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lundi 24 septembre 2012

LES CONSTANTES STRUCTURALES FONDAMENTALES

COMMUNICATION II


LES CONSTANTES STRUCTURALES

FONDAMENTALES

L'ordre des trois symétries

SOMMAIRE de la communication II

Préliminaires
Pour une œuvre d'universalité

1 - Les constantes structurales fondamentales
A - Les universaux
B - Enumération des constantes
1) - de la structure systémique
2) - des structures de genèse (La 2ème symétrie)
3) – biocosmiques (La 1ère symétrie)
4) - de polarisation (La 3ème symétrie)
5) - de gravitation universelle
6) - de dynamie d'ordre (de résonance et d'équilibre)
7) - du devenir
8) - de mouvement, de vitesse et d'orientation
9) - de transformation continue
10) - de relativité

2 - L'architecture systémique sociétaire et atomaire
A - L'architecture sociétaire du biocosme universel
B - L'architecture atomaire
C - Conclusion

3 - Les constantes de structure de genèse
A - Le processus de genèse        B - La dynamique pulsatoire cyclique
C - Le modèle des cyclisations pulsatoires
1)- La contraction centripète du néoformé
2)- La dilatation centrifuge de l'adulte
3)- Le mouvement de balance
4)- La courbe exponentielle de l'accélération

Liens et voies de recherche pour aller plus loin
                                                                                                                   

« Une proposition est formellement correcte, si,
à l'intérieur d'un système logique,
elle est déduite selon les règles logiques admises.
Un système a un contenu de vérité selon qu'il est possible
de le coordonner certainement et complètement à la totalité de l'expérience »
A. Einstein

PRÉLIMINAIRES
POUR UNE ŒUVRE D'UNIVERSALITÉ

Notre but est d'incruster la connaissance comme pratique culturelle. Et ce dans un monde où l'avancée de la technologie la plus sophistiquée risque de dissoudre l'intelligence de la nature qui laisse les hommes en proie à toutes les mafias de l'inculture qui profitent de la carence philosophique et éthique. Par notre contribution au devenir du corps de connaissance humaine, nous nous trouvons investis de responsabilités à long terme. Notre projet, nous le voulons absolument pertinent dans sa portée et dans sa validité. Nous l'avons déjà dit et nous le répéterons. Il ne s'agit pas, pour nous, de créer de toutes pièces un nouveau système mais de redécouvrir les structures fondamentales de la naturéalité afin de proposer aux chercheurs sincères - à qui nous destinons notre travail -, une voie qui ne serait pas un leurre ou une impasse, mais une voie logique et constructive. Prolongeant ainsi et vivifiant la tradition philo-sophique par l'utilisation des données de l'observation de la réalité tout-à-fait récentes et de leur généralisation conséquente fructueuse.
Notre vision bio-cosmologique se précise en effet à l'approche des données de l'atomistique (matériologie), de la cytologie, de la cosmographie, (de la physique descriptive), de l'astrophysique, (ainsi que d'une critique de la systémologie), aspects différentiels de l'étude bio-synthétique de la mise en œuvre universelle d'une seule et même Energétique. Notre vision conclut toute analyse de la structure existentielle fondamentale, de l'atome au tissu, de l'embryon à l'adulte, de la planète à l'étoile, à la galaxie, à l'univers - structure logique dont tous les termes sont identiquement constants. Notre conception quantique est formulée dans une axiomatique basée sur des universaux de structure.
De notre vision précise de l'univers, de la structure naturéelle de l'univers en travail, a émergé des invariants que nous avons décrit comme une fédération d'organes en harmonie coopérative dans un monde sériel jamais totalisable. Vitalisme de l'immanence pure... Unité solidaire d'une présence infinie dans l'infinie diversité... Les données de l'expérience microphysique ont guidé notre systématisation. Nous avons cherché, fouillé, sélectionné, éliminé, prospecté encore et retenu les principales données, pour conclure, contre tous les a-priori, les présupposés idéologiques et les spéculations, à une ultime détermination structurale universelle contenant en elle-même ses propres dynamies d'intégration, de développement et de reproduction. Notre recherche, conséquence d'une logique plurale rigoureuse, accord d'une pensée et d'une conscience phénoménologiques avec elles-mêmes, d'une dialectique féconde, nous permit donc de conclure à une synthèse univoque qui fonde l'univers cosmo-biologique, révélant sa cohérence énergétique fondamentale.
Nous proposons une gerbe de clés ouvrant aux différents niveaux de la naturéalité constructionnelle - notre ultime instance. Notre source première de réflexion et de recherche est l'observation directe du concret. Par l'identification structurale des causalités centrales actives (ou réactives), des lois universelles déterminantes et des paramètres accessibles à notre outillage cognitif, nous introduisons à une saisie de la totalité complexe plutôt qu'à une saisie, insuffisante, du ponctuel clos, isolé de son environnement, et couvrant tous les éléments fondamentaux de structure. Par une seule formule phénoménologique, nous avons essayé de relier qualitativement les phénomènes les plus différents. Cette caractérisation est portée par une axiomatique fondée sur les instances de deux moments méthodologiques complémentaires. Le savoir théorique et le savoir actif, expérimental, preuve de validité du premier et sa valeur confirmée de vérité.

