COMMUNICATION IV
DYNAMIQUE
DES RELATIONS
BIO-ÉNERGÉTIQUES QUANTIQUES
TOUT
EST ÉCHANGES. TOUT EST LIEN. TOUT EST VIE
« Les
mathématiques sont la seule discipline
capable
d'expliquer l’Ȇtre »
Alain
Badiou
SOMMAIRE de la Communication
IV :
1
- Les relations quantiques bioénergétiques VEL/VEM
A
- Tout est échanges; B
- L'absolu
et le relatif
C
- Dynamogénie
des relations quantiques bio-énergétiques
Organigramme
des relations bio-énergétiques
Les
relations bio-énergétiques entre VFP
2
- Les nœuds
énergétiques (les Coordinats)
A
- Les
échangeurs B
-
…Relais C
- …Pulsants
3
- L'émission
ponctuelle pulsée
4
- Dynamie de l'écoulement du Plasma
vibrationnel
A
- Propagation B
- Trajet C
- Distribution D
- Alimentation E
- La rencontre informative
5
- Jonction et guidage énergétiques
A
- Jonction
des coordinats B
- Conjonction C
- Guidage
énergétique D
- Esquive
6
- Traitement
des données énergétiques
A
- Collecte B
- Traduction
7
- Réponse
réactionnelle : Déterminisme et détermination
A
- Tout est réactif B
- Seuils de
réactivité
8
-
Cinétique
d'activité réactionnelle
A
- Le ligand B
- Conversion énergétique
1)-
Paramètres 2)- Mixage 3)-Temps de transition 4)-Transfert 5)-
Evolution de l'activité réactionnelle
C
- Champ résultant D
- Influences circonstancielles E
- Chemins réactionnels F
- Outils de réponse
G
- Illustrations
1)- Effets thermogènes 2)- photo-morphogenèse
1)- Effets thermogènes 2)- photo-morphogenèse
H
- Résumé
9
- L'adaptation résonante évolutive
10
- La régulation bioénergétique universelle
A
- Les connexions régulées B
- Les effecteurs C
- Tout est lien
TRAVAUX de recherche individuels ou d'atelier
Dans
cette communication, nos travaux seront particulièrement consacrés à dérouler toutes les causalités et à découvrir toutes les relations existant
-
entre un objet quelconque et les causalités qui l'ont amené à
l'existence;
-
entre un animal ou un végétal et son milieu et toutes ses
ressources alimentaires;
-
entre un individu humain et ses déterminants écologiques et
culturels.
Il est important d'étudier les éléments inséparables suivants :
- Les états successifs dans l'évolution de chaque élément ou évènement étudié
- la durée entre eux (le lien temporel)
- et les effets immédiats ou à moyen et long terme sur leur environnement direct ou lointain.
Ce
travail sur le concret est particulièrement intéressant pour la
saisie des relais énergétiques. Car tout, dans l'Univers,
est lien.
L'Univers,
tissu énergétique, est un modèle coopératif : Un réseau complexe
de relations conjuguées régularisant tous les échanges
bio-énergétiques. La sève circule partout. Et rien ne s'emmêle
dans ce circuit intégré aux composants différentiels mais
harmonieusement accordés. Il n'y a de vide que dans la tête de ceux
qui voient du vide. Nous espérons que notre synthèse soit
clairement intelligible malgré sa grande complexité et qu'elle soit
un ferment intellectuel à tous les chercheurs d'être.
Nous
inaugurons cette Communication par un organigramme qui explicite
l'ordonnancement et les relations réciproques des différents
aspects de l'Energétique Universelle, telle que nous l'avons déjà
appréhendée dans la précédente communication. (Cf III-2)
En
page suivante, l'Organigramme des relations bioénergétiques.
L'organigramme
des relations bio-énergétiques
(Pour des raisons techniques, tous les schémas et les illustrations de la Communication 4 ne peuvent être vus que dans la version téléchargeable en PDF. Merci de s'y référer.)
D'après
la thèse que nous avons exposé dans le précédent cahier, nous
tirerons les conclusions suivantes. Nous remarquerons tout d'abord la
subdivision des Energies en quatre phases principales :
1)-
L'énergie VELaire qui est générique, c.à d. d'où toutes les
autres énergies découlent intégralement. Par rapport à ces
énergies subséquentes, le VEL représente donc le foyer unique
dynamique, le germe et la matrice. Etant le support constitutif et
l'enveloppant de toutes les autres énergies et de leurs porteurs, le
VEL est, par conséquent, leur contenant universel et en même temps
le contenu, la source et la fin, le générateur et l'engendré. Les
autres énergies n'en sont que l'accomplissement obligé.
C'est
pourquoi nous dirons ABSOLU, le VEL, et nécessairement relatives,
soumises à leurs devenirs respectifs, toutes les autres énergies.
En
effet, le VEL, étant générique, n'est pas soumis aux conditions de
relativité qui conditionnent toutes les autres énergies. C'est
pourquoi, il reste insaisissable pour toutes ces énergies de moindre
fréquence vibrationnelle (le VEL étant la fréquence maximale), et
son dynamisme, irréductible à elles. Sa sur-éminence est, par
conséquent, sans conteste.
Etant
générique, sa liberté est absolue. Son existence ne requiert
aucune détermination. Le VEL est donc autonome dans sa permanence,
relativement à l'hétéronomie des autres énergies, subordonnées,
toutes, à leurs sources d'alimentation respectives...
L'énergie
VELaire sève constituant et enveloppant toutes les autres énergies,
il en ressort qu'elle est donc, seule, séparée, transcendante ET
immanente à toutes les énergies qui lui sont subséquentes. Nous la
représentons par la verticale élevée au centre d'un cercle.(Figure
30).
L'intelligence
unificatrice est celle qui sait remonter du relatif à l'absolu, du
cercle horizontal - de l'encerclement - à la verticalité souveraine.
2)-
Les Energies ou Intelligences Energétiques Constructionnelles :
Ergoniques et Bioniques, portées respectivement par les Ergons et
les Bions.
3)-
Les Energies Projectionnelles ou Distributionnelles : Rationiques et
Psychoniques, portées respectivement par les Rations et les
Psychons.
4)-
Et enfin les Energies « Actionnelles » VEMaires :
Tacchyoniques centrales, Luxoniques, Tardoniques et enfin Atomiques,
portées respectivement par les Tacchyons, les Luxons, les Tardons et
les Atomes, fondement concluant des alliances énergétiques et qui
constituent l'Univers moléculaire. Ces énergies agies et de
relatives basses fréquences, s'altèrent mutuellement.
Nous
en reparlerons dans les Communications ultérieures. Abordons, à présent,
les relations dynamogéniques entre les principaux groupes
énergétiques.
IV
- 1 - C - 1)- Les rapports entre les différentes énergies sont
des rapports de corrélation intime, de distinction dégressive, de
conjonction et de subordination coopérative fonctionnelle.
a)-
Les rapports de corrélation : Toutes les énergies descendent de la
cause VELaire sans pourtant s'en séparer organiquement. La diversité
est tirée de l'unité. Le VEL produit, constitue toutes les autres
énergies, assurant ainsi la formation nodulaire générale (VFP), sa
subsistance, son achèvement et déterminant sa voie évolutionnaire.
b)-
Les rapports de conjonction : Toute conjonction exprime une
distinction et une réunion, entre le VEL et les autres énergies.
1)-
Une distinction fréquentielle dans la communauté du Plenum
Energétique, amenée par la conversion dégressive du VEL en de
sous-ensembles énergétiques caractérisés par leur dissemblance
dans une multiplicité quantitative mais aussi par une ressemblance
qualitative de structure. Ainsi a-t-on un système duel
particulièrement caractérisé d'abord par l'Energétique VELaire
absolue, puis par l'ensemble des sous-ensembles. Cette bipartition
est capitale.
2)-
Une réunion : La distinction est source de la fusion intime entre
Matières VELaires et les autres de moindre fréquence. L'amour
implique une dualité unie nécessaire à la production du troisième
terme nodulaire phénoménal, la VFP, et du déclenchement du
phénomène pulsatoire.
A
ce niveau de jonction, s'il y a résistance, il ne saurait y avoir de
répulsion organique. La conjonction unitive étant une nécessité
existentielle absolue.
c)-
Les rapports de subordination coopérative fonctionnelle
1)-
Dans l'ordonnancement énergétique universel, le VEL, dans sa
primauté absolue, domine et embrasse tous les autres niveaux ou
noeuds énergétiques qui tirent de lui leur nécessité de
coexistence constructionnelle.
Si
le VEL, commun é toutes les énergies, en est le producteur, toutes
ces autres énergies produites en sont forcément dépendantes,
subordonnées et agies. Elles sont, par rapport au VEL, formellement
séparées, et s'accaparent la lourdeur matérielle, dissolvante, qui
restreint et limite leurs propres libertés.
Autrement
dit, le produit est nécessairement subordonné à sa cause,
cependant que la cause et le résultat restent solidaires.
2)-
Chaque nœud énergétique enveloppe tous les nœuds qui lui sont
fréquentiellement moins énergétiques, les subordonne et peut les
animer. Chaque nœud est enveloppé par toutes les énergies, par
tous les nœuds qui lui sont fréquentiellement supérieurs, plus
énergétiques, et leur est nécessairement subordonné.
3)-
Les degrés de liberté des nœuds énergétiques sont déterminés
par leurs potentialités d'animation, c'est-à-dire par leur pouvoir
d'influence sur les noeuds fréquentiellement moins énergétiques.
