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mercredi 3 octobre 2012

LE BIOCOSME UNIVERSEL ET LES MATERIAUX DE STRUCTURE


COMMUNICATION III


LE BIOCOSME UNIVERSEL

ET LES MATÉRIAUX DE STRUCTURE

La première Symétrie


"L'art poétique de la Physique se fait avec des nombres".
G. Bachelard 
 
SOMMAIRE de la Communication III

1- Introduction : Biogramme de la structure universelle

2 - L'Univers comme continuum d'états structuraux
A - Les nuclex atomaires       B - Le plenum énergétique

3 - Les matériaux de structure
A - L'énergétique vélaire supraluminale (VEL)
B - La matière infraluminale (VEM)
C - Les relations entre les deux énergétiques

4 - La matrice unitaire de dimension infinie
A - L'arbre de l'Entier Universel
B - Distribution des quanta de champs énergétiques

5 - L'acte géniteur existentiel
A - L'acte archétypal       B - Le couple binaire VEL/VEM
C - Le sceau de vie

6 - L'avènement nodulaire
A - La loi Delta       B - Les nœuds ponctuels (VFP)

7 - L'ordre évolutionnaire
A - Tout est ordre en devenir évolutionnaire       B - L'Entier Universel

8 - La gradation des nœuds phénoménaux différentiels
A - L'infinité des possibles       B - L'architectonique sociétaire
C - La dynamie mutationnelle

9 - Les scriptions phénoménales
A - Tout est pluriel dès le singulier       B - Le nexus phénoménal et son devenir
C - Les paramètres phénoménaux

LIENS ET VOIES DE RECHERCHE POUR ALLER PLUS LOIN

                                                                                                                                                  


TRAVAUX DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER

La communication présente est une introduction à un champ scientifique nouveau. C'est pourquoi nous demanderons un effort majeur à celui qui veut bien nous prendre durant quelques instants pour guide. Nous lui demanderons particulièrement d'appréhender le détail et l'ensemble de nos thèses par une lecture dynamique. Tout ce qu'il lira résume une hypothèse de travail riche d'enseignement, notamment pour ce qui concerne la Mécanique Quantique et la Physique des particules.
Cette lecture requiert une attention soutenue, certes, mais aussi une capacité de réflexion rationnelle et relationnelle qui assume une maturité visionnaire. Et qui déploie sa liberté compréhensive en dehors de tout contexte historique social, religieux, philosophique ou politique. Mais dans le seul champs ouvert de l'intelligence cognitive et dans la transgression de ses limites.
A chacun d'effectuer son propre cheminement en penseur autonome. Notre matériau et notre finalité, c'est nous-mêmes.
Nous ne sommes qu'un révélateur.
Tous les graphes que nous verrons au cours de notre approche sont intellectuellement toniques. Chaque signe ou organigramme se signifie lui-même, dans sa stylisation emblématique. Méditer sur chacun d'entre eux et y relever toutes les fonctions de relations. Ce sera, pour les Chercheurs, une piste à explorer.

Voir l'organigramme-base de la présente communication dans la version en PDF. Pour des raisons techniques, tous les schémas n'ont pu être intégrés dans ce post. Merci de se reporter à la Communication 3 en PDF.

                                                                                                                                                  


III - 1 - Introduction

BIOGRAMME DE LA STRUCTURE UNIVERSELLE

Un biogramme symbolique servira de référent capital à notre conception descriptive, normative et fondatrice avancée de la geste Connaissance.
Notre approche de la structure fondamentale biocosmique universelle s'est cristallisée sur un symbole archétypal : Le génotype qui résume tout l'univers dynamique. Le référant absolu, l'invariant absolu, représentant la structuration architectonique isotrope spatio-temporelle de la Réalité pulsionnelle, l'identité universelle de l'Entier naturel, l'absoluité de l'Ensemble singulier infini. Le génotype qui explique tout phénotype.
Ce biogramme sans dimension, clé et histogramme de l'Univers, mécanisme prototype, « formule » essentielle, unique, déterminante, se schématise en 3D comme suit. Trois diamètres rectangulaires fléchés dans une sphère, représentés tridimensionnellement ainsi : (Figures 17 ou 18)
Il lui fut donné une autre représentation bidimensionnelle qui a déjà fait le tour de la terre. Il s'agit de ce symbole-plan qui a exactement la même signification (Figure 19) mais dont les interprétations marginales n'en ont retenu que le symbolisme primaire.
Ce système de coordonnées polaires, ce schéma dynamique tridimensionnel (sommaire) récursif, géomène, « secret » codé de la structure phénoménale du dynamisme universel, exprime la totalité entière et les totalités partielles « centrées » - (dont le centre est partout) - dynamiques, complexes de coordination auto-animés, auto-régulés, parfaits, dit le cycle intégral synchronique de chaque nécessité d'existence, le développement complet, dynamique, de l'Etre ou du niveau d'être de chaque entité évolutive...
La forme topologique tridimensionnelle du modèle axiomatique que nous proposons, est une approche unifiante d'une vision synchronique de l'Energétique universelle en écriture. Elle formule les lois d'harmonie et de résonance dans la simplicité schématique d'un tenseur fondamental unique, une intégrale d'action invariante, toujours identique à elle-même
La croix polaire à six pôles (à six directions de l'espace tridimensionnel) réfère à l'étendue de la simultanéité globale totale de l'Univers.

Les coordonnées polaires, axes de vie du symbole crucial, s'écrivent en deux phases :
- La verticale d'abord, l'armature, la colonne vertébrale unique, l'intensité énergétique animatrice autour de laquelle tout s' organise;
- Et les horizontales, l'axe équinoxial (Est/Ouest) et l'axe solsticial (Nord/Sud), relativement vertical à l'axe équinoxial : pôles de l'action vitale cyclique spiraliforme, qui tracent l'ampleur, l'amplitude de la réalisation phénoménale, la multiplicité organique, et expriment les variations progressives et les lois immuables de l'énergétique perpétuellement créatrice.
Cette représentation matricielle, biogramme de l'ETRE intégral, sera notre principal référentiel. Il dit l'instance ultime - validité absolue. Quand on a compris ce support visuel, on a déjà bien avancé dans la compréhension de l'Univers. Il permet la lecture immédiate des interactions synchroniques fondamentales des principales énergies universelles.
Explicitons, à présent, la succession logique récurrente des étapes de structure, tout en se souvenant de leur synchronicité essentielle.

III - 2 - L'UNIVERS COMME CONTINUUM

D'ÉTATS STRUCTURAUX

III - 2 - A - Les NUCLEX atomaires
 
Dans une nature entière en son être, et de mouvement continu, la discontinuité énergétique n'est qu'apparente.
Il n'y a pas, à proprement parler, de source centrale absolue dans un quantum de matière donné. Chaque association d'éléments quantique est elle-même une source relative engendrant des champs énergétiques de puissance finie et d'effet caractéristiques.
Tout noyau et tout élément du noyau est donc un groupement de sources. Un nuclex est une unité associative coopérative. Et il ne peut y avoir « la plus petite unité absolue », chacune étant divisible à l'infini en ses composants...
Le terme « atome » (de « a-tomein », qui ne peut être divisé) est inexact dans son sens premier. Mais si nous continuerons à l'employer conventionnellement, il portera désormais le nouveau sens paradoxal suivant : Ensemble de quanta structurés en un noyau et en un nombre donné de masses gravitant autour du noyau sur des orbitales déterminées. (Cf Communication IX)
L'atome est le quantum énergétique minimal de dimension finie à partir duquel se forme ce qu'on appelle couramment la matière dans ses quatre principales phases plasmiques ignée, gazeuse, liquide et solide.
L'atome est un univers composé de sous-univers, caractérisé par une divisibilité à l'infini (Cf Communication II) : Il est composé de nucléons et d'électrons. Le nucléon est formé d'un ensemble de Quarks et de Mésons... Cet ensemble est formé de Tachyons... qui est formé de Psychons, de Bions... etc. Nous appellerons, quant à nous, Velons - nom générique - les quanta ultimes de masse minimale qui constituent le plus petit « grain » porteur d'énergie, accessible à notre entendement. (Cette désignation n'est pas limitative.)

