la ligne droite n'étant que les cas extrêmes de la spirale. Citons quelques spirales
La coquille du nautile; l'inflorescence (les pétales) de la pâquerette comptant 21 spirales dextrogyres et 34 lévogyres; l'ananas et la pomme de pin dont les écailles se disposent respectivement en spirales dextrogyre (8 et 5) et en spirales lévogyres (13 et 8); les graines du tournesol géant se disposent selon des spirales équiangulaires, 34 dextrogyres et 55 lévogyres; la corne du rhinocéros; le limaçon de l'oreille ou cochlée... Tous les insectes volant animent une spirale dans leur vol. De la sève à la graine, le végétal organise une évolution spirale verticale autour d'un axe radiculaire.
Les spirales se distinguent selon la variation du rayon de courbure en fonction de l'angle de rotation. Mais la cause de ce système d'engrenage est identique. Pour les vivants organiques, les cellules embryonnaires, dès la troisième mitose, se disposent en spirales soit lévogyres soit dextrogyres soit alternativement soit successivement lévogyres- et dextrogyres, et ce, suivant les fonctions du tissu répondant aux courants spiraux.
La forme spiralée est la forme naturelle par excellence. Ce qui a été prouvé par le fait que, comme le limaçon de l'oreille, une antenne radio en forme de spirale logarithmique peut recueillir et transmettre des signaux radio de toutes longueurs d'onde, et remplacer ainsi avantageusement les longues antennes employées auparavant pour les grandes longueurs d'onde et les antennes courtes pour les ondes courtes.
 
V - 6 - C - La direction
Au départ, le champ est isotrope. Et la direction semble aléatoire. Mais en fait les conditions écologiques environnementales déterminent son anisotropie, c'est-à-dire son comportement différent selon le milieu de propagation. Ce qui détermine une direction uniaxiale plutôt décisive qu'arbitraire du mouvement du champ.
Le rayon de courbure de la rafale des charges varie au fur et à mesure de la rotation. (Figure 43)

V - 6 - D - Harmonies de la fréquence fondamentale

Toute source pulsante émet une raie spectrale singulière caractéristique, VFP fondamentale, quantum d'énergie cinétique caractérisé. Le champ émis ne peut osciller qu'à des fréquences formant une suite de valeurs relatives:
- La fréquence fondamentale, au régime fondamental : C'est la fréquence minimale stable à laquelle peut vibrer la source;
- et les fréquences harmoniques, multiples entiers de la fréquence fondamentale, Chaque onde possède des réseaux de vibrations corrélatives.
Chaque objet peut émettre en phase avec un autre ou en décalage, en quadrature ou en opposition de phase, (en distorsion), même si ces objets se caractérisent par une même fréquence fondamentale. L'analyse spectrale montre que celle-ci se compose en réalité de multiples autres fréquences harmoniques, qu'elles soient paires ou impaires. Leur ensemble forme une composition harmonique caractéristique. Prenons comme exemple la note LA du piano de fréquence fondamentale 440 hertz. Ses harmoniques sont :
- 880 Hz harmonique 2 - la4
- 1320 Hz harmonique 3 - la5
- 1760 Hz harmonique 4 - la6
- 2200 Hz harmonique 5 - la7
- 2640 Hz harmonique 6 - la8
- 3080 Hz harmonique 7 - la9

La proportion d'harmoniques pour une fréquence fondamentale crée une différence de timbre caractérisée par une richesse variable en harmoniques, son assourdi ou brillant, produit par l'instrument de musique qui joue la même note. Nous n'entendons pas le même timbre lorsqu'une flute, un basson ou une trompette (instrument à vent) joue la même note la3 qu'un instrument à cordes comme le violon ou la voix humaine.
La fréquence fondamentale caractérise le niveau d'énergie stable, sans trop de gain ou de perte d'énergie. L'équilibre y est dynamique. La source vit en un milieu harmonique. Tout passage d'un état à un autre provoque une variation d'énergie correspondante : dépense d'énergie par émission ou gain par absorption. Ces changements d'état correspondent à des réactions comportementales aux événements circonstanciels de la vie, aux rencontres interférentielles. Mais ces dépenses ou gains énergétiques restent dépendant de la fréquence fondamentale. Ils en développent uniquement les fréquences harmoniques.
Notons d'autre part qu'un champ ne peut agir que sur les champs dont le taux vibratoire est 1)- inférieur à celui qui l'anime et 2)- vibrant à une de ses fréquences harmoniques. Deux éléments dont l'un se trouve doué d'une vitesse supra-luminique (THF) et l'autre infra-luminique (BF), le second n'existe pratiquement plus pour l'autre.

V - 6 - D - E - Les champs électro-magnétiques
Tout plan d'onde porte un champ électrique et un champ magnétique perpendiculaires entre eux et situés dans le plan de l'onde. Ils sont en phase et leurs amplitudes sont proportionnelles.
Le champ électrique qui caractérise une onde présente les propriétés suivantes : Son amplitude est variable; sa variation est sinusoïdale et sa fréquence de vibration est directement liée à la longueur d'onde du rayonnement. Ainsi, par exemple, plus la longueur d'onde est petite, plus la fréquence est élevée. (Nous aborderons dans le prochain cahier les propriétés du champ magnétique.)

V - 7 - LA DYNAMIE PULSATOIRE
 
V - 7 - A - Les courbes cycliques
Les ondes de très hautes fréquences sont des ondes courtes, rapides et de faible amplitude. Les ondes de basses fréquences sont des ondes longues, lentes et de grande amplitude.
- Par exemple, nos moyens de détection actuels permettent de noter que les rayons cosmiques pulsent de 5x1024 à 3x1023 cycles par seconde ou Hertz. Cette fréquence cyclique correspond à une longueur d'onde de près de 0,0001 Å, soit de 1014 m de longueur d'onde, à une température de 3x1011 K.
- Les rayons Gamma pulsent à près de 3x1022 Hz à 3x1019, soit à 0,01Å, soit de 1014 m à 1011 m (0,1 nanomètre) de longueur d'onde, à une température de 3x1011 K à 300 MK.
- Les rayons X à près de 3x1019 Hz à 3x1016 soit à 1 Å, soit de 10-11m à 10-8 m de longueur d'onde, à une température de 300 MK à 0,3 MK.
- Les rayons UV à près de 1016 à 7,5x1014 Hz, soit à 2000 Å, soit de 400 nm à 10 nm de longueur d'onde, à une température de 300 000 K à 7 250 K.
- Les rayons de la frange visible du spectre électro-magnétique à près de 7,5x1014 à 4,3x1014 Hz, soit à 6000 Å, soit de 700 nm à 400 nm de longueur d'onde, à une température de 7 250 K à 6760 K.
- La fréquence approximative du pulse respiratoire au repos d'un adulte est de 0,25 Hz
- Le tempo de 60 pulses cardiaques par minute correspond à une fréquence de 1 Hz.
- La fréquence moyenne d'un seul battement de cœur d'un adulte au repos est de 1 Hz.
- Les fréquences acoustiques perceptibles par l'homme sont de 0,02 kHz à 20 kHz.
- La note de musique La, comme nous l'avons déjà vu, est de 440 Hz. Elle sert à accorder les instruments d'un orchestre.
- la note de musique Do (au milieu du piano) est de 261,626 Hz.