Le VEL, étant l'énergétique de fréquence maximale, possède donc
une liberté absolue. il est l'autodéterminé et le déterminant
fondamental.
IV
- 1 - C - 2)- Chaque nœud énergétique est un instrument à
fonction définie dans l'Ensemble Universel. Cette fonction est sa
raison d'être. Chaque nœud est cause efficiente jusqu'à
l'épuisement de ses effets.
Les
énergies différentielles s'ordonnent. Elles ne s'additionnent pas
Elles composent, par leurs interrelations, l'Entier Universel. Leur
différencialité et leurs phases reliées en résonance (par
conjonction intime ou opposition), par toutes les combinatoires
résultant des besoins et des nécessités locales ou universelles,
constituent toute la Réalité de l'Etre, actualisant toutes les
conditions d'existence effective dans la rigueur des lois
universelles.
Aucune
énergie n'est isolée. Rien n'est complet et formé par lui-même.
Chaque énergie ou niveau ou nœud énergétique a un rôle explicite
constructif. La vie est un échange continu de relations. Cependant
les communications sont directes, immédiates, ou bien indirectes et
médiates.
Les
échanges s'opèrent par des choix et des éliminations dans une
réciprocité remarquable. Il y a autant de séquences relationnelles
préférentielles par affinité que de séquences inconciliables.
D'après
notre organigramme, nous pouvons compter vingt-deux liaisons
directes. Ces rapports de coordination et de subordination
fonctionnelle coopérative fondent l'équilibre mobile universel.
La
VFP universelle est la résultante de ces relations et le fondement
et le soutien de tous les développements ultérieurs. Connaître ces
relations, c'est avoir la possibilité et de les maîtriser et le
pouvoir de s'en servir...
IV
- 1 - C - 3) - Les équilibres mobiles de la balance
Le
Plenum Energétique, absolument concret, est un Ensemble systématique
de relations dans un ordre liant le tout et ses éléments. Le TOUT
est la résultante de la réunion de tous ses éléments composants
et de toutes leurs relations. C'est un Tout hautement organisé, uni
dans la multiplicité différentielle de ses composants et de leurs
relations fonctionnelles.
Sur
notre organigramme-balance, nous pouvons lire les équilibres mobiles
résultant de la distribution des noeuds énergétiques-génériques,
constructionnels, projectionnels et actionnels - et de leurs liaisons
directes.
a)-
L'équilibre mobile entre les deux colonnes, celles-ci formant les
plateaux qui se subordonnent l'un à l'autre : L'un étant moteur et
l'autre réactionnel. Tout déséquilibre est dynamique : il provoque
les multiples différenciations et orientations constructionnelles
dans l'Univers...
b)-
L'équilibre mobile entre les déterminants fondamentaux (les
énergies VELaires de Matière supraluminale) et les déterminés
actionnels (les Energies VEMaires de Matière infraluminale),
subordonnés à l'alimentation des premiers et qui agissent
réactionnellement par les processus pulsatoires déterminant les
phénomènes d'aspiration et d'expiration, de nutrition,
d'élaboration transformationnelle et d'élimination... Ce rapport de
subordination coopérative entre Hautes Fréquences et Basses
Fréquences n'exprime pas un antagonisme mais une complémentarité
expressionnelle existentielle.
L'unité
domine la dualité.
IV - 2 - LES NOEUDS
ÉNERGÉTIQUES :
LES COORDINATS
LES COORDINATS
Notre
descriptive des étapes relationnelles qualitatives entre noeuds de
VFP différentiées est valable pour toute structure, à toute
échelle, du nucléon à l'atome, à la cellule, à l'homme, au
système solaire, à la galaxie... les échanges se faisant entre les
champs respectifs nucléoniques, atomiques, cellulaires, biotypiques,
stellaires, galactiques...
NOTE
: Nous n'aborderons pas ici, dans notre présente sphère de
référence, la nature du rayonnement énergétique, mais uniquement
les modalités de ses multiples relations structurales.
Suffisons-nous de signaler que les échanges entre noeuds
s'effectuent entre toutes les nuances du champ énergétique
universel supra et infra-luminal. Cepandant, ici, nous nous
attacherons particulièrement aux relations générées par le champ
infraluminal, thermo-électro-magnétique en ses divers aspects
chromatique, ultrasonore, acoustique, thermique, etc.
Nous
allons prendre comme exemple un noeud-source et un noeud-cible
quelconques et nous allons considérer la cible comme étant au
départ absolument vierge (cas, bien sûr, inexistant dans la nature,
mais néanmoins utile pour la commodité de notre exposé).
Tout,
dans la nature, est échangeur. Relais, actant et réactant. Tout est
lien.
Tout
est source ponctuelle, producteur d'énergie, générateur d'ondes à
fréquences particularisées, foyer émetteur, centre initiateur,
actant animateur et nourritiel, donneur, destinateur, effecteur,
injecteur, polariseur, recteur...
Et
tout est cible récepteur, receveur, régi et destinataire; capteur
et conducteur; relais animé, résonateur, coupleur, modulateur,
déviateur, condensateur, annihilateur ou soudeur, convertisseur; et
réactant, ré-émetteur, transmetteur, propagateur, diffuseur,
réflecteur, éclateur, disperseur...
Tout
a une double nature : Emissive et réceptive. Tout agit donc comme
transmetteur.
Chaque
noeud est chargé de puissance. Il génère un champ énergétique
qui lui est propre, qui peut être défini en chaque point de
l'espace et à chaque instant par un vecteur correspondant.
Chaque
noeud subit aussi un champ de force dont la valeur dépend de la
valeur du champ où il se trouve et de sa réponse réactive à ce
champ (ou aux champs conjugués). Tout stimulant est médiatisé.
Chaque
noeud agit comme source pour tout noeud plus petit que lui, moins
énergétique, ou issu de lui, et en résonance avec lui, (comme une
matrice excite tous les termes qui dépendent d'elle) et qui agit, à
son tour, comme réémetteur, instituant ainsi un courant d'échange
continu.
Chaque
noeud est un centrum relatif qui possède donc son propre état
énergétique, résultant de tous les états d'énergie discrets qui
le composent. Son état vibrationnel privilégié (VFP), longueur
d'onde caractéristique - dépend des éléments énergétiques
constitutifs, de leur densité, de leur niveau, de leur conductivité
thermique, de leur pouvoir de sélectivité, de leur quantité de
mouvement, etc., ainsi que de la nature de leur environnement, de
leur milieu ambiant actif écologique (écosystème).
Il
l'exprime en émettant un rayonnement d'intensité particulière,
niveau vibrationnel exprimé par la performance, la luminance
spectrale, soit la fréquence de la longueur d'onde proportionnelle à
la quantité d'énergie de sortie : Ce qui forme son identité
particulière unique.
Par
l'échange, il passe continuellement d'un état à un autre, en
effectuant des transitions : en absorbant ou émettant une certaine
quantité d'énergie différentielle.
Tout
objet exprime une relation. Chaque noeud est une réponse à une
impulsion énergétique interne ou externe. Et le niveau d'énergie
global correspond aux mouvements intra-, inter ou extra-particulaires
qui en déterminent la radiance.
Chaque
île énergétique est constituée par la jonction d'un certain
nombre d'éléments qui la caractérisent et qui définissent sa
composition et ses propriétés qualitatives : sa masse, sa forme, sa
taille, sa charge, sa polarisation, son orientation, ses moments
magnétiques et cinétiques, sa susceptibilité et son comportement,
son âge, (sa séquence évolutive), sa distribution d'énergie, ses
effets gyromagnétiques, etc.
Toutes
les caractéristiques et limitations, seuils d'émission et de
réception, sont déterminées et réglées. Mais elles subiront des
fluctuations en résonance avec le milieu ambiant. Tout opérateur
dépend d'un ordre varié de paramètres. Et aucun centre n'agit
indépendamment de tous les autres.
Et
il existe une infinité de sources ponctuelles, à toutes les
échelles. Chacune, noyau géniculé, est une matrice, définie par
un domaine spectral déterminé, mais comportant plusieurs
composantes spectrales avec des degrés de cohérence variés.
L'Univers
est un tissu énergétique parsemé de relais de différentes
fonctions et dimensions.
Chaque
noeud est un aimant pulsé : Organite donneur et receveur, unité
d'alimentation compacte, un effecteur, agent spécialisé au
comportement différentiel.
Système
pulsatoire, dispersif et réceptif spécialisé, il émet sur une
gamme de fréquence particulière agissant comme un résonateur de
base.
Tout
élément vibre, respire, et, par sa pulsation organique, se trouve
uni à tous les autres éléments, directement ou indirectement,
jouant le rôle relatif de centralisateur, relais d 'in- ou
d'évolution, guide d'ondes et de devenir...
Tout
agit de façon coordonnée dans un chrono-space aux multiples
dimensions.
IV - 3 - L'ÉMISSION
PONCTUELLE PULSÉE
Chaque
point-source délivre spontanément un rayonnement complexe
différentiel en fonction de sa propre structure de fécondation
énergétique, de ses composants, de son niveau vibrationnel
fondamental.
La
combustion et les déflagrations radiatives entretenues dans chaque
point-source, absorptions et décharges régulatrices, sont toutes
régulées et liées en phase selon le processus impulsionnel de la
respiration coronale.
Les
impulsions d'énergies différentielles sont émises sous forme de
rayonnement, de front d'onde. Le concept « un unique rayon »
est erroné.
