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mercredi 10 octobre 2012

DYNAMIQUE DES RELATIONS QUANTIQUES


 COMMUNICATION IV


DYNAMIQUE DES RELATIONS

BIO-ÉNERGÉTIQUES QUANTIQUES

TOUT EST ÉCHANGES. TOUT EST LIEN. TOUT EST VIE


« Les mathématiques sont la seule discipline
capable d'expliquer l’Ȇtre »
Alain Badiou

SOMMAIRE de la Communication IV :

1 - Les relations quantiques bioénergétiques VEL/VEM
     A - Tout est échanges;       B - L'absolu et le relatif
     C - Dynamogénie des relations quantiques bio-énergétiques
     Organigramme des relations bio-énergétiques

Les relations bio-énergétiques entre VFP

2 - Les nœuds énergétiques (les Coordinats)
     A - Les échangeurs    B - …Relais    C - …Pulsants
3 - L'émission ponctuelle pulsée
4 - Dynamie de l'écoulement du Plasma vibrationnel
     A - Propagation    B - Trajet    C - Distribution    D - Alimentation    E - La rencontre informative
5 - Jonction et guidage énergétiques
     A - Jonction des coordinats    B - Conjonction    C - Guidage énergétique    D - Esquive
6 - Traitement des données énergétiques
     A - Collecte    B - Traduction
7 - Réponse réactionnelle : Déterminisme et détermination
     A - Tout est réactif    B - Seuils de réactivité
8 - Cinétique d'activité réactionnelle
     A - Le ligand    B - Conversion énergétique
           1)- Paramètres 2)- Mixage 3)-Temps de transition 4)-Transfert    5)- Evolution de l'activité réactionnelle
     C - Champ résultant    D - Influences circonstancielles    E - Chemins réactionnels    F - Outils de réponse
     G - Illustrations
1)- Effets thermogènes    2)- photo-morphogenèse
     H - Résumé
9 - L'adaptation résonante évolutive
10 - La régulation bioénergétique universelle
     A - Les connexions régulées    B - Les effecteurs    C - Tout est lien
                                                                                                                                                                     

TRAVAUX de recherche individuels ou d'atelier

Dans cette communication, nos travaux seront particulièrement consacrés à dérouler toutes les causalités et à découvrir toutes les relations existant
- entre un objet quelconque et les causalités qui l'ont amené à l'existence;
- entre un animal ou un végétal et son milieu et toutes ses ressources alimentaires;
- entre un individu humain et ses déterminants écologiques et culturels.
Il est important d'étudier les éléments inséparables suivants :
- Les états successifs dans l'évolution de chaque élément ou évènement étudié
- la durée entre eux (le lien temporel)
- et les effets immédiats ou à moyen et long terme sur leur environnement direct ou lointain.
Ce travail sur le concret est particulièrement intéressant pour la saisie des relais énergétiques. Car tout, dans l'Univers, est lien.
                                                                                                                                                                     

IV - 1 - LES RELATIONS BIO-ÉNERGÉTIQUES

 QUANTIQUES VEL-VEM

IV - 1 - A - Tout est échanges

L'Univers, tissu énergétique, est un modèle coopératif : Un réseau complexe de relations conjuguées régularisant tous les échanges bio-énergétiques. La sève circule partout. Et rien ne s'emmêle dans ce circuit intégré aux composants différentiels mais harmonieusement accordés. Il n'y a de vide que dans la tête de ceux qui voient du vide. Nous espérons que notre synthèse soit clairement intelligible malgré sa grande complexité et qu'elle soit un ferment intellectuel à tous les chercheurs d'être.
Nous inaugurons cette Communication par un organigramme qui explicite l'ordonnancement et les relations réciproques des différents aspects de l'Energétique Universelle, telle que nous l'avons déjà appréhendée dans la précédente communication. (Cf III-2)
En page suivante, l'Organigramme des relations bioénergétiques.
L'organigramme des relations bio-énergétiques
(Pour des raisons techniques, tous les schémas et les illustrations de la Communication 4 ne peuvent être vus que dans la version téléchargeable en PDF. Merci de s'y référer.)
 
IV - 1 - B - L'absolu et le relatif
D'après la thèse que nous avons exposé dans le précédent cahier, nous tirerons les conclusions suivantes. Nous remarquerons tout d'abord la subdivision des Energies en quatre phases principales :
1)- L'énergie VELaire qui est générique, c.à d. d'où toutes les autres énergies découlent intégralement. Par rapport à ces énergies subséquentes, le VEL représente donc le foyer unique dynamique, le germe et la matrice. Etant le support constitutif et l'enveloppant de toutes les autres énergies et de leurs porteurs, le VEL est, par conséquent, leur contenant universel et en même temps le contenu, la source et la fin, le générateur et l'engendré. Les autres énergies n'en sont que l'accomplissement obligé.
C'est pourquoi nous dirons ABSOLU, le VEL, et nécessairement relatives, soumises à leurs devenirs respectifs, toutes les autres énergies.
En effet, le VEL, étant générique, n'est pas soumis aux conditions de relativité qui conditionnent toutes les autres énergies. C'est pourquoi, il reste insaisissable pour toutes ces énergies de moindre fréquence vibrationnelle (le VEL étant la fréquence maximale), et son dynamisme, irréductible à elles. Sa sur-éminence est, par conséquent, sans conteste.
Etant générique, sa liberté est absolue. Son existence ne requiert aucune détermination. Le VEL est donc autonome dans sa permanence, relativement à l'hétéronomie des autres énergies, subordonnées, toutes, à leurs sources d'alimentation respectives...
L'énergie VELaire sève constituant et enveloppant toutes les autres énergies, il en ressort qu'elle est donc, seule, séparée, transcendante ET immanente à toutes les énergies qui lui sont subséquentes. Nous la représentons par la verticale élevée au centre d'un cercle.(Figure 30).
L'intelligence unificatrice est celle qui sait remonter du relatif à l'absolu, du cercle horizontal - de l'encerclement - à la verticalité souveraine.
2)- Les Energies ou Intelligences Energétiques Constructionnelles : Ergoniques et Bioniques, portées respectivement par les Ergons et les Bions.
3)- Les Energies Projectionnelles ou Distributionnelles : Rationiques et Psychoniques, portées respectivement par les Rations et les Psychons.
4)- Et enfin les Energies « Actionnelles » VEMaires : Tacchyoniques centrales, Luxoniques, Tardoniques et enfin Atomiques, portées respectivement par les Tacchyons, les Luxons, les Tardons et les Atomes, fondement concluant des alliances énergétiques et qui constituent l'Univers moléculaire. Ces énergies agies et de relatives basses fréquences, s'altèrent mutuellement.
Nous en reparlerons dans les Communications ultérieures. Abordons, à présent, les relations dynamogéniques entre les principaux groupes énergétiques.

IV - 1 - C - Dynamogénie des relations énergétiques

IV - 1 - C - 1)- Les rapports entre les différentes énergies sont des rapports de corrélation intime, de distinction dégressive, de conjonction et de subordination coopérative fonctionnelle.
a)- Les rapports de corrélation : Toutes les énergies descendent de la cause VELaire sans pourtant s'en séparer organiquement. La diversité est tirée de l'unité. Le VEL produit, constitue toutes les autres énergies, assurant ainsi la formation nodulaire générale (VFP), sa subsistance, son achèvement et déterminant sa voie évolutionnaire.
b)- Les rapports de conjonction : Toute conjonction exprime une distinction et une réunion, entre le VEL et les autres énergies.
1)- Une distinction fréquentielle dans la communauté du Plenum Energétique, amenée par la conversion dégressive du VEL en de sous-ensembles énergétiques caractérisés par leur dissemblance dans une multiplicité quantitative mais aussi par une ressemblance qualitative de structure. Ainsi a-t-on un système duel particulièrement caractérisé d'abord par l'Energétique VELaire absolue, puis par l'ensemble des sous-ensembles. Cette bipartition est capitale.
2)- Une réunion : La distinction est source de la fusion intime entre Matières VELaires et les autres de moindre fréquence. L'amour implique une dualité unie nécessaire à la production du troisième terme nodulaire phénoménal, la VFP, et du déclenchement du phénomène pulsatoire.
A ce niveau de jonction, s'il y a résistance, il ne saurait y avoir de répulsion organique. La conjonction unitive étant une nécessité existentielle absolue.
c)- Les rapports de subordination coopérative fonctionnelle
1)- Dans l'ordonnancement énergétique universel, le VEL, dans sa primauté absolue, domine et embrasse tous les autres niveaux ou noeuds énergétiques qui tirent de lui leur nécessité de coexistence constructionnelle.
Si le VEL, commun é toutes les énergies, en est le producteur, toutes ces autres énergies produites en sont forcément dépendantes, subordonnées et agies. Elles sont, par rapport au VEL, formellement séparées, et s'accaparent la lourdeur matérielle, dissolvante, qui restreint et limite leurs propres libertés.
Autrement dit, le produit est nécessairement subordonné à sa cause, cependant que la cause et le résultat restent solidaires.
2)- Chaque nœud énergétique enveloppe tous les nœuds qui lui sont fréquentiellement moins énergétiques, les subordonne et peut les animer. Chaque nœud est enveloppé par toutes les énergies, par tous les nœuds qui lui sont fréquentiellement supérieurs, plus énergétiques, et leur est nécessairement subordonné.
3)- Les degrés de liberté des nœuds énergétiques sont déterminés par leurs potentialités d'animation, c'est-à-dire par leur pouvoir d'influence sur les noeuds fréquentiellement moins énergétiques. Le VEL, étant l'énergétique de fréquence maximale, possède donc une liberté absolue. il est l'autodéterminé et le déterminant fondamental.