C'est à la dimension atomique, par les interactions d'échanges intra-nucléoniques, inter-électroniques et inter-atomiques, que se manifestent les champs électromagnétiques du clavier énergétique universel, allant des plus basses fréquences à quelques MegaHerz. C'est à partir du Méson que l'on constate les effets électromagnétiques ainsi que la vitesse luminique (photonique) maximale. Autrement dit, la vitesse de l'atome et de ses composants du premier degré (nucléons et électrons) est limitée à la vitesse de la lumière c = 300 000 Km/sec. Nous dirons cette matière « luminale » au sein de la dimension temporelle luminale. Elle est caractérisée par le fait que plus la masse augmente, plus le mouvement décroît, et plus la vitesse décélère. L'inertie s'accroît. L'énergie pour la surmonter augmente proportionnellement. D'où l'impossibilité, à un certain stade, d'atteindre même la vitesse luminale ou d'accélérer jusqu'à elle en partant d'une vitesse inférieure.
Plus on descend dans le monde quantique, plus la vitesse quantique se développe, provoquant la manifestation de champs de plus en plus énergétiques. Plus réduite est la dimension d'un quantum, plus grande est sa puissance énergétique. Au-dessous du Parton, tout vit et réagit à des vitesses sur-luminiques. Nous dirons cette « matière » supra-luminale, au sein de dimensions temporelles sur-luminales. Elle est caractérisée par le fait que plus la masse diminue, plus le mouvement s'accroît, et plus la vitesse accélère.
Ce qui détermine une symétrie entre « deux » univers énergétiques.
Autrement dit, les très hautes et les ultra fréquences sont des champs portés par des quanta énergétiques de vitesse sur-luminique et de dimension bien inférieure à 10 cm. Ces champs sont extrêmement durs. Ils traversent tous les blindages, quels qu'ils soient. Comme si l'obstacle, quelles que soient sa complexité et sa résistance, n'existait même pas.
III - 2 - B - Le PLENUM énergétique

L'organigramme suivant va nous permettre de saisir globalement ce continuum de structure gigogne dans sa première symétrie (la seconde étant dans les phases dites « matière » et « anti-matière »).
NOTE : Les dénominations des quanta, anciennes, récentes (dues à l'imagination heureuse de scientifiques novateurs, notamment en Physique Quantique), ou nouvelles, trouvent, ici, des définitions normatives particulières. Nous prions le lecteur de les suivre exclusivement selon notre optique, afin qu'il évite de malencontreux malentendus. Tous les termes seront explicités au fur et à mesure de notre progression.
Observons l'organigramme du plenum énergétique. (Se référer à la version en PDF pour voir les schémas)
 
Notons bien que chaque Quantum énergétique est un « plasma » qui possède son propre monde, sa propre dimension chrono-spatiale, son intelligence spécifique et sa fonction définie dans le choeur énergétique universel.
Ainsi donc, d'après notre hypothèse de travail, la Matière énergétique Universelle se divise-t-elle en deux bras par rapport à la norme de la vitesse luminique maximale c = 300 000 km/s, et forme la balance de la Symétrie Unitaire énergétique.
Du côté de la vitesse SUR-luminique, s'étend la Matière SUPRA-luminale. Du côté de la vitesse SUB-luminique, s'étend la Matière INFRA-luminale. Il n'y a pas de silence, de vide, dans l'Univers. Tout est voix.Tout est VIE.
1)- La Matière supraluminale (relativement in-formelle) est, selon notre thèse, portée par des quanta véhiculaires que nous désignerons par le nom générique de Velons. Les Velons - les incommensurables - groupent des quanta énergétiques différents, aux modalités spécifiques, que nous désignerons successivement, par ordre de puissance, chacun procédant à la nucléation du plus faible, du moins énergétique :
a) - Les Velons de caractère générique, quanta porteurs du VEL (Vibration d'Extrême Lumière), la plus puissante des Energies. Tout provient DE cette source universelle centrale, PAR elle et EN elle. Usine Centrale de toutes les Energies inférieures.
b) - Les Ergons et les Bions, quanta biologiques très énergétiques organisant tout système constructionnel et définissant son orientation évolutive. Le terme Ergon provient du grec et signifie en-ergie en action.
c) - Les Psychons et les Rations organisateurs :
1)- Les Psychons, quanta formationnels directeurs très énergétiques organisant les échanges dynamiques « conscientiels » instinctuels à longue portée.
2) - Les Rations, quanta intentionnels aussi énergétiques organisant les échanges dynamiques « conscientiels » rationnels à courte portée.
Ces énergies constructrices - l'intelligence de la Matière - sont in-descriptibles, en l'état actuel de nos connaissances et de nos moyens d'investigation, autrement que par leurs effets spécifiques qui nous affectent directement ou indirectement.

2) - Ci-dessous, les énergies actionnelles à la frontière luminique: (Cf Communication IX)
a)- Les Tacchyons (du grec, rapide), quanta subnucléoniques quasi-particulaires, nom générique regroupant :
1)- Les Partons, centres de diffusion subnucléoniques.
2)- Les Quarks qui composent et partagent l'impulsion totale des Baryons et des Mésons, sous les différents états de leurs moments évolutifs : - Les Parks, les Narks et les Larks -, de charges électriques fractionnaires et de quelques 40 GeV de masse.
3)- Les Gluons qui tiennent un rôle dans les liaisons de courte portée entre Quarks, identique à celui des Pions (Mésons pi) dans les liaisons inter-nucléoniques.
b)- Les Luxons (de Lux, lumière) qui groupent:
1)- Les Gravitons, quanta quasi-particulaires de grande portée, régissant les rapports gravitationnels. A la limite de la vitesse luminique.
2)- Les Neutrinos
3)- Les Photons, porteurs des énergies luminales.

3)- La Matière infraluminale (relativement formelle) est portée par des quanta moins énergétiques que nous désignerons par le terme générique de Tardons (de tardus, lent).
a)- Les Tardons se décomposent en :
1)- Baryons
2)- Leptons
3)- Mésons
b)- Les systèmes « géants » :
1)- Les Atomes
2)- Les Molécules, agrégats d'atomes.

4)- La multiplicité co-ordonnée.
Chaque quantum énergétique est une modalité énergétique particulière aux effets relatifs, un « plasma » d'un mode vibrationnel défini qui possède son propre monde (son circuit et son substrat), sa propre dimension chrono-spatiale, son intelligence spécifique et une fonction constructionnelle définie, bien déterminée, selon l'ordre synchronique du chœur énergétique universel - du plain-chant du mouvement perpétuel de la vie.
Les caractéristiques principales de la Matière Supraluminale se résument par le fait que plus la Masse diminue, plus le Mouvement s'accroît et plus la Vitesse accélère.
Les caractéristiques de la Matière Infraluminale se résument par le fait que plus la Masse augmente, plus le Mouvement décroît et plus la Vitesse décélère. On le remarque dans les états de structure des quatre phases plasmiques moléculaires ignée, gazeuse, liquide et cristalline et dans les forces relevant des états de matière et de leurs combinaisons : Forces nucléaires, électromagnétiques, gravitationnelles, engendrant tous les phénomènes d'attraction et de répulsion, d'électricité, de chaleur, de vent, etc.
Chaque quantum reproduit son semblable par réplication en sa propre dimension chrono-spatiale, dans une rénovation incessante.
Tous ces quanta n'agissent pas au hasard de leurs rencontres. Au contraire, ils se classent, s'ordonnent, s'associent harmonieusement suivant leurs propres nécessités, et conjuguent leurs mouvements pour interagir entre eux et avec leur environnement de la manière la plus efficace possible.
De leur organisation harmonique, de leur action coordinatrice, coopérative ou invasive, et suivant l'ordre des causalités énergétiques, émerge la vie - acte de création incessante.