Chaque
front d'onde émis se compose de milliers de fronts d'onde unis mais
non confondus, et formant UNE vibration de fréquence particulière
(VFP), émettant sur une seule raie spectrale, et possédant des
performances énergétiques déterminées.
L'émission
surfacique globale peut donc être considérée comme étant une
émission plus ou moins mono-fréquentielle englobant une multitude
pluri-fréquentielle de vibrations unies mais non confondues, et dont
le battement entre les différents modes d'oscillations permet leur
identification par les récepteurs appropriés.
La
fréquence porteuse du champs énergétique unifié définit le débit
(sonore, optique, thermique, etc.) de l'ébranlement, de la largeur
de l'impulsion et de sa longueur de cohérence, de sa densité de
puissance, de la modulation d'amplitude et de phase, etc. déterminant
sa bande d'émission, sa propre raie spectrale. D'où la
diversification des franges d'éclairement des sources.
L'émission
générative distributionnelle s'accomplit par salves, bonds
successifs de propagation, quand tous les paramètres conditionnant
sont réunis.
La
cohérence d'impulsion (le taux de répétition) des vagues et leur
intensité sont proportionnelles à la fréquence vibrationnelle du
rayonnement émis et des besoins énergétiques de l'environnement.
Le fonctionnement impulsionnel des sources opère en quasi-continu.
Le régime impulsionnel permanent d'excitations, à cadence
diversifiée, liées en phase, assure ainsi tous les besoins
énergétiques des systèmes et sous-systèmes environnants,
impliquant une interdépendance rigoureuse entre tous les éléments
composants.
Tout
organisme est polarisé circulairement. Il est gyromagnétique. Il
transfert son énergie cinétique en énergie rayonnée. (Nous y
reviendrons dans le prochain cahier.) Comme résultat de cette
giration, l'écoulement émissif s'organise en ondes rotatives
centrées. Son hélicité (son pouvoir rotatoire) varie en fonction
de la longueur d'onde fondamentale variant avec le temps et de
l'homogénéité de la décharge principale.
Les
ondes rotatives s'écoulent en ondes que nous dirons sphériques (la
VFP émettant sur une seule raie spectrale unifiée), composées
elles-mêmes d'ondes secondaires, linéaires, différentielles
(émettant sur différentes raies spectrales).
La
dispersion des ondes secondaires a-sphériques, linéaires, en
faisceau directif divergent, est cohérente, mais alternée et
discontinue. Ces ondes sont issues des éruptions directionnelles
(apparemment aléatoires), alternatives (électrojets), canalisées
par divers champs énergétiques à partir du noyau central
générateur, et qui vont toutes s'unir pour former les ondes
sphériques unifiées.
La
dispersion rotatoire des ondes sphériques unifiées est
non-directive, diffuse, (détente sphérique en toutes les
directions) et relativement in-cohérente, en mouvement continu de
vagues successives.
Toute
projection d'un paquet d'énergie parti d'une source à l'instant
d'origine, féconde un champ de radiation dispersif proportionnel au
rayonnement émis. (Figure 31)
L'émission
des ondes sphériques est rotative. Il n'y a pas de trajet absolument
rectiligne. Le balayage séquentiel est régulièrement espacé. Et,
selon le degré d'intensité et la cadence de la fréquence
gyromagnétique de la source, il porte, aussi loin que possible,
l'étendue du flux progressif sphérique. Et sans aucun effet
directionnel précis. (Figure 32)
Les
trains d'impulsions brèves ou longues circulent à la rencontre
d'autres centres actifs. Les chemins sont complexes. La trajectoire
varie selon le milieu de propagation.
La
transmission dans le milieu environnant, la direction et la vitesse
de propagation, la distribution et la répartition énergétique
spatio-temporelle, les limitations de propagation, sont toutes
relatives et fonction des paramètres énergétiques générant le
milieu environnant. Les quanta sont généralement déviés, tout au
long de leur trajectoire, par les différents champs magnétiques de
l'espace. En d'autres termes, seuls quelques quanta - et les plus
proches pour une cible donnée, ont la chance de l'atteindre
directement.
Le
champ autodirecteur autoporté rencontre au cours de sa trajectoire
les centres actifs les plus divers :
1)-
Si le milieu est opaque, les ondes de référence (initiales) se
déforment (en amplitude et en phase), ralentissent, retardent la
propagation et occasionnent des perturbations. L'écoulement devient
turbulent.
2)-
Si les ondes passent à côté d'une cible, elles sont freinées,
déviées ou altérées, selon la puissance d'attraction de la cible.
Car tout objet exerce un dragage systématique sur toute bande
passante. L'énergie transportée par une onde équivaut à une masse
et subit par conséquent l'influence des forces géomagnétiques
locales (de gravitation). Par exemple, une onde lumineuse photonique
passant au voisinage du soleil subit une déviation de 1,75 secondes
d'arc.
3)-
Enfin, si les ondes de référence rencontrent un centre actif sur
leurs parcours, elles en induisent l'émission propre, en le portant
à un certain état excité qui réémettra un nouveau rayonnement
énergétique, en harmonie avec la cohérence spatio-temporelle
(proche ou éloignée) de la structure considérée. La traversée
des ondes de compression modifie la fréquence de l'objet cible et en
change la modulation et les conditions de propagation. Ce qui définit
la qualité de l'objet rencontré. Le bombardement énergétique
d'une cible est catalyseur d'identité. Exemple : le Soleil et
la vie sur Terre.
Le
nouveau rayonnement émis par la cible nourrit à son tour la source
initiale, selon sa puissance, comme sur le schéma suivant :
SOURCE ⇔ CIBLE
Et
il s'établit alors un circuit matriciel d'ensemencement réciproque,
en guidage continu. Et l'on peut parler alors de mouvement convecteur
ou d'injection guidée entre les centres actifs les plus voisins
agissant en polariseurs réciproques, et de circulation directive en
structure quasi-fermée. (Comme par exemple le système galactique ou
solaire, le système planétaire ou atomique, etc.)
L'onde
converge selon l'appel, - le besoin -, suivant les particularités
spécifiques des actants en présence.
La
surface d'onde du flux incident, dans la phase de localisation, vise
alors, successivement et en parallèle, tous les points de la cible
et en ramasse tous les détails.
Et
la cible, à son tour, reçoit et analyse, successivement et en
parallèle, toutes les informations portées par chaque point de
l'influx. C'est cette rencontre entre trains d'ondes de différentes
longueurs qui déterminera le mode opératoire suivant l'impact.
Tous
les opérateurs énergétiques agissent sur leurs espaces vectoriels
correspondants. Et chacun des vecteurs énergétiques représente un
état déterminé, une étape de la rencontre.
Les
maxima et minima de la fréquence de modulation du front d'onde
incident ou réfléchi, varient selon les coordonnées et les
composantes des impulsions, elle-mêmes variant, en fonction des
transformations énergétiques continues ou discontinues au sein de
la structure universelle.
Seul,
par exemple, un quantum énergétique supérieur à 103
GeV peut déclencher une avalanche de réactions électromagnétiques
et nucléaires. Au-dessous de cette valeur-seuil, le quantum fléchit,
insuffisant, impuissant à déclencher la moindre réaction. En
d'autres termes, il n'y a pas d'excitation quand, sous une influence
quelconque, l'énergie cinétique totale du système-cible reste
inchangée. La collision est dite alors élastique. Dans une
collision inélastique, le champ incident provoque l'excitation du
champ cible.
Notons
enfin que la puissance de l'énergie d'excitation diminue avec la
distance entre la source et la cible. L'élargissement
spatio-temporel diminue la portée de toute injection énergétique.
La largeur du profil d'onde s'espace dans le temps. Mais cet axiome
n'est valable que pour les énergies infraluminales, celles dont la
vitesse vibrationnelle ne dépasse pas celle de la lumière
photonique, soit ≤ 299.792, 47 Km par seconde.
Là
commence l'opération générative-transformationnelle d'énergie.
Les vibrations arrivent en phase, quel que soit le trajet suivi
depuis la source, à condition de ne pas être perturbées par des
impacts successifs sur des obstacles divers de passage - ce qui est
assez rare et relatif uniquement pour les très hautes fréquences
qui traversent tous les obstacles de fréquences inférieures sans
être perturbées, comme les neutrinos. De même, pour les basses
fréquences, l'excitation est rarement directe et se réalise plutôt
par un transfert d'énergie indirect, marginal, mais en restant
conjuguée avec la cible réceptrice qui intercepte le rayonnement
émis.
La
structure de jonction est complexe : Elle est fonction des
caractéristiques, des propriétés vibrationnelles complémentaires
ou non, des sources, de l'énergie fournie à la cible et de la durée
des impulsions; de l'orientation de l'émetteur par rapport au
récepteur et aux autres sources, de leur localisation précise, des
angles de leur exposition spatio-temporelle, etc.
Sur
le plan de jonction - la zone d'accrochage -, le cisaillement
(inélastique) des ondes de choc à vitesses différentes, et suivant
le rythme de balayage et le temps d'accès, réalise le couplage des
composantes spectrales en une collision quasi résonante, dure ou
molle.
Les
pics de tension thermo-électro-magnétique sont continus aux points
d'amorçage, favorisant une vigilance sélective constante, afin
d'accueillir par attraction les champs complémentaires et d'éviter,
par répulsion, les champs perturbateurs.