V - 7 - B - Les cohérences interférentielles
Deux champs atteignant un point, interfèrent : Ils s'équilibrent, se renforcent, s'affaiblissent ou s'annulent mutuellement, continuellement, les fréquences s'ajustant constamment.
Le mouvement fréquentiel le plus rapide influence l'autre et particulièrement dans les cas d'harmonie vibratoire.
Lorsque deux éléments de charges complémentaires s'unissent, leur charge d'espace commune interférentielle vibre à une fréquence qui est la moitié du total de leurs fréquences réunies. Par exemple, lorsqu'un élément de VFP 5000 Hz s'unit à une autre de 7000 Hz, la charge d'espace commune vibre à la fréquence de 5000+7000/2 soit 12000/2= 6000 Hz.
Le contraste fluctue avec la régularité de l'espacement des franges (la cohérence fréquentielle) et la cohérence spatio-temporelle. Le contraste est brouillé en cas d'incohérence totale et de distorsion. Il est flou en cas de cohérence partielle.
Le battement résulte de la succession de renforcements et d'affaiblissements fréquentiels - d'ajustement. La fréquence des battements est proportionnelle à la fréquence des mouvements qui interfèrent. Les conditions de cohérence sont multiples :
1)- La cohérence chrono-spatiale d'abord : Elle est liée a)- à la dimension, à la position des sources par rapport à la cible, ainsi qu'à la synchronie émissive, et b)- à la synchronie interférentielle.
a)- La synchronie des sources : Les sources efficientes sont dites synchrones ou associées lorsque leurs mouvements pulsatoires sont en phases, homogènes et constants dans le temps (ou variant très lentement),
1/ soit que, polariseurs croisés, elles vibrent en phase constante, en un commun accord : c'est-à dire que les champs pulsés, étant partis concordants, arrivent concordants en un point cible donné. La cohérence est temporelle et spatiale.
2/ soit qu'elles vibrent en opposition de phase ou en déphasage cohérent constant, c'est-à dire que les champs pulsés, étant partis concordants, arrivent discordants, déphasés, mais dans un décalage constant dans l'espace et le temps.
b)- La synchronie interférentielle : Elle est le résultat de l'action simultanée, en un même point, du balayage spatio-temporel par des vibrations fréquentielles différentes provenant de sources différentes, pulsant synchroniquement ou non, et ce, quel que soit le chemin et les distances parcourues. L'arrivée en coïncidence des franges détermine la cohérence temporelle interférentielle.
2)- La cohérence fréquentielle : Elle est déterminée par la rencontre de fréquences ayant entre elles des propriétés harmoniques et ce quelle que soit la valeur des fréquences.
 a)- Si les vibrations diffèrent d'un nombre entier de longueur d'onde, les vibrations sont en phase et les effets s'ajoutent : Le point vibre avec une amplitude supérieure à celle des sources. Si le point interférentiel est équidistant des sources, l'amplitude et la cohérence sont maximales.
b)- Si les chemins diffèrent d'un nombre de longueur d'onde égal à un nombre entier plus ½, les vibrations sont en opposition de phase. Discordants et opposés, ils annulent leurs effets.
Les interférences sont cohérentes lorsque les champs sont cohérents entre eux. Les fréquences s'intègrent en un réseau homogène unifié. Les interférences sont incohérentes et brouillées lorsque les champs sont déphasés de façon aléatoire. Le brouillage est alors total et le contraste nul.
Toute hétérogénéité est circonstancielle et locale. Nous résumerons cela par la Figure 44 et ses multiples variations ainsi que par le tableau suivant:
 


Cas A
Cas B
Cas C
Fréquences
égales
égales
égales ou différentes
Phases
égales
différentes
différentes
Les différences de phase
nulles
constantes
aléatoires
Les sources et les champs
cohérents
cohérents
incohérents
Les interférences
cohérentes
cohérentes
incohérentes

V - 7 - C - Rythmes des horloges biologiques
L'éventail des courbes cycliques est très large. Pour le biotype humain, par exemple,
- les pulsations cérébrales sont très rapides. Les neurones cérébraux rythment 1000 périodes par seconde. Autrement dit, l'influx nerveux parcourt plusieurs mètres par seconde. Nous schématiserons cette courbe cyclique comme suit :
- Le rythme des cellules nerveuses décrit 50 périodes par seconde : ∼
- Le rythme Bêta qui a son siège dans le lobe frontal décrit 18 à 22 cycles par seconde: ∼
- Le rythme Alpha qui apparaît aux moments de repos et que l'attention paralyse, décrit 8 périodes par seconde soit une courbe plus accentuée : ∼∼∼∼∼∼∼∼
- Le rythme Thêta qui se trouve localisé à l'intérieur du lobe temporal, dans le « magasin » mnémonique, décrit 4 à 7 périodes par seconde.
- Le rythme Delta qui paraît au cours du sommeil profond ou en cas de perte de conscience, décrit 1 à 3 périodes par seconde.
- Le rythme cardiaque décrit 72 à 76 battements par minute. C'est le rythme de la première cavité coronale. Le rythme de la seule cavité décrit 40 à 50 battements par minute soit un rapport de 2 à 1.
- La cadence respiratoire se rythme par un mouvement contractif aspirant et expansif expirant, toutes les 3 secondes.
- L'estomac se contracte 3 fois par minute. L'intestin une fois par minute.
- Les reins ont un cycle de 24 heures et les sécrétions sont réglées sur les heures de veille.
- Le cycle des ovaires se rythme sur le cycle solunaire de 28 jours.
- Les globules rouges déversées par la moelle des os accomplissent leur travail en une vie cyclée de 128 jours. Le cycle du Calcium renouvelant entièrement les os s'étend sur 200 jours (Cf XII-9).
Le biotype humain est ainsi régi et réglé par une multitude d'horloges biologiques internes, toutes accordant entre elles leurs structures rythmiques complexes. Les horloges étant vulnérables, tout cas de défaillance de l'une ou de l'autre, ou en cas de réception accidentelle de vibrations parasites, entraîne infailliblement la discordance, le désaccord - la maladie. Et ce qui est valable pour le biotype humain est valable pour tout autre biotype pris individuellement ou considéré en tant que groupe, société ou ensemble d'espèce.