Dans un souci de généralité, notre énoncé de synthèse, - notre mode de réponse, sera rapide et essentiellement qualitatif, unifiant les données par une axiomatisation systématique (non additive) faisant échec à ce que la méconnaissance nomme hasard. Tous les arguments décisifs sont exemplifiés par des vérifications observationnelles, qu'elles soient a-priori ou a-posteriori. En effet, l'éloquence des faits atteste sans équivoque nos assertions axiomatiques déductives logiques. Tous les indices convergents témoignent en faveur de nos thèses qui expriment les diverses propriétés de la matière, sans rien escamoter ou négliger, et rendent compte de ses caractères cycliques.
Quelques-uns de nos philosophèmes et de nos conclusions-postulats, à l'avant-garde scientifique, seront incessamment vérifiés à la lumière des acquisitions à venir de la science. Avec la progression de la recherche, on découvre constamment des relations entre les phénomènes apparemment très éloignés les uns des autres. Quant à certaines données, encore hors d'atteinte de l'expérience scientifique, leur bien-fondé sera vérifié par le moyen des concordances, des analogies et des ramifications amenées par des rationalisations relationnelles, confirmant le lien intime par exemple, entre la physique des particules et la cosmogonie évolutive. Et cela sans prétendre épuiser tous les problèmes que pose une réalité complexe. L'activité rationaliste de notre discours dans la reconstitution logique du schéma intégral de l'univers, confirmé par l'abondante moisson des faits observables recueillis, prend ainsi l'aspect axiomatique, programmatique, prospectif, mais sans négliger, pour autant l'aspect analytique. La concrétisation cognitive se trouve située dans la continuité immédiate de la confirmation décisive. Tel est le caractère fondamental de notre approche.

Mais comment formuler, avec nos pauvres mots qui se paralysent, la structure de la naturéalité qu'il nous a été donné d'approcher ? Quel concept défini peut-il identifier et codifier rigoureusement la structure fondamentale de la naturéalité ? Cette naturéalité est-elle l'indéfinissable, l'innommable, hors notre champ, irréductible à toute explication systématique, à toute formulation, à tout schéma rationnel ? Conscients de la difficulté d'une formulation radicale d'une vision cosmogonique et des universaux qui en sont l'armature, nous avons choisi, dans notre détermination qualitative, certaines particularités formelles décrites ci-dessous :
- L'accent est mis sur l'essentiel, comme on va le voir, mais sans tomber dans les écueils des réductionnismes ou de l'épuration abusive. Les exposés sont complexes mais simplifiés (consistant parfois en de simples rappels de résultats), et portent sur les relations générales invariantes.
- La formalisation s'organise de façon cohérente par un rythme centripète logistique, dans un cadre théorique très précis ou du moins de précision suffisante pour le but que nous poursuivons, selon une grille de définitions fonctionnelles et d'interprétation progressive - stratégie globale de rigueur théorique possédant sa logique propre.
- La formalisation est portée par une trame de symboles culturels - (géométrisation de la connaissance) -, graphes, diagrammes, organigrammes, modèles explicatifs de la genèse et de la propagation des phénomènes, raccourcis visuels percutants... Autant de schèmes conceptuels et opératoires vérifiés. Système logique différentiel, le modèle, pensée graphique, n'est pas un traquenard intellectuel, mais bien le soutien indispensable de la pensée théorique, un instrument inestimable qui, par sa concision formelle, sa réduction explicite, quoique transitoire, et ses conjonctions de sens dynamiques, stimule la recherche et l'intelligence cognitive.
- Le langage n'est pas désuet, mais, au contraire, comme on l'aura remarqué, ancré résolument dans une modernité qui exige un langage rigoureux dont la fonction est de rendre lisible, visible, le chiffre intime de l'univers. Dans notre textualité respectant la spécificité des signifiés et des signifiants, nous avons réduit l'arbitraire des termes en ne retenant que leur acception étymologique. Chaque expression précise l'éclairage de notre discours qui gagne ainsi en valeur persuasive et élimine, d'autre part, tout risque de confusion et de mal-entendus.
- Nous avons choisi, parfois, l'approche descriptive quasi-littéraire pour mieux nous expliciter et illustrer notre propos ainsi que pour tempérer l'aridité du sujet. Mais dans la seule mesure que nous traçaient les limites de la rigueur logique.
- Enfin, la segmentation efficace du texte en augmentera, nous l'espérons, la lisibilité.