Les
bandes d'excitation et d'absorption sélectives sont le privilège
exclusif de biotypes nodulaires complémentaires accordés à
certaines longueurs d'onde complémentaires. Ce qui implique un
rapport d'interdépendance et, par conséquent, un guidage
énergétique souligné par une certaine accélération du champ
incident « attiré » par le référentiel privilégié.
(Figure 33)
Le
couplage des profils énergétiques s'organise selon des résonances
thermo-électro-magnétiques précises. Ce qui induit, de fait, un
guidage dynamique entre conjoints : Chaque noeud énergétique
(biotype) possède un agent pollinisateur qu'il reconnaît et appelle
au moyen de stimuli énergétiques divers mais spécifiques, balises
pour provoquer la rencontre nourritielle.
Le
nectar conduit l'insecte jusqu'à lui. Ce guidage implicite a pour
fonction d'attirer irrésistiblement le complémentaire énergétique
en canalisant les trajectoires suivant des directions privilégiées
(« Channeling »). Il implique un profil de
distribution structurale génétique qui reconnaît (par connaissance
biotypique innée) l'énergie complémentaire et les moyens à mettre
en oeuvre pour la capter.
Parmi
ces moyens, citons les guidages géomagnétiques régulant les
migrations animales ainsi que les guidages olfactif et optique ou
auditif (pouvant se compléter l'un l'autre) des végétaux et des
insectes.
Le
guidage optique des fleurs, par exemple. L'ensemble de signaux
(formes des feuilles, lignes, points, tâches de couleurs, etc.)
formant une fleur, constitue des repères visuels, des panneaux
indicateurs de sève. Ces associations diverses de formes, de traits
et de nuances chromatiques, subtiles mais fondamentales, attirent de
loin l'agent pollinisateur, qui reconnaît alors l'emplacement exact
de la source et vient s'y déposer électivement. A courte distance,
les repères olfactifs entrent en jeu. Ces marqueurs fonctionnels
changent avec le vieillissement : La coloration vire, l'odeur change
avec le virage de couleur et l'insecte évite la fleur stérile,
démontrant un mécanisme précis d'économie.
La
morphologie fonctionnelle des fleurs se reflète donc dans la forme
et particulièrement dans la coloration des traits fins - parure
attrayante - qui orientent facilement les insectes vers les
nectaires, que ceux-ci soient découverts, nus, ou bien cachés. Et
plus le nectar est dissimulé, plus les marques indiquant le chemin
vers lui sont développées et sophistiquées.
Ces
repères visuels précis fonctionnels sont à l'usage spécifique de
certains insectes. Ils sont, par exemple, invisibles pour l'homme,
mais bien visibles pour l'insecte accordé à leurs longueurs d'onde,
à savoir l'abeille - sensible à l'ultra-violet, contrairement à
l'homme.
(Des
expériences sur l'innéité de la reconnaissance des signaux ont
montré que des abeilles, nées et élevées en laboratoire, et qui
n'avaient jamais vu de fleurs naturelles, savaient reconnaître
instinctivement les signaux et les repères distincts émis par ces
fleurs dès qu'elles étaient mises en leur présence.)
Il
n'y a pas, dans l'Univers, d'amours non-assortis.
Tous
les corps esquivent tous les champs énergétiques qui ne leur sont
pas accordés. Le succès de leur esquive dépend de leur force
d'autonomie et de la puissance du champ incident.
Un
homme, par exemple, évite de sentir l'odeur du gaz, nocif. Il réagit
en ouvrant la fenêtre pour respirer l'air pur : Il rejette les
vibrations quantiques indésirables. De même, deux électrons
évitent de se retrouver dans un même état quantique.
Ce
principe d'exclusion explique la stabilité structurale de l'Univers
et de chacun de ses composants énergétiques, à toute échelle.
Le
phénomène de la distinction des longueurs d'onde est à la base de
tous les autres phénomènes. Chaque noeud (biotype) possède les
facultés de détecter, de transformer et d'émettre des ondes dans
une gamme précise de fréquence. Ces facultés, caractéristiques de
chaque espèce biotypique et, diversifiée, de chaque individu au
sein d'une espèce donnée, ne sont sensibles qu'à un certain
éventail précis de signaux énergétiques, qu'à une certaine
étendue spectrale déterminée.
Ces
facultés s'ordonnent au moyen de centres et d'organes constitutifs
spécialisés, capteurs-générateurs, systèmes morphologiques de
traitement énergétiques plus ou moins performants, et possédant un
pouvoir de résolution strictement adapté aux conditions
particulières de leur propre biosphère.
Le
processus du traitement des données énergétiques communiquées par
une source à une cible, s'accomplit suivant les trois stades
principaux : Perception et Collecte ; - Traduction ; et
enfin la réponse.
La
plupart des organes constituent des sources différentielles de
réception et d'émission. Mais certains organes sont spécialisés
pour la détection. Ces détecteurs exclusifs, collecteurs d'ondes et
séparateurs des niveaux d'énergie incidents, sont accordés à
certaines ondes de pression déterminées, auxquelles ils sont
connectés directement.
Mais
leur sensibilité de repérage n'est pas uniforme. Chaque
organe-spectrographe couvre une largeur effective de bande du spectre
dont il capture le rythme d'émission : prise de son, de
lumière, d'odeurs, etc. La sensibilité réceptrice différentielle
en niveaux favorise la perception des variations fréquentielles,
entraînant la réponse la plus adéquate, la plus adaptée.
La
détection active différentielle procède d'une manière qualitative
et quantitative. Elle recueille les fréquences composantes des
stimuli et discerne les composants de la raie d'émission dans toutes
leurs diversités. Puis, par un phénomène de canalisation, elle
règle l'arrivée des ondes. Ce qui détermine l'étendue
fréquentielle de détection (audibilité, visibilité, etc.) du
dispositif capteur. Et cela en fonction de multiples paramètres :
Données topographiques (loci), données énergétiques d'émission,
conditions d'observation et de réception des champs, équipement
génétique, sensibilité, la gamme d'ondes couverte, etc.
Et
c'est par le moyen des filtres sélectifs en cascade se débloquant
déductivement les uns les autres selon une loi séquentielle qui
dépend de la structure du signal et de la réponse, que l'organe
récepteur spécifique lutte contre les ondes parasitaires et les
réverbérations des franges d'interférences.
Mais
seule l'attention, - la vigilance, radar de veille orientable,
élimine ces parasites par un pointage ajusté qui augmente
considérablement le pouvoir de détection et de discrimination. Sur
l'axe sagittal, la réception est quasi-parfaite.
Chaque
onde est chargée d'informations pour son capteur. La cible reçoit
différents niveaux d'émission, d'accès successif et parallèle, et
analyse, successivement et en parallèles, toutes les informations
portées par chaque point de l'influx sur lequel elle est branchée.
Aucune information n'est rejetée a-priori.
L'organe
récepteur canalise les différences fréquentielles en un
multiplexage focalisant et le transmet à l'analyseur spécialisé
correspondant, à fin de lecture, d'identification, d'interprétation
et de réponse.
Le
flux est alors modulé en graphe simple (vidéogramme, audiogramme,
etc.) ou en graphe conjugué, selon la fréquence caractéristique de
la cible et ses propriétés de résolution des signaux.
La
lecture, décodage successif (en série) et simultané (en parallèle)
des signaux différentiables, relève la nature et les
caractéristiques de l'information en la décomposant en ses éléments
initiaux (intensité, cadence, éloignement, sens) à fin de
décision.
La
distillation et l'interprétation du champ piégé dans le réseau
analyseur se fait selon certaines conditions précises d'accords
vibrationnels.
L'aptitude
de l'analyseur à distinguer et, par le dépouillement de la mosaïque
d'informations transmises, à reconnaître l'identité des sources,
les différences fréquentielles et leurs nuances, à procéder à
l'identification des variations caractéristiques de la cadence, des
inhomogénéités d'indice vibrationnels etc. implique une MEMOIRE
enregistrée dans les composants énergétiques de la cible ainsi que
des grilles de codage et de décodage précises. C'est ce qui permet
à tout biotype de résoudre avec le plus faible facteur
d'incertitude les divers problèmes qu'il a à résoudre.
Le
mécanisme analyseur, avec son pouvoir séparateur qui différencie
et caractérise qualitativement et quantitativement les divers
composés de l'influx, définit la prise de conscience, l'estimation
rationnelle et la prise de décision.
La
décision modulée est alors transmise par centrifugation-éclair aux
centres moteurs à fin d'exécution de la réaction-réponse selon la
meilleure estimation d'efficacité.
Le
temps d'analyse est plus ou moins rapide selon les divers paramètres
incidents (nature de l'influx, éloignement, volume des corps).
Depuis le recueil de toutes les informations, la reconnaissance des
caractères des ondes de compression, leur enregistrement, et jusqu'à
la préparation et l'exécution de la réponse efficace la plus
économique selon le meilleur rapport, le temps écoulé se calcule
soit en millionième de secondes, en minutes, en heures, en mois, en
années, soit en siècles, selon les données d'éloignement
chrono-spatiales, et de la nature de l'influx...
DÉTERMINISME
ET DÉTERMINATION
A
chaque longueur d'onde incidente, correspond un rapport adaptatif de
réponses. Soit une réponse différente à chaque influx de longueur
d'onde différente. Ces réponses sont définitives et marquées
indélébilement dans les gènes et elles évoluent en fonction de
l'écosystème biosphérique. (Cf IV- 9)
Toute
réaction est motivée. Tout est réponse à un influx. Il n'y a pas
de hasard dans la morphogenèse. Tout a un but précis d'accord. Même
le poil le plus fin joue un rôle déterminé dans les échanges
circulatoires des énergies.
