COMMUNICATION
I
INTRODUCTION
À
UNE DESCRIPTIVE DU RÉEL
« Un
œil clair qui sache voir la nature
un
cœur simple capable de la sentir
un
esprit droit qui ose la suivre. »
Chant
barde
À
partir de ce qu'on sait, comprendre qui on est.
1 - L'heure du choix
2 - Conception unitaire novalienne
3
- Réalité et connaissance
A
- Le réel comme unique référentiel B
- Voies d'approche
C
- Une logique relationnelle plurale
4
- Lecture du réel
A
- L'identification harmonique B
- Rallier le réel
C
- L'axiomatique dégagée
5
- Culture unitaire
6
- Une œuvre ouverte
7
- Formulation
A
- Démasquage circulaire B
- Descriptive holographique
C
- Écriture holographique D
- Clarté expressionnelle
8
- Accès au texte
9
- Pour une innovation culturelle introduisant
à
l'université ouverte novalienne
TRAVAUX DE RECHERCHE
INDIVIDUELLE OU D'ATELIER
Notre itinéraire, dans notre queste obstinée d'une connaissance fondamentale n'a pas été de tout repos. Nous avons longtemps et douloureusement cherché, à perdre haleine, mais sans perdre courage. Nous sommes certes relativement jeunes - et c'est notre chance -, mais des maîtres de science, connus ou inconnus, présents ou passés, infiniment vivants, nous ont guidé, depuis février 1962. Ils nous ont guidé, par la parole et l'expérience - le complément indispensable, à descendre de plus en plus profondément en la terre des questions de plus en plus précises et pertinentes - et à trouver peut-être la réponse - fulgurante et si simple dans sa complexité unitaire.
Nous
communiquons dans ce volume les éléments fondamentaux, base de tout
l'édifice, que les travaux en ateliers d'une Université Ouverte
Novalienne - à fonder - devront à leur tour développer et
authentifier expérimentalement avec des outils d'investigation
appropriés. Nous espérons ainsi aider les chercheurs de
connaissance absolue. D'abord en orientant leurs questions vers une
logique rigoureuse de recherche - sans jamais lâcher le réel. Puis,
en les guidant dans le labyrinthe des phénomènes existentiels, par
le texte et la parole ainsi que par l'expérience directe - qui leur
ouvriraient les exceptionnels horizons de la connaissance rationnelle
et de l'intelligence expérimentale. Par la parole et le texte à
travers une descriptive que nous avons voulu quasi-holographique (en
relief total,) nos communications thématiques déroulant notre
opiniâtreté analytique; et par l'expérience à travers les travaux
individuels ou les travaux d'atelier...
Notre
démarche descriptive et explicative, formative et informative, ouvre
une méthode axiomatique formalisée, en accord complet avec les
faits réels. Tous les énoncés pragmatiques sont valables pour tout
observateur, à tout instant, dans l'espace et le temps. Nos procédés
typiques de démontrabilité nous font avancer, dans une progression
graduelle appuyée sans cesse sur le support expérimental éprouvé
par des générations de scientifiques. Par des généralisations de
plus en plus vastes et intégrantes, nous avançons vers la
résolution des problèmes séquentiels les plus importants,
aboutissant à une synthèse unitaire – qui pourrait appeler à une
rupture radicale.
Nous
portons notre réflexion très loin au cœur du réel. Tout dans
notre bilan que nous avons voulu strictement scientifique unifie les
théories atomiques, nucléaires, astrophysiques..., est étayé par
des preuves logiques confirmant notre thèse. Nous avons tenté de
tout vérifier expérimentalement - dans la mesure des outils de
vérification actuellement disponibles - et conduit ou conduira à
des applications concrètes. Nous ne délimitons jamais les
perspectives mais, bien au contraire, les ouvrons largement.
Théorie
ou doctrine pour les uns, certitude pour les autres, notre œuvre
(magistère) fournit les clés nécessaires pour parvenir à
l'intelligence de la naturéalité, à la connaissance des mystères
de la structure universelle. Et ce, sans termes équivoques. Passer
ainsi du croire au connaître. Et du croire passif et résigné au
croître dynamique. Aquariens enfants de la science, nous espérons
inaugurer une ère de la connaissance fertile. Nous sommes orientés
vers la connaissance validée - la science orthodoxe. Et notre
philo-sophie de croissance a des fins pratiques. Car aucun problème
concernant l'homme ou l'univers ne peut être résolu isolément.
Tout est lié.
Nous
ne nous hâterons pas dans notre démarche vers une lumière qui ne
fait pas d'ombre. Nous approcherons la connaissance-vie, la
connaissance vécue, lentement, par de lents voyages - mais sûrs,
vers le centre. La voie est extrêmement ardue et requiert une
présence à soi, une vigilance de tous les instants. Toute histoire
est celle d'une initiation à la verticalité en vue de vaincre la
circularité, l'encerclement.