IV - 1 - C - 2)- Chaque nœud énergétique est un instrument à fonction définie dans l'Ensemble Universel. Cette fonction est sa raison d'être. Chaque nœud est cause efficiente jusqu'à l'épuisement de ses effets.
Les énergies différentielles s'ordonnent. Elles ne s'additionnent pas Elles composent, par leurs interrelations, l'Entier Universel. Leur différencialité et leurs phases reliées en résonance (par conjonction intime ou opposition), par toutes les combinatoires résultant des besoins et des nécessités locales ou universelles, constituent toute la Réalité de l'Etre, actualisant toutes les conditions d'existence effective dans la rigueur des lois universelles.
Aucune énergie n'est isolée. Rien n'est complet et formé par lui-même. Chaque énergie ou niveau ou nœud énergétique a un rôle explicite constructif. La vie est un échange continu de relations. Cependant les communications sont directes, immédiates, ou bien indirectes et médiates.
Les échanges s'opèrent par des choix et des éliminations dans une réciprocité remarquable. Il y a autant de séquences relationnelles préférentielles par affinité que de séquences inconciliables.
D'après notre organigramme, nous pouvons compter vingt-deux liaisons directes. Ces rapports de coordination et de subordination fonctionnelle coopérative fondent l'équilibre mobile universel.
La VFP universelle est la résultante de ces relations et le fondement et le soutien de tous les développements ultérieurs. Connaître ces relations, c'est avoir la possibilité et de les maîtriser et le pouvoir de s'en servir...

IV - 1 - C - 3) - Les équilibres mobiles de la balance
Le Plenum Energétique, absolument concret, est un Ensemble systématique de relations dans un ordre liant le tout et ses éléments. Le TOUT est la résultante de la réunion de tous ses éléments composants et de toutes leurs relations. C'est un Tout hautement organisé, uni dans la multiplicité différentielle de ses composants et de leurs relations fonctionnelles.
Sur notre organigramme-balance, nous pouvons lire les équilibres mobiles résultant de la distribution des noeuds énergétiques-génériques, constructionnels, projectionnels et actionnels - et de leurs liaisons directes.
a)- L'équilibre mobile entre les deux colonnes, celles-ci formant les plateaux qui se subordonnent l'un à l'autre : L'un étant moteur et l'autre réactionnel. Tout déséquilibre est dynamique : il provoque les multiples différenciations et orientations constructionnelles dans l'Univers...
b)- L'équilibre mobile entre les déterminants fondamentaux (les énergies VELaires de Matière supraluminale) et les déterminés actionnels (les Energies VEMaires de Matière infraluminale), subordonnés à l'alimentation des premiers et qui agissent réactionnellement par les processus pulsatoires déterminant les phénomènes d'aspiration et d'expiration, de nutrition, d'élaboration transformationnelle et d'élimination... Ce rapport de subordination coopérative entre Hautes Fréquences et Basses Fréquences n'exprime pas un antagonisme mais une complémentarité expressionnelle existentielle.
L'unité domine la dualité.

IV - 2 - LES NOEUDS ÉNERGÉTIQUES :

LES COORDINATS

Notre descriptive des étapes relationnelles qualitatives entre noeuds de VFP différentiées est valable pour toute structure, à toute échelle, du nucléon à l'atome, à la cellule, à l'homme, au système solaire, à la galaxie... les échanges se faisant entre les champs respectifs nucléoniques, atomiques, cellulaires, biotypiques, stellaires, galactiques...
NOTE : Nous n'aborderons pas ici, dans notre présente sphère de référence, la nature du rayonnement énergétique, mais uniquement les modalités de ses multiples relations structurales. Suffisons-nous de signaler que les échanges entre noeuds s'effectuent entre toutes les nuances du champ énergétique universel supra et infra-luminal. Cepandant, ici, nous nous attacherons particulièrement aux relations générées par le champ infraluminal, thermo-électro-magnétique en ses divers aspects chromatique, ultrasonore, acoustique, thermique, etc.
Nous allons prendre comme exemple un noeud-source et un noeud-cible quelconques et nous allons considérer la cible comme étant au départ absolument vierge (cas, bien sûr, inexistant dans la nature, mais néanmoins utile pour la commodité de notre exposé).

IV - 2 - A - Les échangeurs…

Tout, dans la nature, est échangeur. Relais, actant et réactant. Tout est lien.
Tout est source ponctuelle, producteur d'énergie, générateur d'ondes à fréquences particularisées, foyer émetteur, centre initiateur, actant animateur et nourritiel, donneur, destinateur, effecteur, injecteur, polariseur, recteur...
Et tout est cible récepteur, receveur, régi et destinataire; capteur et conducteur; relais animé, résonateur, coupleur, modulateur, déviateur, condensateur, annihilateur ou soudeur, convertisseur; et réactant, ré-émetteur, transmetteur, propagateur, diffuseur, réflecteur, éclateur, disperseur...
Tout a une double nature : Emissive et réceptive. Tout agit donc comme transmetteur.
Chaque noeud est chargé de puissance. Il génère un champ énergétique qui lui est propre, qui peut être défini en chaque point de l'espace et à chaque instant par un vecteur correspondant.
Chaque noeud subit aussi un champ de force dont la valeur dépend de la valeur du champ où il se trouve et de sa réponse réactive à ce champ (ou aux champs conjugués). Tout stimulant est médiatisé.
Chaque noeud agit comme source pour tout noeud plus petit que lui, moins énergétique, ou issu de lui, et en résonance avec lui, (comme une matrice excite tous les termes qui dépendent d'elle) et qui agit, à son tour, comme réémetteur, instituant ainsi un courant d'échange continu.
Chaque noeud est un centrum relatif qui possède donc son propre état énergétique, résultant de tous les états d'énergie discrets qui le composent. Son état vibrationnel privilégié (VFP), longueur d'onde caractéristique - dépend des éléments énergétiques constitutifs, de leur densité, de leur niveau, de leur conductivité thermique, de leur pouvoir de sélectivité, de leur quantité de mouvement, etc., ainsi que de la nature de leur environnement, de leur milieu ambiant actif écologique (écosystème).
Il l'exprime en émettant un rayonnement d'intensité particulière, niveau vibrationnel exprimé par la performance, la luminance spectrale, soit la fréquence de la longueur d'onde proportionnelle à la quantité d'énergie de sortie : Ce qui forme son identité particulière unique.
Par l'échange, il passe continuellement d'un état à un autre, en effectuant des transitions : en absorbant ou émettant une certaine quantité d'énergie différentielle.
Tout objet exprime une relation. Chaque noeud est une réponse à une impulsion énergétique interne ou externe. Et le niveau d'énergie global correspond aux mouvements intra-, inter ou extra-particulaires qui en déterminent la radiance.

IV - 2 - B - …Relais

Chaque île énergétique est constituée par la jonction d'un certain nombre d'éléments qui la caractérisent et qui définissent sa composition et ses propriétés qualitatives : sa masse, sa forme, sa taille, sa charge, sa polarisation, son orientation, ses moments magnétiques et cinétiques, sa susceptibilité et son comportement, son âge, (sa séquence évolutive), sa distribution d'énergie, ses effets gyromagnétiques, etc.
Toutes les caractéristiques et limitations, seuils d'émission et de réception, sont déterminées et réglées. Mais elles subiront des fluctuations en résonance avec le milieu ambiant. Tout opérateur dépend d'un ordre varié de paramètres. Et aucun centre n'agit indépendamment de tous les autres.
Et il existe une infinité de sources ponctuelles, à toutes les échelles. Chacune, noyau géniculé, est une matrice, définie par un domaine spectral déterminé, mais comportant plusieurs composantes spectrales avec des degrés de cohérence variés.
L'Univers est un tissu énergétique parsemé de relais de différentes fonctions et dimensions.

IV - 2 - C - …Pulsants

Chaque noeud est un aimant pulsé : Organite donneur et receveur, unité d'alimentation compacte, un effecteur, agent spécialisé au comportement différentiel.
Système pulsatoire, dispersif et réceptif spécialisé, il émet sur une gamme de fréquence particulière agissant comme un résonateur de base.
Tout élément vibre, respire, et, par sa pulsation organique, se trouve uni à tous les autres éléments, directement ou indirectement, jouant le rôle relatif de centralisateur, relais d 'in- ou d'évolution, guide d'ondes et de devenir...
Tout agit de façon coordonnée dans un chrono-space aux multiples dimensions.