V - 7 - D - La régulation des cycles
Dans le cas d'accord entre les multiples horloges biologiques d'un biotype donné, la santé est harmonieuse et équilibrée et suit les voies séquentielles normales de l'évolution du biotype. Les intervalles entre les oscillations cycliques, pour un biotype donné, sont constants - dans les conditions de normalité.
Les points de cisaillement des courbes cycliques forment des plexus énergétiques ponctuels sur une ligne continue. Observons le diagramme des cycles métaboliques avec des périodes de 4, 6, 10 et 12 heures (Figure 45). Nous remarquerons que certains cycles vibrent en phase quand les courbes se trouvent sur le même fuseau : 12, 15, 20 et 24 sur notre diagramme. Ils sont en opposition sur 6 et 18. Ce diagramme cyclique est universellement applicable.
Les champs ultra-fréquentiels et de fréquences électromagnétiques se rencontrent en des noeuds formant des plexus ponctuels interférentiels. Sans aucun risque de mélange par multiplexage.
Tous les champs sont plus ou moins en équilibre au sein d'un biotype donné - formant sa VFP. Mais si, pour une cause ou une autre, les champs ne se rencontrent pas, il en résulte un déséquilibre plus ou moins important, pouvant être létal.
Pour rétablir cet équilibre, on essaiera d'ajuster, par divers moyens, les champs différents en leurs points de cisaillement constants. Pour le biotype humain, on plante par exemple dans les noeuds de rencontre, des aiguilles qui, par leur action indirecte, rétablissent l'équilibre. Ces noeuds de cisaillement ne sont que les points d'acupuncture utilisés depuis des millénaires par la culture chinoise.
(Nous aborderons dans la prochaine Communication les rapports de cette structure pulsionnelle de rencontre avec les orbitales nucléoniques, ainsi que la dynamie de mouvement des masses orbitales dans le sens de la pulsation nucléaire ; et dans les Communications XI et XII, les nœuds d'énergies biotypiques, les points d'acupuncture, les rythmes biologiques, etc.).

V - 7 - E - Les interrelations régulatrices
D'autre part, si nous rapprochons le diagramme exprimant les ensembles cycliques d'activité métabolique fonctionnelle d'un biotype donné, du diagramme exprimant les mouvements métaboliques ou les activités des principaux déterminants écologiques (Soleil, Terre, Lune, Planètes, champs géomagnétiques...), nous constaterons, statistiquement du moins, que l'activité métabolique (les horloges internes) du biotype répond aux conditions déterminantes de l'activité écologique (les horloges externes), comme, par exemple, le cycle un-décennal (11 ans) des éruptions solaires, le cycle mensuel de la Lune, etc.
Tout est lié et accordé. Tout est affecté par les champs énergétiques des divers déterminants écologiques, de leur position relative, de leur évolution réciproque... (Cf Communication IV)

Deuxième Volet

LE CLAVIER ÉNERGÉTIQUE UNIVERSEL

V - 8 - LA MATRICE ÉNERGÉTIQUE UNIVERSELLE
 
V - 8 - A - Le Clavier énergétique
Suivant les relevés d'observation et d'expérience qui ont pu dénombrer, identifier et mesurer le spectre des principaux champs vibratoires accessibles aux sélecteurs d'onde disponibles, et enfin en déterminer les symétries, leurs effets, leurs modes actifs, leurs interactions et les lois quantiques les régissant, il a été possible d'établir un système harmonique. C'est le clavier énergétique - matrice de dimensions finies - qui précise la distribution spectrale du rayonnement énergétique par un étalement sur une échelle de 81 octaves, chacune exprimant un nombre défini de vibrations par seconde.
L'octave est l'intervalle de répétition entre deux fréquences vibratoires de cohérence directement apparentée. Chaque octave répète les mêmes correspondances, les mêmes rapports entre les différents paliers fréquentiels. Toutes les vibrations fréquentielles sont donc en relation d'après les lois inhérentes de correspondance et de corrélation (les harmoniques).
Le clavier énergétique qui unit tous les claviers, commence avec la première octave avec deux cycles (vibrations) par seconde et finit à la 81ème octave, avec des trillons de cycles par seconde.
Chaque octave est subdivisée en une gamme de 22 séquences (tons) différents. Mais dans notre travail actuel, nous nous bornerons à considérer uniquement qu'une octave est composée de 12 séquences : 7 notes principales et 5 dièses intermédiaires.
Chaque séquence est l'intervalle entre deux fréquences vibratoires successives, l'une étant le double de la précédente. Autrement dit, à chaque octave, comme à chaque séquence dans une octave, le nombre de cycles est le double de la précédente.
Chaque gamme possède sa propre échelle, ses infra et ses supra.
 
V - 8 - B - Le spectre diagrammatique
Tout baigne dans l'océan énergétique, tout s'y forme et s'y transforme. Tout n'est qu'une seule et même énergie qui s'exprime différemment par un éventail de fréquences en parfaite continuité, variation continue à travers un spectre continu qui s'étale infiniment. Elle s'exprime par divers flux vibratoires de diverses fréquences et intensités. La variabilité de la gradation est expérimentalement détectable. Nous schématiserons ce déploiement par une verticale fléchée dans les deux sens. L'échelle des vibrations inscrit les différents paliers énergétiques en une symétrie unitaire (Figure 46).
Au sommet supérieur, les énergies de fréquences vibratoires très élevées : Les énergies VELaires de fréquences supraluminales. Au sommet inférieur, les énergies de très basses fréquences : Les énergies VEMaires infraluminales.
Entre les deux extrêmes, toute la variété des ondes que nous nommons, suivant leur reconnaissance par nos sens, souvent prolongés par des détecteurs puissants : Ondes électro-magnétiques, calorifiques, lumineuses, soniques (acoustiques), ultrasonores, radio, psi, etc.
Ces énergies rayonnantes ne sont divisées, opposées et hiérarchisées qu'en apparence. En fait, toutes se complètent. Il n'y a qu'une seule et même énergie composée, suivant les connections et interactions des noeuds entre eux, de rayonnements de différents taux vibratoires. Il n'y a pas de séparation. Tout est en tout. L'un des rayonnements n'existe pas sans l'autre. L'un n'est que par l'existence de l'autre. Il n'y a pas de point initial absolu d'émission bien que chaque noeud énergétique ait chacun son propre commencement et sa propre fin. Rien n'est séparé. Tout est lié, UN.