III - 3 - LES MATÉRIAUX DE STRUCTURE

III - 3 - A - L'énergétique Vélaire : Le VEL

Toutes les énergies coexistent dans la structure gigogne universelle. Les ultra-fréquences portées par les Velons composent les composants des composants des atomes, porteurs des énergies électromagnétiques et chimiques, de basses fréquences...
Et puisque les éléments porteurs d'ultra et de très haute fréquence (VEL) constituent les éléments porteurs de très basses et de moyennes fréquences électromagnétiques (VEM), puisque tout est habité de Velons, il est aisé de conclure que les énergies vélaires supraluminales soutiennent en fait et composent tous les éléments et champs des énergies infraluminales, et qu'elles sont donc omniprésentes et omnipotentes.
Le VEL - Vibration d'Energie Luminale ou Vibration d'Extrême Lumière, champ énergétique de fréquence maximale porté par les Velons, relativement au champ électromagnétique infraluminal porté par les Luxons - (et que nous désignerons par les initiales VEEM, Vibration d'Energie Electro-Magnétique, ou VEM.
Le VEL est donc l'énergie unificatrice, la sève centrale présente intégralement en toute chose, qui EST toute chose. Ainsi peut-on dire qu'en fait tout est une seule et même Energie constructionnelle, un même flux biodynamique, un même ressort structurant universel.
Energie rectrice, matrice opérationnelle des lois, dans et par laquelle tous les étants s'écrivent, s'inscrivent. Un océan global. Fondement absolu, ontologique, animateur de toute la réalité en ses multiples différenciations. Tissu énergétique, racine génératrice productrice de tous les phénomènes et rythmes des mondes phénoménaux, fondatrice du devenir, s'exprimant à travers les multiples phases et visages du devenir existentiel. Dynamie centrifuge. Semen, la sève qui lève.
Energétique auto-dynamique, Vibration continuelle, elle ne résulte d'aucun choc. Elle EST. Sa force n'est jamais perdue ou épuisée, annihilée ou détruite. Elle reste entière, quelles que soient les conditions circonstancielles.
Le VEL, l'être de l'Etre, la Matière des Matières, reste toujours identique à lui-même. C'est une infinité invariante. L'inconditionné. Tout est du Vel, par le Vel et dans le Vel.
Nous le représentons sur notre biogramme de la figure 17, par la verticale centrale. Lignum Vitae.

Quelle est sa quiddité ? L'Energétique vélaire est un flux vibrationnel particularisé par des vibrations de fréquences maximales, de l'ordre de trillons de vibrations par seconde.
Par rapport à la lourdeur matérielle des VEEM de basses fréquences, les énergies vélaires présentent un état maximal d'intensité et de dureté de pénétration. Pratiquement, aux énergies vélaires correspondent des forces de portée quasi infinie, a-temporelle. Leur champ forme l'im-matière, l'in-forme, le non-fini, l'il-limité. Et relativement in-dépendant, autonome, ne dépendant que de lui-même. Animant dynamique, l'agissant organisateur porte son action cinétique partout, en tout. Et par suite, on s'autorise à dire que cette énergie agissante est « consciente » des quanta énergétiques inférieurs (de moindre puissance) qu'elle anime. Animant tout élément, cette énergie est, par conséquent, « consciente » de tout élément inclus dans l'Ensemble Universel. Composant tous les éléments de l'Univers, elle est le fondement de l'Univers. Elle EST l'Univers.

III - 3 - B - La Matière Infraluminale (VEM)

Le VEL s'articule en Vibrations d'Extrêmes Matières : VEM. L'univers est un tissu énergétique vélaire parsemé de nœuds, (relativement) faiblement énergétiques, de matière plasmique luminale et infraluminale, électromagnétiques : les énergies VEMaires aux modalités spécifiques.
Ces énergies sont particularisées par des vibrations relativement faibles, à partir de quelques vibrations par seconde. Ces énergies sont l'expression hétérogène des états minima d'intensité, de toute expression matérielle, du refroidissement et de condensation de quanta en formes individualisées, localisées et aux effets définis.
Par rapport aux énergies vélaires, elles sont donc le formé, le fini, le défini, le limité. Le relativement dépendant, conservateur et statique. L'agi, le passif, le malléable. Elles donnent cet aspect corpusculaire discontinu au continuum énergétique fondamental.
Leur vitesse est infra-luminique. Leur portée est temporelle. Et seules les énergies supérieures à 1500 eV (Rayons X durs) sont capables de traverser des distances d'ordre galactique.
Ces énergies vémaires sont le soutènement matériel indispensable aux énergies vélaires. Elles sont toutes deux indissolublement liées. Elles sont les deux bras de la calligraphie universelle. Elles se nécessitent réciproquement. Se révélant l'une l'autre et l'une à l'autre, elles déploient leur devenir l'une par l'autre, l'une pour l'autre, saisies dans un être ensemble indissoluble dans son unité.

III - 3 - C - Les relations entre les deux énergétiques

Tout partage affaiblit les quanta vémaires hétérogènes conservateurs. Au contraire des Velons, des Ergons, des Bions, des Rations et des Psychons - quanta vélaires d'énergies extensives homogènes - qui alimentent la vie universelle : Tout partage les renforce et les multiplie avec des effets proportionnels à l'orientation de leur efficacité.
En effet, les quanta vélaires, et particulièrement les courants bioniques ultra-fréquentiels, provoquent l'animation organisationnelle, constructionnelle. Leur pouvoir germinateur est, dans l'état actuel de l'outillage de la Physique des hautes énergies, indécelable autrement que par leur activité nutritionnelle orientée et ses effets sur les quanta vémaires.
Racines de vie, leur abondance varie avec les saisons, étant, pour la planète Terre, élément du Système Solaire, maximale au printemps. Ces quanta sont, comme tous les autres quanta, soumis à l'influence directe ou indirecte de tous les inducteurs énergétiques déterminants (Soleil, Planètes, Galaxies...).
Les quanta d'énergies infraluminales, au contraire des quanta vélaires, provoquent l'entropie dispersive par leur tendance au désordre maximal, en raison de leur distribution discontinue, relativement aléatoire. Cette distribution caractérisée par une diversification dans toutes les voies probabilitaires (et même parfois parasitaires), dans des conditions infiniment variées de croissance et de localisation au sein, bien sûr, de seuils déterminés.
Ce double phénomène, par la conjonction des dynamismes contraires, est la cause principale du mouvement pulsatoire - à tous niveaux, de la distinction et de l'évolution de tous les nœuds énergétiques, dans leurs propres dimensions chrono-spatiales...
Et tous les quanta énergétiques d'un nœud, d'un ensemble donné, interagissent et organisent leurs échanges, chacun, certes, suivant ses propres paramètres, mais aussi en accord harmonique ou dis-harmonique et surtout en équilibre dynamique de résonance, avec tous les autres quanta.

III - 4 - LA MATRICE UNITAIRE DE DIMENSION INFINIE

III - 4 - A - L'arbre de l'ENTIER Universel

Nous pouvons imaginer l'Energétique universelle à l'image d'un sapin1 : Sur cet arbre de vie, elle serait le tronc, axe absolu d'assemblage, colonne vertébrale autour de laquelle tout s'ordonne, l'ossature cohérente, l'armature du monde, mat qui féconde l'espace à son entour, les divers degrés du formel, VEM nourri par la moelle constitutive, la sève, qui agrège tous les organes, omniprésente, omnipénétrante, entière en chaque partie de l'arbre : le VEL.
Vue synthétique, représentation contextuelle complète de l'Ensemble UN Entier, de la présence à soi-même d'une même Réalité, quel que soit le nombre des branches. Rien n'est inséparable de l'Entier. Rien n'a une existence indépendante. Tout est lié, relié. Rien n'est, en lui-même et par lui-même, un absolu indéfini. Chaque niveau (branche) existe, non par lui-même, mais par rapport aux autres niveaux.
Profonde simplicité structurale isotrope de l'Univers. La structure architectonique unitaire proposée par ces schémas en arbre des flux de transferts, se lit de bas en haut ou inversement, selon la voie du microcosmal vers le macrocosmal ou inversement.
Cette modélisation d'univers structuré en niveaux et sans défaut d'armature, bilan de notre conception de la Réalité totale appuyée sur les données d'expériences scientifiques, n'est pas seulement un concept formel. Elle existe réellement, que nous la percevons globalement, partiellement, ou pas encore.
Notre représentation forcément statique d'un processus essentiellement dynamique - description sous une forme simplifiée de la coopération directe ou éloignée de tous les nœuds - souligne que la structure universelle, combinatoire d'éléments simples dans une structure globale, transcende la fonction élémentaire de chaque nœud (ou circuit) particulier.
 