IV - 3 - L'ÉMISSION PONCTUELLE PULSÉE

Chaque point-source délivre spontanément un rayonnement complexe différentiel en fonction de sa propre structure de fécondation énergétique, de ses composants, de son niveau vibrationnel fondamental.
La combustion et les déflagrations radiatives entretenues dans chaque point-source, absorptions et décharges régulatrices, sont toutes régulées et liées en phase selon le processus impulsionnel de la respiration coronale.
Les impulsions d'énergies différentielles sont émises sous forme de rayonnement, de front d'onde. Le concept « un unique rayon » est erroné.
Chaque front d'onde émis se compose de milliers de fronts d'onde unis mais non confondus, et formant UNE vibration de fréquence particulière (VFP), émettant sur une seule raie spectrale, et possédant des performances énergétiques déterminées.
L'émission surfacique globale peut donc être considérée comme étant une émission plus ou moins mono-fréquentielle englobant une multitude pluri-fréquentielle de vibrations unies mais non confondues, et dont le battement entre les différents modes d'oscillations permet leur identification par les récepteurs appropriés.
La fréquence porteuse du champs énergétique unifié définit le débit (sonore, optique, thermique, etc.) de l'ébranlement, de la largeur de l'impulsion et de sa longueur de cohérence, de sa densité de puissance, de la modulation d'amplitude et de phase, etc. déterminant sa bande d'émission, sa propre raie spectrale. D'où la diversification des franges d'éclairement des sources.
L'émission générative distributionnelle s'accomplit par salves, bonds successifs de propagation, quand tous les paramètres conditionnant sont réunis.
La cohérence d'impulsion (le taux de répétition) des vagues et leur intensité sont proportionnelles à la fréquence vibrationnelle du rayonnement émis et des besoins énergétiques de l'environnement. Le fonctionnement impulsionnel des sources opère en quasi-continu. Le régime impulsionnel permanent d'excitations, à cadence diversifiée, liées en phase, assure ainsi tous les besoins énergétiques des systèmes et sous-systèmes environnants, impliquant une interdépendance rigoureuse entre tous les éléments composants.
Tout organisme est polarisé circulairement. Il est gyromagnétique. Il transfert son énergie cinétique en énergie rayonnée. (Nous y reviendrons dans le prochain cahier.) Comme résultat de cette giration, l'écoulement émissif s'organise en ondes rotatives centrées. Son hélicité (son pouvoir rotatoire) varie en fonction de la longueur d'onde fondamentale variant avec le temps et de l'homogénéité de la décharge principale.
Les ondes rotatives s'écoulent en ondes que nous dirons sphériques (la VFP émettant sur une seule raie spectrale unifiée), composées elles-mêmes d'ondes secondaires, linéaires, différentielles (émettant sur différentes raies spectrales).
La dispersion des ondes secondaires a-sphériques, linéaires, en faisceau directif divergent, est cohérente, mais alternée et discontinue. Ces ondes sont issues des éruptions directionnelles (apparemment aléatoires), alternatives (électrojets), canalisées par divers champs énergétiques à partir du noyau central générateur, et qui vont toutes s'unir pour former les ondes sphériques unifiées.
La dispersion rotatoire des ondes sphériques unifiées est non-directive, diffuse, (détente sphérique en toutes les directions) et relativement in-cohérente, en mouvement continu de vagues successives.
Toute projection d'un paquet d'énergie parti d'une source à l'instant d'origine, féconde un champ de radiation dispersif proportionnel au rayonnement émis. (Figure 31)


IV - 4 - DYNAMIE DE L'ÉCOULEMENT

DU PLASMA VIBRATIONNEL

IV - 4 - A - Propagation
L'émission des ondes sphériques est rotative. Il n'y a pas de trajet absolument rectiligne. Le balayage séquentiel est régulièrement espacé. Et, selon le degré d'intensité et la cadence de la fréquence gyromagnétique de la source, il porte, aussi loin que possible, l'étendue du flux progressif sphérique. Et sans aucun effet directionnel précis. (Figure 32)
IV - 4 - B - Trajet
Les trains d'impulsions brèves ou longues circulent à la rencontre d'autres centres actifs. Les chemins sont complexes. La trajectoire varie selon le milieu de propagation.
La transmission dans le milieu environnant, la direction et la vitesse de propagation, la distribution et la répartition énergétique spatio-temporelle, les limitations de propagation, sont toutes relatives et fonction des paramètres énergétiques générant le milieu environnant. Les quanta sont généralement déviés, tout au long de leur trajectoire, par les différents champs magnétiques de l'espace. En d'autres termes, seuls quelques quanta - et les plus proches pour une cible donnée, ont la chance de l'atteindre directement.

IV - 4 - C - Distribution

Le champ autodirecteur autoporté rencontre au cours de sa trajectoire les centres actifs les plus divers :
1)- Si le milieu est opaque, les ondes de référence (initiales) se déforment (en amplitude et en phase), ralentissent, retardent la propagation et occasionnent des perturbations. L'écoulement devient turbulent.
2)- Si les ondes passent à côté d'une cible, elles sont freinées, déviées ou altérées, selon la puissance d'attraction de la cible. Car tout objet exerce un dragage systématique sur toute bande passante. L'énergie transportée par une onde équivaut à une masse et subit par conséquent l'influence des forces géomagnétiques locales (de gravitation). Par exemple, une onde lumineuse photonique passant au voisinage du soleil subit une déviation de 1,75 secondes d'arc.
3)- Enfin, si les ondes de référence rencontrent un centre actif sur leurs parcours, elles en induisent l'émission propre, en le portant à un certain état excité qui réémettra un nouveau rayonnement énergétique, en harmonie avec la cohérence spatio-temporelle (proche ou éloignée) de la structure considérée. La traversée des ondes de compression modifie la fréquence de l'objet cible et en change la modulation et les conditions de propagation. Ce qui définit la qualité de l'objet rencontré. Le bombardement énergétique d'une cible est catalyseur d'identité. Exemple : le Soleil et la vie sur Terre.

IV - 4 - D - Alimentation

Le nouveau rayonnement émis par la cible nourrit à son tour la source initiale, selon sa puissance, comme sur le schéma suivant :
SOURCE ⇔ CIBLE
Et il s'établit alors un circuit matriciel d'ensemencement réciproque, en guidage continu. Et l'on peut parler alors de mouvement convecteur ou d'injection guidée entre les centres actifs les plus voisins agissant en polariseurs réciproques, et de circulation directive en structure quasi-fermée. (Comme par exemple le système galactique ou solaire, le système planétaire ou atomique, etc.)
L'onde converge selon l'appel, - le besoin -, suivant les particularités spécifiques des actants en présence.

IV - 4 - E - Rencontre informative

La surface d'onde du flux incident, dans la phase de localisation, vise alors, successivement et en parallèle, tous les points de la cible et en ramasse tous les détails.
Et la cible, à son tour, reçoit et analyse, successivement et en parallèle, toutes les informations portées par chaque point de l'influx. C'est cette rencontre entre trains d'ondes de différentes longueurs qui déterminera le mode opératoire suivant l'impact.
Tous les opérateurs énergétiques agissent sur leurs espaces vectoriels correspondants. Et chacun des vecteurs énergétiques représente un état déterminé, une étape de la rencontre.
Les maxima et minima de la fréquence de modulation du front d'onde incident ou réfléchi, varient selon les coordonnées et les composantes des impulsions, elle-mêmes variant, en fonction des transformations énergétiques continues ou discontinues au sein de la structure universelle.
Seul, par exemple, un quantum énergétique supérieur à 103 GeV peut déclencher une avalanche de réactions électromagnétiques et nucléaires. Au-dessous de cette valeur-seuil, le quantum fléchit, insuffisant, impuissant à déclencher la moindre réaction. En d'autres termes, il n'y a pas d'excitation quand, sous une influence quelconque, l'énergie cinétique totale du système-cible reste inchangée. La collision est dite alors élastique. Dans une collision inélastique, le champ incident provoque l'excitation du champ cible.
Notons enfin que la puissance de l'énergie d'excitation diminue avec la distance entre la source et la cible. L'élargissement spatio-temporel diminue la portée de toute injection énergétique. La largeur du profil d'onde s'espace dans le temps. Mais cet axiome n'est valable que pour les énergies infraluminales, celles dont la vitesse vibrationnelle ne dépasse pas celle de la lumière photonique, soit ≤ 299.792, 47 Km par seconde.

IV - 5 - JONCTION ET GUIDAGE ÉNERGÉTIQUE

IV - 5 - A - Jonction des coordinats

Là commence l'opération générative-transformationnelle d'énergie. Les vibrations arrivent en phase, quel que soit le trajet suivi depuis la source, à condition de ne pas être perturbées par des impacts successifs sur des obstacles divers de passage - ce qui est assez rare et relatif uniquement pour les très hautes fréquences qui traversent tous les obstacles de fréquences inférieures sans être perturbées, comme les neutrinos. De même, pour les basses fréquences, l'excitation est rarement directe et se réalise plutôt par un transfert d'énergie indirect, marginal, mais en restant conjuguée avec la cible réceptrice qui intercepte le rayonnement émis.

