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lundi 12 novembre 2012

L'ARCHITECTURE STELLAIRE

COMMUNICATION VIII


1er Volet

L'ARCHITECTURE STELLAIRE :

L'UNIVERSUM ORGANIQUE

2ème Volet

UN BIOTYPE STELLAIRE :


LE SYSTÈME SOLAIRE



SOMMAIRE de la Communication VIII

Introduction
1 - L'universum organique
A - Les 3 symétries du design cosmique       B - Genèse cosmogonique
C - Deuxième symétrie (Matière et anti-matière)
D - Red Shift et expansion universelle
2 - Organisation stellaire générale
A - Classification spectrale       B - Dynamie rotatoire stellaire
C - Classification morphologique       D - Tableau de la genèse stellaire évolutive
3 - Structure énergétique de genèse et carrière stellaire
A - Seuils de la carrière des astres       B - Structure des échanges énergétiques
4 - Eléments stellaires
A - Ensembles galactiques et notre Galaxie       B - Amas constellaires
C - Mondes stellaires       D - Plasma intergalactique ou interstellaire
5 - Un biotype stellaire : Le système solaire
A - Organisation générale du système solaire (Tableau)       B - Les Orbitales
6 - Le Soleil
A - Structure;     B - Origine;     C - Composition;     D - Pulses;     E - Orientation;
F - Etat énergétique;       G - Structure GM;       H - Implications géophysiques
7 - La Terre
A - Structure     B - Orientation     C - Composition     D - Structure GM
E - Le couple Terre-Lune
8 – Les Planètes et leurs systèmes
A - Planètes telluriques  (Mercure, Vénus, Mars, les astéroïdes)
B - Les géantes   (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton)
C - Effets du volcanisme cosmique : Satellites et comètes
9 - Incidences énergétiques
A - Bilan marégénaire solunaire       B - Bilan hydro-atmosphérique
C - Bilan radiatif multiplanétaire       D - Effets généraux sur les biotypes

LIENS

                                                                                                                                                


Une galaxie contient plus d'étoiles
que le cerveau humain, de neurones.


INTRODUCTION

Dans les sept Communications précédentes, nous avons exposé les bases générales descriptives de notre modèle quantique. Dans les cinq Communications suivantes (IX à XII), nous nous attacherons à en établir la validité en approchant successivement les structures stellaire, atomique, moléculaire, cytologique et biotypique humaine.
Notre objet, dans la présente Communication, est de déterminer clairement la structure quantique de l'univers, de tracer la genèse de ses composants et d'en déterminer le devenir sur la base de l'extension des connaissances de l'observation, c'est-à-dire des sciences exactes avec les l'outillage technologique d'aujourd'hui.
C'est par l'astronomie d'observation (avec les instruments les plus perfectionnés mis à sa disposition) liée à l'astrophysique expérimentale que nous pouvons cerner, décrire, préciser la structure complexe de l'univers et ses universaux dans une perspective d'ensemble unitaire.
Notre perspective, après avoir déterminé les paramètres et les constantes fondamentales du design universel, porte, dans cette communication, nos conclusions cosmologiques unitaires en une synthèse spécifiant notre modèle structural général évolutionnaire de l'univers.

(Pour les figures et les illustrations de l'auteur, veuillez télécharger le texte intégral en PDF.)
 
1er Volet

VIII - 1 - L'UNIVERSUM ORGANIQUE

Tout, dans l'univers, s'accorde et collabore dans une co-présence fonctionnelle. Tout s'entrelace dans la conjonction des efforts convergents vers la cohésion, même dessein d'harmonie. La structure de l'ensemble, l'Universum architectural organique, enferme et oriente toutes les interdépendances des structures partielles qui le constituent.
Les interrelations paraissent peut-être a-causales ou aléatoires. Mais en fait, tout est LIEN. Tout est nombre structuré. La nécessité de la synchronicité aux trois niveaux fondamentaux de symétrie est loi. Le réseau universel des sollicitations, des influences déterminantes et des réponses effectives, tisse la nécessité d'ordre.
Comme dans le corps humain : Toutes les cellules différentielles travaillent et se renouvellent en vue de la cohésion organique... Et toute rupture d'ordre est menace de dislocation.

VIII - 1 - A - Les 3 symétries du design cosmique
   
L'univers, comme tout corps organique, procède des trois symétries fondamentales :
- La Première symétrie dont l'axe est la vitesse limite de la lumière photonique. Elle divise l'univers en deux bras énergétiques par lesquels s'articule la calligraphie ou la chorégraphie universelle. D'une part, la Matière supraluminale (Vibration d'Extrême Lumière, V. E. L.) et la Matière infraluminale (Vibration d'Extrême Matière V. E. M.). (Cf Communication III).
- La Deuxième symétrie caractérise la génération en deux temps : la pulsation évolutive, la respiration cyclique et son corollaire, la symétrie « Matière » et « AntiMatière ». Elle gouverne I'évolution dynamique des systèmes naturels, non-isolables.
- Et la Troisième symétrie, enfin, qui caractérise la dipolarisation, tout système étant obligatoirement di-polaire.

VIII - 1 - B - Genèse cosmogonique
   
Suivant nos schèmes de composition énergétique universelle, le cosmos se présente comme un tissu, un plasma continu d'énergies d'ultra hautes fréquences, de matières supraluminales, VELaires, parsemé d'îlots, d' « impuretés » - dans le sens de défauts ponctuels, comme dans un cristal -, non distribués uniformément mais concentrés en agglomérations, en amas de matières infraluminales, générées à partir de la condensation de matière VELaire, et ce, suivant un ordre en résonance rigoureuse.
C'est à partir de telles condensations plasmiques, de leurs échanges énergétiques et du couplage réussi de matières, que s'organisent les nœuds énergétiques embryonnaires pulsants galactiques, stellaires et planétaires, et qu'ils évoluent, chacun suivant l'orientation de son devenir.
Chaque structure d'un conglomérat de matières, nœud énergétique primaire, pulse respire. Il se contracte, en rotation lévogyre centripète et condense un maximum de forces énergétiques suivant ses déterminants, puis se transmute, explose et expulse de sous-condensations plasmiques qui graviteront, satellisées, autour de son centre, dans son plan équatorial à des distances déterminées par les paramètres énergétiques en présence, et dans un sens dextrogyre centrifuge. Le mouvement rotationnel imprimé à l'ensemble génère la sphéricité du noyau et des satellites. Puis, après l'expansion, la dilatation, le relâchement et l'épuisement signalé par la forme elliptique, c'est, de nouveau, la contraction, le reflux, avec un changement d'orientation, comme nous l'avons déjà vu dans les cahiers précédents.
Par suite des cycles courts de pulses, la charge générale du nœud sera alternativement répulsive, neutre et attractive... La parité n'est jamais conservée. Tout est en mouvement continu et il n'y a pas d'orientation privilégiée dans l'espace.
L'énergie et la charge de chaque nœud sont proportionnelles à la distance évolutive parcourue depuis sa formation. Autrement dit, tout écart énergétique détermine l'état évolutif d'un quantum donné.

VIII - 1 - C - Deuxième Symétrie : Matière et « Anti-Matière »

Certaines séquences évolutives sont plus rapides que d'autres. Ce qui fait qu'il y a dans l'univers aussi bien des quanta nodulaires en formation que des quanta en dé-formation. Les quanta en formation sont dits koïnomatière ou matière ordinaire et les quanta en dé-formation sont dits « anti-matière », terme absurde en lui-même mais qu'on devrait accepter exclusivement dans le sens que nous lui donnons.
Leur répartition n'est pas aléatoire mais rigoureusement déterminée par de multiples et complexes relations. Des cellules dans un organisme se forment tandis que d'autres meurent. Si la répartition des cellules était aléatoire, anarchique, l'organisme ne pourrait vivre. La logique du vivant ne peut accepter l'accidentel. Un cancer, prolifération anarchique de cellules, conduit à la dissolution de l'équilibre métabolique et entraîne infailliblement la mort. Les mêmes lois physiques dirigent les phénomènes universels.
La coexistence de ces modes matériels symétriques s'explique par la tendance des matières d'orientation contraire en présence à se regrouper séparément comme l'huile sur l'eau, à se repousser, à se tenir à distance, à se déplacer dans le sens contraire à l'une ou à l'autre. C'est-à-dire que la matière s'éloigne des forces propulsantes et s'approche des forces attractives. L'anti-matière, au contraire, s'approche des forces propulsantes et s'éloigne des forces attractives, toujours avec une accélération proportionnelle aux forces déterminantes. Se trouvant constamment à distance égale, elles s'équilibrent dynamiquement. Mises en présence, il en résulte leur annihilation partielle et le transfert de leur énergie dans les produits de la réaction. Car rien ne s'annihile, à aucune frontière, sans laisser de trace. Tout se transforme en quelque chose d'autre.
En conséquence, dans l'univers coexistent des ilots de matière et des flots d'anti-matière. On reconnaît la matière du fait de l'orientation lévogyre de ses éléments et l'anti-matière du fait de l'orientation dextrogyre de ses éléments. Par exemple, notre type d'univers, le système solaire, d'orientation lévogyre (par rapport à nous) est fait de matière. Les implications cosmologiques de ces phénomènes sont évidents.
Dans un monde orienté dans un sens rotatoire précis, tout subit cette direction privilégiée. Tout se déplace dans la direction et le sens vers lesquels ils sont propulsés. Lors du changement d'orientation d'un état cosmique, tout suit le mouvement évolutif avec des vitesses relatives d'adaptation et tourne dans le sens contraire au sens initial. Mais particules et anti-particules, malgré la conversion de signe et la rotation différente, se comportent exactement de la même manière. Chacune irradie des champs correspondants...
Cette coexistence dynamique de matière et d'anti-matière et de leurs rôles symétriques est source d'énergie cinétique. Elle engendre et entretient, par le mécanisme liant de ses régions jointives, le mouvement dynamique des composants universels.

VIII - 1 - D - Red Schift et expansion universelle

Sur les longueurs d'onde 0,1cm - recevant le maximum de l'intensité rayonnée, 2,4cm, 3,2cm, 7,35cm, 20,7cm, une émission radio continue régulière uniforme nous parvient, baignant la Terre dans toutes les directions. Cette émission correspond au rayonnement d'un quantum d'une température de 2,7 ± 0,30°K (ou -270°C). Certains ont conclu, un peu hâtivement, qu'il s' agit du rayonnement cosmologique isotrope, écho affaibli de la chaleur due à l'explosion de la matière universelle originellement condensée.
Comme conséquence de cette théorie du Big-Bang, on a jugé que les galaxies s'éloignent de nous avec des vitesses proportionnelles à leurs distances, et les unes des autres à une vitesse relative directement proportionnelle à la distance qui les sépare, c'est-à-dire d'autant plus vite qu'elles sont plus éloignées. Et que l'expansion de la matière s'étale donc sur un ballon soufflé, dans le temps et dans l'espace, l'univers entier pulsant.
En fait, les étoiles ne « fuient » pas. Elles évoluent dans le temps et dans l'espace. Et leur Red Schift, leur décalage vers le rouge, qui traduit un abaissement de la fréquence des ondes qui nous parviennent, doit être interprété comme une caractéristique spécifique de leur séquence évolutive qui accélère ou décélère, plutôt que comme la conséquence d'un mouvement uniforme d'éloignement. Quant à l'expansion de l'Entier universel, elle résulte du fait que l'univers, comme tout organisme pulsant, grandit et se développe, d'embryon à l'état adulte.

NOTES : Parsec est l'unité utilisée pour l'étude des Galaxies. Parsec (pc) vient de la contraction de PARalax SECond angle. C'est la distance à laquelle une unité astronomique (ua) sous-tend un angle d’une seconde d'arc.
1 parsec (parallaxe seconde) = 3,2616 années-lumières (al) = 3,1013Km (30 milliards de Km) soit 206,265 unités astronomiques.
1 Kpc = 1000 parsec (1 Kiloparsec); 1 Mpc = 1 million de parsec (1 Megaparsec); 1 Gpc = 1 milliard de parsec ou 1000 Mps = 3.1022 Km

VIII - 2 - ORGANISATION STELLAIRE GÉNÉRALE

Les galaxies, les étoiles, il y en a de tous les âges. Et il en naît et s'en éteint régulièrement sans pour autant modifier la structure générale de l'univers. Et, comme dans une vieille ville, des quartiers anciens disparaissent et cèdent la place à de nouveaux quartiers, les galaxies et les étoiles disparaissent et d'autres naissent et renaissent sans cesse.
Leurs particularités de structure déterminent leur séquence évolutive et en indiquent l'âge. Toutes tournent autour de leur axe, à des vitesses relatives, suivant leur type spectral, et forment des séquences précises.
Ci-dessous, le tableau exprimant les séquences évolutives des étoiles en fonction de leurs caractéristiques spectrales. Nous avons ajouté X à la classification spectrale classique. Lie type K désigne les étoiles à très haute température.