La
sélectivité de la réponse réactionnelle dépend de tous les
caractères intrinsèques de la structure émetteur-cible : Soit
les paramètres énergétiques interférentiels écologiques, la
composition spectrale incidente, la répartition d'éclairement et sa
durée, le volume spatial exploré, le patrimoine génétique de la
cible, ses aptitudes à distinguer et à reconnaître la fréquence
de résonance, son spectre d'acceptation (acceptance), son
stade de développement, ses mécanismes de réaction et de
protection, toutes les conditions de réception, son marquage, etc.
Tout corps réagit par une action concertante en fonction des
critères qualitatifs et quantitatifs en présence.
Tout
corps est différentiellement inductible. Il dispose d'un dispositif
particulier adapté qui lui assure une sélectivité élevée sur
toutes les longueurs d'onde qui l'agissent en affinité, et une
sélectivité nulle sur les bandes interdites avec lesquelles il
n'est pas accordé.
La
variation et l'intensité de réponse est fonction non seulement de
la quantité et de la qualité du rayonnement incident et des
rapports de rection entre le recteur et le régi, mais aussi de la
nature du matériau biologique constituant la cible, de ses affinités
et de son spectre d'action particulier au sein de sa propre
biosphère.
C'est
seulement sous la pression de l'atmosphère Terrestre que l'eau bout
à 100°C au niveau de la mer et à 68°C au sommet de l'Everest. Sur
la Lune, elle bout à basse température et sur Vénus à 300°C.
Chaque élément
a un point d'ébullition différent.
Les
ondes lumineuses ne peuvent se décomposer en leurs constituants
reconnaissables qu'à la condition de heurter des objets accordés à
leurs longueurs d'onde. Le filtrage des fréquences spatiales et
d'amplitude se fait dans les valeurs limites du pouvoir de résolution
biotypique qui fixe les seuils et les bandes interdites. Le
franchissement des limites critiques exerce un effet corrupteur, et
celui des limites absolues entraîne la désorganisation immédiate
de la structure cible (la mort), à moins qu'il n'y ait eu évolution
adaptative. Et remarquons ici que les seuils d'un biotype ne
croissent pas indéfiniment avec les énergies incidentes ; ils
sont régulés pour répondre à certains rayonnements d'énergie
déterminés, dont les maxima et minima sont fixés et qui
conditionnent la biosphère d'existence.
Le
capteur est un relais transmetteur de modèle transformationnel.
Soumis à un champ incident déterminant, il accomplira sa fonction
instrumentale de coupleur et de modulateur. Il modifiera le
coefficient de tension incident par le sien propre.
Le
résultat de cette liaison bilatérale sera un transfert résonant
d'une forme d'énergie initiale à une autre induite. Et ce sera
justement la nature du flux émergent du système excité qui
exprimera sa propre cinétique d'activité réactionnelle.
1)-
Paramètres
Une
extrême variété de paramètres, eux-mêmes extrêmement variants,
fixe les niveaux de conversion. Citons quelques exposants critiques :
Les
localisations chrono-spatiales (les loci) ; la charge du champ
incident, sa nature, la durée de l'éclairement (de l'exposition),
sa puissance de crête, les caractéristiques du coupleur, son taux
de polarisation, son organisation structurale, son état de surface,
sa perméabilité (sa porosité), sa situation écologique, son état
d'adaptation, les plages d'accord, les modes d'excitation ; ses
fonctions analytiques, sa résolution, sa résistivité à la
pression subie, les infiltrations, le degré d'implantation ;
tous les mécanismes réactionnels d'intervention ; le nombre
d'éléments spectraux reliés, les performances interférentielles,
les temps de réponse ; tous les facteurs commutatifs directs ou
indirects...
Tout
champ incident exerce une pression différente et induit des réponses
différentielles.
2)-
Mixage
L'arrangement
des jonctions en un alliage coordonné, synthèse croisée entre
tissus différents, s'organise suivant les capacités d'association,
de façon à optimiser le rendement énergétique le plus économique
à l'écosystème du relais, en groupant les champs incidents en
familles affinitaires.
Cette
dynamique de jonction, par les interactions entre les différentes
longueurs d'onde des réseaux concernés, génère une énergie
cinétique de translation. Celle-ci fait s'hybrider les champs
incidents, s'organiser les couplages par paires tourbillonnaires
complémentaires, se recombiner les multiples quanta énergétiques
en présence - toutes les transitions radiatives quantiques, les
compensations de charge, les adaptations, les corrections, - et
procéder, par suite, à l'ovulation d'un champ maximal résultant :
Le champ uni du coordinat, sa VFP.
3)-
Temps de transition
La
rapidité des réponses dépend, nous l'avons vu, de la multiplicité
des variables en corrélation. Notons ici que la plupart des
réactions ne sont pas remarquables par les capteurs sensoriels,
malgré l'appareillage d'appoint le plus perfectionné. On ne
remarque jamais que les résultats.
4)-
Transfert
Parmi
les constantes de couplage, signalons que les champs énergétiques
les plus intenses (de plus haute fréquence) modulent les champs les
plus faibles et exercent sur eux différentes pressions, dont les
pressions mutagènes. Mais l'énergie d'une source donnée ne peut
influencer que les cibles qui lui sont directement ou indirectement
accordées.
Malgré
l'énorme diversité des transitions radiatives, il n'y a
généralement pas d'encombrement. Les cheminements sélectifs
empruntés par les réactifs à multicharge se font selon un barème
variable d'efficacité spectrale compensatrice. L'excitation est
sélective selon la nature des constituants principaux, le degré
d'acceptation du milieu et son adaptation aux différentes
contraintes.
Tout
subit les « perturbations » ambiantes. Par
« perturbations », nous entendons les transitions
parasitaires, les décharges secondaires, les turbulences, bref toute
charge énergétique non nécessaire au biotype donné. Ces
perturbations sont plus ou moins perdues selon leur importance pour
le biotype considéré. Ainsi y a-t-il souvent des impuretés
parasitaires dopantes (comme pour les cristaux conducteurs). D'autre
part, le ligand peut rester asservi aux perturbations provoquées à
grande échelle, l'atténuation variant en fonction de la fréquence
vibrationnelle du biotype qui s'en ressent et de ses modes
d'adaptation.
Les
réactions cinétiques de transfert étant toutes résonantes, les
limitations fondamentales du milieu modulateur s'agencent selon les
besoins adaptatifs du moment. Les énergies maximales fournies ou
délivrées sont déterminées et limitées par les réactions en
phase du modulateur. Ce qui définit les modes de ré-émission.
La
transmission intégrale n'est possible que pour les énergies de très
hautes fréquences.
5)-
Évolution de l'activité réactionnelle
Cette
évolution due au couplage entre les champs, s'organise suivant le
schème bio-physiologique classique :
D'abord,
l'activation croît régulièrement en un tapis d'accélération
progressif, depuis l'induction de la synthèse et son activation
excitante hautement efficace, jusqu'à la transition critique
(seuil).
Atteignant
un niveau maximal d'implantation énergétique dans une matrice
donnée, l'activation simultanée aboutit, au bout d'un temps
aléatoire de montée de la tension de décharge, à la libération
par centrifugation zonale de l'énergie de réponse unanime.
Enfin,
l'activation se stabilise et décroît régulièrement par
inactivation contrôlée Le système responsable, saturé, ne répond
plus. Il se désexcite. Le temps de relaxation est inversement
proportionnel à la tension. Et un certain laps de temps devient
nécessaire avant la reprise de l'activation.
La
conversion, en fondu enchaîné, des énergies cinétiques combinées
déclenche une modulation chrono-spatiale interférentielle sélective
de flux qui s'exprime par une conjuguée de charge, résonante en
fonction des charges de jonction. Cette déflagration radiative
subséquente libère une onde de fréquence privilégiée : un
langage.
Mais
notons bien qu'il n'y a d'émission que lorsque l'énergie résultante
dépasse suffisamment l'énergie du niveau fondamental de la cible.
La spécificité de la réponse, la puissance de sortie de l'énergie
déclenchée ainsi que son niveau vibrationnel inscrivent par
conséquent la marque des champs couplés et une caractéristique du
convertisseur déployé - son profilage bioénergétique dans des
conditions données mais non une de ses propriétés intrinsèques.
La
conjuguée de charge ou la transformée énergétique peut être
calculée suivant la quantité d'énergie linéique, surfacique ou
volumique de charge distribuée ou cédée au milieu référent par
unité de parcours. La portée de l'énergie transférée, son
amplitude de diffusion, ses variations et la durée de vie radiative
de la décharge réactionnelle sont donc déterminées par la
distance où a lieu la jonction émettrice (la distance parcourue
dans le matériau) et des relations quantiques de dispersion.
Remarquons qu'il y a un amortisseur d'énergie et un décroissement
de l'action énergétique tout le long du parcours, à partir des
pics spectraux jusqu'aux creux les plus profonds. Cela, bien sûr, en
fonction de la qualité du rayonnement.
Le
rendement quantique global égale au rapport de l'énergie à la
sortie de la transition, extraite de l'énergie fournie. La fréquence
du rayonnement de réponse est proportionnelle à la différence
d'énergie des niveaux. C'est ce décalage entre les ondes
principales incidentes et l'onde induite diffractée qui signale
leurs variations d'intensité, leur différence d'amplitude, les
alternances d'éclairement, l'apport de leurs transitions, leur
position d'émission, etc.