Nous
ne dirons pas que nous sommes allés au Tibet ou sous les pôles
chercher et trouver les fondements de notre thèse unitaire. Nos
voies de recherche ont été complexes. Il nous suffit d'affirmer que
nous ne proposons pas une mystagogie mais, à travers notre
« nouvelle » théorie quantique, une descriptive concrète
de la réalité intrinsèque universelle dans ses mécanismes les
plus intimes. Le réel est notre pierre d'angle. La voie des
filiations et le jeu des influences apparaîtront clairement à
quelques uns. Mais il ne nous intéresse pas de nous y attarder, à
la présente étape de notre travail. Notre descriptive unitaire est
la clé de voûte de l'architecture cognitive, au cœur des
civilisations. Va-t-on la rejeter d'abord, comme dans la légende,
parce qu'elle ne correspond pas aux concepts établis, pour finir par
l'estimer ensuite à sa juste valeur - comme toute invention
scientifique théorique et pratique (de la TSF à l'avion...) ?
Les
données en notre possession nous autorisent à édifier un modèle
quantique unitaire, une axiomatique unifiée, unifiante, à
universaliser ce modèle qualitatif archétypal cinématique,
représentation matricielle qui explique l'énergétique des
processus structuraux dynamiques et qui interprète tous les
phénomènes, à tous les niveaux, en termes bio-énergétiques
quantiques. Il ne s'agit pas de rupture avec les enseignements
traditionnels, mais d'une mutation cognitive. L'énoncé recteur de
notre réponse – que nous espérons étape décisive et élan
d'ouverture dans la connaissance de la structure fondamentale
universelle de vie - trace les traits principaux et cerne les détails
des mécanismes d'interaction au sein de la topographie énergétique
universelle.
L'apport
essentiel de notre réflexion à la recherche incessante des racines,
et la portée constructive de notre démarche, résident dans le fait
que nous ne proposons pas une pseudo-science investie dans une
architecture cosmogonique fantaisiste, un rêve, une doctrine
partielle, farfelue, une religion avec dogmes et credo, des
convictions acquises, assises ou à accrocher aux cimaises des
temples-musées, un nouveau système de pensée spéculatif qui aura
à son tour une triste fin, ou bien une connaissance académique
faite d'une somme de vérités relatives, parcellaires. Mais bien au
contraire, dans le fait que nous proposons une vision universaliste
de l'univers et une connaissance ouverte synthétique d'une structure
vivante ouverte à tous les possibles mutationnels, une dynamie de la
vie, qui plus est, un art de comprendre l'univers et d'en vivre les
instants fondamentaux, présent au présent, relié au tout
universel. Une axiomatique d'universaux dont la rectitude se situe
dans la perspective et la profondeur d'une équation universelle
unique précise.
I
- 3 - A - Le réel comme unique référentiel
Le réel est notre unique référentiel Nous avons sans cesse ajusté notre modèle structural aux données expérimentales du monde réel. Telle est la gageure qui inaugure notre démarche à la recherche de l'intelligibilité du monde. Nous avons parcouru les niveaux d'investigation les plus divers, nouant les recherches sur une interrogation d'ensemble qui, d'elle-même, imposait la réponse et les corrélations fondamentales, et qui générait toutes les autres interrogations conjecturales secondaires. Tout est, pour nous, objet philosophique ou scientifique. Tout est locuteur spécifique. Nos interrogations ont porté sur la détermination des mécanismes fondamentaux de l'enchaînement des étapes élémentaires et secondaires de structure, des relations de causalité univoque déterminante circulaire des évènements, ainsi que des relations cinétiques d'étagement hiérarchique et de dominance énergétique, en vue d'expliquer les rapports de structure et les principes qui gouvernent la régulation de la respiration universelle.
Ainsi
avons-nous pu retrouver les parties du grand corps de la connaissance
assassiné et découpé en morceaux épars, et, reliant entre eux les
processus et les structurant, en reconstituer enfin l'intégrité.
La réalité n'est pas incognoscible, in-définie, in-définissable, in-accessible. Tout mystère n'est que de l'inexpliqué provisoire. Mais les approches intellectuelles diffèrent. La réalité est une mais chacun la voit à travers un (son) hublot différent, selon son système de référence, ses expériences... Connaissances discontinues, approximatives, multiples, relatives, passagères, (vraies ou fausses), d'un même réel continu, absolu, immuable. Nos connaissances seules changent et s'entravent de limitations. Mais, en dernière instance, il n'y a pas de regards inconciliables. Les divergences et la multiplicité des interprétations proviennent des différences de perspectives et de modalités d'expression. Notre modèle quantique unitaire sera peut-être le moyeu de la roue et qui en unit tous les rayons.