IV - 5 - B - Conjonction

La structure de jonction est complexe : Elle est fonction des caractéristiques, des propriétés vibrationnelles complémentaires ou non, des sources, de l'énergie fournie à la cible et de la durée des impulsions; de l'orientation de l'émetteur par rapport au récepteur et aux autres sources, de leur localisation précise, des angles de leur exposition spatio-temporelle, etc.
Sur le plan de jonction - la zone d'accrochage -, le cisaillement (inélastique) des ondes de choc à vitesses différentes, et suivant le rythme de balayage et le temps d'accès, réalise le couplage des composantes spectrales en une collision quasi résonante, dure ou molle.
Les pics de tension thermo-électro-magnétique sont continus aux points d'amorçage, favorisant une vigilance sélective constante, afin d'accueillir par attraction les champs complémentaires et d'éviter, par répulsion, les champs perturbateurs.
Les bandes d'excitation et d'absorption sélectives sont le privilège exclusif de biotypes nodulaires complémentaires accordés à certaines longueurs d'onde complémentaires. Ce qui implique un rapport d'interdépendance et, par conséquent, un guidage énergétique souligné par une certaine accélération du champ incident « attiré » par le référentiel privilégié. (Figure 33)

IV - 5 - C - Guidage énergétique

Le couplage des profils énergétiques s'organise selon des résonances thermo-électro-magnétiques précises. Ce qui induit, de fait, un guidage dynamique entre conjoints : Chaque noeud énergétique (biotype) possède un agent pollinisateur qu'il reconnaît et appelle au moyen de stimuli énergétiques divers mais spécifiques, balises pour provoquer la rencontre nourritielle.
Le nectar conduit l'insecte jusqu'à lui. Ce guidage implicite a pour fonction d'attirer irrésistiblement le complémentaire énergétique en canalisant les trajectoires suivant des directions privilégiées (« Channeling »). Il implique un profil de distribution structurale génétique qui reconnaît (par connaissance biotypique innée) l'énergie complémentaire et les moyens à mettre en oeuvre pour la capter.
Parmi ces moyens, citons les guidages géomagnétiques régulant les migrations animales ainsi que les guidages olfactif et optique ou auditif (pouvant se compléter l'un l'autre) des végétaux et des insectes.
Le guidage optique des fleurs, par exemple. L'ensemble de signaux (formes des feuilles, lignes, points, tâches de couleurs, etc.) formant une fleur, constitue des repères visuels, des panneaux indicateurs de sève. Ces associations diverses de formes, de traits et de nuances chromatiques, subtiles mais fondamentales, attirent de loin l'agent pollinisateur, qui reconnaît alors l'emplacement exact de la source et vient s'y déposer électivement. A courte distance, les repères olfactifs entrent en jeu. Ces marqueurs fonctionnels changent avec le vieillissement : La coloration vire, l'odeur change avec le virage de couleur et l'insecte évite la fleur stérile, démontrant un mécanisme précis d'économie.
La morphologie fonctionnelle des fleurs se reflète donc dans la forme et particulièrement dans la coloration des traits fins - parure attrayante - qui orientent facilement les insectes vers les nectaires, que ceux-ci soient découverts, nus, ou bien cachés. Et plus le nectar est dissimulé, plus les marques indiquant le chemin vers lui sont développées et sophistiquées.
Ces repères visuels précis fonctionnels sont à l'usage spécifique de certains insectes. Ils sont, par exemple, invisibles pour l'homme, mais bien visibles pour l'insecte accordé à leurs longueurs d'onde, à savoir l'abeille - sensible à l'ultra-violet, contrairement à l'homme.
(Des expériences sur l'innéité de la reconnaissance des signaux ont montré que des abeilles, nées et élevées en laboratoire, et qui n'avaient jamais vu de fleurs naturelles, savaient reconnaître instinctivement les signaux et les repères distincts émis par ces fleurs dès qu'elles étaient mises en leur présence.)
Il n'y a pas, dans l'Univers, d'amours non-assortis.

IV - 5 - D - Esquive

Tous les corps esquivent tous les champs énergétiques qui ne leur sont pas accordés. Le succès de leur esquive dépend de leur force d'autonomie et de la puissance du champ incident.
Un homme, par exemple, évite de sentir l'odeur du gaz, nocif. Il réagit en ouvrant la fenêtre pour respirer l'air pur : Il rejette les vibrations quantiques indésirables. De même, deux électrons évitent de se retrouver dans un même état quantique.
Ce principe d'exclusion explique la stabilité structurale de l'Univers et de chacun de ses composants énergétiques, à toute échelle.


IV - 6 - TRAITEMENT DES DONNÉES ÉNERGÉTIQUES

Le phénomène de la distinction des longueurs d'onde est à la base de tous les autres phénomènes. Chaque noeud (biotype) possède les facultés de détecter, de transformer et d'émettre des ondes dans une gamme précise de fréquence. Ces facultés, caractéristiques de chaque espèce biotypique et, diversifiée, de chaque individu au sein d'une espèce donnée, ne sont sensibles qu'à un certain éventail précis de signaux énergétiques, qu'à une certaine étendue spectrale déterminée.
Ces facultés s'ordonnent au moyen de centres et d'organes constitutifs spécialisés, capteurs-générateurs, systèmes morphologiques de traitement énergétiques plus ou moins performants, et possédant un pouvoir de résolution strictement adapté aux conditions particulières de leur propre biosphère.
Le processus du traitement des données énergétiques communiquées par une source à une cible, s'accomplit suivant les trois stades principaux : Perception et Collecte ; - Traduction ; et enfin la réponse.

IV - 6 - A - Collecte

La plupart des organes constituent des sources différentielles de réception et d'émission. Mais certains organes sont spécialisés pour la détection. Ces détecteurs exclusifs, collecteurs d'ondes et séparateurs des niveaux d'énergie incidents, sont accordés à certaines ondes de pression déterminées, auxquelles ils sont connectés directement.
Mais leur sensibilité de repérage n'est pas uniforme. Chaque organe-spectrographe couvre une largeur effective de bande du spectre dont il capture le rythme d'émission : prise de son, de lumière, d'odeurs, etc. La sensibilité réceptrice différentielle en niveaux favorise la perception des variations fréquentielles, entraînant la réponse la plus adéquate, la plus adaptée.
La détection active différentielle procède d'une manière qualitative et quantitative. Elle recueille les fréquences composantes des stimuli et discerne les composants de la raie d'émission dans toutes leurs diversités. Puis, par un phénomène de canalisation, elle règle l'arrivée des ondes. Ce qui détermine l'étendue fréquentielle de détection (audibilité, visibilité, etc.) du dispositif capteur. Et cela en fonction de multiples paramètres : Données topographiques (loci), données énergétiques d'émission, conditions d'observation et de réception des champs, équipement génétique, sensibilité, la gamme d'ondes couverte, etc.
Et c'est par le moyen des filtres sélectifs en cascade se débloquant déductivement les uns les autres selon une loi séquentielle qui dépend de la structure du signal et de la réponse, que l'organe récepteur spécifique lutte contre les ondes parasitaires et les réverbérations des franges d'interférences.
Mais seule l'attention, - la vigilance, radar de veille orientable, élimine ces parasites par un pointage ajusté qui augmente considérablement le pouvoir de détection et de discrimination. Sur l'axe sagittal, la réception est quasi-parfaite.

IV - 6 - B - Traduction

Chaque onde est chargée d'informations pour son capteur. La cible reçoit différents niveaux d'émission, d'accès successif et parallèle, et analyse, successivement et en parallèles, toutes les informations portées par chaque point de l'influx sur lequel elle est branchée. Aucune information n'est rejetée a-priori.
L'organe récepteur canalise les différences fréquentielles en un multiplexage focalisant et le transmet à l'analyseur spécialisé correspondant, à fin de lecture, d'identification, d'interprétation et de réponse.
Le flux est alors modulé en graphe simple (vidéogramme, audiogramme, etc.) ou en graphe conjugué, selon la fréquence caractéristique de la cible et ses propriétés de résolution des signaux.
La lecture, décodage successif (en série) et simultané (en parallèle) des signaux différentiables, relève la nature et les caractéristiques de l'information en la décomposant en ses éléments initiaux (intensité, cadence, éloignement, sens) à fin de décision.
La distillation et l'interprétation du champ piégé dans le réseau analyseur se fait selon certaines conditions précises d'accords vibrationnels.
L'aptitude de l'analyseur à distinguer et, par le dépouillement de la mosaïque d'informations transmises, à reconnaître l'identité des sources, les différences fréquentielles et leurs nuances, à procéder à l'identification des variations caractéristiques de la cadence, des inhomogénéités d'indice vibrationnels etc. implique une MEMOIRE enregistrée dans les composants énergétiques de la cible ainsi que des grilles de codage et de décodage précises. C'est ce qui permet à tout biotype de résoudre avec le plus faible facteur d'incertitude les divers problèmes qu'il a à résoudre.
Le mécanisme analyseur, avec son pouvoir séparateur qui différencie et caractérise qualitativement et quantitativement les divers composés de l'influx, définit la prise de conscience, l'estimation rationnelle et la prise de décision.
La décision modulée est alors transmise par centrifugation-éclair aux centres moteurs à fin d'exécution de la réaction-réponse selon la meilleure estimation d'efficacité.
Le temps d'analyse est plus ou moins rapide selon les divers paramètres incidents (nature de l'influx, éloignement, volume des corps). Depuis le recueil de toutes les informations, la reconnaissance des caractères des ondes de compression, leur enregistrement, et jusqu'à la préparation et l'exécution de la réponse efficace la plus économique selon le meilleur rapport, le temps écoulé se calcule soit en millionième de secondes, en minutes, en heures, en mois, en années, soit en siècles, selon les données d'éloignement chrono-spatiales, et de la nature de l'influx...