La
fréquence du rayonnement émergent est liée en phase avec les
rayonnements incidents couplés. La fréquence privilégiée
d'émission est accordée à tous les niveaux vibrationnels incidents
fondamentaux du biotype considéré dans sa propre biosphère. Un
corps n'émet rien qu'il ne puisse lui-même déchiffrer.
Nous
ne considèrerons ici que l'articulation des champs surdéterminants.
Les autres déterminants, vagues occasionnelles de champs dus aux
configurations chrono-spatiales aléatoires, n'articulent que des
effets secondaires, des variations proportionnelles relativement
faibles, mais cependant non négligeables dans le marquage quantique
global. Ce qui fait que toute prédiction reste, en ce domaine
précis, largement probabilitaire.
Le
milieu transmetteur réagit à la longueur d'onde associée à la
transition, créant des harmoniques selon un rapport adaptatif
précis.
L'activité
catalytique, régulière, sporadique ou épisodique et passagère, et
d'intensité variable, influence l'architecture des milieux
traversés. Le champ interagit en chaque point de la cible. L'énergie
est transférée à tous les composants actifs selon leurs accords et
leur sensibilité. Elle est véhiculée dans la structure par
différents canaux et voies radiales de pénétration, selon sa
destination corrélée et les conditions de révélation adaptées.
La
catalyse est homogène ou hétérogène, constructive ou destructive,
développante ou incapacitante. Elle entraîne des modifications
structurales selon l'importance circonstancielle des corrélations en
présence et le degré d'adaptation locale au balayage énergétique.
Mais le rendement de conversion d'énergie est toujours
écologiquement le plus favorable dans les conditions données.
Tout
phénomène est spécifique des paramètres présidant à la
rencontre de champs différents. Et les raies de transition affectent
d'une façon ou d'une autre, à différents degrés, les aspects du
métabolisme constitutionnel du biotype excité. Ainsi toute
modification énergétique apporte-t-elle une information sur la
nature des coordinants, des ligands.
Dans
des conditions identiques, nous retrouverons toujours des séquences
identiques de réactions. Mais notons qu'aucun diffuseur ou récepteur
n'est immobile et invariant.
Enfin,
les processus réactionnels sont irréversibles.
La
distribution d'énergie, nous l'avons vu, s'organise par un filtrage
sélectif qui, après avoir absorbé, par inclusion, les fréquences
complémentaires d'un spectre donné, expulse, par exclusion,
l'énergie résultant du mixage des champs incidents, y incluant les
fréquences non complémentaires.
Tout
objet est sélectivement perméable. il ne retient que les fréquences
auxquelles il est accordé et qui lui sont biologiquement
nécessaires, et diffracte, réfléchit, élimine les fréquences
auxquelles il est réfractaire. Seuls sont acceptés les quanta
d'énergie complémentaires, les autres étant bloqués ou défléchis
par les mécanismes immunitaires. Ce qui définit le degré de
conductivité.
Remarquons
que la composante canalisée du rayonnement incident est plus
énergétique que la composante refusée, non canalisée et
réfléchie. C'est le degré d'acceptation (acceptance)
circonstancielle qui règle la qualité et la quantité absorbée
d'énergie, sa profondeur de pénétration, les pouvoirs d'arrêt
différents, la densité de dépôt et l'intensité réfractée,
proportionnellement à l'énergie du rayonnement incident et au
nombre et à la qualité des systèmes récepteurs et
transformateurs.
L'excédent
est donc restitué avec l'énergie résultante et se perd
(relativement) à l'extérieur de la jonction. Mais il reste lié en
phase avec les rayonnements incidents et induits.
L'indice
de réfraction (le niveau réflecteur) varie avec la densité de
l'impact (la pression de radiation). Ce sont ces variations d'indice
qui assurent le guidage des ondes incidentes.
Le
temps de relaxation est progressif ainsi que l'atténuation de
l'intensité.
Les
bandes de fréquence nouvellement engendrées sont émises dans des
directions particulières dépendant du rapport adaptatif du
rayonnement induit à la biosphère. Mais nous ne pouvons parler de
directivité axiale d'une émission, vu que les ondes sont sphériques
en définitive et non en faisceau cohérent, quelle que soit son
ouverture. On ne peut parler que de la rapidité relative de
fréquence de certaines émissions qui paraissent ainsi avoir une
directivité axiale déterminée. Rappelons ici que plus la fréquence
est rapide, plus le champ est relativement « libre ».
1)-
Les réactants
Tout
corps oppose une barrière à la distorsion de certains stimuli
bio-physiologiques. Sa réponse immunitaire (ses pouvoirs d'arrêt)
varie en fonction de la qualité et de la quantité des énergies
incidentes. Elle organise alors un revêtement membranaire
réfléchissant, une armature, une gaine de protection. La vie sur
Terre se protège par un gainage de 1000 Km d'atmosphère. La peau,
comme les membranes cellulaires, sont des barrières, des frontières,
isolant deux matériaux énergétiques différents.
Chaque
corps possède ses réactants spécifiques, ses propres agents de
conversion qui agissent comme modificatifs circonstanciels
particularisant telle réponse pertinente. Les réactants
biologiques, par exemple, possèdent un pouvoir exemplaire
d'accélération ou de freinage de certains processus métaboliques,
dont le pouvoir de restauration cellulaire, par la réparation des
lésions subies, la récupération des propriétés initiales
perturbées, et autres effets adjuvants.
2)-
Les tolérances biotypiques
Les
réactions ionisantes interfèrent, suivant leur nature, sur la
biodynamie de la cible. Celle-ci, possédant un champ plus ou moins
tolérable, réagit dans les limites de ses seuils biotypiques,
suivant les constantes cinétiques de réaction.
L'action
est continue ou occasionnelle, lente ou soudaine par pression de
choc, directe ou indirecte par substitution de source, positive,
stimulante, évolutive, régénérante ou bien négative,
perturbatrice, entropique, létale et bouleversant, distordant
l'équilibre de la cible et en déplaçant les raies d'émission...
Les
effets de dégradation, locale ou générale, ne sont provoquées que
par un influx de certaines radiations (dites « toxiques »)
qui désaccordent la cible d'avec sa biosphère ou qui en
désaccordent, par inhibition, les différents métabolismes ou les
différents organes assurant sa directivité. Ce qui entraîne soit
une érosion lente par déséquilibre et une entropie par gel
d'évolution ou par inactivation dans une stagnation paralysante ;
soit une destruction maximale par dislocation soudaine des
structures. Quand les dommages ne sont pas réparables par les
réactions immunitaires paralysées, on conclut à une dose létale
de radiations incidentes entraînant un déséquilibre irrémédiable.
Le
taux de destruction est relatif et dépend du temps d'exposition et
de déséquilibre et de l'aptitude de certaines radiations à
détruire certains corps qui ne leur sont pas accordés et qui n'ont
pas prévu une réaction immunitaire adéquate. L'effet cancérigène
corrupteur sur l'organisme humain, par exemple, se détermine, pour
certaines colonies de cellules, particulièrement les plus
radiosensibles, lorsque celles-ci sont irradiées par des radiations
« nocives », non acceptées. Les radiodermites et autres
tumeurs plus ou moins graves en sont les expressions. Notons en
passant que ce sont les cellules qui se reproduisent au rythme le
plus élevé qui sont les plus radiosensibles aux phénomènes
d'ionisation...
1)-
Effets thermogènes
Certains
rayonnements incidents induisent souvent des dégradations locales ou
générales en chaleur, selon les propriétés thermiques du
corps-cible. Ses courants de convection thermiques, sa conductivité
thermique, son pouvoir d'échauffement climatique varient suivant le
traitement thermique du moment. L'excès d'ultra-violet provoque une
tumeur de la peau, le déficit provoque le rachitisme.
La
température d'un corps est proportionnelle à l'énergie moyenne des
champs incidents et induits constituant la biosphère. L'organisme
humain, par exemple, est un thermostat qui maintient sa température
à 37°C. Des mécanismes physiologiques complexes commandés par les
systèmes nerveux couplés, assurent 1'équilibre thermodynamique et
la distribution de la chaleur tant au niveau des organes qu'au niveau
de la peau. Les lignes isothermes sont identiques chez tous les
individus sains d'un biotype donné et différents chez ceux qui sont
atteints par différentes lésions et perturbations.
Les
indicateurs thermiques, lors des variations thermiques, alertent les
récepteurs spécialisés (hypothalamus) qui, après traitement de
l'information, déclenchent les réactions appropriées les plus
économiques afin de rétablir l'équilibre le plus rapidement
possible. Ces récepteurs agissent comme un directoire qui centralise
les informations à partir des données communiquées et qui conçoit
la meilleure stratégie de réponse et de régulation.
Parmi
ces réponses, citons l'accélération ou la décélération du
rythme cardiaque, le fait de frissonner (afin d'augmenter la
production de chaleur), de transpirer, de s'essouffler, de rougir ou
de pâlir (afin de modifier la quantité de sang irriguant la
peau)... La fièvre, élévation thermique locale ou générale, est
une chaleur produite par le métabolisme du corps et qui correspond à
la chaleur perdue au profit d'un milieu donné en lutte contre une
rupture d'équilibre énergétique (due à une invasion virale par
ex.). La conductibilité thermique varie suivant l'intensité de
l'énergie causale.