VIII - 2 - A - Tableau de la classification spectrale de Harvard (Figure 93)


Classes
α
O
B
A
F
G
K
R-N-S-C
M
L et T
T °C
100000
40000
à 25000
25000
à 10000
10000
à 7500
7500
à 6000
6000
à 5000
4500
5000
à 3500
3500
à < 2000
< 2000
Couleur

Bleu
UV
Blanc
Bleu
Blanc

Jaune
Orange
Rouge
Infra-Rouge
Masse

120 pc
2
160 pc
5



300 à 450 pc
16
700 pc
47
Vitesse
de rotation

300 Km/s
150 Km/s
100 Km/s
75 Km/s
50 Km/s
50 Km/s à 0 Km/s
Raies
spectrales
de

H, He, He+, Si, C, N, O
H, He
K
H, K
Métaux ionisés
H et K,
C, C+
Métaux
CN, OH, K, CH, C2, Fe, Métaux
Métaux
H, K, TiO, CO
Oxyde de Zinc
Métaux alcalins
TiO, H2K, CN, CH, CO, VO, MgH, Méthane CH4, Molécules
Etoiles et Constel-lations

λ Orion
λ Céphée
τ Taureau

Rigel
in ε Orion
Epi
ϒ Persée
Cygne
Sirius
Vega
ϒGémeaux
ΥAndromedae
Petit Chien
α Persée
Etoile polaire
Naines jaunes
α Cocher
Soleil
Naines oranges
Alpha Centauri
Arcturus, Pollux, Antares, Aldébaran,
Géantes carbonées
Naines rouges
(90% des étoiles)
Bételgeuse
Proxima Centauri
Baleine
(T) Naines brunes sans fusion nucléaire
CHAUDES
FROIDES
RAPIDES
LENTES
SPIRALEES
ELLIPTIQUES

VIII - 2 - B - Les vitesses de rotation axiale (La dynamie rotationnelle stellaire.)
 Tableau (Figure 94)


Vitesse de rotation équatoriale
en Km/s
Pourcentage d'étoiles dont la vitesse de rotation se trouve dans les limites indiquées
en fonction des Classes spectrales

Oe, Be *
O, B
A
F0 – F2
F5 – F8
G, K, M
0 - 50
0
21
22
30
80
100
50 - 100
0
51
24
50
20
0
100 - 150
0
20
22
15
0
0
150 - 200
1
6
22
4
0
0
200 - 250
3
2
9
1
0
0
250 - 300
18
0
1
0
0
0
300 - 500
78
0
0
0
0
0

* Oe et Be sont des étoiles de masse et de température élevées et dont le spectre comporte des raies d'émission.
Tous les éléments astraux sont animés d'un mouvement rotationnel axial. La vitesse de rotation, l'accélération ou la décélération, d'après notre modèle de genèse, exprime, conjointement avec la morphologie, et quantifie la séquence évolutive d'un corps, le déroulement de ses cycles.
Aussi peut-on déduire, d'après le tableau ci-dessus, que les éléments astraux désignés par G, K, et M ne tournent que très légèrement : Ce qui veut dire qu'ils sont arrivés soit à un point d' expansion extrémal, soit à l'amorce du mouvement de reflux. En effet, les naines froides, relativement vieilles, tournent très lentement. Xi Gémeaux (de la classe spectrale F5) de magnitude absolue +1,9, tourne à 73 Km/s. Les éléments astraux désignés par F2, voient par exemple, la vitesse de leur rotation tomber. On a pu déterminer leur température à quelques 7000° K. Ces éléments continuent leur expansion. La chute de la vitesse est orientée vers un minimum.
Les étoiles chaudes, comme certaines géantes, tournent rapidement. Les étoiles de type A tournent à 146 Km/s. Les galaxies spirales sont les plus rapides. Plus la vitesse faiblit, plus la forme « s'aplatit ».
D'autre part, la vitesse de rotation augmente du centre à la périphérie.

VIII - 2 - C - Classification morphologique

Toutes les définitions, caractéristiques et mesures des éléments stellaires ou galactiques sont dues soit aux sources optiques soit aux sources non-optiques, radio-astronomiques - qui ont permis de jauger les distances stellaires, de situer et de quantifier les radio-sources qui sont hors d'atteinte des télescopes.
Les principaux types morphologiques expriment le degré d'évolution d'un objet stellaire - les détails structurels caractéristiques de sa séquence évolutive particulière. Par conséquent, un lien sûr existe entre les principales morphologies.

Nous distinguerons trois types morphologiques caractéristiques :

1/- Les types sphéroïdes irréguliers. Ce sont les ensembles les plus gigantesques, qui, après l'expansion explosive, qui enroule en quenouille les lignes de force des champs énergétiques expulsés, vont se stabiliser et amorcer un mouvement spiralé de rotation d'ensemble. Les sphéroïdes, comme tous les autres types, comportent une condensation centrale - le noyau sans cesse actif et pulsant - et un halo d'éléments plasmiques dispersés en un essaim géant. La symétrie axiale se dégage progressivement.

2/- Les types spiralés sphéroïdes (Sa, Sb, Sc). Tournant de moins en moins rapidement sur eux-mêmes, ces ensembles perdent leur sphéricité et prennent progressivement une forme de poire. Puis, dégageant, à partir du noyau, des bras de moins en moins complexifiés, les ensembles stellaires deviennent lenticulaires de forme ellipsoïdale (E), prenant la forme de spirales, de spirales barrées (SBa, SBb, SBc), ou d'un disque aplati comportant des bras spiralés de différentes formes, plus ou moins développés et emmêlés, à la périphérie.

3/- Les filamenteuses irrégulières. Plus le mouvement giratoire est lent, plus l'élément tend à se distendre et à se dissiper dans l'espace. A la limite de la séquence évolutive expansive, l'étape terminale se signale par un aspect irrégulier filamenteux et par la déperdition, la désagrégation des bras en amas stellaires relativement indépendants. C'est l'étape des filamenteuses irrégulières (I).
C'est à ce moment où l'âge maximal de l'ensemble est atteint, c'est-à-dire lorsque la vitesse rotationnelle tombe et devient nulle, que recommence le nouveau cycle. L'hélicité, c'est-à-dire le sens de son orientation rotationnelle, se modifie. Et l'on assiste au passage progressif par les étapes elliptiques, spiralées, en poire et sphéroïdes, (à rebours), jusqu'à la contraction appelée « trou noir » qui détermine la renaissance d'un nouveau pulse.

Sur le tableau suivant qui explicite clairement la genèse stellaire évolutive et qui s'accorde avec toutes les données sur la dynamie stellaire, on retrouvera, d'un coup d'œil, les différents détails de température, de masse, de couleur, de vitesse, de classe spectrale en regard des étapes évolutives... Un plan de symétrie permettra de distinguer les deux plans des pulses, celui de l'expansion dissociative et celui de la contraction associative. Ce tableau sera notre référent continuel le plus complet sur l'activité cosmogonique, sur l'aspect qualitatif des lois structurelles et évolutives, attestés par les faits d' observation actuellement disponibles. Le témoignage probant de l'existence d'objets cosmiques dans les stades variés de développement structurel confirme la validité et la fertilité de nos thèses.

VIII - 2 - D - Tableau de la genèse stellaire évolutive

Caractéristiques

I – PLAN DE L'EXPANSION DISSOCIATIVE

La Masse augmente

Le refroidissement croît

La vitesse décroît

HÉLICITÉ DEXTROGYRE ⇒

1
2
3
4
5
6
Naissance
Formation
Développement
Age maximal
L'embryon
Développement
Désagrégation
L'œuf
Les sphéroïdes
Les spiralées
Les spiralées barrées
Les elliptiques
(en quenouille)
Les filamenteuses
Les Radio-Sources
Classes
Oe
O
O-B-A-F-G
K-R-R-S
M

Température °C
100000°C
40000° à 25000°C
25000° à 6000°C
4500°C
3000°C
< 2000°C
Couleur

Blanc – Bleu
Jaune
Orange
Rouge
Infra-Rouge
Masse

120 pc
160 pc
300 à 450 pc
700 pc
800 pc
Masse totale

2
5
16
47

Champ GM


4000 Oe



Activité éruptive
CHAUDES
FROIDES
Rotation
Rotations rapides
Rotations lentes
Rotation nulle
Luminosité
Forte et de plus en plus faible ⇒
(Voir les graphiques séparés des séquences morphologiques à la suite de ce tableau)

10
9
8
7
Réactivation

Les condensats
Les Hyper-compactes
Contraction

Champ GM

10000 Oe
4000 Oe



Luminosité

Faible




La Masse diminue

La température s'élève

La vitesse croît

⇐ HÉLICITÉ LÉVOGYRE



II – PLAN DE LA CONTRACTION ASSOCIATIVE


Graphiques des séquences morphologiques évolutives (Figure 95)

 
VIII - 3 - STRUCTURE ÉNERGÉTIQUE DE GENÈSE

ET CARRIÈRE STELLAIRE

Des théories ont circulé ces dernières années, proposant la concentration de matières diffuses comme cause principale de toute genèse stellaire. Ces théories sont en contradiction flagrante avec les données réelles de l'activité cosmogonique. Il est en effet illogique de prétendre qu'un arbre se condense en arbrisseau puis en graine. Ou qu'un adulte se réduise en un corps d'enfant ou d'embryon. On n'a jamais vu un état chaotique avec ses fortes turbulences engendrer la vie organisée.
Le devenir n'accepte qu'une direction générale évolutive. La graine se construit en arbrisseau qui devient un arbre qui donne de nouvelles graines, etc. L'embryon se construit en enfant qui devient adulte qui sème de nouveaux embryons, avant de se dissoudre lui-même en ses éléments constitutifs, organisant de nouveaux transferts de masse.
Ce processus à sens unique est universel et toute autre théorie est erronée. Mais il n'est heureusement pas interdit de continuer à faire des recherches et à émettre des hypothèses, même contradictoires. Certaines verront leur validité expérimentale confirmée, d'autres serviront de base à d'autres réflexions... Il y a des pistes qui peuvent mener à des trésors...
D'autre part, mais comme conséquence du même modèle évolutionnaire, nous reconnaissons le noyau - le condensat nucléaire, comme source centrale de toute activité stellaire. En effet, tout, dans l'univers, résulte de l'activité des noyaux. C'est toujours le noyau qui dirige et oriente les pulses, les sub-impulsions et les configurations d'équilibre à tous les niveaux. A chaque valeur de pression du noyau, correspond un état énergétique, une morphologie spécifique...

VIII - 3 - A - Seuils de la carrière des astres

1)- Le seuil de génération ovoïde
Rien ne naît de rien, c'est évident. Un noyau se forme par le couplage des matières supraluminales et infraluminales en proportions précises, l'une portant et alimentant l'autre. La jonction de ces matières constitutives déclenche une pulsion coronaire d'ensemble. Le nœud va ainsi se distinguer par une identité énergétique particulière, une VFP (Vibration de Fréquence Particulière) unique en son genre dans tout l'univers.
Ce nœud, œuf embryonnaire, inaugure ses cycles pulsants d'ensemble, longs et courts, en se nourrissant de toutes les énergies écologiques (ambiantes, à proximité) disponibles et particulièrement des énergies bioniques. Les énergies ambiantes forment comme une matrice placentaire, un albumen, substances de réserves, un amnios dans lequel baigne, suspendu, et se nourrit l'œuf stellaire. La matière se multiplie par auto-génération progressive de la masse initiale en masses dérivées. Ce qui explique la disproportion entre le contenu initial du noyau, de l'œuf cellulaire, et la masse des matières fragmentaires développées (et éjectées) par la suite. Comme l'œuf, une protoétoile s'entoure d'enveloppe nourricière qui va donc l'alimenter et augmenter sa masse.

2)- Le seuil d'expansion
La structure de cyclisation pulsatoire se détermine par les pulses d'activation expansive, de repos, de calme, et de réactivation, d'excitation contractive dans des délais de temps définis, jusqu'à l'épuisement du potentiel pulsant déterminé suivant les conditions initiales de formation.
L'explosion ex-centrique projette, à partir du noyau hyperdense désintégré, et dans les deux directions polaires, (Cf XVI-8), des caillots plasmiques qui seront satellisés La structure complexe des galaxies témoigne que ces processus de fragmentation et d'éjection ont (eu) lieu à plusieurs reprises. Cette phase d'évolution transitoire se caractérise par un sursaut, une émission radioélectrique importante. Les corps explosants sont les radio-sources. L'observation montre que le passage d'un état à un autre qualitativement différent modifie brusquement le spectre d'un élément stellaire, en un délai bref relativement à l'échelle cosmique.
Cette division du noyau forme les groupes stellaires unis, binaires (doubles), ternaires ou multiples. Les différences entre les éléments astraux correspondent, outre aux différentes séquences évolutives, aux différences dans l'échelle des phénomènes qu'ils génèrent.
L'essentiel de toute activité résulte donc, encore une fois, des effets endogènes, et non dans les effets exogènes, aléatoires, C'est le cœur qui est le siège des modifications radicales d'état. Et la voie évolutive régulière va du condensé au diffus.

3)- Le seuil terminal d'extension ou la configuration limite
Lorsque la densité au centre diminue, l'épaisseur de l'enveloppe augmente jusqu'à la limite autorisée par l'énergie G portée par la puissance potentielle du pulse de cycle long. Jusqu'à épuisement complet, le cœur pulse. Le seuil limite atteint, c'est la dégénérescence, la déperdition, la dispersion des éléments composants, avant l'amorce du mouvement de reflux. Chaque caillot massique libéré de l'attraction G vivra désormais seul, en plasma ponctuel relativement isolé. Son temps de vie est déterminé par ses propriétés concrètes. Les nuages interstellaires ou intergalactiques sont des reliquats d'étoiles...
C'est à ce moment que s'amorce le reflux pour tous les éléments restants. Ce reflux est caractérisé par un changement d'hélicité déterminant une inversion des pôles magnétiques.
VIII - 3 - B - Structure des échanges énergétiques