Notons,
ici, que c'est seulement par les voies endo-psychiques qu'il est
possible de « connaître », de l'intérieur,
d'expérimenter intimement, de vivre le réel continu. Mais ces
expériences de la réalité, essentiellement non rationnelles, sont
au-delà des mots. Comment traduire en pauvres mots un état
relationnel, fusionnel ? - Mais nous y reviendrons plus tard... En
revanche, les connaissances rationnelles, elles, sont donc forcément
partielles, partiales, incomplètes, du fait qu'elles ne peuvent
vérifier que le discontinu du réel. Mais ce connu en mode
distinctif a l'avantage de pouvoir être défini intellectuellement
et saisi par des formules rationnelles. Nous nous y appliquerons dans
notre présente recherche de la formule fondamentale qui unifierait
toutes les lois universelles et qui exprimerait le monde évènementiel
dans sa réalité intrinsèque.
I - 3 - C - Une logique plurale
Notre logique est une logique relationnelle plurale, méthodiquement intégrante. Notre intelligence analysatrice, indicative, optative, ne pouvait démonter les mécanismes pour les analyser. Les pièces détachées ne sont pas tout l'avion... Elle a raisonné, plutôt, par totalités non relatives. Ainsi notre déchiffrement n'a-t-il pas défait le réel ou déformé sa nature, son relief, sa fonction. Au contraire, il s'y est rallié. Notre logique, dans l'interprétation des données, a surmonté les dissonances cognitives en utilisant une démarche multipolaire réunissant la démarche déductive rationnelle expérimentale à la démarche intuitive inductive.
Mais
le réel n'est pas tout le mesurable. Comment saisir, appréhender
directement la vie totale, infinie, par le fini et le limité ?
L'amour, par exemple, n'est pas chiffrable. Il est, strictement,
ir-rationnel, au-delà de la portée de la raison déductive. La
phase observationnelle descriptive conceptuelle se vérifiera par
l'ultime instance de l'expérience intime intégrante. De la preuve
rationnelle à l'épreuve personnelle (poétique) - à l'expérience
de la preuve. L'on doit tout éprouver par soi-même pour tout
connaître, com-prendre, intégralement. Mais cela n'est pas notre
objet.
La
connaissance rationnelle conceptuelle et ses critères ne peuvent
accéder à la radicalité. Comment se fier totalement à nos sens
limités, restreints dans leurs fonctions naturelles puis dans leurs
qualités perceptives, par toutes les conditions fonctionnelles
restrictives ? L'emprise de l'intellect est même souvent paralysante
par les limites de rationalité qu'on s'impose, soulignant nos
limites intellectuelles. Si l'homme s'était arrêté aux limitations
perceptives, il n'aurait jamais pu découvrir ces ondes (invisibles)
de radio. Certes, la technologie repousse de plus en plus loin ces
limitations, révélant ainsi graduellement toute la réalité
matérielle. Rien ne devrait échapper à l'investigation analytique.
Tout, dans le domaine matériel, est réductible à la logique
pragmatique – C'est ce qui fonde notre logique plurale.
Mais
la tâche est ardue. Notre lecture du réel, des observables, de
l'ordonnancement appréhensible, compréhensible, logique, nous a
révélé, par des pourquoi sans cesse résolus, le degré extrême
d'ordre total du rimaire universel, déracinant ainsi le hasard. Il
n'y a pas d'aveugles chimies. Qui cherche (bien), trouve. En
déchiffreurs rigoureux du réel, nous avons avancé, cherché et
trouvé ou retrouvé la sève perdue. Nous avons vu qu'il n'y a rien
d'occulte. Il n'y a pas de vérité irrévélable. L'occulte est né
de la paresse intellectuelle et du refus obstiné et injustifié de
la recherche fondamentale. Un certain savoir, cependant, a été
offert et transmis à ceux qui étaient capables d'y accéder par
voie initiatique, afin de ne pas le laisser se défigurer par les
interprétations et les équations personnelles. Mais il n'y a pas de
mystère en soi. L'inconnu n'est pas l'inconnaissable. Il n'y a pas
de sur-naturel. Il n'y a en définitive que des mé-connaissants.
Notre
analyse harmonique axiomatisée, application maximale de
l'intelligence au réel, s'est attachée, en procédant par
déductions, inductions et recoupements, à l'aide de modèles
simples de référence, à confronter les résultats des travaux de
recherche entrepris, à comparer systématiquement les données et à
relier les conclusions aux premières données dynamiques dégagées,
et dont la cohérence et l'exactitude sont vérifiées par les
différentes voies de l'expérience. Certaines articulations
essentielles ont été détectées, grâce aux progrès de
l'instrumentation, avec les moyens techniques les plus perfectionnés
(bien que les expériences irréfutables soient impossibles en
certains cas). La détermination des structures, basée sur les
données de l'observation expérimentale et les méthodes analytiques
purement expérimentales, s'est souvent avérée nettement
insuffisante. Tout ne se résout pas par la technologie - bien
qu'elle ait augmenté la portée des potentialités cognitives...