IV - 7 - LA RÉPONSE RÉACTIONNELLE :
DÉTERMINISME ET DÉTERMINATION

IV - 7 - A - Tout est réactif

A chaque longueur d'onde incidente, correspond un rapport adaptatif de réponses. Soit une réponse différente à chaque influx de longueur d'onde différente. Ces réponses sont définitives et marquées indélébilement dans les gènes et elles évoluent en fonction de l'écosystème biosphérique. (Cf IV- 9)
Toute réaction est motivée. Tout est réponse à un influx. Il n'y a pas de hasard dans la morphogenèse. Tout a un but précis d'accord. Même le poil le plus fin joue un rôle déterminé dans les échanges circulatoires des énergies.
La sélectivité de la réponse réactionnelle dépend de tous les caractères intrinsèques de la structure émetteur-cible : Soit les paramètres énergétiques interférentiels écologiques, la composition spectrale incidente, la répartition d'éclairement et sa durée, le volume spatial exploré, le patrimoine génétique de la cible, ses aptitudes à distinguer et à reconnaître la fréquence de résonance, son spectre d'acceptation (acceptance), son stade de développement, ses mécanismes de réaction et de protection, toutes les conditions de réception, son marquage, etc. Tout corps réagit par une action concertante en fonction des critères qualitatifs et quantitatifs en présence.
Tout corps est différentiellement inductible. Il dispose d'un dispositif particulier adapté qui lui assure une sélectivité élevée sur toutes les longueurs d'onde qui l'agissent en affinité, et une sélectivité nulle sur les bandes interdites avec lesquelles il n'est pas accordé.
IV - 7 - B - Seuils de réactivité

La variation et l'intensité de réponse est fonction non seulement de la quantité et de la qualité du rayonnement incident et des rapports de rection entre le recteur et le régi, mais aussi de la nature du matériau biologique constituant la cible, de ses affinités et de son spectre d'action particulier au sein de sa propre biosphère.
C'est seulement sous la pression de l'atmosphère Terrestre que l'eau bout à 100°C au niveau de la mer et à 68°C au sommet de l'Everest. Sur la Lune, elle bout à basse température et sur Vénus à 300°C. Chaque élément a un point d'ébullition différent.
Les ondes lumineuses ne peuvent se décomposer en leurs constituants reconnaissables qu'à la condition de heurter des objets accordés à leurs longueurs d'onde. Le filtrage des fréquences spatiales et d'amplitude se fait dans les valeurs limites du pouvoir de résolution biotypique qui fixe les seuils et les bandes interdites. Le franchissement des limites critiques exerce un effet corrupteur, et celui des limites absolues entraîne la désorganisation immédiate de la structure cible (la mort), à moins qu'il n'y ait eu évolution adaptative. Et remarquons ici que les seuils d'un biotype ne croissent pas indéfiniment avec les énergies incidentes ; ils sont régulés pour répondre à certains rayonnements d'énergie déterminés, dont les maxima et minima sont fixés et qui conditionnent la biosphère d'existence.


IV - 8 - CINÉTIQUE D'ACTIVITÉ RÉACTIONNELLE

IV - 8 - A - Le ligand (ou coordinant)

Le capteur est un relais transmetteur de modèle transformationnel. Soumis à un champ incident déterminant, il accomplira sa fonction instrumentale de coupleur et de modulateur. Il modifiera le coefficient de tension incident par le sien propre.
Le résultat de cette liaison bilatérale sera un transfert résonant d'une forme d'énergie initiale à une autre induite. Et ce sera justement la nature du flux émergent du système excité qui exprimera sa propre cinétique d'activité réactionnelle.

IV - 8 - B - Conversion énergétique
 
1)- Paramètres
Une extrême variété de paramètres, eux-mêmes extrêmement variants, fixe les niveaux de conversion. Citons quelques exposants critiques :
Les localisations chrono-spatiales (les loci) ; la charge du champ incident, sa nature, la durée de l'éclairement (de l'exposition), sa puissance de crête, les caractéristiques du coupleur, son taux de polarisation, son organisation structurale, son état de surface, sa perméabilité (sa porosité), sa situation écologique, son état d'adaptation, les plages d'accord, les modes d'excitation ; ses fonctions analytiques, sa résolution, sa résistivité à la pression subie, les infiltrations, le degré d'implantation ; tous les mécanismes réactionnels d'intervention ; le nombre d'éléments spectraux reliés, les performances interférentielles, les temps de réponse ; tous les facteurs commutatifs directs ou indirects...
Tout champ incident exerce une pression différente et induit des réponses différentielles.

2)- Mixage
L'arrangement des jonctions en un alliage coordonné, synthèse croisée entre tissus différents, s'organise suivant les capacités d'association, de façon à optimiser le rendement énergétique le plus économique à l'écosystème du relais, en groupant les champs incidents en familles affinitaires.
Cette dynamique de jonction, par les interactions entre les différentes longueurs d'onde des réseaux concernés, génère une énergie cinétique de translation. Celle-ci fait s'hybrider les champs incidents, s'organiser les couplages par paires tourbillonnaires complémentaires, se recombiner les multiples quanta énergétiques en présence - toutes les transitions radiatives quantiques, les compensations de charge, les adaptations, les corrections, - et procéder, par suite, à l'ovulation d'un champ maximal résultant : Le champ uni du coordinat, sa VFP.
 
3)- Temps de transition
La rapidité des réponses dépend, nous l'avons vu, de la multiplicité des variables en corrélation. Notons ici que la plupart des réactions ne sont pas remarquables par les capteurs sensoriels, malgré l'appareillage d'appoint le plus perfectionné. On ne remarque jamais que les résultats.
 
4)- Transfert
Parmi les constantes de couplage, signalons que les champs énergétiques les plus intenses (de plus haute fréquence) modulent les champs les plus faibles et exercent sur eux différentes pressions, dont les pressions mutagènes. Mais l'énergie d'une source donnée ne peut influencer que les cibles qui lui sont directement ou indirectement accordées.
Malgré l'énorme diversité des transitions radiatives, il n'y a généralement pas d'encombrement. Les cheminements sélectifs empruntés par les réactifs à multicharge se font selon un barème variable d'efficacité spectrale compensatrice. L'excitation est sélective selon la nature des constituants principaux, le degré d'acceptation du milieu et son adaptation aux différentes contraintes.
Tout subit les « perturbations » ambiantes. Par « perturbations », nous entendons les transitions parasitaires, les décharges secondaires, les turbulences, bref toute charge énergétique non nécessaire au biotype donné. Ces perturbations sont plus ou moins perdues selon leur importance pour le biotype considéré. Ainsi y a-t-il souvent des impuretés parasitaires dopantes (comme pour les cristaux conducteurs). D'autre part, le ligand peut rester asservi aux perturbations provoquées à grande échelle, l'atténuation variant en fonction de la fréquence vibrationnelle du biotype qui s'en ressent et de ses modes d'adaptation.
Les réactions cinétiques de transfert étant toutes résonantes, les limitations fondamentales du milieu modulateur s'agencent selon les besoins adaptatifs du moment. Les énergies maximales fournies ou délivrées sont déterminées et limitées par les réactions en phase du modulateur. Ce qui définit les modes de ré-émission.
La transmission intégrale n'est possible que pour les énergies de très hautes fréquences.

5)- Évolution de l'activité réactionnelle
Cette évolution due au couplage entre les champs, s'organise suivant le schème bio-physiologique classique :
D'abord, l'activation croît régulièrement en un tapis d'accélération progressif, depuis l'induction de la synthèse et son activation excitante hautement efficace, jusqu'à la transition critique (seuil).
Atteignant un niveau maximal d'implantation énergétique dans une matrice donnée, l'activation simultanée aboutit, au bout d'un temps aléatoire de montée de la tension de décharge, à la libération par centrifugation zonale de l'énergie de réponse unanime.
Enfin, l'activation se stabilise et décroît régulièrement par inactivation contrôlée Le système responsable, saturé, ne répond plus. Il se désexcite. Le temps de relaxation est inversement proportionnel à la tension. Et un certain laps de temps devient nécessaire avant la reprise de l'activation.

IV - 8 - C - Champ résultant de l'opération

générative-transformationnelle

La conversion, en fondu enchaîné, des énergies cinétiques combinées déclenche une modulation chrono-spatiale interférentielle sélective de flux qui s'exprime par une conjuguée de charge, résonante en fonction des charges de jonction. Cette déflagration radiative subséquente libère une onde de fréquence privilégiée : un langage.
Mais notons bien qu'il n'y a d'émission que lorsque l'énergie résultante dépasse suffisamment l'énergie du niveau fondamental de la cible. La spécificité de la réponse, la puissance de sortie de l'énergie déclenchée ainsi que son niveau vibrationnel inscrivent par conséquent la marque des champs couplés et une caractéristique du convertisseur déployé - son profilage bioénergétique dans des conditions données mais non une de ses propriétés intrinsèques.
La conjuguée de charge ou la transformée énergétique peut être calculée suivant la quantité d'énergie linéique, surfacique ou volumique de charge distribuée ou cédée au milieu référent par unité de parcours. La portée de l'énergie transférée, son amplitude de diffusion, ses variations et la durée de vie radiative de la décharge réactionnelle sont donc déterminées par la distance où a lieu la jonction émettrice (la distance parcourue dans le matériau) et des relations quantiques de dispersion. Remarquons qu'il y a un amortisseur d'énergie et un décroissement de l'action énergétique tout le long du parcours, à partir des pics spectraux jusqu'aux creux les plus profonds. Cela, bien sûr, en fonction de la qualité du rayonnement.
Le rendement quantique global égale au rapport de l'énergie à la sortie de la transition, extraite de l'énergie fournie. La fréquence du rayonnement de réponse est proportionnelle à la différence d'énergie des niveaux. C'est ce décalage entre les ondes principales incidentes et l'onde induite diffractée qui signale leurs variations d'intensité, leur différence d'amplitude, les alternances d'éclairement, l'apport de leurs transitions, leur position d'émission, etc.
La fréquence du rayonnement émergent est liée en phase avec les rayonnements incidents couplés. La fréquence privilégiée d'émission est accordée à tous les niveaux vibrationnels incidents fondamentaux du biotype considéré dans sa propre biosphère. Un corps n'émet rien qu'il ne puisse lui-même déchiffrer.