Tous les paramètres énergétiques et les caractéristiques cinématiques sont liés réciproquement. L'énergie dégagée ou absorbée par un plasma rotationnel stellaire est fonction de la cadence déterminée de sa pulsation et de l'orientation de sa séquence évolutive.
- Ainsi, le débit de matières s'amplifie au départ par ultracentrifugation. En effet, le néoformé concentre en son foyer une densité très importante de matières supraluminales et infraluminales, qu'il expulse sous forme de caillots plasmiques.
- Mais bientôt, sous l'effet de l’ultracentrifugation dextrogyre, la matière infraluminale se trouvant en déficit, le cœur, à la recherche de l'équilibre radiatif, absorbe de l'énergie supraluminale pour combler ce déficit. Comme le phénomène respiratoire.
- Ce déficit est comblé à l'arrivée en phase terminale de la possibilité d'extension.
- L'accélération centripète lévogyre reprend alors jusqu'à la contraction maximale et l'explosion. La matière infraluminale se trouvant en excès, cède de l'énergie luminale (photonique) et supraluminale.
Les vagues d'onde de cette énergie excédentaire diffusée sous la pression de l'ultracentripétie lévogyre, s'étendent, en spirales serrées autour de leur ligne de force, dans le sens de la moindre résistance rencontrée, jusqu'à leur amortissement ou leur réflexion devant un écran ou un obstacle. Comme les ondes radio de la Terre sont réfléchies par l'ionosphère de la Terre, à la différence des ondes de TV ou de fréquences plus élevées qui la traversent librement... Ces trains d'onde - forces marégénaires - déterminent les caractéristiques du milieu radiatif intergalactique, interstellaire et interplanétaire Ils sont rarement mono-énergétiques.
Dans la phase d'ultracentrifugation, la pression de radiation éjecte les éléments les plus lourds par la décharge orageuse initiale.
Dans la phase d'ultracentripétie, les atomes les plus lourds sont dirigés vers le centre attractif, par injection, et les plus légers s'évadent vers l'extérieur, et y organisent les transports électroniques, formant une enveloppe stellaire plus ou moins ténue. L'attraction G dirigée vers le centre est ainsi compensée par les pressions des énergies radiatives libérées - dirigées vers l'extérieur. C'est ce double mouvement qui fait tourner l'étoile sur elle-même.
Dans la phase d'ultracentripétie terminale, des nucléosynthèses s'organisent en cascades sous la pression radiative. Le nombre de réactions nucléaires est proportionnel au carré de la densité, soit à la valeur des concentrations énergétiques. Le seuil de densité compressive détermine l'explosion - le seuil de nouvelle génération.
La température détermine l'indice chromatique de l'élément stellaire, auquel correspond un type morphologique déterminé, c'est-à-dire une séquence évolutive. Faible, elle détermine une étoile vieille. Forte, une étoile jeune, en période formative. La température augmente parallèlement à la concentration, à la pression et à la libération de l'énergie différentielle compensée dans l'espace où elle se dilue.
Nous n'aborderons pas la composition chimique des éléments stellaires, ces laboratoires célestes. Contentons-nous de signaler qu'une étoile est composée généralement de 70% d'Hydrogène, de 28% d'Hélium et de 2% d'éléments divers. Dans la phase d'ultracentripétie, l'Hydrogène qui se transforme continuellement en He, s'accumule au centre. Quand la quantité d'He atteint les 12% de la masse totale, une nouvelle réaction a lieu. Lorsque la pression de radiation devient supérieure aux forces de G, l'étoile explose.


VIII - 4 - LES ÉLÉMENTS STELLAIRES

VIII - 4 - A - Les ensembles galactiques

1)- Descriptif
Les galaxies - univers-îles - sont les constituants principaux du corps universel. Elles se groupent entre elles en amas ou super-amas galactiques.
Jusqu'à 1000 Mpc, on a pu recenser jusqu'à 1014 galaxies et radiosources galactiques, dont 250 galaxies d'une magnitude de 12, 5000 galaxies d'une magnitude de 15 et des milliards de galaxies d'une magnitude de 20. Leur masse varie entre 109 et 300.109 masses solaires.
Les galaxies compactes sont les plus jeunes. Elles comportent une proportion élevée d'étoiles de haute luminosité.
La luminosité des galaxies (ou magnitude absolue), l'intensité de rayonnement accompagnant leur évolution, varie autour de 106 luminosités du Soleil, astre pris comme référent, suivant le bref tableau suivant:


Les Classes
La luminosité
Les Supergéantes
> 10 000
Les Géantes
250 à 10 000
Les Galaxies à luminosité modérée
10 à 250
Les Naines
1 à 10
Les Sous-Naines
< 1
Les Pygmées
1000
Les Gnomes
10

Les galaxies ne sont pas isolées. Elles vivent en groupes sociétaires et sont souvent reliées par des ponts de matières infra-luminiques, soit des ponts de gaz de largeur et de nature variables. Par exemple, notre Galaxie a pour voisines immédiates deux galaxies qui forment le complexe des nuages de Magellan, bien visibles à l'œil nu dans l'hémisphère austral et situées à 150.000 années-lumière de nous. Ce complexe galactique est englobé dans un vaste nuage d'Hydrogène neutre qui relie également les nuages de Magellan à notre Galaxie, par un pont filamenteux d'un diamètre de l'ordre d'une dizaine de milliers d'années-lumière. La masse totale de gaz de ce pont est de l'ordre de 100 millions de fois celle du Soleil. Les influences mutuelles des galaxies sont identiques aux influences des planètes entre elles.

2)- Notre Galaxie
C'est la voie lactée qui enserre la Terre. Ci-dessous quelques caractéristiques brièvement notées. (Figure 96)
Masse : 2x1111 masses solaires
Luminosité : 1036 watts (celle du soleil est de 4.1026 w)
Notre Galaxie se déplace à 100 Km/s dans une direction lévogyre.
Le centre galactique échappe à notre observation optique en raison des nuages de poussières plasmiques interstellaires.
Les étoiles, des centaines de milliards des types les plus divers, sont dispersées de façon très diverse (mais non aléatoire) par rapport au centre et au plan galactique. Un grand nombre de sources est concentré le long du plan de symétrie de notre Galaxie. Une très forte densité d'étoiles se trouve dans la région centrale : 2.000 étoiles au parsec carré soit 2.000 fois plus que dans la région où se trouve le Soleil.
Le Soleil se trouve non loin du plan galactique à quelques 30 a1 (années-lumière) de celui-ci. La distance du Soleil au centre Galactique est de quelques 27.000 a1.
Chaque élément de la Galaxie possède sa propre période de rotation, en accord avec l'ensemble.
Les observations récentes, confirmant notre conception cosmogonique, expriment une perte de masse de notre galaxie elliptique, de l'ordre de 100 à 1.000 masses solaires environ par an. Phénomène normal qui traduit une perte d'attraction gravitationnelle : Les étoiles situées à la périphérie du disque galactique s'échappent de la sphère galactique.
Si cette perte de masse était régulière et continuait à ce rythme, la Galaxie aurait dû disparaître au bout d'un maximum d'un milliard d'années, alors qu'en fait, son âge (présumé) se situe autour de dix milliards d'années. Encore un fait qui confirme nos thèses sur les cycles pulsatoires.

VIII - 4 - B - Les amas constellaires

Les amas sont les constituants principaux du corps galactique. 80% d'étoiles forment des associations constellaires. Elles gravitent, ces associations, autour de leur axe commun et autour du centre galactique.
Ces amas, essaims stellaires, se déplacent en formation serrée, comme un ensemble unique, à la même vitesse moyenne. Cette association communautaire - sociétaire - unique, tourne autour de son foyer commun en une rotation axiale de vitesse relative à la séquence évolutive de l'ensemble. En effet, ces amas constellaires suivent le devenir de tout élément stellaire.
Un foyer stellaire disloqué a donné naissance à des formations de groupes entiers, associations à plusieurs noyaux : Groupes binaires, ternaires ou multiples. Les composants tendent, dans un premier mouvement évolutif, dissociatif, à se séparer de leur centre commun. La séparation est progressive. Le second mouvement, suivant leurs liens génétiques et dynamiques, sera associatif. La capture des éléments sollicitant l'association organise une redistribution de la vitesse de tous les composants. La répartition n'est jamais aléatoire. Elle correspond à des nécessités écologiques rigoureuses, bien que suivant les lignes de moindre résistance ou les lignes les plus favorables aux échanges.

- Les Groupes binaires, ou les couples stellaires, organisent leurs mouvements suivant une distribution d'équilibre relative. L'effet réciproque de marées synchronise leurs mouvements conjugués de rotation autour de leur axe et autour du centre commun de masse.

- Dans l'univers des galaxies, les groupes multiples comprennent des centaines d'étoiles dont la vitesse d'évolution est fonction croissante de la masse. Les amas ouverts de formation jeune, groupent de 10 à 100 étoiles, dans un diamètre de 20 à 30 pc. Leur population est composée de géantes chaudes. Ils sont situés au voisinage du plan de symétrie des galaxies, le long de la séquence principale.

- Les amas globulaires groupent de 100 à 1000 étoiles dans des formes plus ou moins sphéroïdales. Leur population est composée de géantes rouges et froides, la densité stellaire augmentant vers le centre. Ils sont situés au-delà du plan de symétrie galactique.
Le nombre d'étoiles simples dans le champ de la galaxie augmente sans cesse au dépens des amas. Car, en des délais relativement brefs (106 années), s'opère une désagrégation des amas, chacune des étoiles composantes « choisissant » une évolution en liberté, selon les failles rencontrées.
Ces étoiles en liberté vont, par des rapprochements apparemment fortuits, mais en fait, guidés par une nécessité d'équilibre radiatif, rencontrer d'autres éléments stellaires. De ces jonctions dynamiques, naîtront et s'auto-organiseront de nouveaux éléments stellaires.

VIII - 4 - C - Les mondes stellaires

Macrosphérules plasmiques rotationnelles exubérantes, sources ponctuelles, généralement associatives, chacune se caractérise suivant ses séquences évolutives. Leur caractère périodique informe sur la direction de leur processus évolutif. (Cf le tableau de la classification spectrale Figure 93). Par exemple, parmi les variables périodiques, citons :

- Les Pulsars radiophares de l'espace, sont des étoiles « jeunes » émettant des quantités d'énergies disproportionnées à leur grandeur. Extrêmement compactes, ces étoiles ont une rotation très vive. Leur masse ressemble à celle du Soleil avec un rayon de 5 à 10 Km. Leur période de rotation varie entre 0,01 et 1 sec. Leur grande énergie de rotation développe un champ magnétique intense de quelques 1012 gauss à la surface, champ converti en énergie cinétique.
Les pulsars sont caractérisés par un rayonnement radio périodique et régulier. Ils émettent des impulsions radio dans une gamme de fréquence allant de 50 à 1000 MHz avec des périodes très courtes de 0,033 pour les plus courtes longueurs d'onde (soit 30 pulses par seconde) à 3,7 secondes pour les longues longueurs d'onde; ces périodes croissent au fil du temps. La puissance émise varie rapidement. Le record de brièveté est le fait du Pulsar NP0532 de la Nébuleuse du Crabe avec une période de 33 millisecondes. Ce Pulsar est le reste d'une explosion de la Supernova décrite en l'an 1054 par les Chinois.
Une forte concentration de pulsars se trouve dans le voisinage du plan galactique. Les Novae et Super-novae sont des Pulsars optiques, variables, éruptives, qui, par leur énergie libérée (1050 ergs par explosion) forment les Nébuleuses géantes.

- Les Quasars sont des Pulsars qui rayonnent une énergie équivalente à la masse d'un million de masses solaires. Soit pour un seul Quasar, autant d'énergie que toutes les étoiles d'une Galaxie. Leur lumière virant au rouge indique le sens et la vitesse de leur évolution. On avait cru que ce Red-Shift exprimait leur vitesse de récession par rapport à la Terre et on les supposait situés aux confins de l'Univers. En fait, les Quasars sont à des distances mille fois plus proches. Et leur distribution n'est pas homogène. Ils ne peuvent par conséquent déterminer l'âge de l'Univers...
D'autres sources radio ou X sont observées dans l'Univers, comme par exemple Cygnus X-3. Son intensité de rayonnement X varie régulièrement avec une période de 4,8 heures avec des pics d'éclat suivis de déclins exponentiels de l'émission.

- Les Collapsars sont des éléments stellaires extrêmement denses se trouvant à leur séquence compressive de reflux. Leur noyau réalise des échanges énergétiques jusqu'à l'aspiration complète de l'enveloppe. La contraction est lente et s'organise par phases jusqu'à atteindre le seuil de déclenchement des réactions nucléaires. Ce sont les « Trous-noirs ».
- La grande majorité des étoiles est concentrée dans les Galaxies, ... comme les hommes dans les villes.

- Les éléments cométaires sont des planétoïdes émergés lors des expulsions plasmiques stellaires et qui n'ont pas encore réussi à s'accrocher à une orbite.

- Les étoiles « mortes » forment ces Nébuleuses variées, les matières diffuses et raréfiées de l'espace intergalactique et intragalactique.

VIII - 4 - D - Le plasma intergalactique ou interstellaire
Le vide interstellaire n'existe pas. L'espace libre, où s'agencent les échanges énergétiques, est un tissu plasmique. Ce tissu est composé d'énergies supraluminales, luminales et de matières infra-luminales, plasmas de gaz plus ou moins denses (d'une densité variant autour de 3.1031 g/cm3) dans lesquels nagent les étoiles et les restes des étoiles mortes, désagrégées ou en voie de transformation.
Les scintillations stellaires, les variations et les altérations de luminosité sont dues principalement à des inhomogénéités du plasma stellaire, dues à la présence de ces nébuleuses et à leur vitesse transversale de déplacement (10 Km/s par rapport à un référentiel local).
Selon les observations, ces nébuleuses interstellaires ne sont pas distribuées uniformément. Elles sont concentrées particulièrement au voisinage du plan galactique. Elles affectent donc des aires déterminées.
Ces nuages de « poussières » interstellaires sont orientés magnétiquement suivant les champs magnétiques galactiques. L'intensité de leur propre champ magnétique est faible, de l'ordre de 10-5 Oe (Oersted). Leur rôle est important dans l'équilibre thermique interstellaire. Ces nuages, agents de refroidissement, agissent souvent aussi comme catalyseurs, par les brassages énergétiques qu'ils occasionnent lors du passage d'un élément stellaire dans leur aire. Ils jouent le rôle des « impuretés » dans un cristal. (Cf X).