V - 8 - C - Les porteurs de charge
À chaque champ énergétique, correspond un quantum d'action particulaire, centre de force et porteur de charge. Les porteurs des champs électromagnétiques, comme nous l'avons déjà vu, répondent au nom générique conventionnel : les Tardons suivis des Luxons. Les porteurs des champs ultra-fréquentiels sont, progressivement, les Tacchyons, les Psychons, les Ergons, … et les Velons. (Cf Figure 20 Le Plenum énergétique in III-2).
 
V - 8 - D - Les champs fréquentiels (TRAVAUX et VOIES DE RECHERCHE)
En plus des champs fréquentiels conventionnels, il existe certains groupes d'énergie qui se forment pour exprimer l'une ou l'autre caractéristique fonctionnelle d'un élément. Ces faisceaux fréquentiels sont plus ou moins connus. Il appartiendra aux chercheurs novaliens de les étudier de plus près. Citons :
- Le faisceau fréquentiel formel engendré par un champ spatial, c'est-à dire par les formes géométriques dynamiques des objets : Les ondes de forme.
- Le champ tellurique engendré par les courants d'eau et les gîtes métallifères...
- Le champ mitogénique produit par les cellules de la matière organique...
- Le champ biotypique VFP exprimant la nature fondamentale d'un étant biotypique dès sa naissance, c'est-à dire le rythme fréquentiel fondamental constant d'une espèce donnée et d'un individu au sein de cette espèce.
- Le champ bio-plasmique ou biométrique engendré par la nature des organes d'un biotype et dont la puissance électro-magnétique varie circonstanciellement en restant dans les limites harmoniques de la fréquence biotypique fondamentale.
- Le champ (psi) psychonique engendré par les interrelations cervicales (champ de la pensée et des émotions...).
- Les champs vélaires...

NOTES : Dans les tableaux qui vont suivre, de nombreux chiffres sont cités. Les outils de connaissance quantique étant limités, malgré leur déjà assez large éventail, les chiffres cités - bien que généralement confirmés par l'expérience scientifique, s'approchent plus ou moins de la réalité. L'avancée des connaissances précisera davantage les données.

MESURES & CORRESPONDANCES
Le tableau des mesures suivant clarifiera les idées. Voir aussi l'Annexe 1.

ångström : 1 Å = 10-4μ micron (dix-millièmes de micron) = 10-7 mm = 10-8 cm = 10-10 mètres.
Micron : 1 μ = 10-3 mm = 10-6 m (1 millième de mm).
μ0 est une constante magnétique universelle qui vaut 4π×10-7 H/m (Henry/mètre), μ notant la perméabilité magnétique d'un matériau.
0,1 Å = 3.109 Hz
1 Mz =106 Hz ou 1 000 000 Hz
1 kJ vaut 239,005736 Calories, et 1 Calorie vaut 4,18 joules
Electron-volt : 1 eV = 1,60217653×10-19 joule
1 MeV = 106 eV
1 nanoseconde = 10-9 secondes
1 picoseconde = 10-12 secondes
1 Gigawatt Gw = 109 W
1 Terawatt Tw = 1012 W
Un décibel équivaut à 1/10 de bel
Une mole d’atomes (1mol) contient environ 6,02214179(30)×1023 atomes (constante d'Avogadro)

V - 9 - LE DOMAINE TACTILE (UBF)

Les ondes tactiles définissent les ondes d'ultra basse fréquence sur l'échelle énergétique. Elles s'étalent de quelques vibrations par seconde jusqu'à 16 cycles soit sur les 4 premières octaves.


Octave
Fréquence en Hz
Mouvements de rotation
Tours/minute
Caractéristiques
Octave

0,25
15



1
60



1,1
70
Pulsations du coeur humain

1
2


1
2
4


2
3
8
500

3

10
600
Courant alternatif de traction

4
16,3


4


V - 10 - L'ESPACE SONIQUE

Les ondes acoustiques ou sonores s'étalent de 16,33 Hz à 16.384 Hz, soit de l'octave 4 à l'octave 14. La vitesse du son est de 331 mètres par seconde dans l'air sec.
Les sons audibles par une oreille humaine s'étalent entre 20 et 10.000 Hz, la sensibilité maximale de l'oreille étant située entre 1 000 et 3 000 Hz. Le domaine sonique réactif du système nerveux humain ne couvre que l'octave 5.
La sonorie (ou niveau sonore) est quasi-nulle dans le domaine subsonique. Le seuil d'audibilité en décibels se trouvant vers les 20 dB ou 20 phones. A titre de comparaison, une conversation est une rumeur sonore de 40 dB, un orchestre jouant, de 60 dB, le métro souterrain de 80 dB. Un moteur à réaction assourdit à proximité à 120 ou 130 dB. C'est déjà le seuil de douleur, où la puissance est à peine supportable.
La musique. Elle est une combinatoire de fréquences harmoniques, c'est-à dire où les sons ont entre eux des rapports simples entiers. Des rapports accidentels, aléatoires, ne sont... qu'accidentellement harmonieux.
 

Octave
Fréquence en Hz
Longueur d'onde
Mouvements de rotation
Tours/minute
Caractéristiques

16,33

1000
Son le plus grave perceptible
5
32

1500
Courant alternatif de traction

50
6000Km
3000
Courant industriel en Europe
6
60

3600


100
3000Km
6000
Courant industriel aux USA
7
128




163

10000

8
256




300

18000
Son le plus grave transmis par téléphone

400


Diapason LA (La3 à 440Hz)

500

30000
Turbines
9
512



10
1024
30Km

Courants à fréquence musicale
11
2048


Son le plus haut transmis par téléphone

3000 ou 3 KHz



12
4096


Sons les plus hauts transmis par la Radio

5000


13
8192



10000



15000
20Km

14
16384




30000 ou 30 Khz
10Km

Le son le plus aigu perceptible

 
V - 11 - LES ONDES RADIO

Les ondes Radio-électriques s'étalent de 16 KHz à 68.700 MHz, soit de l'octave 14 à 36.