Cette formalisation austère, de caractère synthétique normatif, organise une communication que nous espérons sans brouillards, sans contraintes et sans risque d'indigestion... Une initiation solide et relativement suffisante, axée sur l'ouverture. Socle modifiant la façon de poser les problèmes et définissant les orientations des programmes prospectifs de recherche, elle ouvre à l'exploration, sans restriction, des multiples voies, régies toujours par une critique vigilante incessante et une pratique vérificatoire efficace - notre gageure.
L'intelligibilité de l'univers est à la portée de notre expérience d'hommes. Le modèle théorique novalien répond à notre intention de favoriser, par notre initiative catalytique, l'éclosion d'une semence d'éthique cognitive - expression de notre pari sur l'intelligence stimulante de l'homme et sur l'avenir des sciences exactes - sur un nouvel âge de la Science - qui annonce déjà le renouvellement de la conception de l'univers. En nous donc et en chaque chercheur, repose l'avenir philo-sophique de l'humanité. La portée de notre thèse novalienne unitaire déborde par conséquent le cadre informationnel pour devenir instrument privilégié de formation, par son système rigoureux d'axiomes justifiés, nettement formulés à partir des données acquises ou transmises.

Notre thèse s'adresse à tous les chercheurs philo-sophes - non seulement aux spécialistes -, et particulièrement aux enseignants et aux étudiants ouverts à l'intelligence du monde. De lecture certes ardue mais qui reste très accessible, il sollicite le travail personnel attentif du lecteur-chercheur, impliquant une ascèse intellectuelle et un pouvoir de visualisation sans défaut. D'autre part, il stimule sans cesse son désir cognitif, sans jamais le rebuter par sa densité informationnelle. Ferment de valeur déterminante, il apporte un foisonnement de sujets de réflexion et un outillage de base important.. Cependant, sa valeur contributive à l'obtention d'une connaissance basique sûre dans le contexte strict des sciences modernes, risque les dangers d'une appréciation incomplète, d'un jugement prématuré et d'un dévoiement... Chacun y puisera selon ses capacités et chacun sera son propre témoin et son propre grain.
Contre le babélisme et l'anarchie inculturels des peuples, les incertitudes des religions et le défaitisme des incroyances, les idéologies d'asservissement de la pensée, tous les mécanismes d'aliénation, toutes les cloisons qui morcellent l'intelligence, notre thèse propose une culture verticale opportune, une connaissance de synthèse homogène, non tronquée, gage d'une sécurité cognitive retrouvée, à l'abri des vicissitudes de l'histoire humaine, et facteur déterminant de progrès scientifique.
Notre thèse unitaire globale (universelle et pluridisciplinaire) qui coordonne et intègre les différentes branches de la connaissance en une philosophie naturelle des sciences, fortement vertébrée, directe et simple - son attrait -, et qui a l'avantage de pouvoir être vérifiée expérimentalement, a déjà rallié l'enthousiasme d'un nombre de plus en plus important de chercheurs.
II - 1 - LES CONSTANTES STRUCTURALES FONDAMENTALES

II - 1 - A - Les Universaux

 
L'Univers est ordonné selon des lois précises. Il n'y a rien de trivial dans la nature. Et il ne saurait y avoir de lois et de dérivées partielles variationnelles. Les lois de structure sont les mêmes en tout instant, en tout lieu de l'espace universel. Tout est concerté dans l'univers grâce à la constance des lois, quelles que soient les circonstances phénoménales - variables à l'infini. Le génie de la nécessité causale ne connaît pas ce que l'ignorance nomme hasard.
Les universaux, lois majeures principielles, fondamentales, sont invariants, immuables, irrévocables et en nombre fini. Contrat unitaire, irréversible, absolu, qui sous-tend l'univers par des relations d'invariance cosomologiques qui fondent l'harmonie universelle intégrale - preuve de leur entière validité à toute échelle, à tout niveau. Chacune des principales constantes structurales fondamentales énumérées ci-après en axiomes, trouvera son entière justification et formulation dans les communications ultérieurs. Un bref aperçu explicatif prépare, dores et déjà, le terrain.
Le modèle phénoménologique unitaire sera progressivement élaboré. L'ordre de présentation des constantes est relatif à l'exposition des invariants dans nos communications. Cette division conventionnelle n'isole les éléments invariants de structure qu'en vue de les mieux considérer, de mieux les désigner et d'essayer de les définir le plus clairement possible.

II - 1 - B - Les constantes fondamentales

1)- Les constantes de structure systémique
a)- L'univers est un continuum architectural dans lequel tout élément est un constituant d'un ensemble qui l'intègre - ad infinitum. (C'est ce qu'on nomme la structure gigogne).
b)- Tout, dans l'univers, est association structurale d'éléments. Cette complexité associative coopérative est répétée inlassablement à tout niveau, du micro au macrocosme. La réplication architecturale est ramifiée à 1'infini.
c)- Toute unité associative est divisible à 1'infini.
Nous remarquerons dans l'architecture nucléonique, atomique ou stellaire et galactique, la simplicité mathématique des concordances. (Cf communication III)
 