III - 4 - B - La distribution des quanta de champs énergétiques

L'univers est un réseau complexe de champs énergétiques variés. Ce réseau est organisé par un lacis de courants et de champs vibrationnels de différentes énergies. Les variations de leur composition fondent l'infinie variété des nœuds et la diversité des péripéties de leurs comportements.
L'espace possède les mêmes propriétés dans toutes les directions. Tout est régi par les mêmes lois. Les mêmes caractéristiques se retrouvent au niveau du plus petit et du plus grand des corps. Les relations causales déterminent la distribution énergétique, matières et mouvements, de leur répartition, de la configuration globale.
La distribution énergétique se fait de façon plutôt préférentielle qu'isotrope. Les champs possèdent chacun la passion d'un espace privilégié déterminé par les nécessités chrono-spatiales et l'évolution de leur environnement. En effet, nous constatons que les rapports entre les corps restent constants, quelles que soient leurs connexions et leurs relations ponctuelles, instantanées ou éloignées, de causalité et d'interaction.
Tout s'accorde dans et par l'universalité des lois fondamentales régissant les rapports entre toutes les structures micro- et macroscopiques. (Cf Communication IV)
Dans le tissu vélaire universel et dans certaines conditions énergétiques, une accrétion de Velons en Ergons, en Bions, en Quarks (qui s'agglutinent en protons nucléoniques qui structurent les atomes qui forment les molécules) génère de ce fait toute la Matière infraluminale. Et les réactions entre les différents composants énergétiques déterminent toute la gamme des fréquences électromagnétiques.
Toutes ces relations précisent
- d'abord les éléments de la distribution énergétique - la proportion entre VEL et VEM - qui détermine la localisation d'un nœud, suivant toutes les données et coordonnées spatio-temporelles;
- puis la structure géodésique de son espace-temps, où interviennent les effets pulsatoires cinétiques définissant le type morphologique, sa fréquence particulière, la densité de flux, le débit d'énergie et la capacité d'alimentation, la période, la puissance rayonnée, la luminosité, toutes les relations de proportionnalité;
- et enfin ses trajectoires (ses lignes d'univers) chrono-spatiales, dont le passage d'un état évolutif à un autre...
Le tout définissant le statut du nœud et sa singularité ponctuelle.

Ces nœuds d'énergie sont des centres de recombinaison, accepteurs et donneurs, centres de piégeage, de transformation et d'émission énergétiques. Dans le tissu vélaire, ces nœuds de relative basse ou moyenne fréquence, se présentent comme autant de centres d'imperfection ou d' « impuretés », comme dans un cristal. Ces « défauts » ponctuels occupent des positions déterminées par les interactions de résonance, déterminent les propriétés électromagnétiques du champ énergétique résultant.
D'après les dernières découvertes, l'univers est composé de 90% d'Hydrogène, de 9% d'Hélium et de 1% d'éléments variés, dont les 9/10ème sont composés d'Oxygène, de Carbone, de Néon et d'Azote. Leurs multiples combinaisons donnent une multitude d'éléments formant des nœuds énergétiques. Si l'Hélium et le Néon sont inertes, le Carbone, l'Azote et l'Oxygène se combinant avec l'Hydrogène, donnent respectivement du méthane, CH4, de l'ammoniac NH3, et de l'eau H2O, composants principaux de toute architecture nodulaire.

III - 5 - L'ACTE GÉNITEUR EXISTENTIEL

III - 5 - A - L'acte archétypal

Tout est construit, tout se construit, tout se meut suivant des lois architectoniques précises. Lois strictes d'une nécessité absolue. A chaque nœud précis, la genèse du niveau de vie correspondant, du devenir de telle étape existentielle, de la manifestation phénoménale individualisée formelle, - développement intégral d'une modalité déterminée -, se fait à partir du couplage nécessaire des deux formes extrêmes d'une même et unique énergétique : L'énergie vélaire à très haute fréquence vibrationnelle et l'énergie vémaire, phonique, à relativement faible fréquence vibrationnelle. Couplage selon la loi universelle : Les extrêmes s'attirent, les semblables se repoussent.
Ce couplage se conclut donc par l'avènement d'un phénomène particulier dont la période de vie s'étend en ondes concentriques tourbillonnaires à partir du nœud central jusqu'à la limite du développement intégral de ses potentialités.
Nous représenterons cet acte archétypal géniteur d'une scription singulière, par une croix tourbillonnaire projetée sur le plan équatorial : Un couple de coordonnées cruciales rectangulaires fléchées dans le sens rotatif discoïdal dextrogyre ou lévogyre... (Figure 23)

III - 5 - B - Le couplage binaire

Les constantes de couplage universel et de couplage vectoriel circonstanciel (VEL/VEM) président à la distribution de densités d'étants dans l'espace énergétique, générant ainsi toutes les différentes manifestations phénoménales nodulaires, toutes les entités énergétiques singularisées. (Figure 24)
La condition d'inégalité dans les proportions unies – c'est-à-dire la prédominance d'une énergie sur l'autre - est cependant nécessaire pour exercer une dynamie évolutive nodulaire exprimée par les pulses. Il en résulte en conséquence :
- qu'il y a une impossibilité rigoureuse d'union prolongée entre les énergies complémentaires, car, sinon, tout mouvement serait arrêté, ce qui serait absurde;
- que si les proportions sont rigoureusement exactes, les forces se neutralisent et nous rencontrons alors une inertie momentanée;
- que si la proportion des énergies vélaires est plus intense, le nœud est placé à un niveau supérieur de l'échelle énergétique;
- et enfin, que si la proportion des énergies vémaires est plus importante, le nœud est placé à un niveau inférieur d'autonomie (matériel) de l'échelle.

Tout est couplages et alliages. Union créatrice de tous les univers. Nécessaire loi des complémentaires qui grave le nœud existentiel de chaque étant. L'amour meut les soleils. Tout s'attire par couples. Tout passe de l'unité à la diachronie à la synchronie 3 en 1. Mouvement indéfiniment recommencé à toutes les étapes nodulaires.
Les différentes combinaisons des énergies génèrent toute la gamme des existants. Mais la qualité de l'une ou l'autre énergie reste inaltérable, chacune possédant son domaine d'action distinctif.