IV - 8 - D - Influences circonstancielles

Nous ne considèrerons ici que l'articulation des champs surdéterminants. Les autres déterminants, vagues occasionnelles de champs dus aux configurations chrono-spatiales aléatoires, n'articulent que des effets secondaires, des variations proportionnelles relativement faibles, mais cependant non négligeables dans le marquage quantique global. Ce qui fait que toute prédiction reste, en ce domaine précis, largement probabilitaire.
Le milieu transmetteur réagit à la longueur d'onde associée à la transition, créant des harmoniques selon un rapport adaptatif précis.
L'activité catalytique, régulière, sporadique ou épisodique et passagère, et d'intensité variable, influence l'architecture des milieux traversés. Le champ interagit en chaque point de la cible. L'énergie est transférée à tous les composants actifs selon leurs accords et leur sensibilité. Elle est véhiculée dans la structure par différents canaux et voies radiales de pénétration, selon sa destination corrélée et les conditions de révélation adaptées.
La catalyse est homogène ou hétérogène, constructive ou destructive, développante ou incapacitante. Elle entraîne des modifications structurales selon l'importance circonstancielle des corrélations en présence et le degré d'adaptation locale au balayage énergétique. Mais le rendement de conversion d'énergie est toujours écologiquement le plus favorable dans les conditions données.
Tout phénomène est spécifique des paramètres présidant à la rencontre de champs différents. Et les raies de transition affectent d'une façon ou d'une autre, à différents degrés, les aspects du métabolisme constitutionnel du biotype excité. Ainsi toute modification énergétique apporte-t-elle une information sur la nature des coordinants, des ligands.
Dans des conditions identiques, nous retrouverons toujours des séquences identiques de réactions. Mais notons qu'aucun diffuseur ou récepteur n'est immobile et invariant.
Enfin, les processus réactionnels sont irréversibles.

IV - 8 - E - Chemins réactionnels

La distribution d'énergie, nous l'avons vu, s'organise par un filtrage sélectif qui, après avoir absorbé, par inclusion, les fréquences complémentaires d'un spectre donné, expulse, par exclusion, l'énergie résultant du mixage des champs incidents, y incluant les fréquences non complémentaires.
Tout objet est sélectivement perméable. il ne retient que les fréquences auxquelles il est accordé et qui lui sont biologiquement nécessaires, et diffracte, réfléchit, élimine les fréquences auxquelles il est réfractaire. Seuls sont acceptés les quanta d'énergie complémentaires, les autres étant bloqués ou défléchis par les mécanismes immunitaires. Ce qui définit le degré de conductivité.
Remarquons que la composante canalisée du rayonnement incident est plus énergétique que la composante refusée, non canalisée et réfléchie. C'est le degré d'acceptation (acceptance) circonstancielle qui règle la qualité et la quantité absorbée d'énergie, sa profondeur de pénétration, les pouvoirs d'arrêt différents, la densité de dépôt et l'intensité réfractée, proportionnellement à l'énergie du rayonnement incident et au nombre et à la qualité des systèmes récepteurs et transformateurs.
L'excédent est donc restitué avec l'énergie résultante et se perd (relativement) à l'extérieur de la jonction. Mais il reste lié en phase avec les rayonnements incidents et induits.
L'indice de réfraction (le niveau réflecteur) varie avec la densité de l'impact (la pression de radiation). Ce sont ces variations d'indice qui assurent le guidage des ondes incidentes.
Le temps de relaxation est progressif ainsi que l'atténuation de l'intensité.
Les bandes de fréquence nouvellement engendrées sont émises dans des directions particulières dépendant du rapport adaptatif du rayonnement induit à la biosphère. Mais nous ne pouvons parler de directivité axiale d'une émission, vu que les ondes sont sphériques en définitive et non en faisceau cohérent, quelle que soit son ouverture. On ne peut parler que de la rapidité relative de fréquence de certaines émissions qui paraissent ainsi avoir une directivité axiale déterminée. Rappelons ici que plus la fréquence est rapide, plus le champ est relativement « libre ».

IV - 8 - F - Outils de réponse

1)- Les réactants
Tout corps oppose une barrière à la distorsion de certains stimuli bio-physiologiques. Sa réponse immunitaire (ses pouvoirs d'arrêt) varie en fonction de la qualité et de la quantité des énergies incidentes. Elle organise alors un revêtement membranaire réfléchissant, une armature, une gaine de protection. La vie sur Terre se protège par un gainage de 1000 Km d'atmosphère. La peau, comme les membranes cellulaires, sont des barrières, des frontières, isolant deux matériaux énergétiques différents.
Chaque corps possède ses réactants spécifiques, ses propres agents de conversion qui agissent comme modificatifs circonstanciels particularisant telle réponse pertinente. Les réactants biologiques, par exemple, possèdent un pouvoir exemplaire d'accélération ou de freinage de certains processus métaboliques, dont le pouvoir de restauration cellulaire, par la réparation des lésions subies, la récupération des propriétés initiales perturbées, et autres effets adjuvants.

2)- Les tolérances biotypiques
Les réactions ionisantes interfèrent, suivant leur nature, sur la biodynamie de la cible. Celle-ci, possédant un champ plus ou moins tolérable, réagit dans les limites de ses seuils biotypiques, suivant les constantes cinétiques de réaction.
L'action est continue ou occasionnelle, lente ou soudaine par pression de choc, directe ou indirecte par substitution de source, positive, stimulante, évolutive, régénérante ou bien négative, perturbatrice, entropique, létale et bouleversant, distordant l'équilibre de la cible et en déplaçant les raies d'émission...
Les effets de dégradation, locale ou générale, ne sont provoquées que par un influx de certaines radiations (dites « toxiques ») qui désaccordent la cible d'avec sa biosphère ou qui en désaccordent, par inhibition, les différents métabolismes ou les différents organes assurant sa directivité. Ce qui entraîne soit une érosion lente par déséquilibre et une entropie par gel d'évolution ou par inactivation dans une stagnation paralysante ; soit une destruction maximale par dislocation soudaine des structures. Quand les dommages ne sont pas réparables par les réactions immunitaires paralysées, on conclut à une dose létale de radiations incidentes entraînant un déséquilibre irrémédiable.
Le taux de destruction est relatif et dépend du temps d'exposition et de déséquilibre et de l'aptitude de certaines radiations à détruire certains corps qui ne leur sont pas accordés et qui n'ont pas prévu une réaction immunitaire adéquate. L'effet cancérigène corrupteur sur l'organisme humain, par exemple, se détermine, pour certaines colonies de cellules, particulièrement les plus radiosensibles, lorsque celles-ci sont irradiées par des radiations « nocives », non acceptées. Les radiodermites et autres tumeurs plus ou moins graves en sont les expressions. Notons en passant que ce sont les cellules qui se reproduisent au rythme le plus élevé qui sont les plus radiosensibles aux phénomènes d'ionisation...
 
IV - 8 - G - Illustrations

1)- Effets thermogènes
Certains rayonnements incidents induisent souvent des dégradations locales ou générales en chaleur, selon les propriétés thermiques du corps-cible. Ses courants de convection thermiques, sa conductivité thermique, son pouvoir d'échauffement climatique varient suivant le traitement thermique du moment. L'excès d'ultra-violet provoque une tumeur de la peau, le déficit provoque le rachitisme.
La température d'un corps est proportionnelle à l'énergie moyenne des champs incidents et induits constituant la biosphère. L'organisme humain, par exemple, est un thermostat qui maintient sa température à 37°C. Des mécanismes physiologiques complexes commandés par les systèmes nerveux couplés, assurent 1'équilibre thermodynamique et la distribution de la chaleur tant au niveau des organes qu'au niveau de la peau. Les lignes isothermes sont identiques chez tous les individus sains d'un biotype donné et différents chez ceux qui sont atteints par différentes lésions et perturbations.
Les indicateurs thermiques, lors des variations thermiques, alertent les récepteurs spécialisés (hypothalamus) qui, après traitement de l'information, déclenchent les réactions appropriées les plus économiques afin de rétablir l'équilibre le plus rapidement possible. Ces récepteurs agissent comme un directoire qui centralise les informations à partir des données communiquées et qui conçoit la meilleure stratégie de réponse et de régulation.
Parmi ces réponses, citons l'accélération ou la décélération du rythme cardiaque, le fait de frissonner (afin d'augmenter la production de chaleur), de transpirer, de s'essouffler, de rougir ou de pâlir (afin de modifier la quantité de sang irriguant la peau)... La fièvre, élévation thermique locale ou générale, est une chaleur produite par le métabolisme du corps et qui correspond à la chaleur perdue au profit d'un milieu donné en lutte contre une rupture d'équilibre énergétique (due à une invasion virale par ex.). La conductibilité thermique varie suivant l'intensité de l'énergie causale.
Un autre exemple : La température locale du territoire cutané pectoral s'élève de 1 à 8°C dans les cas de cancer du sein. Ces perturbations thermiques (dépistées grâce à la chaleur émise, par des thermographes ou par des détecteurs quantiques punctiformes réalisés récemment) indiquent l'état de santé des organes. Chaque tumeur possède une thermogenèse spécifique exprimée par des niveaux de réchauffement différentiels.