2)- Les constantes de structure de genèse (La deuxième Symétrie)
a)- Les invariants conjugués aux variables circonstancielles fondent la différentialité de chaque phénomène nodulaire et déterminent ses degrés de liberté.
b)- Chaque nœud pulse. Et sa respiration pulsatoire est accompagnée d'un pouvoir alternativement absorbant et émissif, attractif et répulsif.
c)- Les pulses sont caractérisés par deux cycles principaux. L'un, long, de formation; l'autre, court, d'adaptation évolutive à la quotidienneté.
d)- En période de formation pulsatoire, la masse nodulaire se contracte, aspirante. Sa vitesse cinétique s'accélère jusqu'à l'explosion. L'orientation de son mouvement est généralement lévogyre.
e)- Après l'explosion où le noyau rejette des caillots massiques, le système entre en une période d'expansion expirante. L'ensemble est formé alors d'un cortège de masses plasmiques éjectées qui gravitent autour du noyau. L'orientation du mouvement est généralement dextrogyre. La vitesse cinétique décélère lentement jusqu'à un état de vitesse nulle qui provoque le détachement d'un ou de plusieurs éléments du cortège orbital.
f)- D'une respiration à l'autre, s'accomplit une mutation caractéristique du devenir du nœud phénoménal considéré. (Cf communication II-3)

3)- Les constantes cosmiques (la première Symétrie)
a)- Une racine bioénergétique unit, une même sève nourrit toutes les branches de l'arbre. Ce qui souligne la continuité fondamentale de la sève et la discontinuité (apparente) des multiples variantes - branches et feuillages – qui sont autant de phénomènes nodulaires.
b)- Les constantes de couplage universel et de couplage vectoriel circonstanciel (impliquant la complémentarité des charges) fondent et localisent les nœuds phénoménaux biotypiques.
c)- La vitesse maximale de la lumière photonique détermine l'axe de symétrie séparant les énergies de matières supra-luminales et infra-luminales.
d)- Toute énergie est portée par une masse. (Cf communication III)
e)- Chaque énergie porte son action cinétique sur les énergies qui lui sont inférieures.
f)- Tout est échanges énergétiques. Ces échanges déterminent le spectre énergétique écologique universel. (Cf communication IV)

4)- Les constantes de polarisation (La troisième Symétrie)
a)- Tout corps est de structure dipolaire, ainsi que chacun de ses constituants.
b)- Dans tout ensemble nodulaire, le centre nucléaire est chargé différentiellement suivant le sens de son orientation évolutive. (Cf communication VI)

5)- Les constantes de Gravitation universelle
a)- Tout se tient et tout est lié par les champs gravitationnels mutuels.
b)- Tout gravite autour d'un centre effectif sur des orbitales déterminées.
c)- Les orbitales issues des champs géomagnétiques nodulaires sont alternativement chargés, conséquence des pulses courts. Seules les orbitales peuplées sont neutres.
d)- Tout champ est dévié au voisinage d'un champ gravitationnel plus intense.
e)- Le champ gravitationnel intense déplace les raies spectrales des éléments. (Cf communication VI)

6)- Les constantes de dynamie d'ordre (Constantes de résonance et d'équilibre)
a)- Rien n'est régi par le hasard. L'univers est radicalement ordonné, suivant les trois symétries, par les règles organisées d'échanges, de résonance et d'équilibre.
b)- Les coordonnées d'équilibre sont fonction
1)- de la topologie qualitative et quantitative fonctionnelle des énergies conjuguées;
2)- des exigences de résonance intra-, extra- et inter-nodulaires à toute échelle;
3)- des relations covariantes impliquant les lois de proportion dans les combinaisons selon des rapports simples...
c)- Les forces suivent la voie la plus efficace et la plus économique, celle du moindre effort, sur les lignes de moindre résistance, les chemins penta-dimensionnels les plus courts.
d)- Tout élément éjecté ne peut plus retourner à sa source mère. C'est le principe d'exclusion ou le tabou de l'inceste en Physique. (Cf communication VI)

7)- Les constantes du Devenir
a)- Tout pulse. Tout élément possède sa propre dynamie pulsatoire, impliquant les propriétés cycliques ondulatoires, (de respiration) et l'effet toboggan.
b)- Tout est en devenir, en mouvement orienté. Tout mouvement est développement cyclique en fonction de la puissance potentielle et de l'âge nodulaire - de sa séquence évolutive.
c)- Tout devenir est relatif à un espace-temps donné. Mais à la mesure universelle, n'existe que le Présent. (Cf communication VII).

8)- Les constantes de mouvement, de vitesse et d'orientation
a)- Tout est en mouvement orienté :
1 - Rotation orbitale autour d'un centre
2 - et rotation axiale, autour de son propre axe.
b)- L'accélération et l'orientation d'un devenir massique sont liées à la séquence évolutive nodulaire, c'est-à-dire aux forces centrifuges ou centripètes qui en caractérisent une époque donnée de son devenir chrono-spatial.
c)- Tout corps en mouvement ainsi que ses composants appartenant au même espace-temps, se contracte ou se dilate suivant la direction de sa vitesse : Sa masse se contracte quand l'orientation est lévogyre et augmente quand l'orientation est dextrogyre.
d)- L'effet « boule de neige » caractérise l'augmentation de la célérité à l'approche de l'explosion nodulaire. Après l'explosion, le mouvement décélère.
e)- Tout, dans l'univers, se propulse en spirales orientées.
f)- La vitesse de la lumière photonique limite celle de tous les corps particulaires à partir des nucléons baryoniques et leptoniques, porteurs des champs électromagnétiques.
g)- Le temps, sa dilatation ou son accélération, sont fonction de la vitesse du mouvement.
h)- La résistance à l'accélération et le poids d'un corps sont mesurés par la constante massique qui détermine le poids dans un champ gravitationnel donné. Plus la masse est grande, plus elle est lente (relativement) à se mouvoir. Elle se trouve dans une relative inertie par rapport à un observateur de faible masse et donc plus agile. (Cf communications III et VII)