Octave
Fréquence
en KHz et MHz
Longueur d'onde
Nombre d'ondes
Caractéristiques
14
16 KHz



15
32,7 KHz




40 KHz


Vibration laryngée fondamentale de l'homme

60 KHz
3Km

Radio-gonio
16
65,5 KHz



17
131 KHz




150 KHz


Communications radio-télégraphiques
18
262 KHz




300 KHz
1000m
10-5
Ondes longues kilométriques (160-275)

400 KHz


Ondes moyennes pour radio-navigation

500 KHz


Ondes pour signaux de détresse en mer
19
524 KHz



20
1000 KHz ou 1 MHz
300m



1650 KHz


Petites ondes (Radiodiffusion)
21
2 MHz




3 MHz
100m
10-4
Ondes moyennes hectométriques
22
4 MHz



23
8 MHz



24
16 MHz




30 MHz
10m
10-3
Ondes courtes ou décamétriques
25
33,5 MHz




41 MHz


TV
26
67 MHz




100 MHz
3m

Modulation de fréquence (FM)
27
134 MHz




200 MHz


TV/ Fréquences porteuse de vision et de son
28
268,4 MHz




300 MHz


Ondes très courtes métriques
29
536,8 MHz




834 MHz


Raie du Méthanol CH3OH
30
1000 MHz
1m



1612/1665/1667 MHz


Raie de l'Hydroxyde OH
31
2000 MHz



3000 MHz
10dm

32
4000 MHz
10cm


33
8500 MHz
3cm



9192 MHz


Raie spectrale du Césium 133
34
17000 MHz


Micro-ondes centimétriques de laboratoire
34
21310 MHz


Raie spectrale du Thallium 81Tl
35
34300 MHz



36
68700 MHz


Micro-ondes millimétriques
37
137000 MHz



38
274800 MHz
100μ
102

39
549700 MHz



40
1 GHz
300μ

TROU

 
V - 12 - A - LE DOMAINE THERMIQUE

Le domaine thermique ou calorifique s'étend de 1012 Hz à 3014 Hz soit de l'octave 40 à 48. C'est le domaine de l'Infra-Rouge. Son origine se trouve dans la structure moléculaire et dans l'agitation électronique provoquée par des changements énergétiques dus à des mouvements de freinage ou de collision...
Le Soleil observé dans tous les domaines allant de 1 à 1 000 μm, s'est révélé posséder une température de 5700° K et un maximum de rayonnement thermique par unité de longueur d'onde vers 0,5 μm.

V - 12 - B - LE DOMAINE DES ONDES OLFACTIVES

Les ondes olfactives sont un cas particulier des ondes thermiques. Leur domaine couvre la 45ème octave, soit entre 14μ et 8μ.
Elles ont leur source dans la structure spatiale des molécules. Autrement dit, chaque molécule, de par sa structure géométrique, émet un rayonnement. Ce rayonnement, ainsi que la dimension de la molécule, sont captés par le système chimio-récepteur correspondant chez le vivant organique : l'épithélium olfactif, dont les cellules reconnaissent les particularités des odeurs. Après l'excitation du récepteur, par ses cellules, l'impulsion décodée est transmise dans les centres cervicaux spécialisés qui la décodent en sensation olfactive...


Octave
Fréquence en Hz
Longueur d'onde μ
Nombre d'ondes
Energie de
rayonnement
Energie
molaire
Caractéristiques
40
1012 Hz ou 1GHz
300μ



Infra-Rouge
41
2112 Hz





42
4312 Hz





43
8712 Hz
10μ
103
0.124eV
2,86 Kcal/mole
Séchage photographique
44
1713 Hz





45
3513 Hz
18μ



Néon 10Ne


14μ



Odeurs


10μ



Dioxyde de carbone CO2






46
7013 Hz





47
1414 Hz





48
2814 Hz





3014 Hz
104
1.24eV
28,6
Proche Infra-Rouge

 
V - 13 - LES ONDES OPTIQUES

Elles s'étendent de l'Infra-Rouge à l'Ultra-Violet, soit de l'octave 48 à l'octave 56.
A - Le spectre visible dans le champ de perception oculaire humaine s'étend de 0,75 à 0,35μ de longueur d'onde soit entre environ 7.000 Å, limite supérieure de l'IR, et 4.000 Å limite inférieure de l'UV, soit de 7,5.1014 à 4,3.1014 Hz, soit entre 0,43 et 0,75 millions de milliards de périodes par seconde soit entre 1.77 eV et 3.1 eV d'énergie quantique de rayonnement, soit entre 41 et 71 Kcal/mole d'énergie molaire de liaison Q.
Le spectre invisible couvre donc les infra et les ultra du spectre visible - hors de notre champ de perception oculaire.

B - La vitesse maximale de la lumière photonique (électro-magnétique) est de
c = 299.792,456 Km/s soit 3.108 m/s soit 30 cm par nanoseconde (ou 10-9 s).

C - Les Couleurs
Les couleurs sont le produit de trois couleurs fondamentales, Rouge, Vert et Bleu. Elles sont une propriété significative de la biosphère terrestre et du système oculaire qui lui est accordé. Les couleurs exposent aux biotypes certaines informations codées sur son ambiance énergétique.
La couleur d'un corps est l'expression univoque des propriétés d'absorption et de réflexion des ondes incidentes. La chrominance (l'information de couleur) est donc la réponse affectée d'un accord spectral, un signal distinctif d'un état déterminé. Son acuité dépend des données limitées par les seuils biotypiques et biosphériques.
Ainsi, un objet noir est-il un objet qui ne renvoie aucune des radiations reçues. Un objet de couleur rouge est un objet qui absorbe toutes les couleurs et ne renvoie que le rouge. Un arbre vert est un corps qui réfléchit sélectivement, parmi toutes les radiations de la lumière qu'il absorbe, une radiation complexe dont la dominante est de 0,557μ de longueur d'onde : la couleur verte.