Mais,
d'autre part, notre logique extensive et notre regard épistémique
(exercé au doute) ont refusé de considérer les hypothèses de
transcendance, asile souvent de l'ignorance satisfaite et de la
facilité, les a-priori, le supposé éphémère, précaire, les
postulats partiels, incomplets, non-prouvés, les concepts
illogiques, les arguments insatisfaisants, les concordances
approximatives, les données imprécises, les paramètres
indéterminés et non vérifiables.
Notre
principal travail de décapage a consisté à éliminer tous les faux
problèmes et les fausses perspectives, dénonçant ainsi les
insuffisances des systèmes égarés dans leurs arguments
contradictoires. Notre autopsie conceptuelle n'a cessé de lever les
masques, de réduire les contradictions et les malentendus. Notre
dialectique souvent dissolvante ne supposait rien évident, éprouvait
les idées reçues, découvrait ainsi la nature peu ou pas du tout
satisfaisante des solutions proposées et soulignait les
impossibilités cognitives réelles des pseudo-impossibilités basées
sur l'ignorance de certaines lois.
Nous
n'avançons pas de certitudes sans preuves. Et nos prémisses, la
science en vérifie continuellement la validité, confirmant nos
intuitions. Nous ne parlons donc que de ce sur quoi nous avons ou
nous pouvons avoir prise. Toute assertion est basée sur une
expérience personnelle concrète. La compréhension, la certitude
prend racine dans/par l'expérience intime stimulante de la preuve -
source vécue de connaissance. Ce qui induit, validant une certaine
rigueur intellectuelle, une remise en question permanente des
données, reconsidérant sans cesse l'interprétation du monde à la
lumière des connaissances les plus récentes, acquises ou
transmises.
Approche
majeure donc, selon une ligne d'investigation qui ne se heurte à
aucun fait expérimental contradictoire, pour une compréhension
décisive de la réalité, de la vie.
Notre
volonté ordonnatrice, simplificatrice, acharnée à appréhender le
réel absolu, rationnel, charnel ou imperceptible, s'est appliquée à
la saisie, détail par détail, des liens unissant tous les
différents éléments de la réalité accessible à notre
entendement. Mais l'inventaire bien qu'exhaustif ne suffit pas Nous
nous sommes efforcé, alors, de découvrir le visage irréductible,
le réseau pluriel, d'une homologie universelle.
Nous
avons identifié les chaînes causales et vérifié les multiples
unités de présence factuelle. Nos déductions identificatoires ont
veillé à une mise en dépendance logique qualitative et
quantitative de plus en plus forte, des relations d'ordre, qualifiant
et quantifiant les relations entre les différents niveaux par un
décentrement analytique et en déterminant les seuils selon leur
espace de lisibilité.
Nos
analyses séquentielles génératives (dialectiques) épistémiques
(scientifiques) des invariants - les constantes fondamentales, des
concordances, ont différencié les arrangements mutuels
(syntaxiques) et les significations, expérimentant toutes les
ouvertures. Nos sondages - investigations - horizontaux, successifs
ou synchroniques d'un présent discontinu étoilé en réseaux, ont
pris en considération les distances d'auto-corrélation (grandeur
qui rend compte de l'ordre existant à différentes échelles de
distance). Et la continuité de notre raisonnement a pu ainsi
circonscrire le réel, inventorier toutes les possibilités, cerner
enfin une combinatoire structurale et conclure à un modèle unitaire
universel.
Nous
n'avons pas inventé, Nous avons simplement rallié le réel. Nous
avons appris, étudié, (re)découvert, saisi la configuration du
réel, dénombré les connexions et les complexions, vérifié
l'universalité des lois structurales, compris les fondements, genèse
et finalité, de la structure existentielle puis nous avons procédé
à des généralisations structurantes, poussant à leurs plus
lointaines limites les conclusions que la science la plus avancée
autorise.
Notre
étude exhaustive extensive, déplaçant le regard traditionnel dans
le champ cognitif, a donc procédé, en accord complet avec les
données les plus récentes de la science, à un réajustement de
concepts éprouvés, les clarifiant par une détermination plus
précise, récrivant certaines formules, unifiant enfin leur
cohérence logique à l'intérieur d'un ensemble d'axiomes intégré
à une axiomatique dynamique dont l'orthodoxie se vérifiera sans
cesse davantage dans l'avancée des sciences. Ainsi, par exemple,
avons-nous appliqué aux problèmes cosmiques, les lois de la nature
découvertes en laboratoire et avons-nous pu concrétiser
efficacement tous les concepts décisifs à notre portée, en une
vision complète (et non partielle) qualitative, des phénomènes
universels.