9)- Les constantes de transformation continue
a)- Rien ne s'anéantit. Rien ne se crée, rien ne se perd. Tout est en transformation continue. Tout se transforme continuellement en quelque chose d'autre. Quelles que soient les connexions causales.
b)- Toute destruction n'est que la séparation des composants et leur transformation en vue d'une recomposition différente.
c)- Tout avènement n'est qu'une recomposition d'éléments séparés.
d)- Tout, dans l'univers, suit le mouvement évolutif menant du plus petit au plus grand, de la graine à l'arbre, de l'embryon à l'adulte... (Cf communication VII)

10)- Les constantes de relativité
a)- Il n'existe pas un mouvement absolu perpétuel uniforme.
b)- Chaque quantum possède son propre espace-temps, son propre code, son propre mouvement. Autrement dit, le vecteur d'état d'un quantum donné est fonction de sa position chrono-spatiale, soulignant ainsi son appartenance à un espace écologique vectoriel précis.
c)- Tout paramètre authentique caractérisant un quantum est déterminé par l'état et l'orientation de son mouvement, avant tout par rapport à lui-même, puis par rapport à d'autres repères. Ainsi la simultanéité apparemment synchronisée de deux événements apparemment indépendants dépend-elle des systèmes de référence considérés.
d)- Dans les limites de la vitesse de la lumière photonique et du spectre électromagnétique (champ du photon), matière et énergies sont équivalentes. Plus la masse est importante, plus faible est sa vitesse. Et toute perte ou gain de masse est fonction de l'énergie perdue ou gagnée par émission ou absorption. Et l'on vérifie le principe de conservation de l'énergie par la conservation du moment cinétique (de la quantité de mouvement) et les translations de temps et d'espace.
e)- Mais au-dessus d'un certain seuil fréquentiel, plus l'énergie est haute, plus la masse diminue et plus sa vitesse augmente. Cette symétrie s'opère à partir du monde sub-nucléaire.
f)- Chaque quantum possède son propre monde, sa propre dimension. En conséquence, l'univers, continuum homogène caractérisé par l'hétérogénéité infinie de ses composants, possède-t-il une infinité de dimensions. (Cf communication VII)
C'est à travers notre descriptive naturéelle portée dans les communications qui vont suivre, que nous rencontrerons, à divers niveaux de lecture, les constantes structurales de la réalité, aboutissant à une synthèse unitaire les coordonnant et les intégrant toutes.
II - 2 - L'ARCHITECTURE SYSTÉMIQUE SOCIÉTAIRE ET ATOMAIRE

II - 2 - A - L'architecture sociétaire du biocosme universel


Les tableaux suivants précisent le tableau sur les étapes successives et simultanées de la structure gigogne universelle, parue dans la communication III :
- Un ensemble sub-nucléaire est un élément constituant dans un ensemble nucléonique.
- Un ensemble nucléonique est un élément constituant dans un ensemble atomique.
- Un ensemble atomique est un élément constituant dans un ensemble moléculaire.
- Un ensemble moléculaire ou cellulaire est un élément constituant dans un ensemble organique corporel biotypique individuel.
- Un ensemble organique est un élément constituant dans un ensemble biotypique sociétaire.
- Un ensemble biotypique sociétaire est un élément constituant dans l'ensemble planétaire biosphérique.
- Un ensemble planétaire est un élément constituant dans un ensemble stellaire.
- Un ensemble stellaire est un élément constituant dans un ensemble constellaire.
- Un amas constellaire est un élément composant dans un ensemble galactique.
- Un ensemble galactique est un élément composant dans un amas galactique.
- Un amas galactique est un élément constituant de l'entier universel - qui englobe donc tous ses constituants.
Chaque étape représente un nœud phénoménal. Chaque nœud est un agrégat de tous les nœuds inférieurs ad infinitum. Les super-amas galactiques représentent l'étape supérieure ultime de l'espace peuplé de matières infra-luminales, et le quantum sub-nucléaire, micro-sphérule, l'étape inférieure ultime dans l'échelle des grandeurs massiques infra-luminales, accessibles aux outils d'investigation actuellement disponibles. Ce quantum subnucléaire est lui-même un univers de particules infiniment minuscules mais dotées de vitesses supra-luminiques et d'une puissance de très haute fréquence énergétique. Nous y reviendrons dans la prochaine communication.
La structuration micro- ou macro~cosmique étant formationnellement identique, toute définition concernant une structure donnée s'applique par conséquent indifféremment à toute structure. Les différenciations sont de pure forme, l'unique différence étant dans la taille L'ordre structural étant le même à petite ou grande distance, un ajustement d'échelle suffit à cerner tous les phénomènes, quelles que soient les dimensions des systèmes considérés.
Dans la population universelle, les galaxies sont au cosmos ce que les étoiles sont aux galaxies ; ce que les planètes sont aux étoiles ; ce que les biotypes sont à la biosphère ; ce que les cellules sont aux biotypes ; ce que les atomes sont aux cellules ; ce que les sub-nucléons sont aux atomes ; etc.
Le monde est un motif structural gigogne répété identique à lui-même à différentes échelles : C'est une sphère dans une sphère plus grande dans une autre sphère encore plus grande dans... etc. Ce que nous pouvons exprimer par les deux schémas ci-contre.