III - 5 - C - Le sceau de vie

La Réalité n'est pas duelle. Elle est une, unique, mais double seulement en son expression, en sa formulation.
Les énergies de fréquences vibrationnelles différentes ne sont pas irréductiblement contraires et opposées. Et leur union n'est pas toujours collusion ou lutte. Ces forces polarisées, orientées, complémentaires forment UNE unité duelle.
Mutuellement tournées l'une vers l'autre, elles s'aimantent, s'attirent, passent l'une dans l'autre, s'aimant (mais ne coïncidant jamais parfaitement) et s'identifient unité résolutoire d'un nœud : Résolution communielle créative.
L'énergie la plus puissante ébranle la plus faible, l'éveille, l'anime.
De la friction unitive, de la conjonction, de l'union, de la fusion unifiante, jaillit, mutuelle jouissance émise à la jonction, l'engendrement phénoménal. Instant sacral. L'acte des racines. (Figure 25)
Actualisation identifiante selon la puissance d'aimantation, d'attraction, d'exigence, de correspondance, d'opposition différentiatrice, de répulsion ou de communion, due au particularisme et à l'identité singulière de chaque partie. Loi d'affinités sélectives et de rencontre de l'aventure nuptiale.
Ces nœuds d'associations continuelles, dynamiques, sources complémentaires permutantes, forment le devenir des existants : De l'apparition du désir attractif rythmique (appel et réponse, mouvement de l'un vers l'autre), à l'aggravation de la tension, à la solution par fusion qui renouvelle la vie. Symbiose en vue de l'édification d'un état nouveau d'existence.
Chaque forme d'énergie n'existe que parce qu'existe l'autre. Chacune est intensificatrice de l'autre. Leur liaison associative décisive, relation structurale dynamique, est source de tout développement ultérieur, de tout mouvement créationnel.
Jamais les deux forces vélaires et vémaires ne se figent, statiques, ou ne s'annulent. Rien n'est neutre. L'équilibre de leur rapport est dynamique. Par cette synergie évolutive, elles se réalisent dans l'unité. Chaque rapport entre elles intensifie, transmute la rencontre. Rencontre pour mieux croître, en harmonie (première étape).
Cette rencontre résout une dualité, unifie les différences, édifiant un nouvel état d'être, un nouvel être au monde. Il n'y a pas de répétition absolue, de réplication aveugle, dans les modes d'existence nodulaires. Tout se lie, se noue, coexiste, s'oppose, s'engendre, se réalise, se succède mutuellement. Présence au monde au-delà de toute relativité...

III - 6 - L'AVÈNEMENT NODULAIRE

III - 6 - A - La loi DELTA

Tout est nécessairement DOUBLE en ses composants (vélaires et vémaires) et tri-unitaire en son expression : La rencontre de deux champs aboutit à la formation d'un troisième champ différent des premiers, et qui en est la synthèse.
Deux lampes de couleurs différentes combinant leurs lumières se vitalisent l'une l'autre et génèrent une lumière unifiée, résultat de leur réunion. Mais sans pour autant que les lampes perdent leur identité initiale.
Ainsi, de la rencontre d'un champ quantique vélaire et d'un champ quantique vémaire, jaillit un espace-temps, un quantum énergétique d'un champ caractérisé par une VFP : une Vibration de Fréquence Particulière, une amplitude complexe conjuguée et une polarisation liée aux différences quantiques des champs unis.
C'est la loi DELTA : Deux champs complémentaires s'unissent pour donner un troisième champ distinct. Action coordinatrice exprimée schématiquement par le triangle de la figure 26 ou par le graphe de la figure 27 que nous livrons à la méditation du lecteur :
Tout existant est la résultante de la jonction des énergies complémentaires, de leurs combinaisons et de la différence de leur potentiel.
Toute combinatoire de VEL et de VEM, agissant à tel ou tel niveau, à des vitesses différentes et dans des milieux différents, produit des résultats spécifiques différenciés. C'est de cette interaction continue entre des champs complémentaires que naît le mouvement évolutif, la tension d'être. Une orange est la résultante harmonieuse des champs qui la composent. Si l'on modifie une des fréquences composantes, l'orange deviendrait autre. C'est la mesure de la combinaison énergétique des composants qui détermine la nature de chaque chose et sa Vibration de Fréquence Particulière, ce qui forme son identité d'être.

III - 6 - B - Les Nœuds actuels
Champs et nœuds ne sont pas radicalement différents. L'un compose l'autre et ils se portent l'un l'autre. Les champs portent les nœuds qui portent les champs. Les nœuds sont des propriétés discontinues des champs énergétiques continus. Toute particule est le quantum d'un champ correspondant. Les champs déterminent les nœuds, eux-mêmes générateurs de champs aux propriétés quantiques singularisées.
Le porteur de champ, l'entité nodulaire, est une unité quantique constitutive métastable. Elle est formée de sous-unités quantiques constitutives variables - à l'infini. C'est un système composé cohérent distinct à structure interne différenciée, invariante dans sa modélisation. Chaque nœud est régi par ses propres lois structurelles et évolutives.

1)- Caractéristiques de la VFP
Toute association nodulaire, quelle qu'elle soit, possède les caractéristiques universelles qui déterminent un nœud : à savoir principalement sa composition fréquentielle et sa résultante (VFP), une magnétosphère et une énergie cinétique liées à ses pulsations dynamiques.
En fait, toute une série de coordonnées quantiques détermine la singularité de l'identité chrono-spatiale, de l'agrégat nodulaire d'un étant. Signalons quelques unes :
- sa localisation spatio-temporelle;
- sa dipolarité réglant la circulation de ses champs composants en des courants générant la présence d'un champ global l'entourant;
- ses pulses et son extension spatio-temporelle : son rayon fini, sa taille et sa forme morphologique évolutive;
- son état fondamental, sa structure d'équilibre et ses états excités;
- sa masse, sa densité;
- son énergie de masse, ses forces gravitationnelles centrifuges ou centripètes, sa quantité globale de mouvement (son moment cinétique, son amplitude de rotation), son accélération, son orientation et sa direction, ses charges d'espace, ses performances énergétiques à distances atomiques ou astronomiques;
- son âge (sa séquence d'évolution), sa durée de vie : Chaque nœud est une trame au déroulement chronologique dans un environnement donné. Son régime transformationnel continu varie en fonction de son propre temps, de son espace interne (son horloge biologique). Tout nœud a des périodes d'intégration et de désintégration, de croissance et de décroissance;
- ses énergies de liaisons, internes (entre ses propres composants) et externes (avec son environnement). Etc .
Chaque ETRE est donc une structure énergétique particulière déterminant des facultés diverses suivant l'effet des multiples combinaisons énergétiques qui la composent et la définissent. Et l'animé et l'inanimé ne se différencient que par une différence d'organisation de leurs Matières.
 
2) - La VFP
Chaque quantum nodulaire possède sa propre puissance énergétique, sa propre fréquence vibrationnelle : VFP - résultat de la combinatoire des éléments différentiels (VEL et VEM) qui le constituent, son propre rythme vibrationnel de base, sa spécificité directive et fonctionnelle.
La différence entre les matières n'est qu'une différence dans la fréquence vibrationnelle résultante. En d'autres termes, la VFP détermine la nature et la topologie conformationnelle (la détermination spatio-temporelle) d'un quantum nodulaire que nous reconnaissons par l'intermédiaire de nos sens en accord, chaque fréquence produisant un effet différent, selon son mode fondamental ou ses harmoniques.
Tout pulse et vibre continuellement. Tout est formé de vibrations de fréquences définies, et émet, à son tour des vibrations en un champ quantique particularisé. Toute expression nodulaire dépend du nombre de vibrations par seconde qui la traversent : Et tout varie constamment et évolue. (Cf Communication IV)

3)- La Matière nodulaire
Dans la déclinaison systématique de l'identité énergétique universelle, la Matière (c'est à dire l'entièreté du visible par rapport à nos organes de sens), représente la plus basse fréquence vibrationnelle particulière (VFP) sur l'échelle évolutive universelle. La fermentation de la Matière est l'ultime chair du VEL.
La Matière forme un système nodulaire métastable formé, cependant, de systèmes quantiques variables (et par conséquent instables). La Matière est une Energie vélaire solidifiée, coagulée en plasma cristallisé, précisée en phonème. Sa corporéité chrono-spatiale, congélation différentiatrice, agrégat chthonien, déroule, expérimente, sur différentes tonalités, un accomplissement nodulaire.
Soulignons encore une fois que l'inerte absolu n'existe pas. Tout est vivant. L'immobilisme est impossible. Il nierait la vie. Tout est cinétique. Il n'y a pas de statique. Il n'y a pas d'état de repos dans la Nature, de point mort entre deux forces, quand même elles s'annuleraient apparemment. Tout est animé. Et il n'y a pas d'objets in-animés. Il n'y a que des PROJETS en cours de réalisation, des organismes vivants au déroulement vital plus ou moins lent. Ces devenus, plus leur matérialité s'accentue, plus leur liberté volitive se paralyse et leur déterminisme se mécanise. Leur mutabilité qualitative requiert, dans les conditions normales, un temps relativement assez long, ou bien l'action d'une force extérieure (exogène) assez puissante.
La différence entre les Matières provient de leur différente complexité et de l'organisation de leur champ nucléaire, gravitationnel, électromagnétique, des différences de leur densité, de leurs conditions de mouvement, des arrangements d'ordre différents, c'est à dire des structures d'équilibre qui les forment, et qui ne sont que des structures intermédiaires entre deux états.
Et sous la multiplicité des éléments matériels, nous retrouvons le constituant fondamental : L'énergétique vélaire, d'extrême fréquence.
Considérons brièvement les deux sortes de Matières accessibles à notre entendement :
- La Matière inorganique, relativement inerte, au mouvement intrinsèque chimiquement organisé, mais qui ne peut pratiquement pas se mouvoir, assimiler, croître et se reproduire par elle-même. C'est le cas des plasmas igné, gazeux, liquide et cristallin et leurs interphases. Les rapports entre matières organiques sont axiaux. (Cf Communication X)
- La Matière organique, relativement autonome, au mouvement intrinsèque et extrinsèque, biologiquement organisé, qui peut assimiler, croître et se reproduire assez rapidement. Les rapports entre matières organiques sont liés sphéroïdalement. (Cf Communication XI)