D - L'indice exprime la caractéristique d'un milieu pour une radiation donnée, en fonction de sa longueur d'onde. À chaque radiation, correspond un angle de réfraction différent. Ainsi les rayons (rouges) de grande longueur d'onde sont-ils déviés à la sortie d'un prisme. Les rayons (bleus ou violets) de courte longueur d'onde sont-ils fortement déviés. C'est par l'utilisation de ces données qu'on peut filtrer et produire une lumière monochromatique (effet Laser).
L'indice de l'eau, pour le spectre visible, est de 1,33. Celui du verre 1,5. Celui de l'air atmosphérique, environ 1 pour toutes les radiations du spectre visible.

E - Les effets biologiques de la lumière
La lumière solaire commande les activités biologiques et métaboliques, la sexualité, la cérébralité, les performances sportives, les mouvements réflexes, la virulence des microbes, l'activation de certains enzymes et hormones, etc.
L'excitation de la rétine règle la vie métabolique. L'hypothalamus, qui commande les fonctions végétatives, digestives, circulatoires, l'activité rénale et glandulaire, l'activité génitale et le métabolisme basique, reçoit par l'oeil et la rétine la majeure partie des informations électromagnétiques du milieu extérieur. (Cf la Communication XXII-6)
Les Infra-Rouges : La peau absorbe intégralement le rayonnement IR qu'elle reçoit. Elle constitue, simultanément, un émetteur de rayonnement IR. Comme un corps noir dans le domaine des longueurs d'onde de 10μ.
La lumière blanche stimule la régénération sanguine et entraîne l'augmentation de l'hémoglobine. La pression sanguine augmente et la diurèse diminue.
Les ondes chromatiques sont toutes plus ou moins en résonance avec le système nerveux. Ainsi le rouge est-il en résonance avec le système nerveux central ; l'orangé avec le système sympathique ; le jaune avec le système vago-sympathique ; le bleu avec le cerveau, le cervelet et les méninges ; l'indigo avec le système périphérique et rachidien ; et l'UV avec le système bulbaire. (Nous reprendrons le détail de ces brèves indications dans la Communication XXIII.)
Les UV : Les ondes d'UV ne sont pas absorbés par les nuages mais diffusées principalement sous l'action de l'ozone. Les UV sont absorbés dans la proportion de 20 à 75% par le verre des vitres des habitations. Les UV font synthétiser la vitamine D par les stérols de la peau. Les UV affectent la vitesse de division cellulaire. Leur excès provoque le cancer de la peau, et leur déficit, le rachitisme...

F - La spectroscopie atomique 
La détermination des raies émises ou absorbées par un corps permet d'en établir la composition. Ainsi a-t-on pu découvrir la fréquence de certains alliages moléculaires. Par exemple :
 

L'Azote moléculaire émet sur
6300 Å - 6364 Å (Rouge)
Les atomes neutres d'Oxygène émettent sur
5577 Å (Jaune)
Les molécules ionisées Ne+ émettent sur
3914 Å et 4278 Å (Bleu)
L'Argon et le Néon émettent sur
4880 Å
Les différentes particules d'Hydrogène radioactives émettent sur les longueurs d'onde suivantes :
6562 Å
4861.3 Å
4340.5 Å
4101.7 Å
3970.1 Å

G - L'effet Laser
Le Laser est un faisceau directif de lumière intense, cohérente, amplifiée, provoquée par une émission stimulée. Une impulsion génère une émission liée en phase et en direction. C'est la focalisation d'une énergie concentrée et transmise sans dispersion.
La monochromaticité exprime la faible divergence du faisceau et une cohérence optimisée. Mais le Laser développe une grande puissance uniquement pendant un temps très court... Sa fréquence est réglable. Les différents procédés de stimulation peuvent générer toutes les nuances chromatiques. Ainsi y a-t-iI un rayon laser qui est émis dans chacune des longueurs d'onde de la lumière visible. Et le spectre d'émission s'élargit sans cesse.
Performances et applications : Par ses propriétés de cohérence et ses caractéristiques d'encombrement faible (le laser est portatif), le laser est déjà l'outil précieux auxiliaire de tous les techniciens. Chaque rayon laser est spécifié par sa gamme d'application comme bistouri de lumière, enregistreur et reproducteur de relief (holographique), et comme instrument de communication.
1 )- En microchirurgie cellulaire, le Laser est utilisé pour la destruction élective ou la modification de la carte chromosomique. Ainsi a-t-on pu atteindre un type déterminé de cellules ou même un des organites constituant de la cellule, et agir sur lui ou le détruire, car il ne retient que la lumière d'une certaine couleur par le phénomène de l'absorption sélective. Les autres substances environnantes seront indemnes, n'étant pas accordées à la lumière qui a agi sur les voisines. Par conséquent, il est possible d'agir sur tel ou tel constituant cellulaire sans pour autant détruire la cellule, et y apporter les modifications fonctionnelles désirées dans l'économie cellulaire.
2)- En astro-physique, le Laser est utilisé pour l'évaluation des éloignements cosmiques, pour le relevé du cadastre planétaire et de la géodésie dynamique, pour la mesure du champ géomagnétique et les variations de l'espace-temps, etc.
3)- En informatique, le laser est un moyen de transmission directive de grandes quantités d'informations. Comme la visiophonie digitale, (Blu-Ray Disc) qui restitue les vidéogrammes en très haute définition et en relief sur grand écran, etc.

H - L'holographie
L'holographie est, au sens étymologique, l'écriture en relief total. Elle est la technique qui permet d'enregistrer un relief réel et de restituer, par une reconstitution fidèle du relief (en 3 dimensions), la totalité des informations contenues dans un front d'onde. Et ce, quelle que soit la nature de l'onde : faisceau hertzien radio-électrique, radiation ultra-sonore ou radiations d'UV...
La dimension d'un hologramme est celle de la longueur d'onde du rayonnement qui a été utilisé lors de sa production.
Il est possible déjà de traduire un hologramme d'une nature donnée en un hologramme d'une autre nature, mais toujours suivant des proportions harmoniques. Ce qui confirme encore une fois l'unicité du Rayonnement énergétique. Toutes les distinctions ne sont que des transitions de phase au sein d'un rayonnement unique.

Hologramme acoustique ⇔ Hologramme optique

Ses applications comme outil d'investigation sont nombreuses dans le domaine da la médecine (permettant de réaliser une imagerie en relief à l'intérieur du corps par exemple et de voir ainsi à travers les corps opaques : foetus, organes, etc.), de la géophysique, de la métallurgie (pour voir le travail moléculaire), de l'archéologie, de l'aéronautique (pour l'atterrissage sans visibilité), etc.
Un obstacle pourtant : La possibilité d'enregistrer et de regarder un hologramme en temps réel.