II - 2 - B - L'architecture atomaire


Une même et unique structure de base se retrouve à tous les niveaux. L'atomistique nous prouve qu'un nucléon est composé d'un cœur et d'un nuage de planètes : les mésons. Eux-mêmes super-ensembles groupant un cœur et des planètes (les quarks, par exemple). Que l'atome est composé d'un cœur nucléonique, les protons et les neutrons, et d'un nuage de masses orbitales : les électrons.
La cytologie nous prouve qu'une cellule moléculaire est composée d'un cœur et de différents organites qui en dépendent. Et qu'un corps est composé d'un cœur pulsant et de différents organes qui en dépendent.
La Physique nous prouve que l'atome planétaire Terre est composé d'un cœur et d'une infinité d'éléments à sa surface. L'astrophysique nous prouve que l'atome solaire est composé d'un cœur solaire et d'un nuage de planètes gravitant autour sur des orbites déterminées, l'ensemble étant dit Système Solaire. Que l'ensemble constellaire est composé d'un cœur et d'une multitude d'étoiles.

Et, poursuivant son raisonnement logique, que les galaxies sont composées d'un cœur et d'une multitude d'amas constellaires. Et que l'Entier Universel - la Métagalaxie - est composé d'un cœur et d'une infinité d'amas galactiques gravitant autour. Autrement dit, les quarks s'associent entre eux pour former les nucléons qui forment les atomes qui forment les cellules moléculaires qui forment les organes qui forment le... etc. 

II - 2 - C - Conclusion
Toutes analogies mises ainsi brièvement en évidence, nous retrouvons donc en tout système, le même agencement et le même processus hétérogonique de base (de « hetairos » compagnon), toute variation résidant dans le dosage du combiné énergétique suivant :
- Un noyau contenant la quasi-totalité de la masse du système rayonnant une énergie gravitationnelle;
- rassemblant autour de lui, sur les anneaux énergétiques un nombre X variant de satellites, de masses, de matières, d'atmosphères, différenciés,
- qui gravitent autour du corps central dans des plans presque toujours proches de la perpendiculaire à l'axe de rotation du corps central,
- le tout et les parties étant régis par les cycles pulsatoires coronaires.
II - 3 - LES CONSTANTES DE STRUCTURE DE GENÈSE

II - 3 - A - Le processus de Genèse


La même structure se retrouve à tous les niveaux. Un ordre rigoureux de résonance régit la formation et l'organisation interne de ce tronc commun à tous les modèles à toutes échelles. Décrivons une genèse stellaire.
1)- Un couplage de champs énergétiques différenciés, déterminé par certaines nécessités d'équilibre universel, produit, à partir des éléments disponibles, un nœud énergétique de fréquence particulière.
2)- Ce nœud est un plasma galactique original, possédant une fréquence particulière (VFP). La distribution de densité dans cet embryon proto-stellaire est homogène sans être uniforme.
3)- Ce nœud plasmique amorce ses pulsations formationnelles qui vont le mener de l'état embryonnaire à l'état adulte. Les pulses organisent les échanges énergétiques par les phénomènes de flux et de reflux. La puissance des pulses et des échanges énergétiques est progressive jusqu'au déclin terminal - porté potentiellement depuis l'état initial.
4) La condensation du plasma (rotatif) y est graduelle. Le plasma se rétrécit. La distance au centre de rotation décroît continuellement jusqu'à former un disque rotatif de très haute densité.
5)- Cette haute densité due à la grande concentration de masse au niveau de rotation central du disque et à l'augmentation continuelle de la vitesse de rotation générale et de l'agitation thermique des composants, provoque, après une phase de turbulence interne, une expansion libératoire d'énergies proportionnelles à la VFP et aux conditions énergétiques ambiantes.
6)- Ce qui aboutit à la fragmentation du nœud initial en sous-ensembles, caillots ou portions plasmiques individuelles de fréquences particulières, amorçant la formation des planètes : Les éléments se séparent et gravitent en anneaux autour du centre, en orbites elliptiques sur des distances variant selon leur distribution de densité, et les champs fluctuants de l'énergie gravitationnelle qui les retient par accord attractif puissant au centre. Ainsi les quanta plasmiques les plus « légers » sont-ils les plus éloignés du centre. Et les quanta « solides », telluriques ou métalliques, les plus rapprochés.
7)- L'accrétion de ces caillots en amas plasmiques planétaires énergétiques favorise la capture et l'inclusion de tous les matériaux plasmiques affinitaires encore libres (dont les débris météoriques), ou l'exclusion de matériaux non affinitaires in-homogènes ou en surplus. L'embryon s'accroît jusqu'à atteindre un équilibre stable par attraction gravitationnelle mutuelle avec tous les corps composant le système.
Le même processus de genèse se répète à l'échelle planétaire : Les disques plasmiques rotatifs gravitent autour de la masse centrale du système et deviennent eux-mêmes, entre autres causes, par le fait de leurs rotations dynamiques, sources d'éjection et de satellisation affinitaire par processus parallèles ou successifs, renouvelant la genèse du nœud plasmique initial. Mais le processus est relativement plus rapide. Les phases de sondage et de stabilisation entre les composants d'un système se déroulent de façon parallèle plutôt que consécutive, suivant la nature énergétique de chaque nœud plasmique.
8)- Le corps central répartit une partie de sa charge entre ses héritiers. Les tailles diverses, les températures, la conductivité électromagnétique sélective, les spins et autres caractéristiques de chaque composant dépendent des multiples paramètres impliqués qui interviennent dans sa genèse. En accord de résonance, chaque planète s'organise, se caractérise, détermine la distribution de ses composants sur des orbites définies, dégageant sa propre atmosphère par un processus autogène sélectif d'adaptabilité évolutive aux conditions énergétiques de l'environnement écologique.
9) Chaque corps relativement et l'ensemble des corps forment un ensemble cohérent, homogène, isotherme, stable et régulier. Des seuils - des limites très étroites - sont fixés dès le départ, à chaque constituant et à l'ensemble ainsi organisé, par la puissance potentielle des pulses qui les animent.