La matière inorganique se forme quand l'énergie vélaire composant sa VFP décroît à son minimum, portant les liaisons énergétiques électro-magnétiques à leur plus haut degré. La décroissance de la température y est proportionnelle.
Les diverses combinaisons de forces agissantes de Matières, constamment variables suivant les déterminants écologiques, s'affectent réciproquement et diversement suivant les effets d'induction particuliers. L'efficacité est relative et dépend des réseaux énergétiques de différentes valeurs mis en présence. Et les processus de rencontre restent relativement harmoniques entre eux, suivant les arrangements des multiples modalités énergétiques.

III - 7 - L'ORDRE ÉVOLUTIONNAIRE

III - 7 - A - Tout est ordre en devenir évolutionnaire

Le monde est très complexe, mais procède de principes simples.
Dans cet Univers ouvert, à l'ordre fini, le jeu combinatoire des quanta énergétiques, rencontres nécessaires ou aléatoires, relativisation quantique des variables liées, génère une infinité de nœuds dans l'espace de distribution, compliquant progressivement l'organisation nodulaire biotypique : cela en passant d'une homogénéité simple, finie et cohérente à une hétérogénéité complexe, puis, de nouveau, à une homogénéité cohérente supérieure
Chaque existant est une expérience de vie. Et il y a autant de systèmes bioénergétiques à spécificités différentes, de variétés différentielles, dans le micro-monde que dans le macro-monde.
Corps globaux ou locaux, ensembles ou sous-ensembles, ces modèles d'univers nodulaires aux diversifications indéfiniment modulées, suivent, tous, une évolution variable et se cyclisent et se régularisent, aux différents niveaux d'intégration, en fonction de tous les déterminants écologiques de leur milieu et de leur environnement immédiat.
Toutes les ponctualités nodulaires du Cosmos, à toute échelle, provenant d'interactions bioénergétiques pertinentes et de recombinaisons radiatives circonstancielles, vont donc évoluer avec le temps selon un itinéraire précis défini par tous les paramètres impliqués.
Toute association nodulaire se présente donc comme un complexe compact lié fortement à lui-même et relié à tous les autres nœuds. Tous les nœuds sont en relation d'après les lois inhérentes d'interdépendance relationnelle au niveau des énergies vélaires ou vémaires...
Chaque unité structurale, quelle que soit sa dimension, est une synthèse organique orientée qui déroule sa vie en résonance intime avec tous les porteurs de charge environnants. Sa fonction est donc déterminée particulièrement par les caractéristiques de l'ensemble écologique biosphérique qui le nourrit...
Tous les paramètres variant constamment, on peut conclure que toute structure est toujours un état intermédiaire entre deux états. En constante évolution.
 
III - 7 - B - L'ENTIER UNIVERSEL

L'Univers est un Entier homogène, fini dans sa structure et infini dans son devenir. Par sa structure finie, le Tout se présente comme un système régulier organique identique à lui-même, immuable et isotrope, d'une homogénéité parfaite.
L'Ultra-structure universelle est sans frontières (- ce terme est d'ailleurs impropre), ouverte, en devenir illimité et continu. Elle est composée d'un enchaînement d'êtres nodulaires et de modalités d'être dans un mouvement perpétuel, infiniment présente à elle-même. (Cf Communication VII)
L'Entier universel est formé de systèmes groupés d'ensembles interdépendants de structure formationnelle basique identique et de structures énergétiques différentielles. Cette ultra-structure universelle, vaste Ensemble unicentrique intégral vit en une présence infinie hors temporalité. Mais par rapport à chaque nœud d'existence qu'il intègre et nourrit, le Cosmos vit dans ce qui nous semble être une évolution spatio-temporelle pulsative aux magnitudes remarquables, pouvant être décrites et quantifiées.
L'Entier universel se fonde sur les mêmes lois invariantes qui en relient toutes les étapes et métamorphoses par une énergétique unique (vélaire) dans sa centration verticale (hors-temps). Cette Energie unique fonde la décentration spirale, l'étendue « horizontale » actionnelle chrono-spatiale de tous les noeuds d'existence, de tous les étants. (Cf les figures 17 et 18)
Nous formulerons l'Entier Universel avec ses différents composants par le graphe suivant (Figure 28):

III - 8 - GRADATION DES NŒUDS


PHÉNOMÉNAUX DIFFÉRENTIELS

III - 8 - A - L'infinité des possibles

Le tronc est un. Les branches et les fruits multiples, dans l'infinité des possibles au croisement indéfini des plans de l'Univers : Un monde mais une série indéfinie de modes, de plus en plus intenses. Différenciation intégrale en pluralité de plages de moins en moins dépendantes, qui s'articulent, chacune, selon son style paroxystique unique, son taux fréquentiel de vibrations résultat du jeu combinatoire différencié de ses composants énergétiques initiaux.
A chaque degré de l'axe polaire, se noue un devenir phénoménal, un champ phonématique, une scription qui réalise une possibilité déterminée unique, sa vocation d'être. Un en-soi, nœud de vibrations énergétiques particulières. (Cf figure 21 )
Chaque nexus, nœud phénoménal de VFP, est un événement extrémal, intégral. Un biotype. Un moment principiel, inlassablement différent (dans sa modalité, non en son essence). Toute une série de concrétisations progressives de transformations, de différenciations rythmiques successives ou synchroniques, génère ces nœuds/seuils énergétiques (à niveau fonctionnel bien défini et caractérisé) auto-catalytiques, géniteurs différenciés de matrices de phonèmes et de langages particularisés.
Chaque nœud définit pour chaque existant son propre niveau d'existence. Et il ne peut y avoir deux possibilités absolument identiques. Mais la mélodie reste la même tant que persistent les structures transposées d'un ton à un autre, alors que tous les éléments sonores en sont changés. Equivalence structurelle de toutes les dimensions.
Variations illimitées des scriptions de l'Invariant. L'Univers porte le NOM fait du nom de chaque existant. Il ne s'agit pas d'une sommation des diversités (- apparente discontinuité -), mais de leur résultante concertante. L'Univers, cathédrale énergétique où chaque niveau correspond à un état énergétique différentiel. Organisme cohérent, structure articulée dont toutes les parties, dans leur indéfinie multiplicité, sont elles-mêmes des totalités (partielles).
Tout est co-essentiel dans la nécessité générative universelle. Et à chaque structure associative, se forme un nouveau niveau énergétique qui s'affirme dans l'harmonie du plain-chant existentiel universel.