I - Tableau des ondes optiques
(Cf aussi la Communication XI-1)


Octave
Fréquence en Hz
Longueur d'onde μ
Longueur d'onde Å
Nombre d'ondes
Energie Kcal/mole
Energie
du Photon
Caractéristiques
Raies
48
2414 Hz







3714 Hz
0,8
8000


1,5eV
Rouge lointain



7699



Potassium 19K


0,65
7000
14300
41
1,77eV
Rouge moyen



6708



Lithium 3Li



6562



Hα - Rouge proche



6328 ou 632,8 nm



Hélium-Néon
He-Ne



6000
16667
46,5
2,06eV
Orangé



5980



Sodium 11Na
49
5614 Hz
0,6
5694



Calcium 20Ca - Jaune



5577



Oxygène 8O neutre


0,58




Jaune citron



5351



Thallium 81Tl



5303



Fe 26Fe - Vert

6014 Hz
0,52
5000
20000
57,2
2,48eV
Vert moyen (Maximum de transparence de l'eau)



4607



Strontium 38Sr


0,47
4480



Argon 18Ar -
Bleu moyen



4416



Cadmium 48Cd



4300



Méthane CH



4047



Potassium 19K

7514 Hz
0,41
4000
25000
71,5
3,1eV
Violet moyen



3875



Cyanure CN



3745



Dérivés du Méthane CH+



3300



Proche UV



2600



Adénine / Couleur à peine perçue par l'homme



2400



Ammoniac / Couleur perçue par les insectes


0,2
2000







1540



Xénon 54Xe



1161



Vers proche UV



1100



Dihydrogène H2


100mμ (10-5 cm)
1000
105
286
12,4eV

50
1115 Hz





Ultra-Violet

1515 Hz





51
2215 Hz





52
4515 Hz





53
9015 Hz






1516 Hz
0,02
200



54
1816 Hz





55
3616 Hz





56
7216 Hz






1017 Hz

30


400eV

 
V - 14 - LE RAYONNEMENT X

Le rayonnement X couvre un ensemble très important d'octaves. Il s'étale de la 56ème octave à la 63ème octave, soit de 7216Hz à l819Hz, sensiblement entre 20Å et 0,1Å.
Dans le flux moyen du Soleil calme, on remarque deux types principaux d'émission de Rayons X. La classe I : Les rayons X mous émis à > 1Å et qui ont plusieurs minutes de durée. Ils perturbent l'ionosphère. Et la classe II : Les rayons X durs émis entre 0,01Å et 1Å. Les impulsions sont plus brèves.
 

Octave
Fréquence en Hz
Longueur d'onde cm
Longueur d'onde Å
Nombre d'ondes
Energie de rayonnement
Vitesse
Caractéristiques
57
1417 Hz

20




58
2817 Hz






59
5717 Hz
10-7
10
107




1018 Hz

3

4000eV

RX mous
60
1118 Hz






61
2218 Hz







3018 Hz
10-8
1
108

3950m/s

62
4618 Hz






63
9218 Hz







1019 Hz

0,3

40000eV

RX moyens
64
1819 Hz
10-9
0,1
109
124 MeV

RX durs

Les RX sont complètement absorbés. Ils traversent tout y compris le métal, sans être réfléchis. Les anomalies de propagation sont dues aux variations de l'état ionosphérique déjà saturé, car les RX sont fortement ionisants. Ils sont produits lors de la rencontre d'un faisceau d'électrons de vitesse suffisante avec un obstacle matériel. Et plus la tension accélératrice des électrons est élevée, plus les RX sont pénétrants. Et l'absorption est d'autant plus élevée que la masse atomique de l'élément irradié est élevée.
Leur émission provient particulièrement des sources galactiques. On a remarqué des émissions de RX dans la Constellation du Scorpion, dans la Nébuleuse du Crabe, dans la Radiogalaxie SCOX1-M87 (Virgo A), dans le Quasar 3C273, dans les amas galactiques, dans les astres dits à RX ou étoiles à neutrons, minuscules par leur volume mais de grande puissance, etc.
Il y a une corrélation entre la vitesse de dispersion des éléments des amas galactiques émetteurs de RX, leur séquence d'évolution et leur puissance en RX. Tout comme l'émission par le Soleil et la perturbation de l'ionosphère...
L'irradiation abusive par RX provoque des désordres métaboliques.

V - 15 - LES THF RADIOACTIVES (Rγ)

Ces rayons très énergétiques s'étendent de la 63ème octave à la 71ème octave, soit de 9218 à plus de 112l Hz. Leur vitesse varie de la nanoseconde (109s) à la picoseconde (10-12s) avec des pointes jusqu'à la femtoseconde (10-15s). Etant de très courte longueur d'onde, les THF sont très durs, très pénétrants. Un champ magnétique moyen ne les dévie pas.
Le Rγ est associé aux Rayonnements radioactifs α et β. Les trois rayonnements ne peuvent être émis simultanément par un même noyau.
 

Octave
Fréquence en Hz
Longueur d'onde cm
Longueur d'onde Å
Nombre d'ondes
Energie de rayonnement
Vitesse
Caractéristiques
63
9218 Hz





64
1819 Hz






65
3619 Hz






66
7219 Hz







1020 Hz

0,03

400000 eV

Radiothérapie
67
1420 Hz






68
2820 Hz






69
5620 Hz






70
1021 Hz
10-10
0,01
1010
1,24 MeV




10-11
0,001Å
1011
12,4 MeV


71
2221 Hz
10-14

1014
12400 MeV



Les trois rayonnements α, β, γ
Les Rα (Alpha) ont une vitesse variant de 15 000 à 25 000 Km/s. Ils sont produits par les noyaux d'Hélium. Les Rα sont relativement peu pénétrants. 1 à 8 cm d'air suffisent à les arrêter.
Les Rβ (Bêta) ont une vitesse variant de 100 000 à 300 000 Km/sec. Ils sont dus à des particules possédant une charge électrique négative. Leur porteur possède une masse 1 800 fois plus petite que celle de l'atome d'Hydrogène. Tout atome qu'ils frappent, émet des RX. Cent fois plus pénétrants que les Rα, ils traversent quelques millimètres d'Aluminium.
Les Rγ (Gamma) s'étendent entre 1021 et 2221 Hz. Ils sont électriquement neutres. Très énergétiques, ils sont émis par les atomes du Rα frappés par les Rβ . Le Rγ est porté par le photon gamma. Le Rγ émis par le Cobalt 60 (radioactif) est utilisé à des fins thérapeutiques. Cent fois plus pénétrants que les Rβ, ils traversent jusqu'à 20 cm de Plomb. Les Rγ se distinguent par leur haute fréquence donc et leur grande énergie. Mais ils ne sont pas uniformes.
Les rayonnements de THF et d'UF produits par le Soleil ont des énergies relativement faibles : < 1GeV. Celles produites par les étoiles et les amas galactiques ont des énergies variant entre 1GeV et 1011GeV...