II - 3 - B - La dynamique pulsatoire cyclique


L'univers pulse, respire, ainsi que chacun de ses composants phénoménaux. Tout respire en une immense pulsation, contraction et expansion, fusion et effusion sans fin. Après une contraction de fusion, soit à partir d'une densité et d'une pression maximales, tout système procède à une expansion progressive maximale, une dilatation effusionnelle diffusionnelle, accompagnée d'un refroidissement et d'un ralentissement progressifs. L'expansion est freinée par les forces de gravitation et de sustension tendues jusqu'aux limites imposées par la nature des composants énergétiques du système, leur densité, la pression stabilisatrice et du milieu écologique des phénomènes diffusionnels.
Puis une nouvelle contraction s'opère par retour élastique (implosif). La contraction s'accélère progressivement par l'effet « boule de neige ». Pouvant provoquer collisions ou cataclysmes. Et ce, jusqu'à la limite imposée par la pression. Le seuil dépassé, c'est, de nouveau, la fusion et l'explosion. Les lois de symétrie qui régissent les interactions comportementales nodulaires trouvent là leurs principales causes.

II - 3 - C - Modèle des cyclisations pulsatoires

Le phénomène pulsatoire est universel. Dans un ensemble donné, ce phénomène obéit à deux cycles, tous deux irréversibles. Le premier cycle est long et détermine la pulsation formationnelle régulière de l'ensemble du système en fonction des déterminants énergétiques qui le composent et qui l'entourent. Le second cycle est relativement court et détermine la pulsation régulière individuelle des composants de l'ensemble, pulsation « quotidienne » en fonction des déterminants énergétiques au sein de l'ensemble, en résonance avec les déterminants extérieurs.
Mais c'est invariablement le même processus de contraction et de dilatation qui s'opère à tous les niveaux. Considérons le modèle pulsatoire ci-dessous : (Voir le fichier PDF)

Le cœur où se réalisent les réactions et les recombinaisons nucléaires est en noir. Le cercle extérieur signale les limites de l'expansion. Les vecteurs fléchés expriment le double mouvement - contractif vers l'intérieur, et expansif, vers l'extérieur. Remarquons qu'au cours des cycles pulsatifs, le système ne perd son identité énergétique qu'à terme. L'identité génétique d'un homme adulte est contenue entière dans l'embryon qu'il était. Le système la conserve intégralement, bien que perdant ou renforçant son volume et son éclat. Sa quantité globale de mouvement reste constante.
La durée d'un pulse est relative. Si elle est observable et mesurable pour un observateur lointain, elle est toute une éternité pour un observateur saisi en son sein. Ci-dessous un autre schéma explicitant l'orientation des mouvements cycliques dans le temps. Nous y retrouvons le graphe universel symbolisant l'infinitude :
 