III - 8 - B - L'architectonique sociétaire

Chaque niveau phénoménal possédant ses structures propres a donc ses propres lois réalisationnelles en accord avec les invariants universaux, dont il est une expression. Et chaque nœud est différent. Il n'y a pas de nœuds identiques. La Nature ne fait pas de copies. Et toute différenciation apparaît gradation hiérarchique de fonctions uniquement en apparence. Ces unités architectoniques de la structure universelle unitaire, ces nœuds (points ou phonèmes) successifs du tronc (ligne ou discours) sont chacun différents (discontinus) tandis que la sève qui les alimente tous est unique, continue.
Aucun nœud ne périt dans celui qui le suit, quel que soit le seuil spatio-temporel, dans l'étagement structural continu, mais, bien au contraire, s'y exalte à un moment donné de son devenir.
Tel événement, tel nœud ne peut avoir lieu à n'importe quel moment mais au moment où celui-ci est possible. Il est lié à l'acte fonctionnel, à la temporalité, à la spatialité, à la nécessité. Chaque palier est une fixation spatio-temporelle nécessaire soulignant la différence de degrés de développement, d'intention, d'échelle, d'autonomie, dans sa corporéité, son expression. Aucun nœud n'est le résultat du pur hasard.
Tout est partout dissemblable (dans les formes discontinues saisies par leurs contrastes) et pourtant identique, similaire (dans l'identité des traits communs universels et de sa structure fondamentale). Le même se trouve réitéré dans sa structuration sans altération différentielle de base. Il s'agit bien donc d'une diversité formelle exprimant l'universalité fondamentale de la structure. Les branches forment une suite infinie de sous-ensembles appartenant au même modèle de base.

III - 8 - C - La dynamie mutationnelle

Chaque nœud, clivé sur l'échelle énergétique, détermine un autre, lui succédant. Chaque degré unit les éléments du précédent et les transmue dans une dynamie mutationnelle intensificatrice de complexité et de conscience. Chaque étape évolutive est un accroissement multi-dimensionnel.
Il n'y a pas de nœud clos et achevé. On ne saute pas d'une espèce à une autre. Chaque espèce a sa loi propre, son propre cycle de développement par différentiation et adaptation fonctionnelle, jusqu'à l'extrême déroulement de ses potentialités. Au terme explosif, grâce aux interférences catalytiques endogènes et exogènes, commence la mutation vers le degré supérieur d'existence, un nouveau niveau d'être, qui, à son tour, capte, assemble, concentre, puis dissémine, dégage, traduit, permute ses possibilités, dans la réitération indéfinie du processus évolutionnaire.
Dans cette échelle qualitative et quantitative, gradation génétique de seuils d'intensités, se dégage une continuité remarquable : De tous les ordres de présence, niveaux de conscience, réalités phénoménales, règnes énergétiques originaux et spécialisés de toutes les dimensions de l'ETRE, se prouve - et s'éprouve - la profonde harmonie embrassant tous les champs du dicible et de l'écriture, fondés par tous les universaux immuables.

III - 9 - LES SCRIPTIONS PHÉNOMÉNALES
 
III - 9 - A - Tout est pluriel dès le singulier

A chaque degré de l'échelle énergétique, de l'écriture universelle, se noue une scription, traçage d'une vision, d'une conception, concrétion d'une énergétique en matière nodulaire singulière. La densification de l'énergie phonématique se convertit en phonèmes articulés, formulation distincte d'un pré-existant manifeste. Prise de forme, l'écriture se fait chair, déroulement réflexif en action. Cet engendrement inépuisable d'une trame de phénomènes, d'expériences uniques, se déroule en figurations d'espaces-temps définis. Quantification d'une qualité ou accomplissement d'une volonté d'existence, cette émergence est située dans un champ d'expansion défini, momentané, daté.
Le jaillissement de la pensée en mots, - objectivation ou expansion projective de l'exprimable, est une actualisation différentiatrice. Sa dispersion centrifuge signe la prolifération du nom nodulaire. Polysémie, polychromie ou polyphonie, voie de complexification unique devenue nécessaire, l'organisation syntaxique déroule finalement un sens. (Une scription n'est donc jamais un amoncellement accidentel). Chaque cellule ne dit-elle pas tout l'homme ?
Chaque scription n'est qu'une modalité de l'énonciation perpétuelle de l'ETRE. Elle en est une description phénoménale. Par ce moment existentiel, l'Universel se mue singulier.
Toute genèse est irréversible. Tout apparaît par nécessité. Et se conjugue jusqu'à la réalisation intégrale des possibilités, des virtualités, que le singulier porte en lui. Sa force centrifuge va jusqu'à l'épuisement des ressources vitales du flot émis, car toute scription phénoménologique est soumise aux limitations inhérentes à son domaine d'existence.
Chaque degré d'existence signe le recommencement, à tous les niveaux, d'une indéfinité de coexistants phénoménaux. Toujours le même feu, jamais la même flamme, a-t-on dit. Chaque scription amplifie, catalyse, réalise la scription immédiatement inférieure, elle-même relais d'une autre dans l'infinie variété des espèces biotypiques. Ainsi se dessine la gestation constante de l'écriture.
Tout se conditionne réciproquement. Les rapports réciproques sont plus importants que la fonction organique des scriptions composant l'Univers. Tout est un : L'homme et sa nourriture.
 
III - 9 - B - Le nexus phénoménal et son devenir

1)- L'initial est central
Noyau, centre, ou bien cœur ponctuel cosmique, l'initial est sans épaisseur ni corps, infiniment présent. Trace de l'axe polaire auquel il s'alimente, le point axial s'individualise, schématiquement, par la rencontre des axes horizontaux sur l'axe polaire vertical. (Cf Figure 17)
Lieu d'articulation d'un phénomène particulier, d'une scription à nulle autre pareille, son immobilité même se ramasse en tension, resserrement avant le départ. Comme la constriction de la sphère en un point unique, comme la fixation solide de la pointe du compas dont le traceur va formuler l'extension et la limite.
L'initial est un absolu singulier. Il contient déjà toutes les dimensions chrono-spatiales à développer. Toute-puissance conceptionnelle, charnière ouvrant tous les possibles, le non-encore dit est toute-puissance à dire. Décision d'écriture chargée de la puissance de tracement, énergie lovée, en attente d'expression, comme la graine. Car l'arbre est tout entier dans la graine. Le Cosmos est tout entier dans la graine. L'initial est un totum et un quantum énergétique (auto)-déterminants.
Cette masse ponctuelle d'énergie qui va se préciser, s'écrire, est le centre-racine d'un monde, où se trouve ramassé un univers entier. Dans ce foyer recelant la forme innombrable des signifiants d'une écriture à venir, la totalité se rassemble dans l'unité et définit son exigence environnementale, sa vocation propre d'existence à réaliser.
Origine conceptionnelle ou point de départ, l'instant suprême initial, primordial, toujours intensificateur de lui-même, est un moment d'existence inlassablement actuel et perpétuel. Sommet et centre radical de tout phénomène nodulaire, ce moment unique exceptionnel, entreprend son commencement jusqu'à la fin communielle. Le terme fusionnel, l'instant final (non pas terminal), point d'arrivée, est aussi un nouveau départ, se nouant au degré harmonique évolutif immédiatement accessible.
Nœud d'intégration génétique créative, toujours même et toujours autre, nouveau, il a en vue son expansion dans un espace-temps donné et son intensification. Ce réceptacle contient le paradigme de tout ce qui existera à partir de lui à tel niveau. L'œuf du paon contient toutes les couleurs du paon.
Energie de croissance concentrée, lieu de dynamisation génétique, doué de toutes les potentialités spatio-temporelles conditionnant la réalisation de tel phénomène, il est ce point récepteur, accumulateur et réémetteur d'énergies, cette force germinative, nœud concentrant tout déploiement ultérieur spatio-temporel expansif intensif...
L'ouvert. Hors langage. Là où s'engendre une forme singulière d'existence, un état particulier d'une expression d'être. Œil-source d'une intensité phénoménale différentielle.
Ponctualité de tout avènement. Mais il n'y a pas, il ne peut y avoir de ponctualité pure. Tout point, nul spatialement, est relation, rencontre de dynamismes. Moment radical, rétrospectif et prospectif, qui consacre un passé et va engendrer un avenir. Point paroxystique où s'accouplent les énergies actives, les forces d'échange et d'exclusion, mais aussitôt accordées que dés-accordées, mutantes.
Nœud énergétique densifié, il contient et maintient une énergie concentrée en son foyer avant l'expansion du devenir. Centréité en vue de la dispersion ultérieure absolument nécessaire jusqu'à l'épuisement graduel des potentialités par nivellement entropique. Telle est la condition mutante, essentielle, de chaque existant.
L'intentionnalité est centrée, centrale. L'action formulatoire rayonnante. Comme sa preuve manifeste.
Nous exprimerons par le graphe suivant, la centréité rétrospective et prospective (le point central) et son rayonnement entropique (le cercle). (Figure 29)