2)- La photo-morphogenèse
La transmission de l'énergie cinétique au milieu biologique se fait particulièrement par le spectre lumineux.
La lumière, source d'énergie, est un des facteurs écologiques les plus importants pour le développement des biotypes sur Terre. Ses modifications entraînent immédiatement des réactions chez tous les biotypes avec une efficacité biologique relative, pouvant induire parfois des mutations génétiques. Prenons les végétaux, premier maillon du cycle biologique.
Certaines radiations du spectre visible ont des effets particuliers sur la croissance des végétaux et sur leur morphologie. La photosynthèse est la première réaction-réponse photochimique nourritielle des plantes. Le rouge lointain à 7300Å agit sur la morphogenèse ainsi : Il catalyse la transformation bioénergétique en déclenchant des changements de formes, la différenciation, le développement harmonieux des feuilles, l'élongation de la tige, la répartition des poils épidermiques, etc.
La lumière rouge (6000 à 7000Å) induit la photomorphose, la germination. Cet effet peut être annihilé expérimentalement par une autre lumière, soit, pour la laitue par exemple, régulée à la lumière rouge de 6600Å, le rouge lointain ou sombre de 7000Å à 8000Å) qui a à 7300Å un effet inhibiteur de synthèse.
C'est un élément cellulaire, disons un phytochrome, qui joue le rôle de récepteur. Il est sensible à certaines radiations. Il reconnaît les longueurs d'onde particulières sur lesquelles il est accordé et réagit en déterminant sa réponse par un processus de morphogenèse adéquate, déterminant les caractéristiques du végétal. Son intervention rapide déclenche la photosynthèse rendant les composants aptes à remplir leur fonction catalytique de réaction spécifique morpho-génétique et de contrôle.
Ainsi donc s'organise la capture des informations énergétiques et leur traduction en termes de modifications morphologiques, selon le spectre d'absorption du quantum énergétique.
L'intensité de la photo-réponse dépend donc
1)- de l'irradiation qui entretient la photosynthèse. Mais la réponse n'est pas intensifiée par un accroissement aléatoire de la durée de l'éclairement;
2)- de la vitesse de photosynthèse irréversible, jusqu'à atteindre le point d'équilibre. Et toujours indépendamment de la durée d'éclairement;
et 3)- du patrimoine génétique et des facteurs photosynthétiques (perméabilité aux solutions nutritives, par ex.)
La spécificité des réponses cellulaires est affectée selon l'état de différenciation, de développement et d'aptitude au moment même de l'excitation. L'activité photosynthétique croît régulièrement avec l'activation. L'état dit photo-stationnaire est une aberration. Tout est physiologiquement actif et en échanges perpétuels. Tout est relais.
Les réponses sont réglées, comme dans un mécanisme de grande précision, suivant les niveaux de traduction (de contrôle) et de régulation. Des seuils précis en limitent la portée.
Les cellules différentes constituantes, toutes agents de régulation apparentées, répondent différemment ; les systèmes distincts répondent de façon distincte, même à l'intérieur de la cellule, selon la nécessité de la réponse. Tous les métabolismes sont directement ou indirectement interdépendants et se régulent réciproquement.
Deux principales variétés de réponses concourent :
1)- Les réponses négatives traduisent l'inhibition - le désaccord - des processus biologiques avec les énergies incidentes et l'implantation d'ions non complémentaires. La réactivité se signale alors par des effets auto-vaccinants et immuno-supresseurs ;
et 2)- Les réponses positives qui traduisent la compétence spécifique des métabolites organiques à résoudre tout problème de biosynthèse par la formation d'un poil, par exemple, d'une gaine préservative, ou par l'augmentation de la vitesse de croissance, tous phénomènes de compensation.
La variation de la probabilité de survie d'un biotype donné est fonction de la quantité et de la qualité d'énergie absorbée par les différentes colonies cellulaires irradiées et de leur potentiel de traitement le plus favorable à sa préservation et à son évolution adaptative.

IV - 8 - H - Résumé

Résumons-nous brièvement en cette fin de cahier. Mais notons auparavant ceci : Nous sommes passés imperceptiblement, dans le présent cahier, des corps inanimés aux éléments biologiques. Et certains ont probablement vu, là, une mixture qui peut paraître aventureuse. Mais qu'on ne se trompe pas sur notre propos. La logique du vivant est partout, en tout. Et les structures-bases des échanges sont absolument identiques que ce soit pour les éléments inanimés (la matière inorganique) que pour les organismes vivants, « biologiques ». C'est pourquoi nous avons utilisé l'expression « biotype » pour désigner par une acceptation large, tout noeud, tout coordinat énergétique, et ce, quelle que soit son organisation (primaire pour les matériaux inorganiques et hautement complexe pour les organismes doués d'autonomie). Tout, pour nous, est vie et la même logique des échanges énergétiques s'y applique.
Le circuit d'échange est un assemblage d'éléments actifs, transmetteurs et relativement passifs, receveurs, accepteurs, condensateurs et réémetteurs actifs, organisant entre eux un échange pulsatif d'énergies. Et cela en vue de réaliser une fonction d'équilibre biocosmique bien déterminée.
Ce circuit est donc une chaîne fonctionnelle formée d'éléments branchés en série, quelles que soient leurs distances chrono-spatiales : D'un côté, le donneur, porteur de charge, source nourritielle d'énergie; d'un autre côté, l'accepteur, porteur de charge branché au donneur, directement par fixation sélective et jonction polarisée (comme la Terre par rapport au Soleil), ou indirectement, selon les circonstances.
Le tableau suivant va nous permettre de mieux saisir les multiples aspects des échanges énergétiques: (Pour des raisons techniques, tous les schémas et les illustrations de la Communication 4 ne peuvent être vus que dans la version téléchargeable en PDF. Merci de s'y référer.)

La région de charge d'espace nodulaire de l'accepteur, région de branchement ou s'opère la jonction des deux charges d'espace, porte les outils de transmission et de collecte d'un message énergétique donné. Ces outils se trouvent généralement sur la membrane sélective, gaine protectrice. La sensibilité de réception des outils de collecte dépend de la nature des sollicitations énergétiques transmises, de leur débit, de leur importance, de leur intensité (brutales ou molles), de leur directivité, de leurs fluctuations, des perturbations polluantes causées par les sources parasitaires, ainsi que de la qualité (la capacité) des outils eux-mêmes. Souvent la cause perturbante se trouve dans la défectuosité du système de collecte et de traitement.
Le circuit de transmission et de réception par branchement direct implique un code, un langage commun : Les fréquences vibrationnelles nodulaires sont en effet harmoniquement accordées entre, d'une part, les porteurs des signaux codés, et d'autre part, les transducteurs organiques qui y sont branchés.
Les Transducteurs, organes d'entrée (antennes) sont spécialisés dans des domaines d'utilisation dynamique précis (l'oeil, l'oreille par exemple). Ils sont caractérisés par :
- un domaine de mesure particulier à une gamme fréquentielle déterminée;
- soit par une capacité de détection, de réception et d'enregistrement, déterminée par les seuils minimal, d'insensibilité, et maximal, de saturation, de douleur : Soit par l'incapacité de distinguer des phénomènes fréquentiels au-delà d'un certain seuil de sensibilité accordée ;
- Enfin, par sa fidélité de transmission.
Le circuit de réception est composé d'un système conducteur qui, par des filtrages appropriés, décode le signal reçu en ses modulations paramétriques (phase, fréquence, amplitude…) et le transcrit dans le langage codé, accordé harmoniquement, particulier, spécifique au système du biotype nodulaire analyseur. Tout est transmis intégralement sans risque de mélanges par multiplexage sauf en cas de distorsion accidentelle. Et souvent les transformateurs opèrent un réajustement impulsionnel dans la reconstitution modulée du signal initial, en cas de parasites par exemple.
Le circuit de traitement de signal est la centrale d'équilibre nodulaire. Le dispositif de traitement comprend les fonctions - de lecture et de discrimination, - d'analyse et de logique comparative, associative et décisionnelle, et enfin - d'intégration et de classement mémoriel (pour le cas de réutilisation économique des mêmes informations).
Le circuit de commande, lié à la logique décisionnelle (choix de la réponse la meilleure et la plus économique), commande - justement un système asservi formé des organes actionnels, éléments du circuit de transmission de la réponse efficace.
La réponse réactionnelle et les temps de réponse sont fonction de la tension appliquée ainsi que des divers paramètres nodulaires intrinsèques et écologiques extrinsèques. La réponse positive est soit nerveuse, rapide, brutale, vive, soit molle, lente, amortie, atténuée, selon l'accomodation ou les résistances nodulaires, les tensions d'échanges variant en fonction du temps d'adaptation. Une réponse négative s'exprime par la dislocation sans merci de l'accepteur-cible devenu définitivement dés-accordé, hors-jeu.
Des réponses positives dépendent les conditions d'équilibre écologiques. Car la réponse affirme une adaptation. Elle est une nouvelle, émission (mission) bioénergétique de l'accepteur, mu, à son tour, donneur. Chaque nœud est un transformateur, un coordinant, un relais, avec une charge d'espace propre. Et toutes les régions de transition sont des chrono-spaces d'échanges. Ce que nous schématiserons comme suit (Figure 34).