En
systémistes rigoureux, nous avons unifié les théories validées
dans une perspective originale syncrétique qui constitue notre
réponse concluante (mais non finale) aux questions que l'homme se
pose, développant notre pensée jusqu'à ses conclusions logiques
les plus lointaines concernant le secret de la matière, de sa
structure énergétique, de son comportement.
Le
résultat en est, non pas une conceptualisation arbitraire et
artificielle formulée à travers un certain bavardage simili
philosophique, mais une explication unifiante de la vie, radicalement
originale, formulée à travers une axiomatique intégratrice
multi-niveau ; une réflexion particularisant les liens logiques d'un
constructivisme universel à toutes échelles, aux retombées
socioculturelles incalculables.
Cet
ensemble exprime toutes les données et les facteurs d'organisation
structurale, rend compte des faits fondamentaux, détermine les
constantes fondamentales, susceptibles, toutes, d'être
expérimentalement vérifiables, explicite les interactions
différentielles, à tous les niveaux (même non apparents) de la
structure globale universelle et de ses éléments composants. Et
cela selon une grille d'intelligibilité maximale qui rend toutes les
données intégralement transparentes dans les limites de validité
de la lecture.
Nous
proposons une connaissance comme pratique culturelle, voire une
formule de vie. Nous introduisons à une culture unitaire qui porte
la science, la philosophie et la religion au-delà des logicismes et
des situations figées, en vérifiant étroitement ou invalidant
leurs axiomes fondamentaux. L'unicité de notre fresque cognitive
appréhende et met en évidence les phénomènes fondamentaux de
structure et dégage les concepts fondamentaux communs à tous les
phénomènes, quelle qu'en soit la nature, et dans la diversité des
champs épistémiques.
Cette
unité architectonique, restructuration conceptuelle du biocosme,
révèle la structure fondamentale et la spécificité de chaque
niveau du réel, résolvant le problème cosmologique par une
interprétation logique, cohérente et sûre des faits expérimentaux,
entachée d'aucune incertitude.
Par
ce corps de principes au caractère encyclopédique et de portée
universelle, nous instaurons un mode spécifique de culture inscrit
dans une phénoménologie structurale unifiant les valeurs, un savoir
universel en termes de physique, de biologie, de philosophie, et
pourquoi pas de métaphysique ou d'esthétique, en fonction de l'état
le plus avancé des connaissances. L'importance de notre approche
synthétique et totalisante multidisciplinaire, à prise entière sur
le réel, conduit à l'émergence d'une culture unitaire novatrice et
à son insertion concrète historique, dans une perspective suscitant
une dynamie reliant l'homme à son destin cosmique. La connaissance
véritable est la connaissance du but.
Il
ne s'est pas agi pour nous de codifier une connaissance abstraite,
cumulative, fastidieuse. Mais d'approcher une connaissance concrète
descriptive explicative de la réalité. A la présente étape, le
sens des données est plus important que leur contenu quantifiable.
Notre exposé méthodologique descriptif qui déploie notre
conception du monde, est proposée comme une philosophie et une
éthique de la connaissance en perpétuel devenir - notre visée
principale. Etudier le passé et raconter les péripéties du
développement des sciences ne nous concernent pas directement, dans
l'immédiat. Notre projet ne s'assigne pas une restauration
quelconque d'un passé révolu. Notre objectif, indifférent au
passé, vise d'abord, à travers la présente communication en une
douzaine de communications thématiques, à informer de notre
conception quantique universelle théorique.
Informer
par une présentation différentielle, à signification concrète,
englobant tous les aspects du réel en une synthèse structurale, que
nous abordons en ensemblistes, et dont nous en traitons tous les
problèmes, bien que brièvement, mais sans pourtant en restreindre
la portée.
Visée
ambitieuse, généreuse autant que rigoureuse, d'ordre scientifique
mais aussi philosophique, articulant les démarches cognitives
plurales en un ensemble dynamique de haute portée. Par cet ensemble
concluant et valide, saga polarisée dans la direction de la conquête
de la raison, aux conséquences concrètes, prometteur de nouvelles
découvertes et de résultats fécondants, nous comptons réveiller
les intelligences, susciter des coopérations, animer des études
fructueuses, déclencher enfin une passion pour l'intelligence et le
respect de la vie.
Nos
philosophèmes et notre axiomatique ouvrent de nouveaux départs à
tous les niveaux de la connaissance, donnant une nouvelle impulsion
et ouvrant de nouvelles orientations aux recherches. Tout est à
ré-écrire. Perspective d'ouverture constructive qui fait de notre
énoncé un outil de travail susceptible de développements
ultérieurs fructueux et sur lequel, en conséquence, vont s'inscrire
les apports nouveaux. Nos conclusions substantielles dessinent
également un programme qui articulera tous les travaux à venir de
chercheurs en une coordination organismique à finalité
évolutionnaire.