2) - Le point est pointe
L' ouvrage est à écrire. Le point singulier se contracte, se resserre, se ramasse, puis, activé, se mue élan. La vie déplie alors chaque code génétique.
Tout effet préexiste en sa cause. La formulation existe totalement en sa source, nœud archétypal, paradigme de ce qui sera, code vital immanent entièrement en sa formulation.
Le point : Germe et matrice d'une situation existentielle singulière. Gestation de croissance réunissant l'ensemble des conditions déterminant un étant particulier. Foetus que la vie réalise, personnalise. Besoin et appel à devenir, puissance d'être, et pouvoir potentiel d'expansion, de dilatation, de multiplication, d'intensification, de tout le tissu des possibles. Par animation conscientielle de nécessités fonctionnelles.

3) - Le point envahit le cercle, la sphère. Le devenir.
Le projet s'actualise JET qui afflue et s'épanouit en effluves. L'ouvrage s'écrit. Emission en feux d'artifice. Jouissance créative. Inflorescence soudaine qui dépense, rapidement, les potentialités accumulées pendant longtemps. Jusqu'à l'épuisement du jet.
La vie se déroule de l'homogène à l'hétérogène, de l'un au multiple, de l'essentiel au circonstanciel, du continu au discontinu.
Chaque nœud énergétique, quiddité potentielle, dit, écrit l'intégralité d'un état d'être, d'un niveau d'existence. Du nom au rayonnement du nom, à la nomination de chaque existant, chaque ouvrage s'étend sur un champ de réalisation particulier, déterminé, mais toujours soumis aux conditions limitatives, déterminantes, elles-mêmes entièrement déterminées.
Formé et formant, qualifié et qualifiant, le nœud, ensemble homogène, actualise des individualités hétérogènes. L'homogénéité dynamique initiale, identité pleine, s'actualise en hétérogénéités effervescentes continuelles, diversité et variété croissantes, potentialisant à leur tour une accumulation entropique, une sclérose, la mort, condition nécessaire à la conversion à une nouvelle étape homogénéisante.
Dynamisme matriciel homo-hétéro-généisant à tous les niveaux, son actualisation sera douce ou brutale. La force homogénéisante unitive, permanente, soutenant le tout, étant l'énergétique vélaire : animatrice décisionnelle par rapport à l'énergétique vémaire lourde et agie...

4) - La respiration du nœud
La respiration phénoménale dessine une alternance des phases de concentration décisionnelle et de décentration actionnelle, d'accumulation et de transformation, de contraction et d'expansion cycliques. C'est le pouls de chaque champ d'univers, rayonnement en champs concentriques à partir du centre jusqu'à l'extrême limite de la portée.
L'actualisation est elle-même nouvelle potentialisation et nouvelle réalisation ad infinitum, jusqu'à l'achèvement de la période du mouvement pulsatoire.
Le nœud paraît comme un instant toujours vierge, jeune, immaculé, qui, sous la décision et l'action de l'énergie animatrice conscientielle décisionnelle, devient géniteur. La graine, mère de l'arbre. Puis, après avoir déplié, formulé, donné vie à ses potentialités, l'instant redevient à nouveau vierge et neuf et mère, source d'un nouveau champ de possibilités. Eternellement. Au dernier coup de minuit, commence un nouveau jour.

5) - Le passage
Le seuil organique de réaction atteint à l'achèvement du cycle pulsatoire, s'opère alors la métamorphose explosive et le passage à un champ différent, supérieur, ou inférieur, selon les éléments mutants. Point final (jamais terminal) de l'intégration, de la résorption unitive, germe d'un nouveau plan d'existence.
Cette permutation alimente et renouvelle l'acte de fondation universel, dans et par le mouvement spiral de l'évolution des existants. (Cf Figure 22)

III - 9 - C - Les paramètres phénoménaux

1)- Chaque nexus, point d'univers, moment essentiel biotypique de l'existence, ouvre un plan (un mode) différencié de conscience dont il décide des propriétés et qu'il détermine entièrement selon les paramètres phénoménaux qui le fondent.
Le nœud est un centre dynamique de vie immédiate où s'accordent certains paramètres différenciés en vue de développer toutes les potentialités comprises dans le projet nodulaire. Sa centralité relative, où tout converge, d'où tout rayonne, exprime le point d'intersection de tous les possibles portés par un message génétique, un code unique, d'une combinatoire, d'une « formule », des données de départ, tous les paramètres déterminants spécifiques : Eléments vibrationnels composants, règles de relations et de contraintes, etc., déterminés en vue d'une certaine fonction nécessaire inhérente à ce même niveau.

2)- C'est donc à partir de cette expression synthétique substantielle, cette matrice multidimensionnelle, cette base opérationnelle que va s'ouvrir une réalisation nodulaire dans le champ du possible.
Ainsi, à partir de cette matrice originale et unique qui détermine l'exploration (finie et nécessaire) expérimentale d'un seul champ de possibles, s'étendent des variations subliminaires innombrables (champ de la liberté) à caractère aléatoire (possible et non certain ou nécessaire), limitées (délimitées) par les potentialités (virtualités, seuils) portées par la matrice. Autrement dit, ce degré de liberté résiduelle, limitée par les contraintes fonctionnelles (synchroniques ou successives) subies, explore toute la richesse des possibles d'un champ déterminé.
Le trajet biotypique, subordonné aux conditions préétablies, délimité par les paramètres de base, - règles d'assemblage nodulaire et lois de fonctionnement précises -, inscrit le champ phénoménal actuel, épuisant toutes les perspectives combinatoires du phénomène dans un environnement donné.

3)- Trois chaînes paramétriques sont ainsi élucidées :
a)- Les invariants endogènes fondamentaux (-clés) intensifs. Ils s'expriment en termes absolus par rapport à des limites absolues : Lois naturéelles invariantes (les universaux) à valeur irréductible, indépendante. Ces invariants posent les contraintes fondamentales :
- les limites absolues, les seuils naturels conditionnant la dépendance complète de la structure nodulaire ;
- les limites inhérentes, implicites, à la structure nodulaire.
b)- Les variants extensifs, tous les paramètres dimensionnels opérationnels évoluant selon les variations du milieu ambiant (écologique) d'utilisation (par ex. par rapport à l'homme : la démographie, les ressources, la production, la technique, la tolérance et la résistance humaine). Ils conditionnent les dépendances partielles selon les cycles temporels, le milieu nutritionnel, le niveau global des efforts, les influences combinées, leur prévision, la cadence des fluctuations, et toutes les interrelations intégrées ou rejetées selon la sensibilité paramétrique aux macro- et micro-variables. Ces limites relatives généralement clairement discernées, conditionnent le choix et l'invention des facteurs utilitaires correctifs (par exemple, pour l'homme, ses différents outils adaptatifs...). Et toute limite brutalement heurtée entraîne la dislocation : la mort.
c)- Les facteurs exogènes (influences prévues ou imprévues) sous l'action desquels le phénomène nodulaire subit une modification plus ou moins radicale.
La combinaison des trois ensembles de paramètres pose donc les lois de contraintes conditionnant, régissant l'assemblage et le gouvernent des éléments du modèle nodulaire et sa croissance logistique. Tout est relations significatives de succession d'effets. Ceci ouvre déjà notre prochaine Communication.
                                                                                                       

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