2ème Volet

VIII - 5 - UN BIOTYPE STELLAIRE :

LE SYSTÈME SOLAIRE

VIII - 5 - A - Organisation générale du système solaire

1)- Descriptif
Le système stellaire comprend un Soleil nucléaire, des planètes et satellites, des astéroïdes, des comètes et des météorites gravitant autour.
Le Soleil est le cœur et le moteur du système stellaire. Il représente à lui seul les 99,86% de la masse totale du système. Il est, par conséquent, logique de dire que les autres éléments satellisés sont une partie composante du Soleil.
Tous les éléments du système se déplacent dans le même sens lévogyre que le Soleil sur des trajectoires elliptiques. (Le plan de l'écliptique terrestre étant pris comme référentiel pour repérer les inclinaisons des autres plans orbitaux.) Seule Vénus est rétrograde.
Observés de la Terre, ces éléments planétaires se déplacent tous dans la zone du ciel qu'on appelle la ceinture zodiacale, avec des vitesses de plus en plus petites à mesure qu'ils s'éloignent du Soleil.
Leur distance au Soleil s'organise en une progression géométrique intéressante à relever : Soit la progression 0, 3, 6, 12 et 24, chaque nombre doublant le précédent. Y ajouter 4 puis diviser par 10. Nous obtiendrons la série 0,4 - 0,7 - 1,0 - 1,6 et 2,8 qui correspondent aux distances en unités astronomiques entre les planètes et le Soleil, 2,8 ua étant la distance moyenne entre les astéroïdes. Le référentiel Terre-Soleil = 1.
Les planètes denses, solides, (métalliques ou telluriques) sont les plus rapprochées du Soleil : Mercure, Vénus, Terre et Mars. Elles sont dites « intérieures ».
Les planètes géantes, légères, en rotation rapide sur elles-mêmes malgré leur masse, sont les plus éloignées : Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune. La plus éloignée est Pluton, à la limite de l'enveloppe circumsolaire.
Entre les deux groupes, une ceinture d'astéroïdes, restes probables d'une planète ayant explosé.
Le système solaire est relativement « isolé » dans l'espace, comme tout ensemble organique.

2)- Moments cinétiques et résonances
La répartition du moment cinétique du système est partagée entre le Soleil et les planètes, le Soleil ayant transmis la majeure partie de son moment cinétique aux planètes qui l'équilibrent. Jupiter et Saturne s'accaparent la plus grande partie du moment cinétique de tout le système, (respectivement 190 et 78.1048 CGS).
Dans l'architecture dynamique du système solaire, on relève certaines régularités remarquables dont l’existence de relations simples en nombres entiers rationnels entre les périodes de rotation de planètes ou de planétoïdes. Les relations de résonance caractérisent des configurations en triangle : Par exemple, Jupiter et les astéroïdes (les Troyens et les Grecs dont les périodes de rotation orbitale sont dans le rapport de 3 à 2) qui se trouvent sur l'orbitale Jupitérienne, mais décalés de 60° par rapport à Jupiter. Ces trois points ainsi définis autour du Soleil sont en équilibre stable. (Cf VI-12 et revoir la Figure76). De même deux cimetières de corps planétoïdes tournent ensemble sur l'orbitale lunaire et se trouvent placés dans les mêmes conditions. (Figure 97)
L’astéroïde Toro est en résonance 5/8 avec la Terre. Il fait 5 tours autour du Soleil pendant que la Terre en fait 8. Neptune et Pluton ont des périodes de rotation orbitale dans le rapport 3 à 2.
De même à l'intérieur des systèmes planétaires, comme pour les satellites de Saturne ou le triplet de Jupiter, Io, Europe et Ganymède. D'autre part, dans les régions correspondant à des périodes orbitales égales à la moitié, au tiers ou aux 2/5 ème de l'orbitale de Jupiter, la population d'astéroïdes est particulièrement pauvre.
Le couplage spin-orbite détermine un type différent de résonance. Par exemple, la Lune tourne sur elle-même exactement dans le même temps qu'elle tourne autour de la Terre. C'est pourquoi elle présente toujours la même région face à la Terre. Vénus, de même, effectue une rotation de telle façon à s'orienter toujours par rapport à la Terre. Mercure effectue trois rotations axiales pour une rotation orbitale.
Tout, dans le système solaire (et dans l'univers), est en relation de résonance. Toutes les périodicités rotatives axiales et orbitales s'organisent suivant des règles précises de synchronicité cosmique.
Vers les années 1975-1980, l'alignement face au Soleil des grosses planètes Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton, alignement qui a lieu tous les 179 ans, a permis pour la première fois à la mission astronomique « Planetary Grand Tour » de la NASA ainsi que, plus tard, la mission Voyager 2 qui utilisa les alignements favorables des planètes externes, d'approfondir les données des résonances déterminées par ces configuration. Aucune mission scientifique par contre n'a eu pour objet d'étudier les effets de ce genre d'alignement planétaire sur le géomagnétisme et les cycles de 11 ans en moyenne des éruptions solaires (entre 8 et 15 ans en réalité), les cycles de 22 ans pour le champ magnétique solaire et les cycles de 90 ans pour les maxima solaires), leur résonance avec notre éco-système (éruptions volcaniques, séismes, climat, orages de bruit, etc.) et les transformations observées des données biotypiques.

VIII - 5 - B - Les orbitales

Tout élément stellaire décrit une ellipse plus ou moins excentrique et subit des oscillations de périodes et d'amplitudes relatives.

a)- Tout le système solaire décrit, par rapport au centre Galactique éloigné de quelques 27000 al, une ellipse faiblement excentrique en 250 millions d'al et subit des oscillations de période de 70 millions d'al et d'amplitude de quelques 650 al., suivant les aires affectées par les mouvements attractifs et répulsifs alternés du centre galactique, l'orientation générale du mouvement étant lévogyre. La vitesse du système solaire dans le plan galactique est de 250 Km/s. Il accomplit une révolution complète en 250 millions d'années. (Cf VI-11 et Figure 73).

b)- Les planètes décrivent des ellipses lévogyres de plus en plus larges autour du Soleil. Les positions des planètes sont constamment en résonance. Les courbes tracent, en fait, un balancement de part et d'autre d'une ellipse théoriquement régulière. Ci-dessous, les schémas de la localisation des planètes par rapport au Soleil, schéma linéaire (Figure 98) et , schéma planaire (Figure 99). On remarquera la structure spirale de l'ensemble, due aux champs pulsés solaires qui déterminent pour chaque planète, une spire, un champ orbital particulier. Suivant les mouvements pulsatoires, ces orbitales s'élargissent ou se rétrécissent par rapport au Soleil.

c)- L'orbite réelle des planètes autour du Soleil, et des satellites naturels ou artificiels autour des planètes, comme celle du Soleil autour du Centre Galactique, n'est pas la trajectoire théorique régulière qu'on dessinait. Car en fait, cette trajectoire subit d'importantes déformations en fonction des champs GM, alternativement attractifs et répulsifs, de charge négative ou positive. (Cf Figures 56 et 74.)


VIII - 6 - LE SOLEIL

VIII - 6 - A - Sa structure
   
Le Soleil proprement dit est une étoile moyenne variable de classe spectrale G2, qui se trouve à 150 000 000 Km de la Terre. Le Soleil est un plasma énergétique, une atmosphère dans laquelle nous baignons. En effet, le Soleil n'est pas simplement l'astre que nous voyons, il est aussi tout son rayonnement.
Sa masse est de 2.1033g soit 750 fois la masse totale des planètes et la masse de 328.000 Terres. Le Soleil représente les 99,86% de la masse totale du système solaire (tandis que les 99,50% du reste sont concentrés dans les plus grosses planètes.) Le Soleil est une sphère mais dont la sphéricité n'est pas parfaite. Un très faible aplatissement se remarque aux pôles. Son diamètre moyen est de 1 392 000 Km. Un écart de 40 Km entre le rayon polaire et le rayon équatorial a été mis en évidence tout récemment. Sa pesanteur locale à la surface est de 28g. Un homme de 75 Kg y pèserait 21 000 Kg.
Son rayonnement de puissance observée est de 4.1023 Kw. En 1961, l'énergie cinétique moyenne, observée par ExplorerX, était de 500 ev, ce qui correspond à une vitesse des protons du vent solaire de 300 Km/s et à une densité de protons de 10-3 cm au voisinage de l'orbite terrestre à l'impact de l'onde de choc. En Septembre 1969, le flux d'ions enregistré par Lunik II était de 2.108 particules/cm2/s. Au zénith, le Soleil fournit 1390 w/m2 sur Terre ou 2 calories/mn/cm2. Les missions Cluster et DoubleStar ont pu mesurer la magnétude des grandeurs et direction des champs électriques et magnétiques du Soleil, ainsi que les densités et la distribution des particules électroniques et ioniques dans le plasma solaire.
La rotation du Soleil sur lui-même est actuellement relativement lente, de 25,4 jours à l'équateur à 29,4 jours aux pôles. Cette lenteur est due principalement à l'éjection continue de gaz ionisé - facteur important pour les relations de résonance. Le plan de l'équateur solaire est incliné à 70°5', par rapport au plan moyen du mouvement des planètes satellisées. Son sens giratoire est lévogyre. Sa vitesse de rotation à l'équateur est de 2 Km/s (soit 15 fois moins que la vitesse orbitale de la Terre.)
Le Soleil est autoréglé par plusieurs cycles dont le cycle undecennal (de près de 11 ans), période de renversement du champ magnétique solaire. A chaque période de près de 11 ans, le nombre de taches signalant les éruptions solaires est au maximum. Ce nombre diminue progressivement jusqu’à atteindre le minimum 5 ou 6 ans après chaque maximum. Les extrêmes du cycle se situent tous les 79 ans. Certaines variations dans ce cycle proviennent de divers déterminants planétaires et galactiques (alignements, résonances, etc).
Le disque que nous voyons est la partie centrale d'un astre 10 ou 100 fois plus gros et de forme ovale. L'enveloppe est noyée dans la lumière qui provient du centre - chaudière nucléaire qui assure les 99% de l'énergie rayonnée...
Le champ magnétique fluctuant porté par le vent solaire dans les lignes de force qui sont dans le plan de l'écliptique, varie entre 5 et 20 gamma (1 gamma=105Oe).
Le Soleil contourne le noyau Galactique en 200 millions d'années à la vitesse orbitale de 250 Km/s.

VIII - 6 - B – Son origine

Le Soleil, comme tout élément stellaire, est-il né d'une condensation de nébuleuse ? Tout dans la nature dément les conceptions cosmogoniques basées sur cette théorie en contradiction avec les faits étudiés avec nos instruments. Un mouvement chaotique s'est-il régularisé et ordonné par accrétion ? Le Soleil, à l'origine, semble avoir été un condensat énergétique différencié ayant été émis par le centre Galactique.Par l'effet de ses pulses, il grandit en masse et en volume, dans un espace écologique galactique, et affirme ses particularités cinétiques et de structure. L'embryon devient adulte, se développant par lui-même par l'organisation de ses chaînes d'alimentation énergétique, électromagnétiques et supraluminales.
A une époque donnée de son évolution, le Soleil éjecta des masses plasmiques qui gravitèrent autour de lui en condensats séparés proto-planétaires qui, par la suite, se différencièrent par leurs propres processus géologiques en fonction des champs qui les baignaient. C'est la nature endogène qui détermine les principales caractéristiques d'un élément.

VIII - 6 - C - Sa composition

Le Soleil est un plasma énergétique multiphase composé des éléments suivants (Figure 100) :
- un cœur A pulsant, zone centrale dans laquelle se déroulent des réactions essentiellement thermonucléaires. Cette zone possède les 99% de la masse du Soleil. Toute la structure du Soleil est liée à l'évolution du champs GM coronal;
- B, une zone intermédiaire relativement calme;
- C, une zone animée de mouvements volcaniques;
- D, la couronne, atmosphère radiative de quelques milliers de Kilomètres d'épaisseur, dont la température est de 1,5 à 2 millions de degrés Centigrades, qui joue le rôle d'une enceinte pressurisée, d'une serre.
- K, 1- la chromosphère radiative d'une épaisseur de 10 000 à 15 000Km, de densité faible, dans laquelle circulent des courants de plasmas gazeux ionisés. La température croît vers l'extérieur de 5 000 à 30 000°C.
- K, 2- la photosphère, de 200 Km d'épaisseur , à T=6 000°C.
- L'héliosphère, enfin, qui est le champ de rayonnement GM du Soleil et qui s'étend jusqu'à plus de 1 000 ua.
L'énergie du Soleil se dégrade considérablement en traversant ses couches pour émerger à la surface. L'étoile, en vieillissant, perd ses couronnes et réduit son activité et son émissivité.

VIII - 6 - D – Ses pulses

Le Soleil pulse comme un cœur organique. Mais sa respiration est relativement lente (près de 11 ans). Ses cycles de contraction et d'expansion sont réguliers, sous l'effet particulièrement sensible des forces gravitationnelles Galactiques et internes conjuguées. Les cycles sont remarqués par les variations de luminosité et de densité.
Sous l'action des diverses pressions gravitationnelles, l'astre se contracte lentement. La matière centrale est comprimée, tassée. Les molécules s'agitent. Leurs oscillations deviennent de plus en plus rapides. Elles cherchent à conserver leur énergie initiale et à compenser le manque de place. La densité, la température et par suite, les gradients de pression, augmentent. A 10 millions de degrés, l'Hydrogène, principal composant du Soleil, subit une réaction de fusion qui donne de l'Hélium. Ce qui dégage une grande quantité d'énergie nucléaire (107 Kilowatt/heure par gramme d'Hydrogène), émise sous forme de radiations.
C'est alors le déferlement subit d'énergie électromagnétique de forte intensité, en jets spiraliformes directionnels. L'éruption s'organise par convections macro-turbulentes de matières. Le mouvement s'accélère et la propagation énergétique émerge en ondes de choc, vagues verticales, gerbes de jets spiralés diffusant comme des tourniquets d'arrosage. L'éjection des matières coronales est quasi rectiligne. La vitesse moyenne des particules éjectées varie entre 200 à 500 Km/s. Certaines éruptions s'étendent à plus de 1000 Km/s. On en a observé qui s'élevaient jusqu'à 160.000 Km au-dessus de la surface solaire et qui dégageaient une température allant jusqu'à 1 milliard de degrés. Chacune fournirait assez d'énergie au monde pour subvenir à ses besoins pendant cinq siècles.
Ce jaillissement en arches ou taches solaires en ailes de papillon est très précis. Les taches se produisent par paires dans les hémisphères opposés, et en un cycle de 11 ans, descendent vers l'équateur et disparaissent. Lorsqu'un nouveau groupe de taches se forme, les polarités sont inversées et un nouveau cycle recommence. (Figure 101 ci-contre)
Vers l'extérieur, la densité, la température, la pression décroissent rapidement par transferts d'énergie aux vents de la magnétosphère-catalyseur.
Les couronnes solaires composant l'atmosphère solaire sont de densité relativement faibles, bien que foyers incessants d'activité. Leur morphologie générale dépend des phases d'activité coronaire.
Dans la couronne K, par exemple, qui s'étend de la chromosphère jusqu'à la zone où prennent naissance les vents solaires, la densité décroît fortement de 108/cm-3 environ à 104/cm-3 à une distance de 10 rayons solaires (tandis que la densité de l'atmosphère terrestre est de 1019/cm3). Cette couronne semble in-homogène en température avec des zones allant jusqu'à 10°K et un fond continu de 1,5.10°K. Sa luminance est cependant environ au moins 10-6 fois inférieure à celle du disque solaire proprement dit.
Par les jets plasmiques et les trous coronaux qui s'y manifestent, les couronnes solaires sont le siège de champs magnétiques intenses qui provoquent les « vents solaires ». Le rayonnement sporadique du Soleil correspond à une perte de masse de 4 millions de tonnes par seconde. La Terre n'en reçoit que 2 calories par minute par cm2.