IV - 9 - L'ADAPTATION ÉVOLUTIVE

Les plages d'accord entre deux sources complémentaires, ou entre un corps et sa biosphère, à un instant donné, déterminent l'adaptation de l'un à l'autre. Par exemple, la plupart des insectes sont aveugles au rouge et réagissent fortement aux jaunes, aux bleus et à l'ultra-violet. Les végétaux qui les nourrissent possèdent des indicateurs de nectar, à l'usage spécifique de leurs propres agents pollinisateurs, et, par conséquent, accordés à leur fréquence : Les balises sont ultra-violettes (et donc invisibles à l'homme et à d'autres biotypes non intéressés par le nectar).
Le perfectionnement des organes constitutifs d'un biotype donné témoigne d'un haut degré de stabilité et d'adaptation à la biosphère. Les différents modes de filtrage, leur sélectivité remarquable, les processus d'interprétation des signaux impulsionnels incidents et de leurs propriétés, les critères de décision, sans oublier les propriétés sélectives et adaptatives des organes récepteurs à leurs propres signaux, etc. bref tout pouvoir de résolution des radiations (privilégiées pour le biotype considéré) témoignent de l'adaptation du biotype à son milieu. Ce qui détermine sa normalisation de masse et de charge, les seuils de sa sensibilité réceptive et réactionnelle, ses orientations, bref sa façon d'être au monde.
Le déterminisme génétique s'adapte à tous les changements évolutifs d'abord par acculturation simultanée des organes à toutes les conditions de vie, puis par progression également simultanée avec le courant évolutif global. A tel moment, par eemple, et suivant les variantes positionnelles incidentes des déterminants, le biotype possède une telle morphologie, et à te1 autre moment, s'épanouit une caractéristique exprimée par une morphologie différente, en accord avec les données de la biosphère contemporaine. Mais l'évolution n'est imperceptible que par ses résultats. Certaines variations brusques observées n'induisent qu'une apparente discontinuité. Donc, pour un biotype donné, il ne peut y avoir qu'un seul specimen (type) dans des conditions déterminées.
L'adaptation suit la loi du moindre effort - le plus économique, mais aussi le plus efficace. Les propriétés de guidage polarisé étant déterminées par une connaissance innée des énergies complémentaires, ou bien par l'imprégnation dès la naissance de certaines situations et formes mémorisées depuis, maturant ainsi les capacités de réaction. Le temps d'intégration adaptative est négligeable et a lieu durant l'apprentissage - où l'aptitude d'enregistrement est maximale. Les animaux migrateurs suivent exactement le même chemin à des mois ou à des années d'intervalles...
Mais c'est suivant le champ évolutif exprimé, par exemple, par l'éloignement des sources et les différentes conditions circonstancielles biotypiques que le pouvoir de distinction de certaines radiations, autrefois capitales et devenues non nécessaires, s'estompe, avec un affaiblissement proportionnel des réponses par atrophie progressive des organes correspondants qui n'ont plus de raison d'intervenir.
L'état d'un quantum biotypique nodulaire est constant et dépend de sa situation spatio-temporelle qui le module. Son adaptation évolutive est fonction des conditions imposées par les propriétés caractéristiques des sources principales, leur emplacement (locus), les variations régulières de leur orientation par rapport au capteur, les chemins énergétiques sans cesse différents, l'effet des multiples interactions entre propagateurs, des croisements de champs et des fluctuations aléatoires d'échange, conditions qui, toutes, modulent les caractéristiques et les potentialités du relais. Il n'y a de « terminaux » qu'en fonction d'un observateur partial à un moment donné.
Tout est résonant. Tout est connecté à tout. Rien ne s'ignore. Rien n'est isolé. Tous les phénomènes sont interdépendants. Tout interagit sur tout à différents degrés. Tous les noeuds s'articulent les uns aux autres. Tout s'adapte à tout. Tout évolue en phase, par stimulation combinée, coordonnée. Depuis toujours. Réalisant un Ensemble structuré continu.
L'adaptation résonante évolutive est l'invariance relativiste capitale.
(Cf Communications VII  : L'En-devenir et XI : L'univers cellulaire.)


IV - 10 - LA RÉGULATION ÉNERGÉTIQUE UNIVERSELLE

L'univers est un continuum isotrope pulsant intégrant toutes les invariances constantes et tous les variants dans une structure coordinatrice coopérative. La structure universelle est l'arrangement en un tout des différentes parties interdépendantes et solidaires, dans un mouvement synchronique auto-dynamique, quelles que soient leurs positions chrono-spatiales.
La cohérence chrono-spatiale du tissu énergétique biocosmique définit les relations invariantes mutuelles entre les différentes variantes. Ce qui détermine un réseau continu d'harmoniques par échanges constants, émissions, transmissions et diffractions généralisées dans toutes les directions (équivalentes) de l'espace et à tous les niveaux bioénergétiques.
L'Univers est une combinatoire cosmique réglée, une trame à laquelle contribuent toutes les énergies disponibles en une coexistence dynamique, selon les exigences de la cinématique de la régulation bioénergétique universelle - les lois décisives d'ordre et d'équilibre.

IV - 10 - A - Connexions régulées par synchronie

L'énergétique universelle se régule par un réglage fin des relations réciproques de détermination, d'échanges et de connexions synchroniques entre tous les coordinants effecteurs - systèmes bio-quantiques qui déterminent une organisation spatiale signifiante, le tout étant le résultat des parties:
- la distribution et la répartition spectrale, les conditions opératoires, les chemins énergétiques interstellaires (inter-nodulaires), privilégiés pour certaines fréquences;
- la configuration générale de toute la population cosmique, homogène dans son hétérogénéité ; la localisation exacte des constituants, leur espacement, les sites privilégiés, les rapports de structure;
- l'itération cinétique des effecteurs en déplacements constants, en glissement continu synchronique;
- leurs caractères distinctifs déterminatifs;
- leur structure rotationnelle spécifique ; leur structure de révolutions orbitales; leur polarisation;
- leurs ébranlements énergétiques, leur flux de charge pulsé, la fréquence et la périodicité des variations énergétiques ; la durée des émissions radiatives entretenues ; leur vitesse radiale;
- les fluctuations interférentielles corrélatives à l'écartement des sources ; les complexes de transmission; les relations de commutation; les limitations de propagation;
- les conditions d'adaptation optimale des noeuds; leur zonation privilégiée; les angles d'incidence; les seuils de réception, les facteurs de contrôle, d'induction, de répression des actions parasitaires, et d'asservissement biotypiques; les capacités de transmission; les stades adaptatifs successifs, la luminance, la stabilisation thermodynamique, les ligatures, etc.
- ajustant les résistances et les capacités, les comportements variables suivant les conditions variables de l'éclairement biosphérique, les plages de relative stabilité fixant les échanges nourritiels entre les noeuds qui s'organisent en couples serrés, en paires complémentaires (Soleil/ Planètes ; Noyau/ Electrons), suivant leurs réponses individuelles aux champs écologiques.
 
IV - 10 - B - Les coordinats effecteurs

Il n'y a pas de place vide dans la nature, d'espaces interstitiels lacunaires. Chaque île est entourée d'eau. Rien n'est désaffecté. Il n'y a pas de confinement inertiel dans ce réseau de différences réglées.
Chaque noeud, accrétion spatio-temporelle de différentes énergies de différentes fréquences, est une réponse, économiquement viable, aux conditions variées de connexions et d'arrangements de jonctions. A chaque position chrono-spatiale, la quantité ponctuelle (nodulaire) d'énergie varie en fonction de la répartition énergétique générale et dans la direction suivie par les translations séquentielles ou générales.
Chaque noeud marque des rapports énergétiques d'ordre spécifique. C'est un arrangement structural d'éléments (complexes associatifs en amas galactiques ou cellulaires transformationnels, groupes et sous-groupes), écologiquement le plus favorable aux conditions du moment, topos classifié par les liaisons énergétiques conjuguées en phase. L'Univers est un « jeu » de construction dont les éléments variants peuvent s'assembler selon une infinité de combinaisons « sociétaires » coopératives, mais au sein d'une structure unitaire immuable. Tout est arrangements et réarrangements, indéfiniment.
Chaque noeud est un organite effecteur dans la régulation logique synchronique chrono-spatiale du devenir universel.

IV - 10 - C - Tout est LIEN

Tout est réseaux communicants et mutuellement déterminants. Tout est motivé par les multiples apports causals.
Tout rayonne en phase dans ce circuit universel intégrant tous les effecteurs. Tout est rattaché à tout suivant les structures cycliques de résonance énergétique générale. Les mondes s'intersectent, les franges vibrationnelles s'enchevêtrent, mais la balance énergétique conserve, par des relations permanentes de phase, l'équilibre dynamique et l'harmonie des variations respectives dans l'organisation chrono-spatiale des structures à tous les niveaux, micro- ou macro-cosmiques, de l'arbre transformationnel universel.
Tout est sources et relais. Tout est LIEN. Tout est aimant. Tout est UN et tout se tient.