V - 16 - LES ULTRA-FRÉQUENCES (VÉLAIRES)

Les Rayons ultra-fréquentiels s'étendent de la 72ème octave à la 80ème octave. La 8lème octave (Rayons Ω Oméga) clôture l'Ensemble Energétique Universel. Leur vitesse est de l'ordre de l'attoseconde (10-18sec) et davantage. Elle dépasse donc la vitesse maximale de la lumière photonique.
D'après notre modèle quantique théorique des champs, les Rayons d'Ultra-Fréquences RUF qui se déplacent à une vitesse supraluminique sont produits par les particules sub-nucléoniques suivantes1 : « Tachyons » (du grec ancien tachus, rapide, terme utilisé pour la première fois en 1964 par le physicien Gerald Feinberg), « Psychons », « Rations », « Bions ou Biotons » (porteurs des hautes énergies constructionnelles), Ergons (d'après le grec εργον ergon travail, caractérisant l'ergosphère des « Trous noirs »)... et VELons (porteurs des Vibrations d'Extrême Lumière, le Rayonnement Ω). Les résultats très partiels de l'observation et de l'étude des énergies des UF ne nous permettent pas encore de préciser certaines données fréquentielles de ces super-radiances, si tant est qu'on y arrive un jour...


Octave
Fréquence en Hz
Caractéristiques
72
4421 Hz
Energies
constructionnelles
d'Extrêmes Hautes Fréquences
(en TéraHertz et +)
Tachyons
73
8821 Hz
74
1722 Hz
Psychons / Rations
75
3422 Hz
76
6822 Hz
Bions ou Biotons
77
1323 Hz
78
2623 Hz
Ergons
79
5223 Hz
80
1024 Hz
81
L'Energie Générique VELaire - Rayonnement Ω
Velons

C'est vers les plus hautes octaves que se situent les fréquences les plus élevées de l'Univers énergétique. L'Energie VELaire, à la 8lème octave, est le rayonnement maximal de l'Univers Energétique. Porté par les Velons, c'est le Rayonnement Ω Oméga fondamental, source de tous les autres rayonnements qui lui sont, par conséquent, subordonnés. Gardons à l'esprit cette hypothèse de travail. Puissions-nous en inspirer les chercheurs dans tous les domaines de la Connaissance scientifique et philosophique.

Annexe2

Terminologie officielle 2012 (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Onde_radio)

« Une onde radio est classée en fonction de sa fréquence exprimée en Hz ou cycles par seconde; l'ensemble de ces fréquences constitue le spectre radiofréquence. Le spectre est divisé conventionnellement en bandes d'une décade, dont les appellations internationales sont normalisées. Les appellations francophones équivalentes sont parfois également utilisées dans les textes français. »


Désignation internationale
Désignation francophone
Autres appellations
Exemples d'utilisation
ELF (extremely low frequency)
EBF (extrêmement basse fréquence)
3 Hz à 30 Hz
100 000 km à10 000 km

Détection de phénomènes naturels
SLF (super low frequency)
SBF (super basse fréquence)
30 Hz à 300 Hz
10 000 km à 1 000 km

ULF (ultra low frequency)
UBF (ultra basse fréquence)
300 Hz à 3 000 Hz
1 000 km à100 km

Détection de phénomènes naturels
VLF (very low frequency)
TBF (très basse fréquence)
3 kHz à3 0 kHz
100 km à10 km
ondes myriamétriques
Recherches scientifiques...
LF (low frequency)
BF (basse fréquence)
30 kHz à 300 kHz
10 km à1 km
grandes ondes ou
ondes longues ou kilométriques
MF (medium frequency)
MF (moyenne fréquence)
300 kHz à 3 MHz
1 km à100 m
petites ondes ou
ondes moyennes ou hectométriques
HF (high frequency)
HF (haute fréquence)
3 MHz à 30 MHz
100 m à10 m
ondes courtes ou décamétriques
VHF (very high frequency)
THF (très haute fréquence)
30 MHz à 300 MHz
10 m à 1 m
ondes ultra-courtes ou métriques
UHF (ultra high frequency)
UHF (ultra haute fréquence)
300 MHz à 3 GHz
1 m à10 cm
ondes décimétriques
Réseaux privés, militaire, GSM, GPS, Wi-Fi, Télévision
SHF (super high frequency)
SHF (super haute fréquence)
3 GHz à 30 GHz
10 cm à1 cm
ondes centimétriques
Réseaux privés, Micro-onde
EHF(extremely high frequency)
EHF (extrêmement haute fréquence)
30 GHz à 300 GHz
1 cm à1 mm
ondes millimétriques
Réseaux privés, Radars anti-collision pour automobiles, Liaisons vidéo transportables
Térahertz
300 GHz à 3 000 GHz
1 mm à100 µm
ondes sub-millimétriques


1 A considérer exclusivement selon notre nouvelle acception quantique, hors de toute élucubration. Pour la petite Histoire des recherches spéculatives, Reich a nommé « Bions » par exemple des « vésicules » intermédiaires entre le minéral et l'organique et Sir John Eccles a nommé en 1963 « Psychons » des échanges synaptiques... D'autres ont pu considérer les Tachyons comme éléments de la Conscience Universelle ou de « l'Ame » du monde...
2 Equivalences : Selon la dynamique de notre modèle théorique, les VEM (Vibrations d'Extrême Matière) correspondent aux énergies quantiques portées aussi bien par les Basses Fréquences : EBF, SBF, UBF, TBF, BF, et les MF que par les Hautes Fréquences HF, THF, UHF, SHF, EHF, restant dans le domaine photonique, c'est-à dire infra-luminiques. Les VEL (Vibrations d'Extrême Lumière) correspondent exclusivement aux fréquences supra-luminiques, au Rayonnement Ω. La VFP est la conjonction, dans des proportions variées, des deux énergies quantiques VEL et VEM.