VIII - 6 - E - Son orientation

Chaque étoile est animée d'un mouvement rotationnel axial et orbital, directif dans une direction privilégiée autour du Centre Galactique, suivant sa séquence évolutive. Le Soleil est actuellement lévogyre. Sa trajectoire dans l'espace forme une courbe spiralée.
En pénétrant à la vitesse de 20 Km/s (soit en 1 million de Km en 24 h) dans le plasma interstellaire galactique, de concentration variable (H neutre), le Soleil laisse derrière lui une traînée, une queue d'H ionisé. Une zone d'émission maximale a été détectée récemment à l'avant du Soleil, dans la zone de résistance. (Figure 102)

VIII - 6 - F - Son état énergétique

Le Soleil, comme tout élément stellaire, est en équilibre énergétique. Sa production est déterminée par son état évolutif, ses pulses. La force de pression reliée à la densité de masse et à la production et à l'évacuation thermique, équilibre sa force gravitationnelle G.
Le Soleil émet autant d'énergies supraluminales et luminales que des énergies infraluminales. Les premières sortent rapidement du Soleil (Bions... et neutrinos) tandis que les photons mettent un temps plus grand à se dégager.
La lumière reçue sur Terre provient des atomes coronaux hautement ionisés, de la diffusion du Rayonnement photosphérique par les électrons dans la couronne K et de la diffusion de ce rayonnement par les particules de poussière dans l'espace interplanétaire.

VIII - 6 - G - Sa structure GM

Nous avons déjà vu, dans la Communication VI, la structure GM d'un élément stellaire. Elle s'applique également au Soleil. (Voir aussi le chapitre suivant.)
La répartition des champs magnétiques solaires (dus aux pulses) détermine une structure en secteurs du champ GM interplanétaire (Cf Figure 56), champ qui détermine une structure spirale d'ensemble, chaque spire englobant le champ d'une orbitale planétaire, comme représenté sur la Figure 99.

VIII - 6 - H – Implications géophysiques

Les vents solaires sont des flux continus ininterrompus de plasmas énergétiques, sous différentes formes dont les neutrinos et un gaz plasmique d'autant plus ionisé qu'il s'éloigne du centre, avec un taux élevé d'émission de protons et d'électrons animés de grandes vitesses variant entre 200 et 1000 Km/s. Ces gaz plasmiques s'écoulent dans une densité de 10 paires/cm3. Ils transportent une puissance de quelques 200 μw/m2 sur des longueurs d'ondes allant jusqu'à 5000 Km. Certains vents mettent cinq jours pour atteindre la Terre.
La rotation du Soleil entraîne dans son mouvement les vents solaires qui auront donc les formes de queues, comme sur le schéma ci-dessous. Tous les éléments planétaires gravitant autour du Soleil traversent périodiquement ces flux différentiels. (Figure 103 ci-dessous)

Ces rencontres entre champs provoquent divers effets sur la biosphère. Par exemple, en été, lorsque le pôle Nord de la Terre se trouve orienté vers le Soleil, le flux corpusculaire atteignant et affectant la Terre est plus intense et les perturbations du champs GM terrestre sont plus fortes qu'en hiver.
Pour la Terre, ces vents solaires cycliques sont responsables, entre autres, des luminances crépusculaires, de la modification cyclique des climats, des variations locales ou générales du champ GM, occasionnant des orages magnétiques perturbant les liaisons radio, provoquant certaines défaillances dans le métabolisme humain ou animal, etc. La rotation axiale du Soleil en une période d'environ 28 jours exerce, conjuguée avec le cycle lunaire, une influence déterminante sur le cycle menstruel.
Mais, d'autre part, les marées solaires ne sont pas les seules à exercer leur activité sur les planètes. Les planètes, à leur tour, exercent une activité sur le Soleil, ralentissant, par un effet de marée, sa rotation et l'équilibrant, car le système solaire, dans ses différents composants, reste un, comme un organisme individué.


VIII- 7 - LA PLANÈTE TERRE

VIII- 7 - A - Structure du globe terrestre 

A 15.107 Km du Soleil, la planète Terre se distingue par une atmosphère relativement dense. Son diamètre est de 12 753,51 Km à l'équateur et de 12 710,74 aux pôles. Sa surface est de 510.106Km2 pour une densité de 5,52 g/cm3. La pression, au niveau de la mer, est de l0l3 mb et, à 30-35 Km d'altitude, de 5,7 mb. Sa température moyenne annuelle est soit 10°C. Elle tourne sur son axe 360° en 23h56m4s, soit 15'' en une seconde. Son hélicité est actuellement lévogyre.
Selon notre modèle, la Terre, comme toute planète, ne saurait être une sphère solide. Comme tout atome. Comme tout système solaire. Comme toute structure dans l'univers. Nous appliquerons ici ce que nous avons déjà dit sur la structure d'une planète, qu'elle soit électronique ou autre.
A l'image d'un atome, elle est formée de quanta énergétiques complémentaires, sous forme d'un noyau central et d'une masse gravitant en orbite autour de ce noyau, l'isolant et tournant sur son axe dans un mouvement gyroscopique. L'axe de rotation général du système passe par les pôles géographiques, au centre du périmètre dessiné par les pôles magnétiques variables de la masse orbitale.
La masse en mouvement orbital autour du noyau central forme ce qu'on appelle communément la croûte terrestre sphéroïdale, avec son relief tourmenté et ses propres champs énergétiques en accord avec l'ensemble.
Elle possède la même structure de base de toute planète gravitant autour d'un noyau. Et se définit par des caractéristiques singulières impliquant une forme, un relief, une densité, des propriétés gyromagnétiques, un champ GM, une biosphère, etc. Bref une histoire particulière. La sienne propre, en résonance avec l'ensemble solaire dont elle fait partie.
Elle s'est formée à partir d'un magma nucléaire détaché de sa source-mère le Soleil, qui, après s'être condensé et contracté progressivement, provoquant une réaction explosive, a projeté, par force centrifuge rotationnelle, les substances les plus lourdes vers l'extérieur et les a satellisé sur une orbite déterminée, en une masse compacte dipolaire, dont les pôles sont situés suivant l'axe de rotation du noyau et de l'ensemble planétaire, en résonance magnétique avec les champs écologiques environnants, et particulièrement avec la source-mère, le Soleil.
  
1)- Le noyau
Le noyau (la « graine ») est un plasma énergétique dipolaire puissant, à l'image du Soleil. Son rayon serait d'un millier de Km (1221 Km), d'après les hypothèses des géophysiciens concernant la constitution interne du globe. Soit près de 70% du rayon de la Lune (1738 Km).
Le noyau est un Soleil central, comme le nucléon de l'atome, ou le Soleil du système solaire. Il mesure quelques 900 à 1221 Km de diamètre. il possède toutes les caractéristiques des noyaux. Son éloignement de la masse orbitale qui l'entoure comme une gaine détermine, pour celle-ci, des conditions GM particulières. L'éloignement du noyau est en résonance avec le noyau lunaire car l'ensemble Terre-Lune forme un couple.
Le noyau et la masse orbitale du manteau sont de charges complémentaires. 

2)- Le manteau
La surface extérieure totale de la croûte terrestre est de 510.106 Km2. Son poids est estimé à 6.1021 tonnes. (Remarquons que si la planète était une sphère solide et pleine, elle aurait pesé bien davantage.) Son épaisseur serait de quelques 1300 Km. Elle se trouve à une distance moyenne du noyau, estimée à quelques 4600 Km. Sa densité est de quelques 5 g/cm3. Elle est composée de diverses couches ou d'enveloppes successives dont la densité croît de l'extérieur vers l'intérieur :
- une croûte continentale solide de 21,4 Km, une croûte supérieure de type granitique de 12Km et une croûte inférieure de type basaltique de 9,4Km
- une croûte océanique liquide de 3 à 10 Km, (l'Hydrosphère)
- une lithosphère et une asthénosphère (50 à 200 Km),
- l'hypothèse d'un manteau solide de 2866 Km. Celui-ci pourrait être en réalité une zone de transition gazeuse comme nous le montrent tous les systèmes planétoïdes, de l'atome au système solaire et galactique.

3)- L'Atmosphère terrestre
L'Atmosphère est formée d'une fine couche de près de 100 Km, de 6371 Km de rayon, qui entoure le manteau terrestre. Cette pellicule fait partie intrinsèque de l'ensemble planétaire. Son épaisseur varie (60 Km au-dessus de l'équateur, et 30 Km au-dessus des pôles) en fonction du vent solaire. Elle subit l'influence conjuguée de la rotation du système duel Terre-Lune ainsi que les interférences gravitationnelles jumelées du Soleil, de la Lune, des planètes métallifères et des plus grosses planètes. L'activité volcanique du manteau terrestre, en relation avec les éruptions cycliques du Soleil, ainsi que l'activité humaine, certes à plus faible échelle, jouent un rôle prépondérant dans les variations de l'effet de serre qui préserve la vie sur Terre.
Les conditions écologiques ne sont pas les mêmes partout. Elles sont différentes et sont établies suivant les nombreux paramètres déterminants de chaque éco-système. Ce qui peut expliquer les différences morphologiques ou caractérielles au sein d'une même famille biotypique disséminée sur différentes aires territoriales.
4)- Le champ énergétique GM dipolaire
La masse terrestre forme un dipôle magnétique. La Terre est entourée d'un champ énergétique GM qui la distingue. Le champ G est identique en presque tous ses points. Ce qui permet une adhérence constante et complète aux parois, à n'importe quel endroit de la masse planétaire. Son centre de gravité G se trouve en son propre centre et non au centre géométrique de l'ensemble du système planétaire. Par conséquent le centre de gravité de la masse orbitale se trouve vers 500 à 600 Km de la surface, au cœur même de la masse d'un millier de Kilomètres d'épaisseur.
Ci-contre le schéma structural de la Terre. (Figure 104 ci-contre)

VIII - 7 - B – L'hélicité de la Terre

Accompagnant le mouvement lévogyre du Soleil et de son système, l'hélicité de notre planète est lévogyre. A l'issue de certains cycles longs solaires, certaines extrapolations induisent que le Soleil opéra une inversion des pôles et entreprit une rotation dextrogyre. La Terre, comme les autres planètes du système solaire, firent de même. Fut-il un temps où, la rotation dextrogyre devenant très lente, la Terre, toujours solidaire du Soleil, s'arrêta de tourner avant d'amorcer une rotation inverse avec un inversement des pôles magnétiques ? Au lieu de se lever à l'Est, le Soleil se leva-t-il à ce moment-là à l'Ouest ? Y a-t-il une corrélation entre ces évènements hypothétiques et ce qui a été rapporté par des récits peut-être un peu trop hâtivement rejetés comme légendes et mythes sans fondement, issus de l'imagination fertile des hommes devant les mystères naturels ?
Ces inversions des pôles magnétiques sont périodiques (tous les 26 mille ans environ). Ceci est confirmé par les études récentes de paléomagnétisme qui a vu les effets de ce phénomène sur certaines roches volcaniques qui, en se refroidissant, se sont aimantées tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre, suivant leur âge, ainsi que sur les fonds sous-marins au voisinage des dorsales, et qui sont magnétisés dans un sens ou dans l'autre, les bandes les plus éloignées de la crête étant les plus vieilles.
Quant aux cataclysmes qui ont provoqué l'oscillation des pôles terrestres et les diverses conséquences sur les différents biotypes de la Terre, ils ont leur origine dans un événement cosmique, soit l'impact d'une comète ou d'un astéroïde, soit l'explosion d'une planète (Phaéton), soit une catastrophe lunaire, soit une incursion cométaire dans le système solaire perturbant son équilibre, soit l'explosion d'une étoile (Vela de la Constellation des Voiles ?) à proximité du système solaire, soit l'inversion périodique normale des pôles solaires... Ces cataclysmes, survenus il y a des milliers d'années, ont pu modifier le climat par réchauffement ou refroidissement subits de l'atmosphère (provoquant ras-de-marée, déluges, éruptions volcaniques, effets de serre étouffant certaines formes de vie, érosions des sols, glaciations) et éteindre subitement certains biotypes, etc.
En conséquence de l'hélicité et de ses causes (les pulses solaires), il est plus que probable, qu'en période expansive d'hélicité dextrogyre (soit dans le cas de l'éloignement mutuel des planètes et de la diminution subséquente de l'attraction G), les biotypes avaient une taille géante. Et une taille réduite, en période contractive d'hélicité lévogyre (soit dans le cas du rapprochement mutuel des planètes...). Les mythes de l'antiquité mentaient-ils lorsqu'ils mentionnaient la présence de géants rescapés ?
A notre lecteur de faire les recoupements historiques nécessaires à la justification ou à l'invalidation de ces multiples hypothèses... Le terrain, là, par manque de preuves formelles, est particulièrement mouvant. Nous ne pouvons que nous contenter d'hypothèses, certes vraisemblables, mais encore bien loin de la vérité scientifique.