Une
œuvre ouverte, donc, continue, unie et à l'identité ferme. Mais
qui n'a rien de dogmatique. Sa garantie de valeur, l'absolu et le
définitif des concepts, c'est à l'avenir de les vérifier. Notre
témoignage reste engagé sur les voies d'extension des
connaissances, de vérifications continuelles, d'affirmations, de
réajustements peut-être et de recommencements constants.
C'est
par une méthode élective et une attitude méthodologique rigoureuse
que nous espérons atteindre le but initiateur (instructeur) que nous
nous sommes fixé. But extrêmement dynamique en vue de l'émergence
d'une conscience de l'universalité unitaire. Par l'éventail des
thèmes, couvrant tous les domaines fondamentaux, et par nos
considérations fécondes stimulant la réflexion, nous introduisons
à un champ révélateur des lois qui génèrent et règlent les
phénomènes fondamentaux de la structure universelle. Ce champ
d'investigation, malgré l'information sélective, exige un état
d'ouverture intellectuelle ainsi qu'une dextérité mentale dans
l'intelligence analogique nécessaires à la compréhension des
rouages de la mécanique universelle.
Notre
témoignage porte le lecteur au-delà de ses propres croyances,
ébranlant les savoirs assis, dérangeant les habitudes... C'est
pourquoi il serait injustifié de récuser ou de déprécier a priori
notre conception descriptive qui introduit des concepts et des
paramètres nouveaux ou renouvelés et qui est un dépassement
radical des conceptions généralement admises. Tout change du fait
du progrès cognitif, scientifique et technologique.
Comment
rendre claire notre lecture du chiffre de l'univers ? Comment le
décrire avec le maximum de précision ? Comment en formuler une
descriptive unitaire, invariante, valable pour tous les observateurs
vigilants ? Notre réponse est communiquée dans un ouvrage
autonome particularisé.
Mais
cet ouvrage n'est pas un traité de théoriciens détachés du réel.
Il est infiniment plus concret, étant plus décisif, que bien
d'autres. Monument (pour les vivants) par sa densité et son
irréductible diversité et complexité, il offre les informations
fondamentales - d'où parfois un certain aspect didactique, avec pour
objectif une compréhension intégrale, intégrante de la vie.
Le
corps conceptuel, confirmé, validé par les applications multiples
et en accord avec toutes les observations expérimentales, se déroule
en un système signifiant structuré. Le réseau discursif exhaustif
totalement cohérent est progressif dans la détermination et
l'élaboration conceptuelle. La construction thématique, d'une
logique interne plurale sans failles, procède par un démasquage
circulaire spiraliforme progressif vers le centre. Allant plus loin
que les méthodologies courantes généralement admises.
Tout,
dans notre exposé simplifié mais suffisamment explicite,
s'introduit automatiquement comme conséquence logique des
considérations préliminaires. Cette procédure est adaptée à la
perspective culturelle utilitaire de notre idée directrice.
Nous
proposons une descriptive typologique et quasi génétique de la
naturéalité, une somme qui dévoile la complexité structurale du
réel et qui résume les résultats les plus marquants de notre
approche naturaliste systématique qualitative de l'ensemble ordonné
dynamique universel et qui en a actualisé et exemplifié un profil
net.
Cette
descriptive combinatoire, description structurale synthétique et
analytique, prégnance qui instaure un type particulier de discours
substantiel, dense, bref et net, clair et rigoureux, s'exprime
suivant deux axes synchroniques : L'axe métonymique, induisant un
enchaînement par continuité signifiante, et l'axe métaphorique,
induisant un enchaînement par analogies dynamiques d'une validité
générale, participant directement ou indirectement au même
contexte selon notre logique d'équivalences communicatives, et
exprimant l'omnivalence des axiomes.
Ainsi
notre langage apparaît-il comme un élément de travail analytique
pertinent, embrassant le maximum de données au moyen des relations
de complémentarité implicites. Tout l'essentiel et rien que
l'essentiel y est dit. Nous avons traité chaque question à fond par
une formulation précise, concise, simple, mais cependant,
systématique et étendue en profondeur. L'exposé, sobre dans ses
déductions - et ses inductions - n'exclut cependant pas les détails.
S'il est nécessairement très condensé, il n'en est pas pour autant
élémentaire ou expéditif. Nous avons surmonté le danger de la
simplification excessive en évitant toute formulation hâtive
simplificatrice et toute schématisation incomplète, nous efforçant
d'exprimer l'essentiel à travers le rythme rapide de la succession
des définitions nouvelles.