Un
autre exemple : La température locale du territoire cutané pectoral
s'élève de 1 à 8°C dans les cas de cancer du sein. Ces
perturbations thermiques (dépistées grâce à la chaleur émise,
par des thermographes ou par des détecteurs quantiques punctiformes
réalisés récemment) indiquent l'état de santé des organes.
Chaque tumeur possède une thermogenèse spécifique exprimée par
des niveaux de réchauffement différentiels.
2)-
La photo-morphogenèse
La
transmission de l'énergie cinétique au milieu biologique se fait
particulièrement par le spectre lumineux.
La
lumière, source d'énergie, est un des facteurs écologiques les
plus importants pour le développement des biotypes sur Terre. Ses
modifications entraînent immédiatement des réactions chez tous les
biotypes avec une efficacité biologique relative, pouvant induire
parfois des mutations génétiques. Prenons les végétaux, premier
maillon du cycle biologique.
Certaines
radiations du spectre visible ont des effets particuliers sur la
croissance des végétaux et sur leur morphologie. La photosynthèse
est la première réaction-réponse photochimique nourritielle des
plantes. Le rouge lointain à 7300Å agit sur la morphogenèse ainsi
: Il catalyse la transformation bioénergétique en déclenchant des
changements de formes, la différenciation, le développement
harmonieux des feuilles, l'élongation de la tige, la répartition
des poils épidermiques, etc.
La
lumière rouge (6000 à 7000Å) induit la photomorphose, la
germination. Cet effet peut être annihilé expérimentalement par
une autre lumière, soit, pour la laitue par exemple, régulée à la
lumière rouge de 6600Å, le rouge lointain ou sombre de 7000Å à
8000Å) qui a à 7300Å un effet inhibiteur de synthèse.
C'est
un élément cellulaire, disons un phytochrome, qui joue le rôle de
récepteur. Il est sensible à certaines radiations. Il reconnaît
les longueurs d'onde particulières sur lesquelles il est accordé et
réagit en déterminant sa réponse par un processus de morphogenèse
adéquate, déterminant les caractéristiques du végétal. Son
intervention rapide déclenche la photosynthèse rendant les
composants aptes à remplir leur fonction catalytique de réaction
spécifique morpho-génétique et de contrôle.
Ainsi
donc s'organise la capture des informations énergétiques et leur
traduction en termes de modifications morphologiques, selon le
spectre d'absorption du quantum énergétique.
L'intensité
de la photo-réponse dépend donc
1)-
de l'irradiation qui entretient la photosynthèse. Mais la réponse
n'est pas intensifiée par un accroissement aléatoire de la durée
de l'éclairement;
2)-
de la vitesse de photosynthèse irréversible, jusqu'à atteindre le
point d'équilibre. Et toujours indépendamment de la durée
d'éclairement;
et
3)- du patrimoine génétique et des facteurs photosynthétiques
(perméabilité aux solutions nutritives, par ex.)
La
spécificité des réponses cellulaires est affectée selon l'état
de différenciation, de développement et d'aptitude au moment même
de l'excitation. L'activité photosynthétique croît régulièrement
avec l'activation. L'état dit photo-stationnaire est une aberration.
Tout est physiologiquement actif et en échanges perpétuels. Tout
est relais.
Les
réponses sont réglées, comme dans un mécanisme de grande
précision, suivant les niveaux de traduction (de contrôle) et de
régulation. Des seuils précis en limitent la portée.
Les
cellules différentes constituantes, toutes agents de régulation
apparentées, répondent différemment ; les systèmes distincts
répondent de façon distincte, même à l'intérieur de la cellule,
selon la nécessité de la réponse. Tous les métabolismes sont
directement ou indirectement interdépendants et se régulent
réciproquement.
Deux
principales variétés de réponses concourent :
1)-
Les réponses négatives traduisent l'inhibition - le désaccord -
des processus biologiques avec les énergies incidentes et
l'implantation d'ions non complémentaires. La réactivité se
signale alors par des effets auto-vaccinants et
immuno-supresseurs ;
et
2)- Les réponses positives qui traduisent la compétence spécifique
des métabolites organiques à résoudre tout problème de
biosynthèse par la formation d'un poil, par exemple, d'une gaine
préservative, ou par l'augmentation de la vitesse de croissance,
tous phénomènes de compensation.
La
variation de la probabilité de survie d'un biotype donné est
fonction de la quantité et de la qualité d'énergie absorbée par
les différentes colonies cellulaires irradiées et de leur potentiel
de traitement le plus favorable à sa préservation et à son
évolution adaptative.
Résumons-nous
brièvement en cette fin de cahier. Mais notons auparavant ceci :
Nous sommes passés imperceptiblement, dans le présent cahier, des
corps inanimés aux éléments biologiques. Et certains ont
probablement vu, là, une mixture qui peut paraître aventureuse.
Mais qu'on ne se trompe pas sur notre propos. La logique du vivant
est partout, en tout. Et les structures-bases des échanges sont
absolument identiques que ce soit pour les éléments inanimés (la
matière inorganique) que pour les organismes vivants,
« biologiques ». C'est pourquoi nous avons utilisé
l'expression « biotype » pour désigner par une
acceptation large, tout noeud, tout coordinat énergétique, et ce,
quelle que soit son organisation (primaire pour les matériaux
inorganiques et hautement complexe pour les organismes doués
d'autonomie). Tout, pour nous, est vie et la même logique des
échanges énergétiques s'y applique.
Le
circuit d'échange est un assemblage d'éléments actifs,
transmetteurs et relativement passifs, receveurs, accepteurs,
condensateurs et réémetteurs actifs, organisant entre eux un
échange pulsatif d'énergies. Et cela en vue de réaliser une
fonction d'équilibre biocosmique bien déterminée.
Ce
circuit est donc une chaîne fonctionnelle formée d'éléments
branchés en série, quelles que soient leurs distances
chrono-spatiales : D'un côté, le donneur, porteur de charge, source
nourritielle d'énergie; d'un autre côté, l'accepteur, porteur de
charge branché au donneur, directement par fixation sélective et
jonction polarisée (comme la Terre par rapport au Soleil), ou
indirectement, selon les circonstances.
Le
tableau suivant va nous permettre de mieux saisir les multiples
aspects des échanges énergétiques: (Pour
des raisons techniques, tous les schémas et les illustrations de la
Communication 4 ne peuvent être vus que dans la version téléchargeable
en PDF. Merci de s'y référer.)
La région de charge d'espace nodulaire de l'accepteur, région de branchement ou s'opère la jonction des deux charges d'espace, porte les outils de transmission et de collecte d'un message énergétique donné. Ces outils se trouvent généralement sur la membrane sélective, gaine protectrice. La sensibilité de réception des outils de collecte dépend de la nature des sollicitations énergétiques transmises, de leur débit, de leur importance, de leur intensité (brutales ou molles), de leur directivité, de leurs fluctuations, des perturbations polluantes causées par les sources parasitaires, ainsi que de la qualité (la capacité) des outils eux-mêmes. Souvent la cause perturbante se trouve dans la défectuosité du système de collecte et de traitement.
Le
circuit de transmission et de réception par branchement direct
implique un code, un langage commun : Les fréquences vibrationnelles
nodulaires sont en effet harmoniquement accordées entre, d'une part,
les porteurs des signaux codés, et d'autre part, les transducteurs
organiques qui y sont branchés.
Les
Transducteurs, organes d'entrée (antennes) sont spécialisés dans
des domaines d'utilisation dynamique précis (l'oeil, l'oreille par
exemple). Ils sont caractérisés par :
-
un domaine de mesure particulier à une gamme fréquentielle
déterminée;
-
soit par une capacité de détection, de réception et
d'enregistrement, déterminée par les seuils minimal,
d'insensibilité, et maximal, de saturation, de douleur : Soit par
l'incapacité de distinguer des phénomènes fréquentiels au-delà
d'un certain seuil de sensibilité accordée ;
-
Enfin, par sa fidélité de transmission.
Le
circuit de réception est composé d'un système conducteur qui, par
des filtrages appropriés, décode le signal reçu en ses modulations
paramétriques (phase, fréquence, amplitude…) et le transcrit dans
le langage codé, accordé harmoniquement, particulier, spécifique
au système du biotype nodulaire analyseur. Tout est transmis
intégralement sans risque de mélanges par multiplexage sauf en cas
de distorsion accidentelle. Et souvent les transformateurs opèrent
un réajustement impulsionnel dans la reconstitution modulée du
signal initial, en cas de parasites par exemple.
Le
circuit de traitement de signal est la centrale d'équilibre
nodulaire. Le dispositif de traitement comprend les fonctions - de
lecture et de discrimination, - d'analyse et de logique comparative,
associative et décisionnelle, et enfin - d'intégration et de
classement mémoriel (pour le cas de réutilisation économique des
mêmes informations).
Le
circuit de commande, lié à la logique décisionnelle (choix de la
réponse la meilleure et la plus économique), commande - justement
un système asservi formé des organes actionnels, éléments du
circuit de transmission de la réponse efficace.
La
réponse réactionnelle et les temps de réponse sont fonction de la
tension appliquée ainsi que des divers paramètres nodulaires
intrinsèques et écologiques extrinsèques. La réponse positive est
soit nerveuse, rapide, brutale, vive, soit molle, lente, amortie,
atténuée, selon l'accomodation ou les résistances nodulaires, les
tensions d'échanges variant en fonction du temps d'adaptation. Une
réponse négative s'exprime par la dislocation sans merci de
l'accepteur-cible devenu définitivement dés-accordé, hors-jeu.