VIII - 7 - C - Composition

Les processus de différenciation géochimiques ont individualisé la Terre. La Terre regroupe les matériaux basiques non volatils les plus abondants dans la nature. Le noyau est composé en grande partie d'atomes lourds. Le manteau rocheux qui l'enveloppe est fait de silicates de magnésium. Une grande quantité de CO2 s'est, à l'origine, et en présence de l'eau, combinée à des oxydes métalliques (oxyde de calcium) et a formé des carbonates, qui constituent une partie des roches. La différenciation chimique en a résulté. Et l'atmosphère primitive à base d'Hydrogène, d'Azote, de Carbone et d'Oxygène, a donné naissance à tous les constituants organiques de la matière biologique, quand tous les éléments énergétiques furent réunis.

L'atmosphère. Les principaux constituants de l'atmosphère sont l'Azote 78%, l'Oxygène 21% et 1% de divers éléments dont le Néon, l'Argon, le Krypton, le Xénon. Les éléments volatils semblent échapper à la force G de la planète qui a ainsi perdu l'Hydrogène et l'Hélium. L'atmosphère terrestre est un écran, un barrage transparent à certaines ondes (comprises entre 1mm et 30 m) mais opaque et difficilement franchissable à certaines radiations de courte longueur d'onde, nocives à la biosphère (inférieures à 3100 Å). L'absorption est totale entre 22 μm à 1 mm (soit, arbitrairement, de la fin de l'InfraRouge au seuil des ondes radio). Des fenêtres de transparence existent entre 8 et 14 μm et 17 et 22 μm. Le flux reçu au sommet de l’Atmosphère est de quelques particules par cm2 par seconde.

La structure du manteau. Sa partie supérieure (400 Km) est constituée de péridotite (composée de pyroxène et d'olivine, de plagioclase, de spinelle ou de grenat en profondeur). Sa partie inférieure est occupée par un magma igné.
L'écorce terrestre est une mosaïque hétérogène de plaques rigides en mouvement continuel d'ensemble ou se déplaçant les uns par rapport aux autres. Les surfaces de séparation des divers milieux sont des zones de séparation de phase, de différenciation chimique et de l'intégration des éléments.
Le manteau est animé de mouvements d'ensemble propres : Un mouvement de rotation autour d'un axe indépendant, et un mouvement continuel de convection équilibrant l'échange de masse entre les différentes parties, les zones de compression (ou de subduction) et les zones d'extension (les dorsales). La dérive des continents rend compte de la cinématique des plaques et explique l'aspect dynamique de leur évolution. Le volcanisme rend compte du percement mécanique et thermique des plaques sous la pression de l'activité ignée, des tensions et des torsions, au sein du manteau, et des forces de friction dues aux marées terrestres, principalement dans les zones de jonction, régions privilégiées pour l'ascension de la lave selon les lignes de moindre résistance. Les éruptions volcaniques sont en relation avec les énergies pulsantes du noyau solaire, du noyau lunaire et du noyau terrestre, avec leurs rotations mutuelles conjuguées et avec les déformations magmatiques provoquées par les variations conséquentes du champ GM.
La composition exacte du magma dont la température s'élève entre 900 et 1200°C, est déterminée par celle du matériau parental, par le degré de fusion partielle lié au type de roche et par la quantité d'eau présente (qui est responsable du caractère fortement explosif des éruptions). Divers courants de convection déterminent la formation, la concentration des magmas en des chambres magmatiques, lieux déterminés du manteau, leur ascension dans les cheminées d'alimentation volcanique, dès que la tension sur les liquides magmatiques atteint son seuil et provoque le déplacement des plaques lithosphériques, la déformation de la surface externe des volcans, et enfin le mouvement paroxystique du déclenchement ponctuel de l'éruption et l'évidement du réservoir magmatique en éjections pyroclastiques.
Les volcans ne sont pas des anomalies de la croûte terrestre. Au contraire, toutes les manifestations effusives de surface sont des expressions de la respiration régulière de l'ensemble. Les inflations et les déflations volcaniques sont cycliques et répondent à l'évolution dynamique de l'ensemble, déterminant un bilan thermique précis.
Au niveau des crêtes médio-océaniques, l'écorce terrestre se reconstitue périodiquement par deux processus de renouvellement:
- l'extrusion, le magma basaltique s'épanche lentement sur le fond des océans (10 Km3 chaque année);
- et l'intrusion, l'infiltration du liquide basaltique dans l'écorce terrestre en filons suivant les lignes de moindre résistance. Ces filons formeront des champs magnétiques, des gîtes minéraux, localisés suivant la pression du moment...
Les tensions mécaniques très intenses que subissent les plaques de la croûte ont provoqué le déplacement des grandes masses continentales et leur dérive - confirmée par l'orogenèse.
Nous remarquerons, par ailleurs, la dissymétrie de forme, de topographie, de composition chimique et de champs GM de la Terre. L'hémisphère Nord rassemble les continents qui représentent les 30% de la surface terrestre. La Lune rassemble sur son hémisphère cachée, la majorité de ses continents et de ses mers circulaires. La symétrie axiale verticale et la dissymétrie horizontale sont des caractéristiques normales de toute surface, organique ou planétaire.
VIII - 7 - D - La structure GM de la Terre

Nous demanderons au lecteur de se reporter au cahier XVI. Le schéma ci-dessous de la magnétosphère, vue dans le plan défini par la direction du Soleil et l'axe géomagnétique, est suffisamment éloquent. (Figure 105 en page suivante)
La surface terrestre est parcourue par des courants magnétiques suivant la direction des méridiens. Les points géomagnétiquement conjugués à la surface de la Terre (reliés par une même ligne de force) ne sont pas répartis aléatoirement. Le rayon d'action GM porte autant que s'étend la queue GM. La Terre, par son atmosphère qui l'habille de couleurs et par son champs GM, est ainsi un système fermé, relativement isolé, et en même temps relié à l'Ensemble dont il fait partie intégrante.

VIII - 7 - E - Le couple Terre-Lune, un arbre géodynamique à cœur double

Le couple Terre-Lune est une caractéristique unique dans le système solaire. La Terre et la Lune, qui est à 384.400 Km de la Terre, plutôt que d'être considérées comme une planète et son satellite, nous les considérons comme une double planète, un système duel en rotation autour d'un seul centre commun de gravité (barycentre) éloigné de 4.645 Km du centre de la Terre, en raison du rapport respectif des masses.
En effet, le géoïde lunaire, formé en même temps que la Terre par un processus d'accrétion simultané ou bien par la scission d'un même noyau, et la Terre elle-même, subissent ensemble l'action du Soleil et gravitent sur une même orbitale autour du Soleil. Leur moment cinétique, conjugué, reste constant.
D'autre part, la Lune, dans sa course circumterrestre, accomplit une révolution sidérale de 27 jours, 7 heures, 43 minutes et l1,5 sec, et une révolution synodique - par rapport à la Terre qui chemine sur son orbite - de 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,8 sec. C'est le mois lunaire synodique. La synchronisation des rotations Terre-Lune fait que la Lune montre toujours la même face à la Terre.
Cet ellipsoïde à 3 axes (œuf dont la pointe serait tournée vers la Terre), accomplit des mouvements de libration, de balancement autour de son axe, dus aux effets de freinage provoqués par la Gravitation de la Terre qui lui est 83 fois supérieure. Ce qui fait que la rotation de la Lune est ralentie et qu'elle présente toujours la même face vers la Terre.
Ci-dessous le schéma des orbitales de la Terre et de la Lune, qui s'entrelacent en nombre de points autour du Soleil. (Figure 106)

La distance Terre-Lune varie entre 363.300 Km au périgée et 405.500 Km à l'apogée. L'orbite de la Lune est elliptique d'excentricité moyenne (0,05490).
Le diamètre de la Lune (3476 Km) est presque le quart du diamètre terrestre. Sa masse est le 1/81,53 de celle de la Terre. Sa densité est de 0,608 par rapport à celle de la Terre et de 3,34 par rapport à celle de l'eau. Ce qui représente la densité de l'olivine, des roches basaltiques constituant principal du manteau terrestre. Sa pesanteur est 6 fois moindre que sur Terre. Sa vitesse de libération mécanique est de 2, 4 Km/s actuellement. Le jour ou la nuit lunaire est de 7,5 jours. Les transitions entre la lumière diaire et l'ombre noire sont soudaines. La température varie de +130°C à -150°C.
La structure atomaire lunaire, identique à toutes les structures atomaires, présente successivement, une écorce orbitale (croûte de quelques centaines de Km d'épaisseur), un espace transitionnel de champs et un noyau. Le noyau est décalé de deux Kilomètres en direction de la Terre, par rapport au centre géométrique. La croûte continentale est deux fois plus épaisse sur la face cachée.
Les séismes lunaires sont provoqués par l'action des contraintes gravitationnelles de la Terre et du Soleil conjugués. De faible intensité, ils ne se produisent qu'à des moments déterminés. Ils ne sont pas sporadiques et aléatoires. Il a été mis en évidence, tout récemment, une période d'un mois environ, liée au passage de la Lune par son périgée et son apogée, et un cycle de 207 jours correspondant à la périodicité des marées solaires. Exactement comme les contraintes solunaires exercent leur influence sur l'activité thermique et les mouvements des plaques terrestres, origine des séismes et des éruptions volcaniques.
La Lune se caractérise également par une atmosphère très ténue formée par des gaz produits par désintégration radioactive (4He et 40Ar). On y décèle un nombre variable d'atomes légers de 4He. Leur nombre est vingt fois plus abondant durant la nuit lunaire que pendant le jour où l'on observe 3000 molécules/cm3. La concentration de 40Ar, au contraire, diminue la nuit et s'élève juste avant le lever du Soleil.
Ses mers sont de caractère basaltique, formées par des coulées de laves répandues sur plus de 1000 Km. Le caractère basaltique lunaire est cependant différent du caractère basaltique connu sur Terre. Les éléments basaltiques sont plus riches en Fer et plus pauvres en Silicium et présentent par conséquent une viscosité moindre. Ils se caractérisent également par une forte teneur en éléments réfractaires, Titane, Zirconium, Chromium, Terres rares ; une faible teneur en éléments volatils, Sodium, Potassium, Rubidium et une absence de Fer ferrique et d'Eau - d'Argile et de rouille...


VIII - 8 - LES PLANÈTES ET LEURS SYSTÈMES

VIII - 8 - A - Les planètes telluriques (Ce sont les planètes recouvertes d'une couche minérale solide)

1) – Mercure, 1ère planète du système solaire
Elle est la plus petite planète tellurique du système solaire et la plus rapprochée du Soleil. Elle se trouve à 7.10Km du Soleil. Elle accomplit sa période de révolution en 0,24 année et fait donc 3 tours sur elle-même quand elle effectue une rotation autour du Soleil. Sa période de rotation est donc les 2/3 de sa révolution sidérale. Le périhélie de son orbite est à 46 millions de Km et elle avance actuellement de 43° par siècle ; ce phénomène est dû au renflement équatorial du Soleil. Son aphélie est à 70 millions de Km.
Des données tout récentes transmises par les sondes spatiales, il ressort que Mercure ressemble un peu à la Lune par le relief de sa surface. Mercure possède une atmosphère extrêmement raréfiée composée d'Argon, de Néon et d'Hélium avec une faible quantité d'Hydrogène. Sa densité est inférieure à un centième de celle de 1'atmosphère terrestre. Son champ magnétique est également faible, 1/100ème de celui de la Terre mais supérieur pourtant à celui de la Lune, bien que la rotation de la planète soit trop lente. Ce qui veut dire que le champ GM n'est pas directement lié à la rotation de la planète, contrairement à ce que l'on croyait.

2) – Vénus, 2ème planète du système solaire
Son diamètre apparent est de 12.400 Km et au sol de 12.100 Km. Les nuages qui l'entourent gravitent à quelques 150 Km du sol. Sa pression varie entre 70 et 150 bars ou atmosphères. Sa température au sol varie entre 327°C et 527°C, la moyenne se situant autour de 475 ± 20°C à 90 ± 25 bars. La température de la haute atmosphère descend à -60°C. La température décroît de 10°C par Km d'altitude.
Sa rotation rétrograde sur elle-même s'accomplit en 243 jours. Elle tourne de façon à rester toujours orientée de la même manière par rapport à la Terre. Lorsque Vénus est au plus près de la Terre (à 42 millions de Km), l'emprise de la Terre sur elle se signale par un renflement équatorial. Elle tourne autour du Soleil en 225 jours sur une orbite légèrement elliptique d'un rayon de 108 millions de Km.
Vénus est noyée dans un épais manteau de nuages sans failles, qui piège la lumière photonique et les ondes radio. Le brouillard est 60 fois plus dense que l'atmosphère terrestre. Les rayons lumineux photoniques sont courbés à proximité du sol par les variations d'indice de réfraction, provoquant comme des mirages... Son atmosphère est massive et d'une lourdeur torride. Ses constituants primaires sont à 79% de Gaz Carbonique CO2 qui filtre tous les rayons sauf les Infra-Rouges, de 20% d'Azote et de 1% de vapeur d'eau avec des traces d'Oxygène. La pression est de 100 bars à la base. Le Deutérium, isotope lourd de l'Hydrogène, prédomine dans la haute atmosphère. Sur les roches de surface, se réalise la désintégration des molécules d'eau en leurs composantes par absorption de l'ultra-violet, ainsi que l'oxydation du fer libre.
Les vents semblent y être verticaux.

3) – Mars, 4ème planète du système solaire
Son volume est le 1/7ème de celui de la Terre. Sa pression atmosphérique est de 7 millibars dans les plaines basses et de 5,7 millibars sur l'ensemble, avec des chutes jusqu'à 3,5 mb. Sa température varie entre -125°C (aux pôles) et +100°C, la moyenne annuelle étant de -43°C.
Mars est un désert aride et froid, une Terre épuisée. Son relief est fait de hauts plateaux et de plaines basses. La différence d'altitude varie entre 13 et 14 Km. Il ne présente pas de chaînes montagneuses. Les processus d'altération de la surface semblent le fait de l'érosion ou d'une activité orogénique. Les vents soufflent de 80 à 130 m/s. L'activité volcanique et de dégazage semble inexistante.
Les colorations saisonnières constatées sur Mars semblent provoquées par des effets climatiques complexes. Un voile sombre descend, au printemps, des pôles qui condensent du C02 à 148°K pour une pression de 7mb, vers l'équateur. Dès l'automne, le voile de « givre » ou de « neige carbonique » remonte pour couvrir entièrement la planète en hiver.
L'atmosphère, composée de C02 est presque isotherme. L'ionosphère martienne a une densité maximale de 9.104 électrons/cm3 à 120 Km de la surface. La température y varie entre 200 et 500°K.