Nous
savons pertinemment qu'il n'est pas aisé de traduire une
connaissance sur le plan formel - exercice périlleux entre tous - et
que la formuler c'est prendre le risque de la limiter, sinon de la
diminuer. Seul un langage holographique a une chance de la traduire
avec le maximum de fidélité.
Notre
écriture quasi-holographique - d'un relief intégral - qui porte
notre conception issue de notre lecture attentive du réel, met en
évidence les réponses qui différencient et unissent les relations
dans leurs fondements réciproques, multipliant les niveaux
d'approche descriptive, inventoriant le maximum de relations, serrant
de très près la réalité foisonnante des systèmes vivants. Et ce,
grâce à un langage adéquat, s'illustrant, par exemple, de
jugements de relations dans une logique de relations et non
d'attribution.
Notre
texte est, en fait, un autre texte. Dans notre pratique descriptive
qui organise notre appréhension du réel, le réseau complexe de
relations et de niveaux descriptifs s'incluant les uns dans les
autres, ouvre à de nouvelles scènes signifiantes, à des sens
supplémentaires qui se dé-couvrent les uns les autres...
Stylisation levier pour une plus profonde compréhension. Les
expressions partielles de caractère déterminatif convergent toutes
vers le même effet d'intelligence cognitive.
Souvent
les mots ont manqué pour traduire exactement nos plus puissantes
déductions. Mais, au cours de l'élaboration conceptuelle, nous
avons pu dépasser cet obstacle sournois qui nous guettait. Nos
idées-clés, nous avons pu les traduire grâce à une terminologie
empruntée partiellement à l'informatique, à la linguistique, à la
cytologie, à la physique et à un lexique néologique devenu
indispensable et dont les termes expriment leur sens étymologique
justificatif précis.
D'autre
part, nous avons intégré dans le corps de l'exposé, certains
éléments de base de différentes disciplines scientifiques, ainsi
que des arguments scientifiquement éprouvés, mais sans cependant
rentrer dans les détails techniques que les spécialistes situeront
d'eux-mêmes. Resserrant l'orthodoxie stricte, centrale, de notre
conception autour d'un corpus idéologique formel précis, notre
travail, conservant une distanciation constante dans la narration
séquentielle, a pu ainsi coder l'universel en ses étapes
constitutives synchroniques ou successives et les traduire en termes
de structure bio-énergétique en vue d'une connaissance opérative
concrète. Dès lors, notre représentation contextuelle, description
structuraliste formelle, explicite et implicite, des divers
constituants signifiants de la réalité, peut-elle prétendre
atteindre tous les niveaux de compréhension de notre lecteur, sans
jamais dérouter.
Approche
diversifiée modélisatrice donc, due au foisonnement des matériaux
analogiques, mais jamais au détriment de la clarté.
La
résolution formelle qualitative, inductive et déductive, de
caractère incisif, est adaptée à chaque thème abordé. Les
notions essentielles y sont clairement exprimées et nos arguments
formulés aussi clairement que possible. Sans raccourcis ni
généralisations abusives, sans vulgarisation hâtive ni surcharge
scientifique, sans ambiguité et sans racolage idéologique, sans
vaine éloquence, digressions aventureuses, complaisances littéraires
et anecdotiques, préciosités ou prétentions d'aucune sorte. La
description est succincte, quoique de lecture parfois difficile, mais
servie par un langage chargé d'informations fondamentales, langage
dépourvu de tout équivoque, afin de ne créer aucun malentendu et
aucune méprise.
L'accès
au texte est relativement facile grâce à une lecture rythmée
imperceptiblement guidée. Notre conception est recevable par tous.
Une connaissance formulée simplement, logiquement, sans
faux-semblant, est à la portée immédiate de tout chercheur
sincère, ouvert, qui aspire à devenir connaissant.
Notre
descriptive unitaire est accessible à tout lecteur, même le moins
initié aux sciences ou à la philosophie. (La qualité d'intérêt
de notre texte n'est d'ailleurs pas purement scientifique.) Mais si
elle ne demande qu'un minimum de connaissances préalables, le niveau
atteint, après lecture attentive, est très élevé. Le novalien
disposera d'une somme de connaissances fondamentales de portée
considérable.
Notre
textualité se propose un double objectif : Elle tend d'abord à
détruire tout conditionnement préliminaire pour placer le lecteur,
l'espace de la lecture et de la réflexion, dans une dimension
absolue, hors temps, quoique non coupée de la pratique quotidienne.
Puis elle l'incite, par sa circularité spirale guidée, orientée,
instructive, à réfléchir, patience lucide du miroir, à apprendre
à utiliser ses pleines facultés, ouvrant à des perspectives de
recherche insoupçonnées, d'élucidation critique et de dépassement
expérimental. Initiation au travail personnel de remise en question
intégrale du monde et de la découverte progressive des
réponses-clés - de la réponse fondamentale. Franchissement des
limites pour atteindre ce niveau élevé, élevant, d'où l'on
aperçoit clairement tout l'édifice universel - d'abord en soi-même.