Des
réponses positives dépendent les conditions d'équilibre
écologiques. Car la réponse affirme une adaptation. Elle est une
nouvelle, émission (mission) bioénergétique de l'accepteur, mu, à
son tour, donneur. Chaque nœud est un transformateur, un coordinant,
un relais, avec une charge d'espace propre. Et toutes les régions de
transition sont des chrono-spaces d'échanges. Ce que nous
schématiserons comme suit (Figure 34).
Les
plages d'accord entre deux sources complémentaires, ou entre un
corps et sa biosphère, à un instant donné, déterminent
l'adaptation de l'un à l'autre. Par exemple, la plupart des insectes
sont aveugles au rouge et réagissent fortement aux jaunes, aux bleus
et à l'ultra-violet. Les végétaux qui les nourrissent possèdent
des indicateurs de nectar, à l'usage spécifique de leurs propres
agents pollinisateurs, et, par conséquent, accordés à leur
fréquence : Les balises sont ultra-violettes (et donc invisibles à
l'homme et à d'autres biotypes non intéressés par le nectar).
Le
perfectionnement des organes constitutifs d'un biotype donné
témoigne d'un haut degré de stabilité et d'adaptation à la
biosphère. Les différents modes de filtrage, leur sélectivité
remarquable, les processus d'interprétation des signaux
impulsionnels incidents et de leurs propriétés, les critères de
décision, sans oublier les propriétés sélectives et adaptatives
des organes récepteurs à leurs propres signaux, etc. bref tout
pouvoir de résolution des radiations (privilégiées pour le biotype
considéré) témoignent de l'adaptation du biotype à son milieu. Ce
qui détermine sa normalisation de masse et de charge, les seuils de
sa sensibilité réceptive et réactionnelle, ses orientations, bref
sa façon d'être au monde.
Le
déterminisme génétique s'adapte à tous les changements évolutifs
d'abord par acculturation simultanée des organes à toutes les
conditions de vie, puis par progression également simultanée avec
le courant évolutif global. A tel moment, par eemple, et suivant les
variantes positionnelles incidentes des déterminants, le biotype
possède une telle morphologie, et à te1 autre moment, s'épanouit
une caractéristique exprimée par une morphologie différente, en
accord avec les données de la biosphère contemporaine. Mais
l'évolution n'est imperceptible que par ses résultats. Certaines
variations brusques observées n'induisent qu'une apparente
discontinuité. Donc, pour un biotype donné, il ne peut y avoir
qu'un seul specimen (type) dans des conditions déterminées.
L'adaptation
suit la loi du moindre effort - le plus économique, mais aussi le
plus efficace. Les propriétés de guidage polarisé étant
déterminées par une connaissance innée des énergies
complémentaires, ou bien par l'imprégnation dès la naissance de
certaines situations et formes mémorisées depuis, maturant ainsi
les capacités de réaction. Le temps d'intégration adaptative est
négligeable et a lieu durant l'apprentissage - où l'aptitude
d'enregistrement est maximale. Les animaux migrateurs suivent
exactement le même chemin à des mois ou à des années
d'intervalles...
Mais
c'est suivant le champ évolutif exprimé, par exemple, par
l'éloignement des sources et les différentes conditions
circonstancielles biotypiques que le pouvoir de distinction de
certaines radiations, autrefois capitales et devenues non
nécessaires, s'estompe, avec un affaiblissement proportionnel des
réponses par atrophie progressive des organes correspondants qui
n'ont plus de raison d'intervenir.
L'état
d'un quantum biotypique nodulaire est constant et dépend de sa
situation spatio-temporelle qui le module. Son adaptation évolutive
est fonction des conditions imposées par les propriétés
caractéristiques des sources principales, leur emplacement (locus),
les variations régulières de leur orientation par rapport au
capteur, les chemins énergétiques sans cesse différents, l'effet
des multiples interactions entre propagateurs, des croisements de
champs et des fluctuations aléatoires d'échange, conditions qui,
toutes, modulent les caractéristiques et les potentialités du
relais. Il n'y a de « terminaux » qu'en fonction d'un
observateur partial à un moment donné.
Tout
est résonant. Tout est connecté à tout. Rien ne s'ignore. Rien
n'est isolé. Tous les phénomènes sont interdépendants. Tout
interagit sur tout à différents degrés. Tous les noeuds
s'articulent les uns aux autres. Tout s'adapte à tout. Tout évolue
en phase, par stimulation combinée, coordonnée. Depuis toujours.
Réalisant un Ensemble structuré continu.
L'adaptation
résonante évolutive est l'invariance relativiste capitale.
(Cf
Communications VII : L'En-devenir et XI : L'univers
cellulaire.)
L'univers
est un continuum isotrope pulsant intégrant toutes les invariances
constantes et tous les variants dans une structure coordinatrice
coopérative. La structure universelle est l'arrangement en un tout
des différentes parties interdépendantes et solidaires, dans un
mouvement synchronique auto-dynamique, quelles que soient leurs
positions chrono-spatiales.
La
cohérence chrono-spatiale du tissu énergétique biocosmique définit
les relations invariantes mutuelles entre les différentes variantes.
Ce qui détermine un réseau continu d'harmoniques par échanges
constants, émissions, transmissions et diffractions généralisées
dans toutes les directions (équivalentes) de l'espace et à tous les
niveaux bioénergétiques.
L'Univers
est une combinatoire cosmique réglée, une trame à laquelle
contribuent toutes les énergies disponibles en une coexistence
dynamique, selon les exigences de la cinématique de la régulation
bioénergétique universelle - les lois décisives d'ordre et
d'équilibre.
L'énergétique
universelle se régule par un réglage fin des relations réciproques
de détermination, d'échanges et de connexions synchroniques entre
tous les coordinants effecteurs - systèmes bio-quantiques qui
déterminent une organisation spatiale signifiante, le tout étant le
résultat des parties:
-
la distribution et la répartition spectrale, les conditions
opératoires, les chemins énergétiques interstellaires
(inter-nodulaires), privilégiés pour certaines fréquences;
-
la configuration générale de toute la population cosmique, homogène
dans son hétérogénéité ; la localisation exacte des
constituants, leur espacement, les sites privilégiés, les rapports
de structure;
-
l'itération cinétique des effecteurs en déplacements constants, en
glissement continu synchronique;
-
leurs caractères distinctifs déterminatifs;
-
leur structure rotationnelle spécifique ; leur structure de
révolutions orbitales; leur polarisation;
-
leurs ébranlements énergétiques, leur flux de charge pulsé, la
fréquence et la périodicité des variations énergétiques ; la
durée des émissions radiatives entretenues ; leur vitesse radiale;
-
les fluctuations interférentielles corrélatives à l'écartement
des sources ; les complexes de transmission; les relations de
commutation; les limitations de propagation;
-
les conditions d'adaptation optimale des noeuds; leur zonation
privilégiée; les angles d'incidence; les seuils de réception, les
facteurs de contrôle, d'induction, de répression des actions
parasitaires, et d'asservissement biotypiques; les capacités de
transmission; les stades adaptatifs successifs, la luminance, la
stabilisation thermodynamique, les ligatures, etc.
-
ajustant les résistances et les capacités, les comportements
variables suivant les conditions variables de l'éclairement
biosphérique, les plages de relative stabilité fixant les échanges
nourritiels entre les noeuds qui s'organisent en couples serrés, en
paires complémentaires (Soleil/ Planètes ; Noyau/ Electrons),
suivant leurs réponses individuelles aux champs écologiques.
Il
n'y a pas de place vide dans la nature, d'espaces interstitiels
lacunaires. Chaque île est entourée d'eau. Rien n'est désaffecté.
Il n'y a pas de confinement inertiel dans ce réseau de différences
réglées.
Chaque
noeud, accrétion spatio-temporelle de différentes énergies de
différentes fréquences, est une réponse, économiquement viable,
aux conditions variées de connexions et d'arrangements de jonctions.
A chaque position chrono-spatiale, la quantité ponctuelle
(nodulaire) d'énergie varie en fonction de la répartition
énergétique générale et dans la direction suivie par les
translations séquentielles ou générales.
Chaque
noeud marque des rapports énergétiques d'ordre spécifique. C'est
un arrangement structural d'éléments (complexes associatifs en amas
galactiques ou cellulaires transformationnels, groupes et
sous-groupes), écologiquement le plus favorable aux conditions du
moment, topos classifié par les liaisons énergétiques conjuguées
en phase. L'Univers est un « jeu » de construction dont
les éléments variants peuvent s'assembler selon une infinité de
combinaisons « sociétaires » coopératives, mais au sein
d'une structure unitaire immuable. Tout est arrangements et
réarrangements, indéfiniment.
Chaque
noeud est un organite effecteur dans la régulation logique
synchronique chrono-spatiale du devenir universel.
Tout
est réseaux communicants et mutuellement déterminants. Tout est
motivé par les multiples apports causals.
Tout
rayonne en phase dans ce circuit universel intégrant tous les
effecteurs. Tout est rattaché à tout suivant les structures
cycliques de résonance énergétique générale. Les mondes
s'intersectent, les franges vibrationnelles s'enchevêtrent, mais la
balance énergétique conserve, par des relations permanentes de
phase, l'équilibre dynamique et l'harmonie des variations
respectives dans l'organisation chrono-spatiale des structures à
tous les niveaux, micro- ou macro-cosmiques, de l'arbre
transformationnel universel.
Tout
est sources et relais. Tout est LIEN. Tout est aimant. Tout est UN et
tout se tient.