4) - Les astéroïdes
Entre Mars et Jupiter, à 2,8 ua du Soleil, gravitent des planétoïdes de type tellurique, sphériques et non sphériques, au nombre de cent mille. Leur diamètre varie de 1 à 10 Km. Les plus grandes ont des diamètres entre 200 et 800 Km. Cérès a 750 Km de diamètre. Icare a l'orbite la plus excentrique. Elle s'approche du Soleil plus que Mercure. Hidalgo atteint presque l'orbite de Saturne. Hermès s'approche le plus de la Terre, à 400.000 Km. Toro s'approche de la Terre deux fois tous les huit ans, à moins de 20 millions de Km. Il n'est pas sûr que tous les astéroïdes soient dépourvus d'atmosphère.
C'est, probablement, l'explosion d'une planète, Phaéton, qui orbitait entre Mars et Jupiter, qui a dû générer cette ceinture d'astéroïdes...

VIII - 8 - B - Les Géantes

1) – Jupiter, 5ème planète du système solaire
Cette planète énorme, d'un diamètre d'environ 140.000 Km (soit 11 fois celui de la Terre), est pourtant légère car sa masse n'est que 318 fois plus lourde que la Terre. Sa période de rotation axiale est très rapide, 1 tour en 9h50m.
Jupiter produit un dégagement calorifique autonome. Il rayonne trois fois plus de chaleur qu'il n'en reçoit du Soleil. C'est, justement, un « petit Soleil » qui possède un champ magnétique puissant de 4 à 50 gauss à la surface (soit 20 à 100 fois celui de la Terre). Il rayonne de l'UV entre 200 et 800 Å.
La composition jovienne est déterminante. Les constituants principaux semblent être dans les mêmes proportions que dans le Soleil : 3/4 d'H, 1/4 d'He et quelques % d'éléments plus lourds dans une proportion indéterminée. Le cœur est réactif. La planète semble s'être formée à partir des mêmes matériaux que le Soleil.
Lorsque Jupiter a occulté l'étoile β du Scorpion, le flux lumineux qui a été intercepté par la planète occultatrice au cours de son mouvement, nous a renseigné sur son atmosphère, qui est apparue lourde, formée de méthane CH4, de cristaux d'ammoniac NH3, d'Hydrogène et de Hélium, propices à la naissance de composés organiques. Est-ce une Terre à l'état naissant ?
Les nuages, aux incessants changements de coloration, ont un rôle de serre. Ils forment une structure en bandes et anneaux parfaitement parallèles à l'équateur. La température de la haute atmosphère jovienne fortement turbulente (à 350 Km) est de quelques 300°K.
Jupiter est entouré d'une GM, comme tout élément. Dans les domaines métriques et décamétriques, Jupiter est le centre d'une zone d'émission intense, d'un diamètre de 10 rayons joviens. La magnétogaine de Jupiter a été rencontrée à une distance d'environ 95 rayons joviens, le maximum de flux étant sur le plan équatorial. Les ceintures GM de radiation ont une forme discoïdale.
Jupiter est la deuxième radiosource du système, après le Soleil. Elle est détectable à partir de 3cm de longueur d'onde jusqu'à plus de 10 m. Son émission décimétrique, (correspondant aux longueurs d'onde de l'ordre du décimètre : 3 à 200 cm) est constante, polarisée plus linéairement que circulairement. Elle varie avec le temps et se trouve en corrélation avec les vents solaires. Son émission décamétrique (correspondant aux longueurs d'onde supérieures à 7 m) est sporadique, due à des explosions orageuses de grande intensité, explosions longues (0,5 à 5 sec) ou brèves (millisecondes), émettant à des fréquences variables. L'émission décamétrique décroît à mesure que la fréquence augmente.
Jupiter a 63 satellites dont les plus importantes par la masse sont Europe, Ganymède, Callisto. Sur son orbite, gravitent les planètes dites troyennes : Achille qui a une période de 12 ans, et Patrocle qui a 250 Km de diamètre. Les émissions joviennes sont modulées par le satellite Io, le plus proche. L'intensité du flux décamétrique est multiplié par 5 lorsque Io se trouve à 90° de la conjonction supérieure, c'est-à-dire quand Io, Jupiter et la Terre forment un angle droit.

2) – Saturne, 6ème planète du système solaire
Par rapport à la Terre, Saturne est 95 fois plus massive et son diamètre 9 fois plus grand. Saturne est une planète géante gazeuse qui possède quatre anneaux et 53 satellites naturels identifiés et nommés dont Phœbé, Mimas, Encelade, Dioné, Titan et Thétys, ces deux derniers étant des satellites géants. Tous sont en résonance.
Les quatre anneaux de Saturne sont des disques de plasma constitués de corps cométo-météoriques de plus ou moins grande dimension, de masses satellisées (glace, ammoniac, poussières...). Ils orbitent autour du plan équatorial, ceinturant ainsi la planète. Ils sont à Saturne ce que sont au Soleil les astéroïdes gravitant entre Mars et Jupiter et, probablement, le résultat d'une fragmentation d'une planète, ou bien d'éléments fixés sur orbite et qui ne pouvaient se condenser en sphères planétoïdes distinctes. Ces quatre anneaux, formations annulaires, sont séparés par des discontinuités. La configuration globale est générée par les mouvements conjugués de la planète et de ses satellites, dus à leurs multiples interactions de résonance.

3) – Uranus, 7ème planète du système solaire
Première planète découverte à l'aide d'un télescope, c'est la 3ème par la taille et la 4ème par la masse du système solaire et une des moins lumineuses, car elle reçoit du Soleil un flux dont l'intensité est d'environ 1/400e celui reçu par la Terre. Sa distance moyenne au Soleil est de près de 3 milliards de Kilomètres.
Cette planète géante gazeuse possède 13 anneaux principaux connus et au moins 27 satellites naturels nommés d'après les personnages créés par Shakespeare, dont Obéron, Titania, Ariel, Umbriel, Cordelia, Desdémone et Belinda. Sa rotation est rétrograde. Uranus gravite presque perpendiculairement à l'écliptique, ce qui est unique dans le système solaire. Son axe de rotation se trouve dans son plan de révolution autour du Soleil. Ses pôles sont donc situés là où les autres planètes ont leur équateur. Sa période de révolution autour du Soleil est de 84,32 années terrestres.
Une des caractéristiques principales d'Uranus est l'éclairement périodique, tous les 42 ans, alternatif, de ses deux hémisphères. Son atmosphère occuperait près de 7500 Km, soit près de 30% du rayon de la planète. Elle est composée principalement de 83% de DiHydrogène H2, de 15% d'Hélium, de Méthane CH4 et d'Ammoniac NH3. Sa couleur bleu-vert est probablement due à la présence du Méthane qui absorbe le Rouge et l'Infra-Rouge.
4) – Neptune, 8ème et dernière planète satellite du système solaire
Neptune possède 13 satellites dont Triton, Protée et Néréide et au moins cinq anneaux principaux. Comme Mars et Jupiter, Neptune partage son orbite avec au moins 7 astéroïdes dits « troyens ». Cette planète gazeuse géante se distingue par des orages gigantesques et les vents les plus rapides du système solaire, dont la vitesse est estimée à plus de 2100 Km/h ou 500m/s. Son système éolien semble confiné dans des zones parallèles à l'équateur. La température mesurée des couches supérieures de l'atmosphère neptunienne est de l'ordre de -210°C, moyenne la plus basse rencontrée dans le système solaire.
Contrairement aux autre planètes, Neptune n'est pas visible à l'oeil nu. Elle a été découverte par le calcul mathématique à partir de la trajectoire et des caractéristiques d'Uranus. L'invention du télescope a permis de confirmer sa découverte. Neptune a presque la même composition qu'Uranus, avec plus de 10% de Carbone métallique liquide stable formant des océans sur lesquels flottent des icebergs de diamant brut...
Son atmosphère de couleur bleue azur est épaisse de 8000 Km. A haute altitude, on y a détecté 80% d'Hydrogène, 19% d'Hélium et 1,5% de Méthane CH4, d'Ammoniac NH3, d'Ethane C2H6 et d'Acétylène C2H2. Sa couleur cependant ne peut être expliquée par la seule présence du Méthane qui absorbe la lumière dans les longueurs d'onde du Rouge. L'inclinaison de son axe sur l'écliptique est de 22°.

5) – Pluton, 9ème planète du système solaire
C'est une des planètes extérieures du système solaire, c'est-à-dire les plus éloignées du Soleil, avec ses consoeurs les planètes naines Cérès, Eris, Makemake et Haumea. Sa masse est réduite (2306 Km de diamètre soit les deux tiers du diamètre de la Lune) mais elle possède une densité élevée correspondant à celle du fer (soit 40 g/cm3). Elle possède une orbite de grande excentricité et de forte inclinaison. Elle orbite autour du Soleil à une distance variant entre 29 et 49 ua. Avec son grand satellite Charon, elle forme un couple, un système double, comme la Terre et la Lune, de même que Haumea qui, elle, en possède même deux, formant un système triple. Ces planètes naines orbitent autour du Soleil, sans être considérées comme satellites du Soleil par l'Union Astronomique Internationale.
Pluton est l'unique planète du système solaire qui traverse l'orbite d'une autre planète, Neptune. Il y a des relations remarquables d'ailleurs entre leurs mouvements mutuels. Leur distance relative n'est jamais inférieure à 2,7 milliards de Km. La masse réduite de Pluton pourrait s'expliquer par les perturbations dues aux champs GM Neptuniens. La plus récemment découverte, cette planète reste encore la plus mal connue. Principalement composée de roche, de glace de méthane et de glace d'eau, elle est en équilibre hydrostatique, comme les autres transneptuniens.

VIII - 8 - C - Effets du volcanisme : Satellites et comètes

Les satellites et les comètes ont leur origine dans les processus volcaniques des masses néoformées du système, soit du Soleil soit des planètes-mères lors de leurs phases d'évolution expansive ou même contractive.
Prenons, par exemple, le volcanisme terrestre. Les processus éruptifs actuels sont assez puissants. Dans le cas de l'éruption en 1883 du Krakatau dans les îles de la Sonde, le bruit des explosions atteignait les 2000 Km, une couche de cendres de 60 cm s'étendait jusqu'à 160 Km, une couche de 20 cm jusqu'à 400 Km à la ronde. Tout était noir autour de 800 Km. Il fut éjecté quelques 13 Km3 de roches à une vitesse de 2 Km/s suffisante pour atteindre l'espace interplanétaire.
Mais ces déchaînements sont 103 fois plus faibles que les éruptions volcaniques des ères transformationnelles de la planète, qui ont vu se dresser les Alpes et l'Himalaya, reliefs témoins des effets tectoniques développés à cette époque. L'activité volcanique est proportionnelle à l'âge et soumise donc aux cycles évolutifs de la planète en résonance avec l'éco-système formé par le système solaire.
Par conséquent, ces processus de vidange ont pu expulser suffisamment de matières qui se sont soit satellisées, formant avec la planète-mère un couple ou un ensemble planétaire duel ou bien multiple, soit perdues pour la planète-mère, mais satellisées par le Soleil, et formant ainsi toute la théorie des comètes et des météorites.
Remarquons que les phénomènes volcaniques sont localisés et qu'ils n'affectent directement que la zone où ils ont lieu. Comme c'est le cas de la chute d'une pierre dans un étang qui provoque un jaillissement localisé et une agitation plus ou moins rapidement résorbée. Les accidents, dans l'univers, sont rapidement circonscrits.

1) - Les satellites naturels
Les planètes géantes sont des mini-soleils possédant, chacune, un vaste système de satellites planétaires, Jupiter, Saturne et Uranus en particulier. Remarquons la similitude entre la répartition orbitale générale des satellites autour des planètes géantes et la répartition orbitale des planètes autour du Soleil. Les facteurs de résonance organisent l'augmentation régulière de l'espacement orbital. Notons, en plus de la similitude de structure, la similitude de composition. Le champ gravitationnel des planètes géantes, fonction croissante du rayon, de la masse, de la température, de la composition, est tellement intense qu'il interdit l'échappement de tout élément piégé.
Beaucoup de satellites sont aujourd'hui identifiés et nommés. Les très petits satellites restent au-delà des possibilités actuelles de l'instrumentation d'observation.

2)- Les comètes
Les comètes sont des planétoïdes de type stellaire, expulsés par le Soleil, comme nous venons de le voir. Ils comprennent un noyau et une enveloppe nébuleuse. Ils dégagent une ou plusieurs longues queues, dans leur voyage, queues qui sont généralement dirigées dans le sens du mouvement des vents solaires.
La matière cométaire est généralement composée de plasmas gazeux comprenant les composés C2, CN, CH, CH2, C3, OH, CO2, NH, N2 et les ions CO+, N2+, CO2+, produits de l'évolution des composés originels complexes. Les noyaux contiennent des éléments difficilement fusibles.
Leur voyage à travers le système organise des circuits quasi-paraboliques autour du Soleil. La population cométaire est renouvelée constamment. Elle n'a presque aucun effet gravitationnel.
Les risques de collision entre comètes sont minimes, comme sur les autoroutes. Une voiture « rencontre », certes, beaucoup de voitures venant en sens inverse (et qu'elle évite). Elle en dépasse certaines qui roulent dans la même direction. Mais les accidents sont relativement très peu nombreux et sans autres effets perturbateurs que zonaux, localisables, rapidement cernés et éliminés ou résorbés... Certaines comètes, ayant perdu leur orientation pour des raisons non encore élucidées, entrent en collision avec des corps planétaires plus importants, traversant leur gaine protectrice et les percutant à grande vitesse, provoquant des catastrophes, bouleversements climatiques, extinction des espèces... Pourtant ces rencontres aléatoires et la composition des comètes en éléments chimiques transportés de l'espace pourraient avoir pour conséquence proche ou lointaine la dissémination de la vie si celle-ci rencontrait un terrain propice à son éclosion et à son auto-organisation...