Textualité
inspirante exigeant donc une lecture attentive presque pour chaque
expression, sinon pour chaque virgule, - une ré-écriture. Et c'est
à chacun de s'y éprouver, de s'y confronter, de s'y découvrir. On
ne se libère que par la Connaissance - qui renvoie chacun face à
lui-même. Et tout résultat est nouveau départ.
À
UNE UNIVERSITÉ OUVERTE NOVALIENNE
Nous
visons une civilisation basée sur une éthique de la connaissance
qui nous réapprendrait l'art de vivre dans un monde harmonieux. Une
ré-évolution décisive. Dans la civilisation technologique
actuelle, aux vaines sécurités intellectuelles, prolifèrent
l'informe, le balbutiement, la bavure, l'accessoire promu essentiel.
Errance et aberration de pensées confuses, faussement dialectiques,
dévoiement dans l'échec, sécrétions de croyances obscures et de
mécréances, de réticences et de méprises. Brouillage et
brouillard à tous les degrés.
Le
savoir, saturé de fausses références aveugles à la totalité,
déconcerte par ses pseudo-logies, de vagues idéosophies, de vérités
définitives qui se fondent sur une confusion fondamentale des
concepts. L'intellectualisme aux jugements sommaires, parle souvent
et discute de tous les sujets sans vraiment les comprendre. L'inconnu
(le non-admis) le blesse. Son ricanement sceptique ne chérit que des
opinions, écume dans la vanité de la bonne conscience et les verbes
(haut) de la dé-signifiance... La sagesse est réduite à des
préceptes-ruses.
Les
gens, en général, sous toutes les latitudes, ont peur de penser par
eux-mêmes, tandis que d'autres ne pensent pas, ou si peu. Souvent
farcis d'idées fausses, sans aucune audace intellectuelle, ils se
laissent porter par l'obéissance tranquille au plus facile, aux
traditions continuées et généralement incomprises, tous sens et
intelligence corrompus par la crainte de se démarquer de tout ce qui
est admis sans contestation possible. S'ils pensaient quelque peu
logiquement et sans se laisser leurrer par les falaises-mirages des
réponses toutes faites, s'ils se posaient les questions
fondamentales et apprenaient à rechercher rigoureusement les
éléments de réponse, ils auraient trouvé une, sinon la
réponse. Car il n'y a qu'une seule réponse précise à chacune des
questions qu'on peut se poser. Mais il faut faire l'effort de la
rechercher.
Dérangeons-nous
les habitudes intellectuelles en remettant en question bon nombre
d'hypothèses vénérées ? Ce qui était scientifiquement admis
en 1870 est devenu non scientifique un siècle plus tard. La science,
on l'a souvent dit, est une succession d'illusions corrigées.
Sommes-nous donc en avance sur notre époque ? Non, puisque nous
émergeons de la rumeur latente en chaque homme. D'où notre
universalité. Certes, nous ne sommes pas trop d'accord avec notre
temps, mais c'est parce que nous voulons, comme chacun, nous dégager
de l'ignorance endémique et nous ouvrir à l'entière connaissance
et à la maîtrise du réel. Car, en définitive, tout est un. Il n'y
a pas d'intériorité et d'extériorité absolus. Tout est un seul et
même tissu. Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers,
dit la sagesse éternelle.
Notre
conception propose un nouveau modèle quantique ouvert, une physique
fondamentale approchant la structure absolue de la Matière. Ce
qui pourrait ouvrir de nouvelles perspectives à une philo-sophie
dynamique, voire à une méta-physique fructueuse et
stimulante. Car il s'agit d'un savoir polysémique universel précis
enfin rendu à lui-même, une culture de vie dans une perspective
unitaire, qui saura répondre, nous l'espérons, à la soif des
chercheurs de vérité en les réunissant tous en un même élan.
Mériter
ainsi de la vie.
TRAVAUX DE RECHERCHE INDIVIDUELS OU D'ATELIER
Comme
travail préliminaire, nous demanderons à chacun de faire le point
sur ses propres connaissances acquises ou transmises. Et de poser,
par écrit, les questions qu'il voudrait résoudre. (Poser la
question juste, c'est déjà trouver des éléments de réponse…)
Puis
de clarifier, décanter ces questions et de les réunir par
ensembles ou rubriques. Seul un esprit clair est authentiquement
ouvert.
Enfin,
comme deuxième travail, méditer sur le thème suivant :
LA
LOGIQUE DU VIVANT
Comme
fil conducteur, on pourra commencer par méditer sur les relations
bio-énergétiques écologiques. L'horizon est immense. Et toute
conclusion, on le constatera, est un nouveau départ vers de
nouvelles recherches.
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