1)- La contraction centripète associative du néoformé
Ou l'involution formative d'un système vers son cœur réactif originaire. C'est la compression ou l'implosion. Le corps implose. La matière se rassemble par compression, la masse diminue, le corps se contracte sur lui-même, jusqu'à ses limites internes. La température s'élève. La vitesse, faible au départ, croît régulièrement, par l'effet « boule de neige » Ce qui provoque l'éjection simultanée de la différence de masse sous forme d'énergie. A ce moment, l'espace-temps est comme « interverti ». C'est ce phénomène qui est appelé « trou noir ».
L'implosion provoque, par ASPIRATION, une « poche », une « cavité », un « puits » énergétique au pôle Nord de l'objet considéré. C'est là où s'engouffre et s'engloutit tout quantum avoisinant énergétiquement plus faible. Celui-ci est irrésistiblement piégé par ce champ extrêmement attractif. La capture est irréversible. Et tout quantum aspiré perd son identité, écrasé par une densité croissante. Ce qui provoque la multiplication des forces gravitationnelles centrifuges, compensant les pressions des énergies radiatives libérées au cours de la dilatation, et le rayonnement de quanta fortement énergétiques, de fréquences très élevées. On remarquera donc le double mouvement de capture et de rayonnement d'énergies différentielles.
La chute vers le centre s'opère en vrille, écoulement tourbillonnaire le long des lignes de champs polaires, en un temps fini relativement très court. La pointe du jet porteur d'énergie converge vers le centre du puits en projectiles de force inouïe, disloquant les alliages les plus résistants. La fréquence de l'émission de lumière - également piégée, décroît de plus en plus.
Au pôle Sud, s'opère l'éjection énergétique ouvrant un cône d'éjection correspondant à la puissance éjective. La rotation contractive réceptive aspirante est lévogyre.
L'ensemble se déplace dans l'espace suivant une direction perpendiculaire à l'axe, vers la droite de l'observateur. Générateur d'efficacité réactive, l'écoulement devient de plus en plus turbulent et c'est l'explosion. Le mouvement de l'ensemble contractif s'exprime par une spirale contractive.

2)- La dilatation centrifuge dissociative de l'adulte
Ou l'évolution d'un système vers ses limites. C'est la détente, l'expansion dépressive, l'éruption explosive. Le cœur expulse un plasma énergétique informe. Sa trajectoire se déploie en jets tourbillonnants, spirale en vrille autour des lignes de forces des champs magnétiques nucléaires, en une accélération prodigieuse. Nous reconnaissons là un phénomène identique à celui de l'ébullition de l'eau portant ses jets jusqu'à 40 cm de hauteur.
La matière éjectée s'éparpille en fronts de choc, occupant un espace croissant limité par la puissance d'éjection, la nature des matières éjectées et la résistance écologique. Les éjections plasmoïdes (ionisées), portées par les champs magnétiques, rayonnent des quanta électromagnétiques de longueurs d'onde variées (rayonnement dit synchrotron), cédés au milieu dans leur ascension vers les zones les plus froides, tandis que le corps central happe et prend et se nourrit de quanta de très hautes énergies.
Puis la pointe du jet porteuse de l'énergie radiative libérée décélère. Le plasma coronal se stabilise, entraînant les plasmas éjectés à graviter en orbites ellipsoïdales autour de lui. La forme de l'ensemble dessine d'abord une rosace, puis une quenouille, la dilatation générale se faisant dans le sens équatorial par des effets de dérive. Les régions équatoriales sont les zones privilégiées d'expulsions volcaniques. La rotation expansive expirante relaxante est dextrogyre. Le refroidissement est progressif.
L'ensemble se déplace dans l'espace suivant une direction perpendiculaire à l'axe vers la gauche de l'observateur. Le mouvement de l'ensemble expansif s'exprime par la spirale qui se déroule.

3)- Le mouvement de balance
Le double mouvement de l'ensemble, contractif et expansif, imploseur et exploseur, mouvement de compression et de dé-pression, s'exprimera dès lors par la double spirale, l'une qui s'enroule et l'autre qui se déroule, comme une vis qui s'enfonce et remonte.

4)- La courbe exponentielle de l'accélération
En période contractive lévogyre, la vitesse est nulle à faible à forte s'ouvrant sur une mutation. Ce qui est exprimé par une courbe logistique exponentielle, les coordonnées axiales exprimant le temps et la croissance évolutive. (Figure 13)
En période décontractive dextrogyre, la vitesse est forte à faible à nulle. (Figure 14)
Chaque période suivant l'autre, nous obtiendrons le schéma suivant. (Figure 15)

Mais puisque le mouvement pulsatoire est cyclique et évolutif et que son orientation est alternativement lévogyre et dextrogyre, il serait plus exact de formuler la courbe logistique exponentielle par un schéma en carré où les coordonnées extérieures expriment le temps (les chiffres sont indicatifs) et les coordonnées intérieures, la croissance. La courbe obtenue est ovale. (Figure 16) L'ellipse ne se referme pas puisqu'elle s'engage sur un nouveau cycle dans le mouvement spiralé général.
Cet organigramme est fondamental pour exprimer le devenir de tout nœud phénoménal. L'expérience confirme en tous points nos thèses qui sont donc en accord complet avec les lois de la mécanique quantique et de la relativité restreinte.
Nous aborderons plus en détail, dans les prochaines communications, tout ce qu'implique cette structure de genèse - la cyclisation pulsatoire - et, en particulier, les gyro-résonances, l'hélicité et la dynamique dipolaire, les charges magnétiques, les champs orbitaux, etc.

LIENS ET VOIES DE RECHERCHE POUR ALLER PLUS LOIN

Hélicité (Physique des Particules)
Ordre en Mathématiques
© Claude Khal • LE CANTIQUE DES QUANTA

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