VIII - 9 - LES INCIDENCES ÉNERGÉTIQUES

Un continuel transfert d'énergie s'opère à tous les niveaux sous différentes formes entre les différents composants d'un ensemble. L'énergie reçue requiert une réponse réactive adéquate, telle qu'une déperdition équivalente cédée sous une forme ou une autre par des effets compensateurs, toutes les parties étant solidaires.
C'est du Soleil que provient la quasi-totalité de l'énergie cinétique des planètes et de leur environnement. Les cycles d'échanges sont verticaux et horizontaux. Les processus d'échange, par les mécanismes de transfert entre les différentes masses et phases plasmiques, déterminent le bilan radiatif, à un moment donné, d'un lieu donné. L'homogénéisation des régimes transitoires impulsionnels réactifs s'observe par la circulation des courants et de leur écoulement à des vitesses différentes suivant l'ambiance écologique déterminante et les lignes de moindre résistance rencontrées ou les plus favorables.

VIII - 9 - A - Le bilan marégénaire solunaire

Les marées sont des réponses à des sollicitations périodiques ou accidentelles (raz de marée). Les marées océaniques, qui ont leur origine dans l'attraction conjuguée solunaire (Soleil-Lune), influencent le champ GM terrestre. Ceci est dû au phénomène d'induction provoqué par les déplacements de l'eau de mer dans le champs GM.
La force génératrice des marées est maximale (marée de vive-eau) lorsque la Lune est au zénith ou au nadir (points diamétralement opposés), dans une configuration syzigique (nouvelle ou pleine Lune), c'est-à-dire agissant en commun avec le Soleil. Et minimale (marée de morte eau) au lever et au coucher de la Lune, dans une configuration en quadrature, c'est-à-dire quand le Soleil et la Lune annulent leurs effets. La période des marées et des courants de marées accompagnant les mouvements de flux et de reflux égale à la moitié du temps que met la Lune pour tourner autour de la Terre, soit approximativement, 12h 25m, moitié de la période lunaire.
L'importance des marées et des courants marégénaires est liée à la configuration des côtes et des fonds marins, ainsi qu'au champ GM qui subit les pressions et les variations périodiques en liaison avec les champs écologiques interplanétaires, dont l'ionosphère. Donc leur importance et leur influence varient d'un lieu à un autre, d'un moment à un autre, en raison de la configuration des courants ionosphériques.
L'amplitude du champ GM est plus importante le jour que la nuit, vu l'influence exercée par les effets conjugués du Soleil et de la Lune sur l'ionosphère et sur l'atmosphère même par des cycles de hautes et de basses pressions, coïncidant particulièrement avec les phases lunaires. Ci-dessous les schémas montrant l'effet de marée sur l'eau et l'écorce terrestre. (Figures 107 et 108)
L'effet des marées océaniques sur le champ GM terrestre est démontré expérimentalement. Les variations particulières en bordure des côtes traduisent cette influence. Pour une valeur de champ GM de 47.000γ (1γ = 10-5 Oe) (tel qu'en France), la valeur de la variation diurne lunaire qui a été observée est de 2γ. La valeur de la variation diurne solaire est de 30γ. Le déplacement constant de l'eau de mer (bon conducteur) suivant des trajets de courants de largeur et de profondeur plus ou moins constantes, est provoqué par les courants de marée. L'effet différentiel de ces déplacements dans un champ GM vaut 10 à 20γ.
Les effets les plus marqués sont ceux provoqués lors de la pleine Lune à l'instant de l'interaction de la Lune avec la queue GM de la Terre qui balaie l'espace sur une grande distance, dépassant l'orbite lunaire. Cette queue GM guide les ondes émises à partir de toute source rencontrée. (Cf Figure 105).
D'autre part, il a été observé que le nombre des séismes sur Terre est lié aux taches solaires, aux effets de la Lune sur les parties de l'écorce qui ne sont pas uniformément réparties et qui subissent des charges et des contraintes tectoniques, jointes à l'intensité des courants telluriques zonaux.

VIII - 9 - B – Le bilan hydro-atmosphérique

C'est par conduction et par convection dans les deux sens mer⇔air que s'organisent les transferts énergétiques entre ces deux plasmas liquide et gazeux, sous les formes thermiques d'absorption de lumière radiative qui transforme l'eau par échauffement, en chaleur, cause de l'évaporation et de ses plus ou moins lointaines conséquences, dont les vents et la distribution de la température et de la salinité.
L'hydrosphère est caractérisée par des courants marins, une température, une salinité et une densité différentielle. L'atmosphère est caractérisée par des vents, des pressions, une température, une hygrométrie...
Sous un ciel pur, la déperdition du rayonnement solaire est légère. Par temps couvert, la partie supérieure des nuages renvoie, par réflexion diffuse, une grande quantité du rayonnement solaire. Ce qui provoque le refroidissement de l'aire directement affectée.
L'interface des aires de jonction est mobile. Les forces d'entraînement et de frottement exercées, provoquent des courants de surfaces et en déterminent l'allure spatiale, le régime, l'évolution spatio-temporelle, les circuits qu'ils décrivent, les fluctuations des vitesses verticales et horizontales, les fluctuations thermiques et d'humidité... Effets différentiels selon les secteurs continentaux ou marins atteints, déterminant les écarts thermiques et de densité, bref toutes les données de la climatologie.
Dans la ceinture équatoriale, on observe un maximum d'évaporation, là où l'air est animé des mouvements ascendants les plus amples. Ce qui provoque l'apparition de cumulus géants et des pluies torrentielles. Le flux ascendant est compensé par le flux descendant. Les transits d'énergie sont continus.
Dans l'hydrosphère, comme dans l'atmosphère, s'opèrent des mouvements verticaux et horizontaux. Les phénomènes de cyclose verticale homogénéisent le milieu horizontal. Dans l'hydrosphère, par exemple, où la température décroît et la densité croît parallèlement, l'eau de surface se porte jusqu'à la rencontre des eaux profondes de densité égale à celle acquise en surface, mais de charge différente. L'extension verticale est d'autant plus grande que la stratification est moins stable, ses effets plus intenses et plus prolongés. Son extension (sa circulation) horizontale, dans l'hémisphère Nord du Globe, est d'orientation lévogyre.
Le bilan marégénaire est un déterminant majeur dont le rôle commence à être éclairci. En effet, on a remarqué l'influence des périodes lunaires sur la quantité des pluies. Par exemple, au milieu de la 1ère et de la 3ème semaine du mois lunaire, et entre le 3ème et le 5ème jour après le pleine Lune et après la nouvelle Lune, on a observé d'importantes chutes de pluies. Et cela dans certaines régions déterminées. Les orages et les éclairs ne se produisent pas n'importe où. Les déserts en sont, par exemple, rarement atteints.
D'autre part, il a été remarqué que les pluies du Sahel africain sont en corrélation avec la température des eaux de l'océan Pacifique. Les essais nucléaires dans le Pacifique ont-ils pu ainsi indirectement provoquer la sécheresse des régions sahéliennes et la famine de l'Ethiopie aux îles du Cap Vert, entre le 12ème et le 20ème degré de latitude Nord ? Remarquons que cet itinéraire fut également celui de l'éclipse solaire de 1973.

VIII - 9 - C - Bilan radiatif multiplanétaire

Les cycles d'interférence entre les planètes du système solaire, par les ajustements énergétiques que leur typologie réactionnelle provoque, déterminent certaines réactions, graduelles ou brutales, notées comme « perturbations », relativement à la « normalité ».

1) - Effets sur la Terre
Certaines configurations planétaires, par les réseaux de connexions énergétiques provoqués, déterminent, par exemple, la dégradation de la qualité des signaux hertziens. On a pu ainsi noter certaines configurations et relever leur haute résonance lors de la formation d'angles de valeur basée sur les nombres entiers, soit les multiples de l'angle droit, 90°. Par exemple, lors de l'alignement de deux planètes dans le même plan, et une 3ème à 90° des premières, le Soleil étant au milieu, on a observé une forte perturbation radio. Une configuration à plusieurs planètes, occasionne des brouillages plus importants.
D'autre part, la valeur des perturbations dépend de la rapidité des configurations, une grande perturbation étant provoquée par une configuration rapide. Dans le cas d'une configuration lente, les réactions étant graduelles, les perturbations sont moins remarquées. (Figure 109)
La qualité des signaux hertziens suit autant le mouvement des planètes géantes que le cycle des taches solaires. L'agitation magnétique de la Terre diminue pendant 8 à 10 jours, lorsque Vénus ou Mercure se trouvent dans 1'alignement entre le Soleil et la Terre (conjonction inférieure) et lorsque Jupiter ou Mars se trouvent en opposition au Soleil.
Il a été observé également que la température des masses d'air de l'hémisphère nord a diminué de 0,6°C entre mai 1958 et avril 1963, justement à l'époque où l'activité solaire était en phase décroissante.
Enfin, on a observé l'influence des planètes géantes entre elles, entre elles et les planètes telluriques, entre elles et le Soleil.

2) - Effets sur le Soleil
Le niveau équatorial du Soleil est partagé en 4 secteurs aux polarités magnétiques alternatives. Cette distribution se retrouve dans le champ magnétique interplanétaire du fait de la rotation axiale du Soleil et de sa rotation orbitale autour du centre galactique.
Différentes corrélations entre l'activité solaire et les marées soulevées à la surface du Soleil par les planètes ont pu être relevées et établies. 1)- Ainsi, la marée la plus importante est soulevée par Jupiter. 2)- Lorsque, en cas d'une conjonction ou d'une opposition Terre-Vénus, leurs effets de marées s'ajoutent et dépassent alors de 50% ceux de Jupiter. 3)- Lorsque, en cas d'une conjonction ou d'une opposition Terre-Vénus, ces deux astres sont alignés avec Jupiter, les influences marégénaires des trois planètes s'ajoutent. 4)- Lorsque les directions Terre-Vénus-Soleil et Soleil-Jupiter sont perpendiculaires, les effets de la Terre et de Vénus se retranchent de ceux de Jupiter.
D'autre part, Jupiter et Saturne sont en accord d'activité avec le Soleil. Le Soleil a une activité maximale lorsque Jupiter et Saturne sont à 120° et une activité minimale lorsque Jupiter et Saturne sont à 180°. Enfin, lorsque le Soleil est calme, c'est Jupiter qui émet un puissant rayonnement. L'amplitude de la variation marégénaire sur le Soleil varie suivant un cycle moyen de 11,08 ans, corrélé avec le cycle de variation du nombre annuel de taches solaires, et suivant un super-cycle de 179 ans, correspondant à la période synodique des planètes extérieures du système solaire.
C'est donc principalement la topologie spatio-temporelle qui, par l'alimentation énergétique des ceintures de radiation qu'elle provoque, qui détermine les variations de potentiel du champs GM, correspondant à une accélération variable de la conductivité électrique et les processus collectifs de transitions radiatives entre les particules piégées dans l'entonnoir polaire, le long des lignes de champ GM.

VIII - 9 - D - Effets du bilan radiatif général sur les biotypes

Pour clore cette Communication, nous nous suffirons d'exposer les récentes statistiques prouvant l'influence déterminante de certains cycles solaires et lunaires sur le biotype humain.
L'apparition des taches au méridien solaire provoque la recrudescence d'états morbides. Toute augmentation cyclique de l'activité solaire provoque une recrudescence de déséquilibres mentaux. Au lever du Soleil, l'indice de floculation du sérum sanguin augmente. Cet effet varie en fonction de l'altitude et de la zone.
Le Soleil agit sur la germination du blé, la croissance des bactéries, la mue des insectes, la rapidité des réflexes, les cycles ovariens de la femme...
La Lune, en accord avec le Soleil, provoque des effets différents suivant ses phases. Lors de la pleine Lune, on observe une recrudescence de morts violentes. Cette flambée du comportement homicide d'une certaine catégorie de psychopathes redescend au-dessous du niveau normal pour remonter à nouveau sitôt après la nouvelle Lune.
A la pleine Lune, les rêves sont plus intenses, souvent érotiques, et les troubles mentaux plus violents. Le biotype humain étant composé principalement d'eau (80%), subit les marées lunaires sous forme de marées psychologiques qui affectent des changements hormonaux et électrolytiques, la sensitivité des nerfs, les réactions émotives conséquentes et musculaires (les réflexes). Cela particulièrement lorsque la Lune et le Soleil sont sur une même ligne, renforçant réciproquement leurs champs.
Au passage de la Lune au méridien, soit à son point culminant, le nombre d'accouchements naturels augmente, puis retombe 48 h plus tard. La période du mois où la fécondation est la plus fréquente est celle de la pleine Lune. La période de gestation humaine est en moyenne de neuf mois lunaires.

                                                                                                                                        
   
TRAVAUX DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER

Seuls des chercheurs de formation scientifique peuvent travailler sur les données, thèses et hypothèses, que nous avons avancé dans ce cahier, les confirmer ou les invalider par leurs travaux, dans la stricte objectivité expérimentale obtenue essentiellement grâce à l'évolution de l'instrumentation technologique.
Dans ces secteurs de pointe de la recherche astro-physique, la tâche est ardue et exige des budgets considérables... Et les réponses définitives ne pourront être obtenues avant longtemps... Par conséquent, toute controverse ou polémique, en l'état actuel de l'avancée des sciences astro-physiques, ne peut être que stérile, si elle ne s'appuie pas sur des données fiables éprouvées.
L'on gagnerait, en revanche, à vérifier méticuleusement la cohérence du modèle proposé, des structures et des interrelations évoquées, à tous les niveaux des existants, qu'ils soient stellaires ou atomiques.
                                                                                                                                     

QUELQUES LIENS ET VOIES DE RECHERCHE POUR ALLER PLUS LOIN

Galaxies (typologie)
Galaxies spirales


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